Natco

A peu près tout, fringues, meubles, electronique, loisirs etc. sauf l'alimentaire et ma voiture. Je peux commander même tard le soir, me faire livrer, renvoyer (j'avoue que c'est plus compliquer pour les meubles). Je n'aime pas la foule des magasins ni les vendeurs qui nous sautent dessus dès que l'on franchit la porte, sans oublier d'être obligé d'écouter ceux qui racontent leur vie à voix haute pour être sûr que tout le monde les entend quand on fait la queue. Oui, je sais, je ne suis pas très sociable. C'est pour cela que j'adore internet.

Tout à fait d'accord. On s'accorde souvent à dire que la beauté est suggestive. Mais qu'en est-il de l'intelligence?

Même chose pour moi mais version féminine

Moi, je ne l'appelle pas, c'est bien plus simple

En ce qui me concerne, les mots "dictateur" et "préféré" ne peuvent pas cohabiter. La dictature, de gauche ou de droite, représente l'extrêmisme, ce qui ne me correspond pas du tout. Malgré tout, cela n'empêche pas la fermeté quand c'est nécessaire.

En ce moment je regarde Irma Vep, une mini série en 6 épisodes d'Olivier Assayas. Pour moi Assayas est en général signe de qualité, mais là ... Les personnages individuellement pourraient être interessants, mais le concept d'un film, dans un film, dans un film, c'est un peu too much et n'a pas grand interêt. Il me reste 2 épisodes à regarder, mais je ne suis pas emballée.

J'adore les parfums. Je ne me maquille pas mais je ne sors jamais sans me parfumer, y compris pour aller au supermarché. J'ai beaucoup changé de parfum mais depuis plusieurs années je suis fidèle à Hypnotique Poison de Dior. J'aime beaucoup aussi Kenzo Flower. Mais je le vaporise sur mes vêtements parce directement sur la peau derriere les oreilles, ça me fait des plaques. L'été, je préfère une fragrance plus légère et je change tous les ans. Cette année j'ai opté pour la nouvelle collection de Kenzo, Rêve Lotus. C'est discret et avec la chaleur qu'il fait, c'est très bien comme ça.

J'ai vécu à Londres pendant 8 ans parce que j'aimais ce pays, ou plutot cette ville, mais je ne suis pas partie parce que je n'aimais pas mon pays. Je suis partie parce que j'étais jeune, j'avais envie de vivre autre chose, de parler une langue couramment, d'ailleurs aujourd'hui je l'enseigne, mais aussi parce que je ne trouvais pas ma place en France. J'ai fini par revenir pour des raisons économiques et si j'avais pu rester, cela aurait été avec plaisir. On reproche souvent aux immigrés ou personnes d'origine étrangère de ne pas faire d'effort d"integration ou de toujours favoriser leur pays ou culture d'origine. Mais c'est la même chose pour les Français qui vivent à l'étranger. On n'oublie jamais totalement son pays ou sa culture.

