Auger

Prosélytisme ?

https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/pacte_de_confiance_-_cph_-_specificite_psychaitire_publique.pdf "Le savoir psychiatrique n'est pas une science médicale au sens littéral, mais symbolique : il constitue un modèle opératoire, une théorie de la pratique permettant de mieux comprendre les manifestations de souffrance psychologique individuelle, et d'y répondre avec humanité."

Hum...

On est dans une société hyper informée, hyper médiatisée... Ça fait des années qu'on rabâche qu'il faut éviter certains pays. Des gens, bravaches, y vont quand même. Et puis la politique de l'excuse permanente...

Ma vie n'est pas le sujet, la tienne non plus. Ton ironie m'apparaît mal à propos.

1) pas à ce point 2) les conneries je les assumais

J'espère que le mome va bien et qu'il s'en sortira. Mais effectivement les égoïstes et les " conquérants de l'inutile" pour lesquels il faut déployer du fric et de l'énergie pour les récupérer ensuite quand ils sont dans la mouise...

Quoi ma mère ?

Bon bah : goy je suis, goy je resterai.

La conversion (qui est un thème intéressant) n'est pas vraiment le sujet, mais se convertir à l'islam est paraît-il très facile alors que la conversion au judaïsme semble beaucoup plus difficile (voire mal acceptée, voire impossible). Je constate juste, je n'en tire aucune conclusion.

La plupart des musulmans (si j'ai bonne mémoire, en tout cas le premier pays musulman est non-arabe) ne sont pas arabes...

Quel méli-mélo !

Cool, je suis circoncis : je vais pouvoir choisir si je suis juif ou musulman.

Donc on peut être juif par ascendance sans être croyant (un juif pas juif ?) Donc, on peut être juif (croyant) ET arabe. Donc, un antisémite est contre les juifs ET les arabes. Donc enfin, tout ça est à mes yeux une vaste connerie qui génère d'énormes problèmes de haine, de morts, de souffrances. Mais de toutes ces conneries, ces peuples n'en détiennent pas l'exclusivité.

Arabe est une ethnie, juif une religion, non ? Un arabe peut etre juif, non ? Un sémite, c'est quoi ? Je ne suis pas un spécialiste en la matière, mais ces distinguo contribuent à maintenir la haine entre les gens.

C'est pas moi !!

Grave peut-être chez celui (ou celle) qui l'éprouve et dans la mesure où cette pensée/désir peut devenir obsédante. C'est là où une forme de "courage" énorme et de recul sur soi sont nécessaires pour initier une démarche de soins plutôt que de passer à l'acte.

J'ai tenté, je dis bien tenté, d'avancer le point de vue que la forme est tellement ardue et confuse que cela tue littéralement le fond. Et je maintiens que c'est probablement voulu : la vraie intelligence est de rendre, par la clarté de ce que l'on énonce, les autres intelligents ; surtout pas de les faire passer pour des crétins par le caractère nébuleux de son propos. J'en reste là, merci pour tout.

Il en faut peu pour être heureux... Il n'y a pas de fumée sans feu... Tout ce qui ne tue pas rend plus fort... .../... Les sentences débiles et toxiques ne manquent pas en ce bas monde.

Le sujet (et la manière de l'exposer) me fait penser à Guy Debord et sa "Société du Spectacle" : très intéressant, novateur et enrichissant sur l'évolution de la société... Mais énoncé de façon tellement hermétique, pédante, "amphigourique" oserais-je dire..., que ça en perd tout pouvoir de vulgarisation. Concernant Guy Debord, je me demande si ce n'était pas voulu : une façon (consciente ou pas) de mépriser la "plèbe", de se placer au-dessus.

L'homme vieillissant avide de chair fraiche (voir les contes avec les ogres, par exemple), c'est malheureusement vieux comme le monde, une façon j'imagine de valider sa propre virilité et "d'absorber" la jeunesse de l'autre. C'est effectivement tout à fait choquant, mais j'ai bien peur que ça s'appuie sur des processus inconscients (et sociétaux) puissants (je n'excuse rien, j'essaie de comprendre).

Evaluer une pulsion ? ça me semble (la plupart du temps) totalement impossible (voir les pulsions alimentaires, de drogues, d'achat, de sport, d'alcool, de sexe évidemment... et le "contrôle" qu'elles entraînent...) Je ne sais pas si c'est le terme le mieux choisi...

Je me demande si ce genre de problématique n'a pas existé - de tous temps - à chaque génération, le fameux "fossé des générations"... En même temps, j'ai l'impression que le changement actuel est beaucoup plus profond, que les "rêves" changent, que ce ne sont plus des rêves, mais des exigences immédiates, que l'on ne tolère plus la frustration. Bref, propos de vieux con qui ne comprend pas la génération qui va remplacer la sienne avant d'être elle-même remplacée un jour.

Critique intéressante et argumentée. Je me permettrais juste de "dire" que personne n'est une "merde", mais juste un être humain et que la qualité réelle ou supposée de ce bouquin justifie encore moins, de mon point de vue, un tel jugement.

Oui, je comprends tout à fait ça.