LionelSp

Vous avez 67 ans et "un de vos parents " a 36 ans, la crédibilité de votre message est déjà entachée. Ceci étant votre témoignage n'est pas d'une part, celui d'un dossier médical. C'est vous qui le dites. Vous découvrez potentiellement une vulnérabilité "immuno dépression" de votre parent. c'est-à-dire, d'autre part, qu'il est très peu probable qu'il n'y ai pas une circonstance, ou des circonstances médicales au regard de ce qui est parfaitement connu du Virus. Médicalement il est impossible, de fait, puisque « vous êtes gravement malade », qu’il n’y ait pas une circonstance médicale. Vous n’êtes pas représentatif de la généralité médicale à 80% « bénine » pour les gens en bonne santé médicale.

Une réouverture globale est intervenue, il est évident qu’il y ait ‘ordinairement soudainement’ une circulation du virus. Attribuer ceci à une variation du virus est une malveillance opportune coincidente, ou une idiotie. Toutes les statistiques médicales sont les mêmes depuis le début. Le virus est bénin pour 80% de la population, plus virulent pour les personnes vulnérables. RIEN n’a changé. Encore une fois, à ce jour, ces variants n’ont changé aucune donne généralisée statistique ou médicale. Par ailleurs, un contact avec le virus EST EGAL à une première vaccination, pour 80% des gens Non vulnérable. L’immunité s’acquière de la même manière avec le virus « entier ». Les gens vulnérables ont la possibilité de cette immunité avec un virus « broyé ». Il est idiot, dans les conditions a postériori d’une vaccination des vunlérables (volontaire Ou non) de vouloir contenir un virus volatil, puisque cette immunité bénine sera acquise PAR le contact.

Dacodac !

C’est « qu’est-ce que je dis » ! Le control vaccinal (Pass) à l’entrée de différents pays existe effectivement depuis longtemps. C’est une normalité ordinaire, banale, la vaccination obligatoire en France est aussi banale (polio, diphterie, tétanos..) , mais bizarrement non mise en œuvre pour le covid, au moment où l’obligation et la contrainte, la mortalité, est la plus forte. A l’entrée d’un troquet, c’est hérétique, d’autant que la diffusion virale ne touche potentiellement que des personnes « volontairement » non vaccinées, « c’est leur choix », ou l’effectivité d’une obligation nationale. Ce micmac, comme précédement décrit (cf post au dessus), est hystérique.

Que voulez-vous dire par " dissocier " ?

Les calculs politiques se retrouvent dans le nombre et la durée, pourvu qu’on en parle et qu’on les regarde « So far So good » dans les bons sentiments communs et le fauteuil ‘qui sied’, le reste ils s’en lavent les mains comme pas deux. Le bénéfice risque de leur position sociale est politiquement inné, plus vous les haranguez, plus vous les interpellez plus ils sont content, une « unique décision » ne convient pas à ce brassage, la singerie culturelle est celle du plus « attentionné » ; vos ‘couilles’ les intéressent beaucoup. Le problème covid lui-même a sa solution depuis une année, d’une banalité affligeante, qui ne convient pas à une justification, à des débats, des choix, des goûts, des « libertés », des discours, des mesures, devant des caméras. La non vaccination « volontaire individuelle », ou l'obligation banale et ordinnaire pour tous, ne gène plus personne, le grappin politique, administratif et social est le conditionnent mentale d’autre chose.

Vous tombez dans le piège d'une dépréciation d'autre chose que vous. La non obligation, est la normalité d'être un droit et une forme ordinaire. La non obligation + "Une détection de pass" est équivalente à une discrimination sociale. « Vous avez le droit d'être Pd, mais vous n'entrerez pas dans mon église, dans ma maison » Vous avez le droit d’être célibataire, mais « vous êtes le con qui n’a pas fait ce qu’il faut, le con qui n’a pas compris, vous n'aurez pas de maison... »…. " De vous-même comprenez-vous que vous n'êtes pas comme il le faut...», "On vous répète vous n'aurez pas l'accès au troquet du coin " Nous ne laisseront pas passer en classe supérieure ces gens qui ne sont pas comme il faut ".... Cette " METHODE " est représentative d'un état d'esprit global et culturel, elle semble vouloir être banalisée.