Lors des attentats de Londres en juillet 2005, j'y vivais et travaillais depuis quelques années. J'étais manager dans une librairie dans un quartier très touristique et je venais d'arriver quand mon patron m'a appris qu'il y avait eu une bombe dans une station de métro. Petit à petit on a appris qu'il y avait eu 4 attentats dans des stations de métro + un bus toutes à quelques minutes d'intervalles. C'était juste avant l'ouverture et ça signifiait que mes collègues étaient sans doute en route. Il y avait 2 équipes, l'une commençait à 9h, trop tard pour contacter ceux-là, mais je pouvais encore empêcher ceux qui commençaient à 10.30 de venir. Seulement, je n'arrivais à contacter personne. Les autorités avaient coupé les lignes. L'équipe qui commençait à 9h est arrivée petit à petit, tous sains et saufs, la plupart ne savaient pas ce qu'il s'était passé. Ceux de 10.30 ne pouvaient de toute façon pas prendre les transports en commun, tout était fermé. Vers 10h, la police a demandé à tous les clients dans les magasins de sortir, ordonnant aux salariés de rester à l'interieur et de ne sortir sous aucun prétexte. L'atmosphere était surréaliste. Il n'y avait plus personne dans la rue, d'ordinaire remplie de monde. En face de la librairie, il y avait un magasin Muji, et à coté un pub, puis un magasin de vêtements. On se regardait tous à travers les vitrines un peu hagard, et on s'est fait un geste de la main. On ne se connaissait pas mais on était lié par quelque chose qui nous dépassait. Vers 16h, les forces de l'ordre n'étaient toujours pas revenues, et nous, on attendait toujours. Mais ce qui m'a marqué le plus, c'est que j'ai réalisé que je n'avais pas appelé ma famille en France. Le téléphone ne fonctionnait toujours pas. Je me dit que peut-être qu'internet fonctionne, et c'etait le cas. Là j'ai vu des dizaines de message, dont celui de ma soeur qui me disait "j'espère que tu vas bien, appellle maman dès que tu peux, elle n'arrive pas à te joindre et elle est en panique". Je répond à ma soeur que tout va bien. Ma mère n'avait pas internet. L'un de mes collègues Brésilien, me demande si j'ai pu appeler ma mère, je lui répond que non, il me propose alors son téléphone satellite et là, je n'oublierai jamais ce moment. J'ai appélé ma mère et j'ai juste dit "maman, c'est moi". Je l'ai entendu s'effondrer, elle pleurait tellement qu'elle n'arrivait plus à parler. Ce moment m'a marqué à jamais. Je me suis rendue compte à quel point elle avait dû avoir peur. Elle a fini par me dire qu'elle n'arrêtait pas de faire mon numéro mais une voix disait que le numero n'était plus en service et bien sûr elle a imaginé le pire. C'est le moment le plus terrible que j'ai eu à vivre, et même si je n'ai pas été marqué dans ma chair à cause de ses attentats, ils m'ont marqué à vie et les attentats qui ont ensuite eu lieu à Paris ont ravivé des souvenirs.

Sur les 4, je n'ai bien connu que ma grand-mère maternelle. Une femme acariatre qui dressait ses enfants les uns contre les autres, avec beaucoup de succès. Je ne l'ai jamais entendu dire un mot gentil à ses enfants, et encore moins à ses petits enfants qui n'existaient pas à ses yeux. J'ai fini par la zapper de ma vie. Elle est décédée en 2020, je n'ai pas pris la peine d'aller à l'enterrement, de toute façon les places étaient limitées à cause du COVID. Je n'ai pas du tout connu mon grand-père maternel. Et d'après ce que j'en ai entendu des années plus tard, c'était aussi bien comme ça. Côté paternel, je les ai vu quand j'étais petite mais pas vraiment connu. Mon grand-père est décédé quand j'avais 9 ans. En revanche, j'aurais bien aimé connaitre davantage ma grand-mère paternel. Dans mon souvenir, elle était déjà vieille quand je suis née et n'entendait plus très bien. Je n'étais pas très vieille quand elle est allée en maison de retraite. Ma mère (son ancienne belle-fille) m'y a emmené quelques fois mais elle venait de la campagne profonde avec un accent et patois que je ne comprenais pas. Ma mère devait toujours me servir d'interprète et comme en plus elle était sourde, il fallait hurler. J'étais très timide et c'était quelque chose que je ne savais pas faire. On ne s'est donc jamais vraiment parlées. Elle est décédée il y plusieurs années maintenant.

As-tu parlé de ce décalage avec ton nouveau lycée? Peut-être pourraient-ils te conseiller. Les établissements ne suivent pas forcément tous le programme dans le même ordre.

Je n'ai pas vraiment de saison préférée. Ce que je n'aime pas c'est surtout la grisaille et en Normandie, ça ne manque pas. Mais s'il fallait en choisir une, ce serait le printemps. Il ne fait pas encore trop chaud, en principe. Parce que si je n'aime pas la grisaille, je n'aime pas la chaleur non plus. Donc le printemps me semble être un bon compromis.

Mais ils faisaient comment pour se souvenir du prénom de tout le monde ?? A mon avis, ils ont dû donner des prénoms aux 10 premiers, et les 39 suivants s'appellaient tous "Eh Toi".

