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Tout ce qui a été posté par L'ornithorynque
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Je n'ai pas limité ma réflexion à la France ... J'ai suffisamment voyagé à travers le monde, essentiellement dans des pays en voie de développement, pour savoir que la problématique est générale.
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Après nous le déluge ? Une des solutions pérennes ne serait-elle pas la limitation de surpopulation ?
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Bien sûr, et je n'en saurais rien... Je suis né pendant une guerre dont mon père n'est pas revenu. Etais-je désiré ? je n'en saurai jamais rien, c'était une époque où la contraception était plus qu'aléatoire. Ce n'est que lorsque l'avenir s'est montré plus rassurant que la procréation est repartie, le fameux Baby Boom. Toutes les projections et analyses vont dans le sens d'une très importante dégradation, dans quasiment tous les domaines.
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Je suis attristé lorsque je vois des femmes enceintes ou poussant un landeau avec de jeunes enfants. Je ne comprends pas, alors que plus personne ne peut ignorer que l'avenir qui s'annonce est très sombre, pour des raisons multiples et cumulées, comment des parents peuvent ils envisager de mettre des enfants au monde, sachant ce qu'ils vont subir ?
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Les langues (autorisées) se délient, et les médias osent les publier ... FIGAROVOX/ENTRETIEN - Emmanuel Macron a annoncé que le passe sanitaire des plus de 65 ans sera conditionné à une troisième dose de vaccin. Gérald Kierzek, médecin urgentiste et chroniqueur santé, fait part de sa perplexité. Covid-19: «Je suis très gêné qu'un rappel vaccinal s'impose comme une obligation, tant sur la forme que sur le fond» Extraits : .../le Président, probablement sous la pression du courant alarmiste et hygiéniste du Conseil Scientifique/... .../L'immunité naturelle est également une immunité forte, plus forte que celle octroyée par le vaccin comme le montrent beaucoup d'études, notamment parce qu'elle permet de développer une immunité muqueuse (anticorps IgA) au niveau ORL seule à même de stopper la circulation virale. Le vaccin n'empêche pas les contaminations car il ne confère pas cette immunité muqueuse ; il protège des formes sévères./... .../On pourrait même dire que le rebond de contaminations permet d'envisager de stopper la circulation virale et de mettre fin à l'épidémie ! Mais pour cela, il faut sortir du « mode panique » devant les courbes de tests positifs !/... .../le port du masque chez les enfants ou encore en extérieur n'a pas de sens. Il faut des mesures barrières tenables sur le long terme pour vivre avec ce virus et limiter les autres virus. Nous ne pouvons pas socialement, psychologiquement et même immunitairement vivre sous cloche. Les conséquences psychologiques du port du masque chez les enfants sont réelles et terribles, y compris à long terme, alors que son efficacité comme geste barrière plus qu'hypothétique. Trop d'hygiène tue l'hygiène sur le plan immunitaire. On le voit actuellement avec la recrudescence de la bronchiolite chez les enfants nés pendant les mesures de confinement. Leur système immunitaire n'a pas été confronté aux virus classiques liés à la vie en société (crèches, etc.) et est fragilisé./... .../Il est impératif de ne pas sombrer dans une folie hygiéniste dangereuse politiquement et médicalement. Là encore, il ne faut pas céder à la panique des chiffres./... .../La crise actuelle de l'hôpital, et j'allais dire même celle de 2020 soi-disant liée au COVID, est structurelle et liée au manque de lits et maintenant de personnels. Les patients COVID n'ont représenté que 2% de l'ensemble des patients hospitalisés au cours de l'année 2020 selon le rapport de l'Agence technique de l'information sur l'hospitalisation qui collecte et analyse toutes les données hospitalières ! Bien loin du fantasme collectif d'un hôpital rempli de patients COVID avec des personnes ne pouvant être prises en charge et « triées » pour entrer à l'hôpital/... https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/covid-19-je-suis-très-gêné-qu-un-rappel-vaccinal-s-impose-comme-une-obligation-tant-sur-la-forme-que-sur-le-fond/ar-AAQARmz?ocid=msedgntp
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La maturité c'est l'art de vivre en paix avec ce qu'il nous est impossible de changer
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Pour remonter aux sources, non pas de la pandémie actuelle, mais de l'absurdité de sa gestion : La gestion de l'épidémie : erreurs, incompétences, fautes, mensonges from Xerfi Canal on Vimeo
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Merci, @Pierre-de-Jade, de nous faire sourire intelligemment tous les lundis Vous n'avez jamais pensé à publier vos aphorismes ? Dans la droite ligne des Euphorisme de Grégoire ...
