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Tout ce qui a été posté par épixès
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Un ami, c'est quelqu'un qui vous connaît bien et qui vous aime quand même. - Hervé Lauwick-
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Pour autant que je le sache, ceci est un forum où chaque participant est libre de prendre part et je suis intervenu sur ce sujet pour établir un distinguo entre viol et inceste, ce que l'auteur de l'article n'a pas jugé bon de faire lui même. Peut être votre besoin de régenter les interventions ici-même fait-il écho à celui que vous éprouvez de contrôler la vie sexuelle de vos proches et révèle une pulsion de contraindre, soumettre et normaliser ceux qui ne pensent pas comme vous. Pour vous répondre, si d'aventure ma réponse vous intéresse vraiment, le cas échéant, je m'assurerais qu'elle n'est pas sous emprise, comme je le ferais si jamais elle se rapprochait d'une secte et si j'estimais que tel n'est pas le cas, en effet je la laisserais vivre sa vie comme elle l'entend. Et même si je la pensais sous influence je n'userais pas de contrainte, tout d'abord parce que je réprouve ces méthodes et ensuite parce que la psychologie sociale nous enseigne qu'un tel protocole est vain et risque au contraire de crisper la victime dans ses choix et de vous l'aliéner.
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Pour peu qu'un rapport sexuel mutuellement consenti entre adultes, en effet je n'y trouve rien à y redire. Que vous ne soyez pas d'accord avec mes propos ou que ceux-ci vous choque ne devrait pas vous autoriser à les déformer.
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A peu près au même que vous pensez savoir ou croire que les relations sexuelles plus classiques ne nuisent à personne.
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Plait-il ?
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Ce comportement est tout à fait anormal en cela qu'il se distingue de la norme, mais la norme n'est garante ni du bon gout, ni de la morale et encore moins du droit. Nous nous distinguons tous peu ou prou de la norme, que cela soit physiquement, intellectuellement ou encore par nos comportements et notre éthique personnelle. Pour autant que ce comportement est anormal, en quoi est-il répréhensible pour autant ? Je peux entendre que cela choque, mais précisément on ne tolère que ce qui nous est odieux, pas ce qu'on trouve parfaitement "normal". Pour peu qu'un rapport sexuel soit mutuellement consenti entre adultes, en effet je n'y trouve rien à y redire.
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Je ne crois pas que la question devrait se poser en terme de gout ou de dégout, d'approbation ou de rejet. La vie moderne impose de faire cohabiter des millions de gens non seulement dans un cadre juridique, mais ensembles, concrètement. Dès lors et étant donné la formidable diversité des opinions et préférences, que ce soit en politique, religion ou en éthique personnelle, nous ne devrions pas nous baser sur ces fondements trop subjectifs lorsqu'il s'agit de criminaliser (au sens juridique) un acte ou une conduite. Si l'inceste ne me pose aucun problème, il y a bien d'autres choses que je désapprouve ou qui me révolte mais je les tolère au nom du droit que je reconnais à chacun de vivre comme il l'entend tant que cela ne nuit à personne. Il s'est souvent trouvé par le passé (et encore à l'heure actuelle) des personnages ou institutions pour imposer ce qu'ils pensaient être le mieux pour tous et bien que je ne doute pas de la sincérité de leurs bonnes intentions, on en connait les résultats. Vous trouverez toujours des attitudes et des gens à désapprouver ou qui vous désapprouverons, nous sommes trop nombreux et trop différents pour qu'il en aille autrement. Si vous attendez qu'on respecte votre droit à vivre votre vie comme vous l'entendez vous devez accorder ce même droit aux autres, la démocratie est à ce prix.
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Outre que les chiffres avancés dans cet article sont difficilement vérifiables, il me semble important de rappeler que si l'inceste est un tabou universel en cela qu'il est moralement condamné dans la quasi totalité des cultures, il ne constitue pas (ou ne devrait pas constituer) un crime en soi, car rappelons le, l'inceste n'est que la pratique de relations sexuelles entre apparentés. Or ce qu'évoque cet article ce sont des cas d'incestes forcés, donc des viols mais en ne les nommant pas pour ce qu'ils sont l'auteur et les éventuels correcteurs se montrent négligents avec leur vocabulaire ou utilisent cette désinvolture sémantique à dessein afin que, par effet de contamination, l'opprobre associé au viol le soit également à l'inceste consenti. D'autre part certains des propos qui y sont tenus me semblent rien moins que scandaleux: "Malheureusement...quand le crime est dénoncé, les victimes doivent convaincre la justice" Malheureusement ? Lorsque l'on connait la difficulté à établir la véracité dans les affaires de viols et la proportion de fausses accusations en la matière, il me semble au contraire très heureux que la réalité d'un tel crime doive être établie sans que puisse persister de doute raisonnable. Il n'y a plus guère que dans les pays très religieux, lorsque loi et dogme se fondent en un flou moralo-prescriptif que l'état interfère dans les coucheries de chacun. Car étonnamment Dieu s'intéresse beaucoup à qui couche avec qui, à moins bien sûr qu'on ne lui prête cet attribut que parce qu'en fait il est nôtre (le succès de la presse à scandale m'apparait en l'occurrence un indice précieux pour déterminer en faveur de quelle hypothèse nous devrions pencher). L'inceste n'est pas un crime (il n'est à mes yeux pas même moralement condamnable) le viol en est un, évitons de faire l'amalgame.
