jmecomprends_tt_seul

J'imagine une de ces dames trente ans plus tard, feuilletant son vieil album photos...alors elle à droite c'était euuuuuh...Yasmina ! Euuuuuuh nan attends voir, Yasmina c'est celle du milieu, je la reconnais bien avec son niquab là !

...et les quart d'heures américains où nous jouions notre vie amoureuse sur la piste de danse quand une fille daignait enfin nous inviter

Il y a de plus en plus d'acronymes et de spécifictés chez les LGBTQQI2SAA, on finit par ne plus rien y comprendre. Dans l'article je me suis arrêté aux TERF. Perso, je connaissais le TURF et maintenant on m'explique qu'il y a le TERF (« trans exclusionary radical feminist » (féministe radicale trans-exclusive)) et qu'elles sont gravement menacées !!!! J'ai laissé tombé la lecture après, ça devient ubuesque ou trop extrême pour moi Bon comme je suis naze ce soir et que j'avais pas envie de tout lire je suis quand même allé sur https://drapeau-lgbt.fr histoire de me rafraichir le cigare sur cet acronyme à rallonge LGBTQQI2SAA+++ Sérieux y pourraient pas raccourcir le truc, quelque chose de plus simple à retenir parce que comme c'est parti là, on va se retrouver in fine avec un tableau périodique des éléments !

"Mais depuis la rentrée scolaire, le programme suscite une fronde sur les réseaux sociaux et des appels à manifester provenant de milieux ultra-conservateurs, notamment d'associations islamiques et de Civitas (catholiques intégristes)." ...main dans la main pour un même combat...tout feu tout flamme...dieu que c'est sexy ! Et si le programme Evras s'effectue dans tous les collèges et lycées belges, ils vont faire quoi, tout cramer ? Il faut vraiment pas être net pour brûler une école quand même

La Ratp ne va pas le regretter celui là...

2835 personnes mortes dénombrées hier soir 11h00...toutes ces vies perdues en l'espace d'un instant...c'est terrible

- la rencontre en ligne te permets de ne pas passer d'emblé par la phase "trac et anxiété" que tu peux avoir quand tu rencontres à brûle pourpoint une personne dans la rue. Tu peux prendre le temps de mieux connaitre la personne avant de la rencontrer IRL. Tu peux ainsi mieux te préparer psychologiquement quand tu devras la rencontrer. - tu peux te relire avant d'envoyer ton message. C'est plutot pas mal. Cela t'évites de dire des bêtises ou de dire des choses trop directes qui pourraient choquer ton interlocutrice. - tu peux enfin sortir de ta zone de confort et oser écrire des trucs que tu n'aurais jamais pu dire IRL. - si cela peut te rassurer, tu peux aussi choisir toi-même des personnes introverties et timides. Il te suffit pour cela d'être sincère avec tes prétendantes. Il existe aussi des sites de rencontres pour les timides.

oulala la honte !!! je ne me suis pas relu, désolé

Voici un article tiré du site nospensees.fr qui pourrait t'intéresser et pourrait également répondre à certaines de tes questions. A toi de te situer dans ce qui est écrit. A savoir que cette tendance à vouloir s'identifier à des créatures mythiques et/ou mythologiques peut cacher de réels troubles psychiques ou peut être un ultime moyen de se défendre contre l'anxiété et les pressions sociales. Si certains ou certaines n'estiment pas souffrir d'un quelconque trouble phsychique, il n'est pas dit que d'autres n'en possèdent pas tous les symptômes. C'est donc un sujet à ne pas prendre à la légère. Est-ce le résultat d'une crise d'adolescent ou est-ce que cela va plus loin ? Malheureusement, on ne peut pas répondre à ta place ! Bonne continuation !

Ce matin en replay sur arte, le concert live à Londres de Georges Mickael + un documentaire : "Kirghizistan - Au coeur des monts célestes"

Awrah - un roman graphique en deux tomes. Une très belle histoire Awrah retrace l'histoire belle et tragique d'un jeune orphelin prénommé Tahar. A l'époque du règne de Haroun-al-Rachid, vers l'an 800, le jeune garçon, vif comme l'éclair et dénué de tout scrupule, exerce la profession de voleur dans la ville de Bassorah. L'insaisissable est pourtant arrêté, et c'est au moment où il va être puni que son destin bascule : l'homme le plus respecté de la ville, le Maître Nassim el Abar, lui offre sa protection, l'accueille dans sa maison et le considère bientôt comme son fils. Mais le sort lui enverra, sous les traits d'un frère jaloux, l'abominable Mounir, et de Nadia, une jeune berbère à la beauté envoûtante, la plus terrible des épreuves.