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J'ai une curieuse impression au vu de ce cette photo : l'ensemble de l'image me ramène à la figure (simplifiée) du profil de @Beebee, d'autant que la pierre en bas à droite montre clairement un visage
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Les femmes ont appris très rapidement à se conduire en homme, il leur reste à apprendre à se conduire en gentleman
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J'avais déjà posté ceci le 12/11/2020. Vu mon post précédent je le remet : Il y a quelques années j'avais été passionné par un thriller écrit par un collectif nommé M.I.A. le titre : Rémoras, publié en 2012 Il m'est revenu fortement en mémoire ces temps-ci où l'on commence à évoquer une obligation de vaccination.
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Vaccination anti-Covid : S’est-on assez penché sur l’impact sur les règles ? ENQUETE Beaucoup de femmes ont remarqué que leurs règles étaient plus courtes, plus abondantes, plus douloureuses juste après avoir été vaccinées contre le Covid-19. Mais pour l’heure, aucune étude ne vient corroborer un lien de causalité entre vaccin et troubles menstruels https://www.20minutes.fr/sante/3159779-20211101-vaccination-anti-covid-assez-penche-impact-regles
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Le Figaro «Nous, élus locaux, demandons l'abandon du passe sanitaire» www.lefigaro.fr Il y a 14 heures FIGAROVOX/TRIBUNE - Ce mardi, l'Assemblée nationale se prononce sur la potentielle prolongation du passe sanitaire. Une centaine d'élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon. «Nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors».© GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP «Nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors». Plus que personne, nous connaissons les effets terribles et dévastateurs de la Covid-19. C'est nous, accompagnés des pompes funèbres, qui avons scellé par des cachets de cire rouge les cercueils des premières victimes de la pandémie, inhumées dans nos cimetières municipaux. C'est nous, une fois encore, qui avons soutenu les familles et les proches des malades décédés. C'est avec nos conseils municipaux, nos agents communaux, nos associations, dans nos infrastructures que nous avons organisé massivement les premiers centres de dépistage et de vaccination, les ateliers de confection de masques. Certains d'entre nous ont même approvisionné les professionnels de santé. Depuis le début de la crise, nous sommes sur le front, sans angélisme ni utopie. Nous connaissons le prix humain et économique de cette pandémie. Nous pouvons donc témoigner ici, que si notre pays a pu traverser cette épreuve sans précédent, ce n'est que par l'unité et la concorde entre la population et ses élus. Pourtant, chaque jour, dans nos communes de Haute-Savoie, qu'elles soient grandes ou petites, rurales ou urbaines, nous constatons peu à peu la division s'immiscer. Nous voyons les couples que nous avons unis se déchirer. Nous assistons à l'éclatement d'associations centenaires. Aux refus gênés d'accueillir des clients par des restaurateurs déjà au bord de la rupture financière. Plus globalement, nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors. Les pro et anti, que ce soit sur le sujet du passe ou du vaccin, se retrouvent subitement en opposition, là où ils vivaient paisiblement en harmonie. Les contrôles permanents sont autant de rappels, de coups de couteau, dans cette plaie de discorde. Ils sont effectués par des hommes et femmes qui n'en ont pas la vocation et qui subissent eux-mêmes de devoir se substituer à ce qui, jadis, était le pré carré des compétences régaliennes. Hier, nos policiers municipaux ne pouvaient pas contrôler une identité dans la rue, aujourd'hui vigiles ou bénévoles d'associations sont contraints de mettre en œuvre des barrages filtrants à l'entrée d'un gymnase ou d'un centre commercial. À cette implosion sociétale sans précédent, nous voyons nos services publics, déjà fragiles, subir de plein fouet les suspensions d'agents. Les lits déjà trop peu nombreux de nos EHPAD se ferment les uns après les autres, à la suite de suspensions de soignants. Les mêmes, qu'hier encore, nous applaudissions tous le soir venu. Laissant ainsi, autant de familles dans l'embarras et les plus fragiles d'entre nous, nos seniors, dans des situations inacceptables. Nous constatons, aussi, le retour contraint de personnes en situation de handicap, qui ne peuvent rester dans leurs centres spécialisés, faute de personnel. Les pharmacies de nos villages se retrouvent contraintes à réduire leurs amplitudes horaires faute de personnel vacciné. Nos centres de secours, déjà en tension perpétuelle, doivent se réorganiser et faire face au refus de pompiers déjà volontaires à se faire vacciner. Plus largement, le passe, mis en œuvre dans un manque de concertation certain, est générateur d'une incompréhension grandissante. Ce dispositif, à géométrie variable, crée un imbroglio des plus total. Une école de musique, si elle est portée par une collectivité en est exemptée, mais si dans la commune voisine elle est sous forme associative, le passe s'applique. Un groupe de musiciens professionnels n'a pas besoin du précieux sésame pour répéter, quand il est dans le même temps imposé aux amateurs. Les enfants des collèges jouent ensemble au basket sans passe, mais le soir venu, dans le même gymnase, avec les