Il n'y a pas un Français qui ne soit pas vacciné obligatoirement pour les maladies infantiles. La totalité de la population a, ou a eu, un carnet vaccinal et a été vacciné. La grossière stupidité, de la contestation d’une vaccination ou d’un Pass sans Obligation vaccinale, est écœurante. C’est une euphorie opportune administrative et sociale qui maintient les conditions de « non vaccination ». Encore une fois, tous le français ont été obligatoirement vacciné pour les maladies infantiles. Cela ne pose aucun problème, c’est aujourd'hui une condition où elle est ' impérativement ' nécessaire (bien plus que pour les maladies infantiles). La « non obligation actuelle, est un cynisme de moquerie opportune, un révélateur de la méthode culturelle de l’exclusion sociale, un merd.. de courbettes administratives…

L'évidence d'un risque supplémentaire est totalement contraire dans l'exemple cité, c'est-à-dire que c'est absolument une condamnation, une pénalité infligée à la personne : La discrimination de ceci est une pure agression C'est bien le fait de uniquement "bénéficier" de quelque chose qui est entravé, d'où la logique " administrative et sociale" d'une omniprésence d'intermédiaire "hiérarchisé" de prétexte « culturel », personnellement je trouve cela intolérable, détestable. C'est socialement insupportable et représentatif d'une culture "discriminante" toutes choses confondues. " Moi je suis... toi tu es... lui il est... Alors lui il n'aura pas,... Alors toi tu ne pourras pas..." Cette généralité sociale Française toutes choses équivalentes par ailleurs, est immonde, mais acquise culturellement comme Ordinaire. Ne vous posez pas de question, Faites les choses, dans les mesures ordinaires et possibles en général , sans vous soucier de ce que sont les gens.

Encore un siècle ou deux, et les cultureux iront se rhabiller. (Démographie mondiale)

C'est qu'est-ce que je dis, pour le fait concret, en, et pour lui-même ! Par contre, l’interprétation de l’image (la représentation) « peut » culturellement être une symbolique de morale. Le noir de la discrétion et soumission, La pureté de la blancheur et les gens très purs qui la revêtent n’est pas sans une intention, une prétention, une revendication, de morale particulière. 'Ces gens là' comprennent la couleur du vêtement, vous reniflent le derrière de la moindre trace et en ont la prétention qu’il vont montrer, « En conséquence de menace morale » comparé à une autre situation et s’en satisfaire conformément. Inversement la symbolique d’une proximité à la nature, selon l’image (la représentation animale) « peut », peut-être, être une autre symbolique, « Ne soyez pas intransigeant,…, peut importe votre condition,…, est important l’entente spirituelle d’une nature tolérante » Nb: Il y a sur l'image un signe de « Culte », qui n'est pas qu'une forme 'médicale'. En parlant du renfilage, et son questionnement sur le "sérieux" qui m'est reproché ; le terme "boue de vache" est pour signifier un parallèle aux bains de boue : Pour son geste en lui-même, dépourvu d'une intention, et pour ne pas offenser la censure d'une pudeur. Descartes à effectivement fait quelques allusions aux habitudes sous la ceinture de ses compatriotes, mais ce n'est pas le point "Moral" présent, qui existe, évoqué, ni pour l'oeuvre de Descartes, qui devrait avoir d'autres atours, présentement.

Je prêche dans le désert de ce que la philosophie en tant discipline la distingue de l’érudition qui ne manque pas de bavardages sans fin. La différence entre le savant et l’érudit est toute la nuance entre une réplique, une réplication et l’art d’une science qui met en évidence le comment et le pourquoi. L’interprétation d’une parole ou d’un écrit est une appréciation par Soi et purement culturelle, objet du contraire de ce qui me semble être la philo, à laquelle j’adhère, qui n’a aucune interprétation mais des raisons, des causes, des origines. L’évocation de textes religieux, n’apporte au débat qu’une affirmation tautologique, un prosélytisme lexical et une interprétation de flou artistique où chacun (par intention projective) pioche sa vérité, une niaiserie ou une menace morale entendue tacitement.

