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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
DKKRR a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
L'altérité n'est pas provocante. Ainsi, le fait d'avoir d'autres schèmes de perception ne constitue pas une faute intentionnelle. Ma Mère a sacrifié sa carrière professionnelle pour s'occuper de mes Frères et moi et en cela je lui suis reconnaissant. Tous les sacrifices auxquels elle a consenti ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Elle ne m'a pas abandonné pour confier mon éducation à d'autres et a passé du temps avec moi pour m'inculquer des valeurs essentielles qui me serviront tout au long de mon existence. Son travail est infiniment plus honorable que celui de ces Mères qui font des enfants et qui refusent par la suite de les assumer en préférant privilégier leur carrière personnelle. L'on constate aisément que ce tournant pris par nos sociétés est dévastateur puisqu'il s'agit là d'un phénomène moderne et que cela engendre de nombreux troubles chez les jeunes (arriération mentale, montée de l'obésité, difficultés scolaires, expansion de la délinquance etc...) C'est ainsi votre conception du débat ? Pour quelles raisons vous inscrivez-vous sur un forum où vous êtes censé partager vos points de vue avec les autres si à la moindre expression d'une différence un peu trop prononcée vous tombez dans l'insulte. Serait-ce plus enrichissant que de ne parler qu'avec des gens pensant comme nous en se contentant de dire "oui tu as raison" "oui je suis d'accord" ? -
Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
DKKRR a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
Le nombre de Françaises ayant eu à porter les armes pour défendre le sol de la patrie est absolument risible comparativement au nombre de Français (l'on se doit de ne même pas l'évoquer tellement la comparaison est insensée). Il y a désormais des femmes dans l'armée (dans un nombre bien moins élevé que les hommes) mais très peu de ces femmes servent sur le terrain (et aucune pour défendre la patrie puisqu'aucune force étrangère ne menace l'intégrité territoriale de la France). A ce propos je considère que cela n'est pas leur rôle, elles ne disposent pas des mêmes capacités que les hommes et ne seront jamais aussi aptes à servir dans le domaine militaire (on le constate aisément avec les femmes Kurdes que l'on nous a vendues comme des héroines mais qui se font, en réalité, décimer comme jamais par l'Etat Islamique et par les forces Turques). Quant au moyen-âge, cela ne constitue pas un argument valide. Le progrès n'est pas consubstantiel à la modernité. Ainsi, rien, si ce n'est la subjectivité inhérente à notre personne, nous permet d'affirmer que le moyen-âge était pire et que les gens y étaient moins heureux que de nos jours. Il y avait certes beaucoup de malheurs qui ont été partiellement corrigés depuis mais il y en a de nombreux autres qui ont cours actuellement et qui n'existaient pas auparavant (nouvelles maladies, nouvelles détresses psychologiques, pollution etc....). Quant au Père au foyer il s'agit d'une aberration à mon sens, d'un inversement de l'ordre des choses qui participe finalement à l'épopée moderne. Quant aux femmes qui peuvent se passer des hommes, cela est totalement faux ainsi que l'inverse puisqu'il aura nécessairement fallu que l'autre sexe intervienne, à un moment ou un autre, dans notre existence (que cela soit pour nous concevoir et pour nous aider à nous développer). Donc non les rôles ne sont pas interchangeables mais complémentaires. Les hommes ont besoin des femmes comme les femmes ont besoin des hommes. Ils sont égaux en dignité mais ont des droits et des devoirs qui diffèrent (cela fait partie de la nature des choses comme une simple lecture de l'histoire de l'humanité permet de le constater). -
Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
DKKRR a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
Ce n'est qu'une illusion à mon sens. Si l'on considère les femmes comme une catégorie, alors l'on se doit de faire de même de tout groupement d'humains se distinguant par un ou plusieurs éléments caractéristiques. A ce titre, les handicapés constituent une catégorie, les Musulmans aussi, les blancs, les hommes, les pauvres, les gauchers etc... Une fois cela fait, que perçoit-on ? En réalité que toutes les catégories sont plus ou moins favorisées selon les domaines dans lesquels elles auront à évoluer. Ainsi, les femmes seront défavorisées dans certains de ces domaines mais les hommes le seront également dans certains autres (il est plus dur d'être SDF en tant qu'homme, il est plus dur d'obtenir la garde de ses enfants en cas de séparation : c'est un euphémisme, il est plus dur d'être recruté dans nombre d'emplois considérés comme constituant l'apanage des femmes, la pression sociale, et notamment des parents, est plus forte pour les hommes et ce dès le plus jeune âge quant à l'injonction à la réussite professionnelle etc...). En d'autres termes, la femme n'est pas une catégorie plus persécutée que l'homme, pas plus qu'elle ne l'est comparativement à la catégorie des handicapés ou des Musulmans ou des pauvres etc... Il n'y a donc pas lieu, à mon sens, qu'elle se pose incessamment dans le rôle de victime sauf à confirmer la pertinence de la minoration dont elle pense faire l'objet à travers les comportements qu'elle fustige (son infériorité en fait). Quant à votre dernière phrase, j'estime personnellement qu'une Mère qui ne travaille pas pour élever ses enfants au lieu de confier leur éducation à d'autres, s'avère être une meilleure Mère, une Mère qui a réellement compris son rôle, qu'une Mère qui s'épargne cette éducation pour privilégier ses ambitions professionnelles. -
Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
DKKRR a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
Ce qui me parait logique dans un certain sens. Lorsque l'on donne sa vie pour la défense de la patrie (et donc des femmes), l'on s'attend un minimum à obtenir quelques avantages au retour (pour ceux qui ont un retour) en ayant notamment une priorité sur les emplois (si le travail salarié constitue un avantage). De toutes façons c'est un débat interminable. Tout est question de paradigme et le mien me conduit à penser que les hommes et les femmes sont, par essence, différents et que ces différences induisent des rôles, des droits et des devoirs différents. En l'occurrence il est du devoir de l'homme de travailler pour ramener le pain au foyer et du devoir de la femme de l'entretenir à travers, notamment, l'éducation des enfants (tâche totalement délaissée de nos jours et dont l'on se rend aisément compte des conséquences néfastes pour tous). C'est peut-être rétrograde pour bon nombre d'entre-nous de nos jours mais c'est ainsi. Seule la subjectivité inhérente à nos personnes peut nous conduire à hiérarchiser les schèmes de perception que l'on est susceptible de développer en ce qui concerne les rapports homme-femme (soit rien de concret). -
Concrètement si l'ambition des GJ est de changer de modèle de société, cette liste n'a absolument aucune utilité pour réaliser ce pieux projet. Ce n'est pas en tant que député Européenne que cette GJ pèsera le moins du monde dans le débat national. Je pense qu'il s'agit là plutôt de la cristallisation de l'ambition de certains GJs qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu et qui tentent d'en profiter pour obtenir du pouvoir et de l'argent afin d'améliorer leur quotidien personnel mais il est clair que lorsque l'on fustige un système que l'on veut voir profondément rénové, la solution n'est pas de s'y inscrire soi-même. Il était inévitable que ce genre de choses allaient survenir. Dans tout mouvement populaire, l'on retrouve toujours quelques "profiteurs" qui tentent de s'élever au-dessus de la masse et ceci au nom de la masse.
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Seulement dans ce cas là c'est purement idéologique et donc cela constitue une certaine forme de racisme, plus précisément d'Islamophobie car si pour le Musulman le halal revêt un sens précis et constitue une obligation, pour celui qui n'est pas Musulman, en théorie cette viande ne comporte aucune différence avec une autre viande. Vouloir s'en éloigner n'est donc que l'aboutissement d'un raisonnement que l'on pourrait, à raison, qualifier de raciste dans le sens où vous n'en voulez pas car vous ne désirez pas, symboliquement, toucher aux éléments caractéristiques d'une religion/communauté que vous abhorrez assurément.
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Effectivement, je reconnais que c'est totalement ignoble !!
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De la même façon rien ne vous oblige à subir l'humour de votre collègue, vous pouvez très bien vous boucher les oreilles ou vous éloigner de lui lorsqu'il fait ses blagues à votre encontre. Cependant vous ne le feriez pas et ce serait légitime car il lui incombe plutôt de modérer ses propos dans un soucis de respect de votre personne. Une critique peut être constructive lorsqu'elle est bien formulée et ce nonobstant le fait que ceux qu'elle vise ne voudraient pas l'entendre. Une critique peut donc être légitime mais un humour qui se contente de blesser, de se faire plaisir (en faisant rire) en faisant mal aux gens n'a rien de constructif et d'intelligent. Que ch s'en prenne à diverses communautés n'excuse en rien ce fait là (et donc qu'il puisse se permettre de fouler gratuitement du pied le domaine du sacré pour certains). J'utilise le terme "gratuitement" car, ainsi que je le disais, il n'y a rien de constructif derrière, il n'y a rien de positif à en retirer. C'est un peu comme si des ados se marraient devant une personne pleurant parce que moquée du fait de son look (se faire plaisir en blessant l'autre). Si pour vous il n'y a rien d'inepte dans cette posture lors même que vous la blâmez lorsqu'elle s'applique à votre encontre (le collègue lourdingue en l'occurrence) alors soit mais comprenez que la liberté d'expression ce n'est pas la liberté de blesser, de faire mal. Ce n'est pas parce que la loi vous autorise à dire à une passante que vous la trouvez grosse et moche que votre liberté d'expression, dans ce cas précis, serait savamment manifestée.