J'ai la réputation en famille ou au travail d'être fiable parce que stable. Le tout est de savoir si ça va durer. Je trouve mon équilibre dans le sommeil. Je n'ai jamais pris somnifère de ma vie, ou autre, et je dors plutôt bien. Je pense que ça joue beaucoup dans mon équilibre. Il m'arrive également de faire des siestes le weekend. Je viens d'en faire une de 2h (je ne sais pas faire des petites siestes ) Je ne m'entoure que de gens positifs. Exit ceux qui ont toujours un truc de travers. J'aime le silence. Je m'accorde des journées entières ou 1/2 journées de silence (weekend). Je peux me le permettre, je n'ai pas d'enfant. Je suis enseignante post-bac, et il est difficile d'avoir le silence avec des jeunes de 18 ans et plus. Il y a toujours du bruit dans les classes, en tout cas, le silence ne dure jamais bien longtemps. J'ai donc besoin de silence pour me ressourcer. Mes loisirs contribuent sans doute à mon équilibre: Lecture, je lis tous les jours, surtout le soir avant de me coucher. Sorties au Cinema, même si avec le covid les séances ont été remplacées par des sites de streaming. Sorties au resto entre amis environ 1 fois par semaine, où la rigolade est de mise. Bref, des choses simples.

C'est quelque chose que font assez souvent les parents Americains, surtout quand les enfants sont jeunes, mais ça s'arrête en grandissant. Quant à moi, je pense également que cela doit être réservé aux conjoint (es). Mais ce n'est que mon opinion.

Comme déjà mentionné, tout dépend dans quel genre d'établissement tu veux travailler. Si c'est un établissement haut de gamme, ils auront sûrement besoin de plus de personnel mais ils risquent de recruter du personnel qualifié. Ce que tu n'es pas. Dans un hotel familial ou de quartier, ils seront peut-être moins regardant. En général, ils ont besoin de moins de personnel, mais si tu arrives à y rentrer, ils auront peut-être plus le temps de te former. Les chaines aussi, où tout est standardisé, ils seront peut-être moins regardant. Ta chance en ce moment, c'est le manque de personnel. Les hotels (et restaurants) cherchent du personnel sans en trouver, surtout dans les stations balnéaires pour l'été. Il y a fort à parier qu'ils sont moins regardant sur l'experience. Et c'est une excellente occasion pour toi de te faire un peu la main. Si tout se passe bien pour toi, ca fera une ligne de plus sur ton CV et peut-être même une lettre de recommendation, voire une embauche.

Moi j'aime pô la canicule

En tout cas, pas un resto gastronomique. Je reste toujours dubitative quand je vois une assiette arrivée avec une carotte et 3 petits pois. Même si c'est bio et l'assiette joliment décorée, ca reste une carotte et 3 petits pois. J'exagère sans doute, mais à peine. Je suis plutot dans la générosité et l'authentique, avec des produits de qualité. Pas de grande carte. Juste 3 ou 4 plats principaux faits maison qui changeraient tous les jours.

Je ne comprends pas pourquoi c'est l'assurance qui doit l'indemniser. Je me demande s'il n'y a pas eu un problème de traduction.

Bah oui, ce sont des bases aériennes. Il y en a une là où je travaille.

C'est pas faux

Dorothy- Wicked Ones J'adore ce groupe de rock Americain.

Je regarde la saison 2 d'une série Britannique "Gentleman Jack". L'action se situe en 1832 dans le Yorkshire. Anne Lister, propriétaire terrienne et industrielle homosexuelle, veut briser les conventions sociales et épouser une riche héritière nommée Ann Walker pendant la Révolution Industrielle, au grand dam de leurs familles respectives. La série est adaptée des correspondances codées qu'elle entretenait avec ses maitresses. Meme si l'homosexualité féminine était regardée de travers à l'époque, Anne Lister était une aristocrate et était donc protégée par son statut. Cela n'aurait pas été le cas pour une femme de la classe ouvrière. La série est assez légère, voire drôle par moment, et dynamique.

Je ne connaissais pas ce film, ou ne m'en souvenais pas puisqu'il date de 2010 apparemment. L'histoire a l'air interessante et j'adore Rachel Weisz.

Je ne sais pas ce qui est le plus indécent. Un meurtrier qui se présente aux élections ou ceux qui vont voter pour un meurtrier. Parce que même s'il a "payé sa dette", selon l'expression consacrée, il restera toujours un meurtrier. Surtout pour la famille de sa victime.