Le doute m’emparre à chaque conversation, sur une ‘certaine pertinance’, sur une certaine lecture, que je peux avoir. « Allons chercher dans les bibles ce que nous devons penser justement », semble contradictoire à l’idée de penser quelque chose, mais comme le disait aristote, il a un chemin à une compréhension autonome. Nietzsche : « Fort de cette « croyance », ils partent en quête de leur « savoir », de ce qu’ils baptiseront solennellement , en fin de compte, « la verité » ».. »Il se pourrait même que ce qui constitue la valeur de ces chose bonnes et vénérées tint précisement au fait qu’elles s’apparentent, se mêlent et se confondent insidieusement avec des choses mauvaises et en apparence opposées, au fait que les unes et les autres sont peut-être de même nature… » Reconnaitre le « bien et le mal » ou le « bon et le mauvais », n’est sans doute pas non plus le fait culturel d’une imprégnation mentale, d’une impression, y compris dans le fait d’un « propos de philosophie ». L’effort, la difficulté, la peine,… le fait d’un echec possible pour Soi, s’oppose peut-être à la caresse d’une culture bien pensante, comme le dit l’auteur à sa « niaiserie », à la niaserie d’un « propos ». Quelque chose doit être un labeur. « On affirme par exemple que le déterminé à plus de valeur que l’indéterminé, ou que l’apparence vaut moins que la « vérité » ; mais quelle que soit pour nous la valeur normative de pareilles appréciations, il se pourrait qu’elles ne soient que des jugements superficiels, une sorte particulière de niaiserie, celle justement que peut réclamer la conservation d’individus de notre espèce. » La niaserie conserve certainement, « reconnaître la non-verité comme la condition de la vie, voilà certes une dangereuse façon de s’opposer au sens des valeurs qui a généralement cours.. » « L’effort d’un mouvement est une sportivité qui peut aboutir à une bonne marche, mais n’est pas celui d’un pied devant l’autre » et sans doute pas la marche que vous voulez, en ceci le nihilisme n’a rien de révolutionnaire dans la vérité d’une niaserie identique.

Il faut lire la phrase pour sa sociologie. « Nous » n’exprime ‘inconsciemment’ et remarquablement, Que son « émotion », sa crainte, sa peur, son plaisir… très bassement l’une ‘culture’ parle au plaisir (idée générale), l’autre ‘culture’ à la souffrance (idem). « La morale » est précisément comme terme culturel aussi subjective que « bobo.., miam-miam, pan pan… », piège d’une trappe culturelle de ‘satisfaction’, et étonnement d’un sursaut d’inconscience, d’incompréhension… ce que "je" dis précisément Ici. Le phénomène n’est pas spécifique à une forme décriée, « un avocat le ton rocailleux, le verbe latineux, va chez le nippons leur parler de présomption d’innocence » Quel rapport y aurait-t-il avec la concrétude d’une morale, de bien ou de mal, en ceci cet objet acte « Je dis ». L’état ‘d’inconscience’, « miam-miam … pour la belle phrase », est l’idée de l’intention, qui n’a « in fine » peut-être pas une once d’analytique, de synthétique etc… L’indien se recouvre de « boue de vache », Quel rapport y aurait-t-il avec une morale, en cet acte « Je » me couvre le corps. Un politique exprime « l’inutilité d’un masque » encore un fois « Je dis » en cet acte n’est pas un rapport à une morale. ( Nb : le jour on je l’ai entendu, je n’ai pas pu m’empêcher de faire la remarque suivante, « bien sûr, les chirurgiens ne s’en servent que pour essuyer les boues de leurs derrières » On s’éloigne de la philo de Kant, Hegel, Berkeley, Nietzsche… dont « Je » dois avoir un souvenir culturel, mais sans doute conscienment autre Chose. Chacun me semble-t-il y compris Descartes, ou l’incontournable Aristote, a, à un moment exprimé noir sur blanc le fait de cette « idée au-dessus », qui n’est pas « le pied dans une botte de morale » culturelle, bien qu’ils aient pu parler des bombances des parties génitales (Descartes), ou de leurs amours intra-famillaux (Aristote).

