Beebee

Nom complet du tableau de William Turner : Négriers jetant par-dessus bord les morts et les mourants - un typhon approche (l'assurance ne fonctionnait qu'en cas de "perte en mer"...).

Et c'est ça le plus "drôle". Sur quels critères?

Le Monument des Découvertes en l'hommage des navigateurs portugais, à Lisbonne.

J'adore la diversité des propositions. @Demsky : tranquille en train de me réveiller devant mon café, j'ai failli tomber de ma chaise, rapport au volume sonore pas prévu.... "What time is love?" : je ne me suis pas méfiée

Ulysse résistant au Chant des Sirènes

Je la voyait bien, cette petite colline en arrière plan... Tant pis. Très mignon.

Ressemble au port de Sète

Le film est une merveille

Rentable, oui, mais je ne lui trouve en rien sain ce système qui met à la porte les malades ou qui a besoin de subventions pour embaucher les plus jeunes qu'il faut former, les plus vieux qui coûtent trop cher ou les handicapés qui ralentissent le groupe.

De ce que j'ai entendu du podcast sur la pédophilie "psychiatrique", 50% des pédophiles passe à l'acte : c'est ce chiffre que je trouve énorme.

Reportage passionnant même pour quelqu'un qui, comme moi, n'a JAMAIS regardé les sous-genres des films d'horreur cités dans la vidéo : survivaliste (Délivrance), slasher (Scream) ou boogeyman (tous les Freddy ou les Vendredi 13)

Wouah! J'avoue que je me suis arrêtée aux deux premiers filmés par Speilberg. J'ai dû en suivre paresseusement certains en DVD : aucun ne m'a laissé de souvenirs aussi forts que l'attaque de la jeep par le T-Rex ou juste la découverte sur grand écran des premiers dinosaures herbivores dans leur habitat "naturel". Il n'y a pas assez de renouvellement scénaristique pour que la série m'accroche.

Défi 14 Livre de SF : SILO Origines de Hugh Howey Il est étrange que le tome 2 d'une trilogie débute plusieurs centaines d'années avant le premier livre de l'une série. C'est le cas pour SILO où Origines explique la formation, le pourquoi de ce monde post apocalyptique. Un peu plus de mal avec ce tome là.

Nous avons compris la même chose....

Juste deux remarques : * je n'appelle pas ça des "incivilités" mais des infractions : menaces, violence, intrusions, entrée sans payer, etc... * 7euros la 1/2 heure ou 12 euros l'heure... A ce prix là, va falloir se barricader ou engager DES gros bras!

Nous sommes bien d'accord. J'ai envie d'aller lire la nouvelle dont est tiré le film qui n'a rien à voir avec l'horreur mais qui reste assez déstabilisant, voire effrayant dans sa première partie pour une raison que l'on comprend dans la dernière partie. On doit cette construction à Stephen King, justement et elle fait l'un des très grands intérêts du film.

Le rapport de la Commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires paru aujourd'hui donne quelques réponses à ta questions : "Le silence" des adultes face aux faits de violence Tout au long du rapport, Violette Spillebout et Paul Vannier évoquent les différents collectifs formés dans la foulée des révélations sur Bétharram, s'attardent sur plusieurs dossiers, comme celui du village d'enfants de Riaumont (Pas-de-Calais) ou le collège Stanislas (Paris), et révèlent d'autres faits de violences, notamment dans les années 1990 au sein du collège Saint-Jean de Pélussin (Loire). Les rapporteurs analysent longuement les nombreuses raisons de l'omerta régnant dans ces établissements scolaires, parmi lesquelles le fait que le sujet "était tout simplement tabou à l'époque", que certains enfants étaient "déjà victimes de violences dans leur milieu familial" et d'autres qui considéraient "que leurs parents ne les auraient pas crus, la remise en question de l’autorité des prêtres étant impensable". Mais "le silence d'une partie importante des victimes ne suffit pas à expliquer la perpétuation de ces violences systémiques pendant des décennies", estiment les députés, qui dénoncent "le silence complaisant, prudent ou résigné des adultes". "La parole des enfants, non sollicitée, était rare ; quand elle s'exprimait, elle était souvent mal reçue ; lorsqu'elle était entendue par leurs parents, les responsables des institutions mises en cause s'empressaient de l'étouffer, et dans les rares cas où cette parole parvenait à la justice, l'affaire se concluait par un classement sans suite, plus rarement un non-lieu, et plus rarement encore par une peine légère, souvent précédée par une requalification des faits pour en amoindrir la portée", résument Violette Spillebout et Paul Vannier. https://lcp.fr/actualites/affaire-betharram-le-rapport-de-la-commission-d-enquete-sur-les-violences-dans-les

Autant profiter de la fête du cinéma et des salles climatisées. Impossible de raconter quoique ce soit sur cette Vie de Chuck pour ne pas gâcher le plaisir de la découverte et de l'interprétation que chacun s'en fera. Par exemple, j'ai lu qu'il s'agissait d'un film "feel good". Mince alors, j'y ai découvert une vision de la mort à laquelle je n'avais jamais pensée. Pas sûre que je me sente tellement mieux.... En revanche, il reste de magnifiques moments de cinéma : un numéro de danse dans la rue, les étoiles de la Voie Lactée qui s'éteignent une à une ou ce poème de Walt Whitman.

Le Proud Mary est un bateau à aubes qui navigue sur le Mississipi

Efficace, solide, instructif, distrayant. Sur le même sujet, à savoir l'évacuation des ressortissants français et afghans mis sous la protection de l'Ambassade de France en août 2021 au retour des Talibans, la série Kaboul apporte l'émotion qui manque peut-être au film.

Ce n'est qu'à 35 ans, qu'au détour d'un reportage, Katia va poser un mot sur sa "différence" qui perturbe ses relations sociales depuis son enfance. Le diagnostique posé ne suffit pas, encore faut-il qu'il soit assimilé, compris par la famille, l'amoureux, les collègues de travail. Le côté documentaire et didactique ne me gêne absolument pas, tant les acteurs sonnent justes.

Rafraichissant, donc Le Radeau de la Méduse, Théodore Géricault, 1819