mêmes enfants et cette fois dans le cadre associatif, le passe s'applique. Il est obligatoire dans les trains, mais pas les métros, dans les musées, mais pas les écoles, les exemples sont nombreux... Générant ainsi autant de frustrations doublées d'un sentiment profond d'injustice, dont nous sommes malgré nous les réceptacles. Le passe sanitaire est à l'origine de cette fracture sans précédent de notre société. Nous en sommes les témoins privilégiés, quand le cadre légal ne nous oblige pas à en être les acteurs malgré nous. Cette crise de la Covid-19 est doublée d'une crise de gouvernance. La gestion de la pandémie, faute d'une vision claire et pérenne, fait porter et appliquer aux acteurs de terrain la mise en œuvre d'une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. Sans avoir à émettre ici un jugement sur cette stratégie qui nous dépasse, nous constatons chaque jour ses limites. La mise en place généralisée du passe est une démonstration parfaite de la citation de Julio Cortazar, «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse». En l'occurrence, les maires, les présidents d'associations, les petits patrons. C'est au dernier échelon, le plus fragile de toute la construction du système républicain et sociétal, qu'il incombe, une fois encore, la plus basse des besognes. La parole politique, pour nous élus des territoires de France, chaque jour au contact de notre population, a encore un sens et une valeur impérieuse. C'est le fondement de ce qui nous lie à nos concitoyens, c'est grâce à cette sincérité que nous sommes les élus préférés des Français. En avril, Emmanuel Macron déclarait en parlant du passe : «Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis». Aujourd'hui, alors que l'immunité vaccinale collective tant vantée (deux tiers de la population) est atteinte, il est temps de mettre en cohérence le dispositif et les propos passés du Président de la République. C'est à ce prix qu'il sera possible de redonner confiance aux Français, de reconnaître les efforts monumentaux concédés et qui, aujourd'hui, portent leurs fruits. Après la pandémie viendra le temps de la reconstruction, peut-être comme l'annoncent de nombreux observateurs, le temps de la récession, aussi. Ce n'est que dans l'unité, le dialogue et la sérénité, que peuvent l'appréhender les Français. Il est temps de faire confiance à notre population, de lui reconnaître sa liberté et sa responsabilité. Il est temps d'extraire du quotidien déjà lourd de nos concitoyens, la discorde créée par ce dispositif, d'ôter des frêles épaules de ceux qui n'ont rien demandé, un contrôle qu'ils n'ont pas à assumer à leur niveau. Il est pour nous, élus locaux, le temps d'abandonner le contrôle du passe sanitaire de la vie quotidienne des Français. Suit la liste des maires signataires Signataires ...
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Tout homme qui à quarante ans n'est pas misanthrope n'a jamais aimé les hommes Chamfort
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Nous ne sommes pas égaux face à la maladie, voilà une piste très intéressante qui permettrait de sortir de l'absurdité de la pensée unique Covid-19 : vers un test diagnostique simplifié pour mieux identifier les sujets contagieux et ceux à risque de développer une forme sévère | APHP Des scientifiques français publient les résultats d’une étude montrant que la mesure de la réponse antivirale interféron de type I (IFN-I) au niveau nasal pourrait être utilisée pour aider à l'identification des patients à risque de transmission du virus de la Covid-19. Cette mesure de l’IFN-I, réalisée grâce à une technique innovante à partir du même écouvillon que celui utilisé pour le dépistage du SARS-CoV2, permettrait également d’identifier les patients à risque de développer une forme grave de la Covid-19. L’interféron de type I (IFN-I) est une protéine de la famille des cytokines, habituellement produite de manière rapide par le système immunitaire en réponse à une infection virale et qui a pour principal effet d'inhiber la réplication du virus dans les cellules infectées. Pendant combien de temps le virus de la Covid-19 reste-t-il actif dans notre organisme ? Pourquoi certains patients présentent-ils une forme sévère ? Est-il possible d’anticiper la détection de ces potentielles formes graves ? En mai 2020, plusieurs équipes françaises et internationales ont mis en évidence l’absence de détection dans le sang d’IFN-I chez environ 20% des patients hospitalisés en réanimation1 pour une forme grave de la Covid-19*2 . Ce défaut, pouvait notamment être expliqué par la présence d’autoanticorps, qui allaient empêcher son action antivirale.
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En fait la question que je me posais était la pertinence du pass pour les non-vaccinés : un test PCR, voire un autotest négatif y donne droit, or il peut être infecté quelque jours plus tard, avec un pass toujours valide. (Bon, les vacciné aussi peuvent être porteur) Alors, à quoi sert ce pass ? juste à tracer, pister ?
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Je me suis posé une question à propos de ce fichu pass-sanitaire : quelle est sa durée de validité ? Y a t-il une date de péremption ? J'ai beau fouiller sur le net, je n'ai rien trouvé à ce sujet
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Incroyable : même le Figaro commence à s'émouvoir ! Passe sanitaire: «Il faut s'inquiéter du monde qui vient» (msn.com)