La conscience morale de l’exemple est seconde et humoristique, psychologie de l’acte inconscient. Celle qui est évoquée est plus un rapport entre un état-de-veille-culturel et un état structuré conscient de l’acte et de la pensée consciente, flux d’une donnée, d’un data qui n’est pas celui que je vois ou que j’entends, mais qui est mis-en-œuvre « consciemment ». Le niveau de conscience étant sans doute une perpétuelle « remise en cause », qui peut être établie dans la synthèse d’une diversité. Le sentiment qui est celui de la perception, j’ai le sentiment que…, est un « objet » qui me semble observable et possède un retour-en-soi, « présentifié », remonté, au plan de la conscience. S’il ne l’était pas nous serions tous des êtres irrationnels. L’outrage culturel qui est mon propos, d’une certiane manière généralisée, pour parler ici, est celui de parler ‘culturellement’ à une inconscience, sentiment de quelque chose sans retour sur soi.

De la conscience, …actualité du jour, en quelque sorte…(cf. image ci-dessous, thérapie du "pi" de vache) Croyances et propagandes, la frontière est aussi mince qu’entre l’idée et sa pratique aveugle. Sortir du schéma d’une psychologie de manipulation, peut aller de l’information sur une utilité de l’usage d’un masque thérapeutique, et sa condition matérielle (obligation-croyante de contre-vérité), à celle de l’œuvre colossale (colossalement excessive et pour son fait excessif manipulé ; obligation d’un intérêt-« croyant ») d’une intention organisationnelle. En conséquence d’être ceci, comme « Je » suis péjorativement ce que « Vous » dites. Nb: Lorsque des avocats « Français » vont chez les nippons arguer de leur principe de « présomption d’innocence », l’état de conscience est la même image. « Je-moi » a eu un peu honte ce jour là.

Tous les sujets éthiques ont pour corollaire le fait d’un tiers ou d’un tiers regard. On peut effectivement se passionner par une argumentation et pour une administration de ce que vous pourrez ‘ne pas faire ou faire’ pour Vous, de ce que vous devez être ainsi. On peut aussi être interloqué qu’il puisse y avoir « une mainmise » de quelque chose, qui ne soit pas celle de "dieu" au sens philo, dans l’idée de pouvoir jouir (juridique) de soi même. Devons-nous avoir un regard identique Sur ceci, et un regard Sur ce qu’il peut y avoir de « plus intime » dans la vie ou dans mort. N’y a-t-il pas un « opportunisme » culturel ? La collectivité est-elle ce droit intime ‘administré’, ce regard Sur, comme ceci ou comme cela, ou est-il une disposition de la collectivité pour Soi intime et avec les autres (libéralité ou liberté pour les intellectuels pompeux). Par ce regard (au sens large), « Je » me ‘suicide’, « Je » suis ‘craché à figure’, « Je » suis exclu, « Je » suis refusé, « Je suis » à la rue, de ne pas être comme ceci ou comme cela. « Nous » sommes rassurés d’être ceci l’éthique, d’en débattre et d’en jouir conformément pour ce que VOUS devez-être, VOUS pouvez-être, être-contraint, être-en-conséquence, ainsi. L’intimité du « Je » suis mourant ou vivant n’est pas la jouissance votre d’une éthique intellectuelle, ou d’une morale. Qu’est-ce que la morale, la morale est-elle une règle ? Comment peut-on être coupable ou innocent, de Soi-même. Est-ce ce regard Sur ceci qui est innocent ou coupable ?

https://www.europe1.fr/societe/valeurs-actuelles-publie-une-nouvelle-tribune-de-mlilitaires-4044038 Les rhétoriques de demandes de budgets publics ont l’indécence de leurs transparences culturelles communautaires, professeurs publics, médecins publics, militaires, vous êtres les seuls cultures à clamer ‘dans la rue’, sous couvert d’une « forme particulière » un droit matériel ou moral pour vous, qui n’est pas celui de tous. Il n’y a pas une personne au monde qui n’ait pas la bonne idée de vivre mieux ou dans de meilleures conditions, mais la générosité de tous n’est pas celle de chacun. Ramenez vos conforts et actions ‘par tête de pipe’ avant de sonner la charge de tous (financières et autres) ! Vérité de principe et d’idée générale inverse à celle « communisée », groupes de « droits divers », religieux, publics, fonctionnels, étatiques… kif-kif bourricots avec une autre ‘peinture de guerre’. Ses limitations (au principe) sont sans doute à trouver collectivement. La France est-elle dans l’idée d’être français, un " bloc de groupes ", qui dit rouge ou vert ?