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Si le fond du propos est pertinent, il me semble hors de doute que la sagacité de l'auteur sera perçue par ses lecteurs les plus pénétrants et que ceux-ci lui accorderont le crédit qu'il mérite. Cependant, il serait illusoire de penser que la forme n'affecte pas notre perception du fond. L'effet de halo est un biais cognitif montrant que par effet de contamination, une première caractéristique perçue comme positive à propos d'une personne ou d'un groupe aura tendance à rendre plus positives les autres caractéristiques de cette personne ou de ce groupe (et inversement pour une caractéristique négative). De nombreuses expériences attestent de la réalité de l'effet de halo: -des enseignants jugent plus intelligents ceux de leurs élèves ayant le plus d'attrait physique. -des jurés estiment moins dignes de confiance les suspects les plus laids. -le port de lunette affecte positivement l'intelligence que l'on vous prête. Je pense sans trop m'avancer qu'une orthographe déplorable affectera négativement notre perception de l'auteur, quel que soit par ailleurs notre jugement sur cette disposition inconsciente de l'esprit et le meilleur moyen d'en atténuer les effets est de ne pas être dans le déni, accepter et identifier cette propension en nous pour la reconnaitre et la combattre lorsqu'elle se manifeste. Nous ne pouvons pas changer notre nature, pas plus que nous ne pouvons nous départir des biais cognitifs qui altèrent notre perception des choses mais faire preuve de vigilance permet de s'y soustraire occasionnellement.
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Je confesse bien volontiers ma méconnaissance du mahabharata et sans doute est-ce cela qui m'empêche de voir le rapport avec le sujet de ce post, c'est à dire la résistance aux sciences. Quoiqu'il en soit je ne vois guère ce qui motive cette animosité à mon égard ainsi que ce ton provocateur. Ne pas être d'accord ne devrait pas avoir pour conséquence que l'on se sente autorisé à déroger à la courtoisie due à son interlocuteur, d'autant que cela nuit plus à votre image qu'a la mienne. Que vous ayez peu d'estime pour moi, soit, mais de grâce ayez en un peu pour vous même.
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En vérité je l'ignore, je n'ai pas le plaisir de connaître monsieur Klein intimement mais ne l'ayant jamais vu faire preuve de vulgarité lors d'une intervention publique, cette affirmation m'étonne. Je ne prétend nullement avoir vu toutes ses apparitions mais il m'a toujours fait l'impression d'un homme docte et distingué, ce qui est aux antipodes de la vulgarité. Cela pourrait certes être une façade mais il faudrait au moins un contrexemple.
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Simon de Montfort et Arnaud Amaury ont réglé le sort des parfaits, jugés hérétiques par l'église catholique. Quoiqu'il en soit, il me semble que c'est manquer singulièrement d'imagination de penser que le monde correspond à l'enfer. Sil est entendu que c'est un cloaque immonde où règne la corruption, il me semble parfaitement évident qu'il pourrait être largement pire s'il était guidé par le mal, tout comme il serait bien meilleur s'il l'était par le bien. J'avoue avoir toutes les peines du monde à voir une intention dans l'univers qui nous entoure (même en essayant sincèrement): tout se passe comme si nous n'avions strictement aucune espèce d'importance, idem pour nos désirs les plus chers. L'injuste triomphe souvent comme est parfois accablé le vertueux, mais cela n'a rien non plus de systématique. A mon sens tout se passe comme si il n'y avait aucune intentionnalité derrière la réalité ou alors que notre "créateur" est parfaitement indifférent à notre sort et entre les deux hypothèses, le principe du rasoir d'Ockham nous invite à ne pas choisir la plus couteuse.
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Je viens de voir Alad'2. Cet étron filmique est un hymne à la médiocrité: la vacuité du scénario le dispute à la bouffonnerie caricaturale du jeu d'acteur, à la puérilité et au grotesque de l'humour. Cela fait 15 ans que je ne regarde plus la télévision et tous les acteurs m'étaient inconnus (sauf Jamel Debouze dont j'ai vu les déplorables débuts) et tous se rejoignent en une douloureuse absence de talent.
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Faux dilemme, l'orbite d'un objet ne dépend que de la masse du corps autour duquel il gravite. La théière aurait en l'occurrence la même trajectoire que le satellite. Espèce de vilain petit manipulateur !
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D'exister en tant que concept ne correspondant à rien dans le réel, oui. Le mal existe en tant qu'idée abstraite, comme grille de lecture superposée à des faits qui n'expriment rien en dehors d'eux-mêmes et que nous interprétons comme bien ou mal.