A tous les fans du club Dorothée, ceux de la première heure comme ceux de la dernière ! Et à tous les fans des merveilleuses cités d'or !

Kamini - La bagarre !

félicitations, vous avez trouvé votre voix ! Que votre religion vous apporte la paix et la compassion.

"Il est nécessaire de développer cette idée que les parents ne sont pas des adversaires, mais des alliés." Oui mais concrètement, Pisa ne doit-il pas inventer une enquête qui permettrai de connaitre l'indice évaluant l'acceptation des parents à vouloir dialoguer avec les profs ? Le nombre de parents qui défendent sans arrêt leurs enfants plutôt que les profs, le nombre de parents qui ne viennent jamais aux réunions parents-élèves, etc...ce serait intéressant je trouve. Bon je dis ça, je n'ai aucune idée de la manière dont cela pourrait être mis en place.

Il est clair que c'est un danger potentiel que risque les parents à publier des photos de leurs progénitures nues sur le web. Ajoutons à cela le risque que les enfants une fois adulte se retournent contre eux, comme ce fut le cas pour cette autrichienne de 18 ans qui a porté plainte contre ses parents pour avoir publié sur facebook près de 500 photos d'elle petite. Evidemment ce n'est pas la majorité des enfants qui porteront plainte à l'âge adulte (quoique je n'en sache rien en vérité ). Mais c'est un risque à ne pas négliger toutefois. En tout cas en France, c'est l'article 226-1 du code pénal et l'article 9 du code civil qui régissent les limites à ne pas franchir quand il s'agit de publier des photos de ses enfants sur le net. De plus la gendarmerie met souvent en garde les parents à agir de la sorte surtout quand ils ne prennent aucune précautions pour sécuriser leurs comptes en termes de confidentialités. Ton post m'a également fait penser à tous ces challenges que se lancent les parents sur le net en exposant leurs nouveaux-nés dans des situations pas toujours glorifiantes et qui peuvent, selon certains pédopsychiatres, causés des troubles psychiques ou, encore une fois, faire l'objet de récupération par des réseaux pédophiles (comme en 2015 lorsque la gendarmerie mettaient déjà en garde les parents qui publiaient les photos de leurs enfants pour le "motherhood challenge") :

A la lecture de l'article, cela a été suggéré parmi plusieurs autres projets. Mais cela n'a pas été retenu : " Après plusieurs projets dont un refuge pour migrants, il a finalement été décidé d’en faire un commissariat et un centre de formation aux droits de l’homme pour les policiers". Visiblement, les autrichiens sont partagés sur le sort de cette bâtisse. Jusqu'en 1965, c'est une bibliothèque. Puis la filiale d'une banque. Entre 1970 et 1976; c'est un lycée technique. En 1989, la mairie installe juste devant la maison, le monument contre la guerre et le fascisme : « Pour la paix, la liberté et la démocratie. Jamais plus le fascisme. Des millions de morts le rappellent. » "Ce monument est une pierre en granite qui provient de la carrière du camp de concentration de Mauthausen en Autriche, où des détenus étaient contraints de travailler et où plusieurs d'entre eux moururent d'épuisement ou abattus par des gardes." (wikipedia). En 2000, il y a eu le projet de transformer la maison en "maison de la responsabilité". Ce projet n'a pas été retenu pour cette maison mais déplacé ailleurs. Cela n'est pas en lien direct avec l'ancienne demeure du dictateur, mais il existe 11 "Stolpersteine" dans le district de Braunau am Inn qui rappelle à la mémoire des gens les anciennes maisons des déportés. Tout ceci pour dire que la maison natale d'Hitler n'est pas le seul et unique lieu historique de la ville qui rappelle les atrocités de cette période. Comme Nuremberg, lieu encore aujourd'hui associé au dictateur, des vestiges de cette période sont encore présents et il n'est pas question pour la ville de les raser. Responsabilité historique oblige.

Je ne comprends pas cette phrase. Un certain public mal informé, franchement mal éduqué et dénué totalement d'empathie pourrait au pire considérer la révélation d'un inceste comme un divertissement...mais le Public pris dans son sens le plus large ! Ne faudrait-il pas ici nuancer un peu le propos ? ...ou alors j'ai mal compris...

Je pense personnellement que c'est une histoire que tu ne devrais pas partager avec ta mère car à te lire, il ne s'agirait que de suppositions...rien de plus.