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Epicure a dit: "Ou Dieu veut empêcher le mal et ne le peut, Ou il le peut et ne le veut, Ou il ne le peut ni ne le veut, Ou il le veut et le peut. S'il le veut et ne le peut, il est impuissant; S'il le peut et ne le veut, il est pervers; S'il ne le peut ni ne le veut, il est impuissant et pervers; S'il le veut et le peut, que ne le fait-il ?" Depuis 2000 ans différentes théodicées ont été avancées afin de justifier l'existence du mal, ou du moins sa coexistence avec un dieu bon, omniscient et omnipotent mais force est de constater que toutes ont échoué. Celles qui prétendent y avoir réussi ont recours à des contorsions logiques et axiologiques qui défient le bon sens et perdent le lecteur dans une casuistique subtile et byzantine. Il me semble personnellement bien plus simple de ne supposer ni l'existence de dieu, ni celle du mal.
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Vos petits-enfants verront les Blancs devenir minoritaires en France
épixès a répondu à un(e) sujet de Hyperboréen dans Société
Langues, cultures, traditions ne sont que de fugaces manifestations en constante évolution de l'espèce humaine. Le concept même d'espèce est flou et changeant, c'est une simple construction mentale, une catégorisation d'une partie de la réalité par l'esprit pour tenter de la saisir et de la définir mais qui ne correspond à rien de vraiment existant. Le changement est la seule permanence du réel. Toute évolution est adaptative aux contraintes environnementales faites de pressions contraires et donc une force de stabilisation telle que vous la défendez, même si elle est vouée à l'échec, n'est qu'un des très nombreux facteurs qui contribuent à former le constant remodelage de la réalité. S'il est hors de doute que certains personnages fameux ont une influence majeure sur une culture particulière, nul ne saurait revendiquer le contrôle sur sa constitution ou son évolution. Quels que soit l'amour, l'admiration ou la vénération que nous pouvons éprouver pour un être, un art ou une culture, tout changera et changera encore avant d'être oublié puis de disparaître pour retourner à la soupe quantique de laquelle tout est issu. -
Yann Moix a bien raison sur un point: on est responsable ni de ses goûts ni de ses dégoûts. La bien-pensance est jalouse de ses acquis et les loups sont prompts à hurler en meute dès lors qu'on défie le troupeau en affichant sa différence. Il est d'ailleurs assez ironique de constater que ses zélotes les plus ardents s'avèrent souvent les plus tourmentés par la tentation ou encore même ceux qui y cèdent le plus, comme nous le prouvent régulièrement certains scandales qui n'auraient pas lieu d'être si la tolérance et le respect étaient mieux partagés, ou tout simplement une absence de curiosité malsaine pour l'intimité des autres. Il ne nie pas la possibilité qu'une femme puisse être belle à 50 ans, il revendique son droit à préférer les jeunes et dans une société où les actrices de plus de 35 ans peinent à trouver des premiers rôles, où une mannequin à passé sa date de péremption dès lors qu'elle n'a plus 25 ans et où le culte du corps jeune, beau et ferme s'affiche sans vergogne sur tous les panneaux publicitaires et toutes les chaines de télévision, je trouve particulièrement hypocrite et incongru de s'en prendre à un individu particulier qui ne dissimule pas ses penchants derrière une bienséance de façade.
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C'est précisément parce que les scientifiques sont crédules, influencés, orgueilleux, partiaux, soumis aux mêmes biais cognitifs que tout un chacun, qu'ils sont humains en somme, que la science à été établie: une méthode rigoureuse qui traque l'erreur et tente d'objectiver la connaissance en se fiant plus aux faits, aux expériences et à l'observation qu'aux témoignages, à l'autorité ou aux dogmes. Voir dans les scientifiques autre chose que de simples hommes ordinaires, voilà encore une tragique manifestation de l'essentialisme inhérent de l'esprit humain qui distord la réalité qui est bien moins discontinue que les catégories à travers lesquelles nous nous la représentons. Les scientifiques ne sont ni pires ni meilleurs que les autres. Qu'on ne sache pas cette réalité me semble parfaitement naturel.
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Eglise, le silence accablant sur la pédophilie...
épixès a répondu à un(e) sujet de Anatole1949 dans Religion et Culte
Comme le diraient les enfants de chœur s'ils n'avaient la bouche pleine: "On en a plein le cul des curés !" -
Philosophie versus Sciences - Réalité - Stephen Hawking
épixès a répondu à un(e) sujet de zenalpha dans Philosophie
Cet article ainsi que le documentaire avec Penrose traite de l'hypothèse de l'esprit quantique (ou encore conscience quantique), ce qui se distingue nettement de la théorie de l'influence de la conscience dont parle l'autre documentaire "l'illusion de la conscience" qui soutient une théorie qui va à l'encontre des résultats expérimentaux. Concernant l'esprit quantique, c'est une hypothèse qui n'en est qu'à ses débuts et si elle n'a guère ma faveur, je n'ai rien à y redire.