Ah oui il y en a dans le petit monde de Tom Sawyer ! Le thème de Benny Hill évidemment !

On sait tous ici que l'abaya fait partie de la modest fashion ambiante qui fait grand bruit au proche et au moyen orient. Un vêtement culturel pour certaines, un vêtement cultuel pour d'autres et qui tentent de surfer sur le mouvement pour faire passer des certitudes religieuses. C'est un fait, on n'invente rien. Le conseil d'Etat a donc tranché dans le vif. L'abaya est interdite dans les écoles et les lycées. Et le temps aux élèves de forger leur liberté de conscience. Car quand on va à l'école, il faut d'abord se délester de ses propres certitudes pour entendre et comprendre celles des autres et ainsi apprendre à se forger ses propres opinions. A l'université, c'est pour l'instant l'article L811-1 qui régit les conditions dans lesquels les usagers de l'université doivent se comporter. J'ajouterai à cela qu'un étudiant est déjà un jeune adulte majeur ou presque, supposé posséder le savoir nécessaire pour se forger ses propres opinions. Je pense que l'école laïque sert à cela. Petit et ado, ma mère m'envoyait à l'église et au catéchisme. Communion et profession de foi. Quand on allait à l'école, on se délestait de ce savoir et de cette robe blanche pour entendre d'autres savoirs. Adulte, je n'ai pas continué dans cette certitude religieuse alors que d'autres l'ont fait. Un enfant n'est pas un adulte et n'a pas les mêmes droits que ce dernier, ne l'oublions pas. Par extension, certains établissements interdisent le port du jean troué par exemple, pour apprendre en amont à l'élève que la tenue vestimentaire est importante à l'école et qu'on n'y va pas comme on va à la plage. Personne ne s'offusque alors de cette restriction de liberté imposé de facto à l'élève ! Personne ne manifeste parce qu'il n'y a pas ce ressenti qu'ont certains et certaines à croire que l'interdiction est la résultante d'une haine farouche qu'à le code de l'éducation républicaine contre une communauté bien spécifique. Il n'y a pas de médias non plus car cela n'interesse personne. Il s'agit pourtant d'une restriction pure et simple de liberté faite aux ados que de leur interdire l'accès au lycée pour port de claquettes-chaussettes ! Le danger aurait été que l'abaya serve d'emblé à bailloner les profs dans le cas ou elle véhiculerait, par l'entremise de sa porteuse, un sens religieux (très subjectif que tout cela mais néanmoins bien présents dans les faits). Alors face à ce vêtement dont on ne saurait donner le sens, comment un prof peut-il aborder Nietzsche pour qui "Dieu est mort" ? Comment aborder Voltaire pour qui, le mahométisme est né "d'un peuple de brigands" qui "voulut attirer tout à lui, et se crut fait pour dominer." Comment aborder Marx pour qui "la religion est le soupir de la créature opprimée". On aurait parlé d'éducation à la carte, où d'éducation par "le prisme de"...bref, on évite les sujets qui fâchent à la simple vue d'une abaya dans la classe. L'affaire de ce père qui a "menacé de mort" un proviseur parce que sa fille s'est vue refuser l'accès au lycée appuie davantage le fait que ce vêtement n'est pas, pour certains et certaines, qu'un simple bout de tissu anodin. Il s'agit bien de ceux là que la république française veut combattre. Si demain le boubou africain (ou tout autre vêtement d'ailleurs) véhicule, entre autre et parmi tous les sens qu'on pourrait lui donner, un sens religieux, je pense qu'il recevra le même accueil que l'abaya dans une école française. Interdire l'abaya à l'école, c'est redonner à certaines jeunes élèves la possibilité de construire leur esprit critique et d'acquérir les règles de la vie en société. Car si elles arrivent déjà avec leurs propres certitudes à 13-16 ans sans avoir pleinement connaissance du monde qui les entourent, à quoi bon aller à l'école de la république ? Enfin, toute cette affaire ne doit en aucun cas faire oublier l'état lacunaire dans lequel se trouve l'éducation nationale

Je suis actuellement sur "the terminal list" et "One piece"

Ca fait x temps que j'entends parler de ce manga via mes enfants, mes neveux et mes nièces et j'avoue ne pas avoir été plus loin que le titre "One piece". J'ai regardé hier le premier épisode et j'ai su enfin ce que cela voulait dire après tant d'années ! J'ai bien aimé, c'est barré juste ce qu'il faut et le sourire du gamin au chapeau de paille est vraiment solaire.

clarification explication, puis rupture...ensuite on s'en remet comme on peut et le temps fait le reste.