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Je le répète, la plume est plus forte que l'épée. Les dessinateurs étaient des irresponsables selon moi, dont les dessins contribuaient plus au chaos que n'y contribuent les Ak47 en France.
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Seulement je ne comprends pas pour quelles raisons se moque t-on de ce qui s'avère être sacré pour les gens ? Qu'a t-on à gagner à agir ainsi ? Si demain je fais des sketchs sur la shoah, l'acceptera t-on ? (bien évidemment non). Pouvons-nous imaginer un case départ sur ce sujet ? Cela signifie bien qu'il existe des choses, des évènements, des croyances etc.... qui sont sacrés pour certaines composantes de la population et qu'il nous arrive de comprendre (dans le cas de la shoah par-exemple) qu'il ne convient pas de se moquer car cela heurte gravement la sensibilité de certaines personnes. Iriez-vous vous moquer de l'embonpoint de votre collègue si vous savez que cela le blesse ? Iriez-vous faire des blagues sur sa Maman si vous savez que cela le heurte ? Accepteriez-vous qu'un collègue blague sur vous sur des aspects sur lesquels vous attachez une importance particulière ? Dès lors que vous-même pouvez concevoir qu'il ne sied pas de se moquer des gens (de vos collègues en l'occurrence) sur des sujets qui les impactent et qu'il ne sied pas de se moquer de vous sur des sujets qui vous touchent, alors pourquoi cautionnez-vous le fait que l'on puisse le faire à l'égard d'une communauté qui vous indiffère ? Je pense qu'il est préférable que l'on agisse envers les autres comme l'on aimerait que l'on agisse envers soi-même, sur le sujet de la moquerie tout du moins car c'est aussi une question de respect de l'autre (ce n'est que mon avis). A ce titre, si quelqu'un m'explique être indisposé par mes blagues, alors je cesserais des les faire (et je pense que tous agirions ainsi).
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Non, ainsi que je le disais précédemment, il s'agit d'un niveau supérieur à mon sens. La plume est plus forte que l'épée. Je pense que cet "humour" provocateur était bien plus dangereux pour la cohésion sociale, pour le vivre-ensemble que ne le sont les actes qui les ont frappés. Donc non je ne mets pas sur le même plan ces deux formes de violence car j'estime que l'une, celle qui s'exprime sous des formes hautement euphémisées, est potentiellement plus forte que l'autre car pouvant déclencher des troubles graves. Je considère que charlie hebdo et ceux qui les ont attaqués constituent des ennemis pour le genre humain.
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Ils ont péri par la violence qu'ils ont contribué à créer. En fait, les deux camps qui s'opposent sont constitués de personnes insensées qui s'entretuent, sans user de la moindre réflexion, et se contentant de dire "ils sont méchants il faut les éliminer".
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Plus précisément.
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Le problème ne provient pas, à mon sens, de l'idéologie que mettent en avant ceux qui ont tué à charlie hebdo ou au bataclan mais plus généralement du climat délélère qu'entretiennent certaines composantes bien distinctes de la population en France. A ce titre, charlie hebdo participait largement à l'entretien et au développement de ce climat de haine et s'avérait plus dangereux, pour le vivre-ensemble, que ceux qui les ont attaqués (j'ai toujours considéré que la plume était plus puissante que l'épée qui n'est qu'une conséquence du mouvement de la plume). Lorsque l'on entend analyser un phénomène de société il faut tenter, préalablement, de se débarrasser de toutes nos émotions qui biaiseront inéluctablement l'analyse. Or, bon nombre de discours, se concentrant sur ce sujet, sont parasités par les émotions et ne possèdent donc aucune objectivité et pertinence. De plus, il faut être capable de faire preuve d'introspection, de déceler ses torts. A ce titre, je pense qu'il n'y a rien de constructif dans une attitude qui s'évertue à reconnaitre uniquement ceux des autres en se contentant de pointer du doigt leur méchanceté sans même distinguer que les 4 autres doigts reviennent inéluctablement à la figure de l'auteur de cette critique. Je pense que pour parvenir à régler une situation chaude, pour apaiser toutes ces tensions, il convient de faire des efforts, de prendre sur soi, d'accepter de modérer ses revendications, d'effectuer des concessions plutôt que de souffler, de façon encore plus énergique qu'auparavant, sur les braises sur lesquelles l'on se trouve. Ainsi cette violence ne sort pas de nulle part, elle n'est pas irrationnelle au sens où les auteurs qui la dispensent possèdent de fortes raisons (selon eux) de la mettre en oeuvre et malgré que ces raisons soient mauvaises (à nos yeux), il nous faut cependant tenter de les appréhender et d'en dérouler la chaine si l'on espère obtenir une solution pour éradiquer ce phénomène. Or, tous ces jeunes Français qui se radicalisent contre leur société d'appartenance, s'en allant jusqu'à tuer leurs compatriotes tellement leur haine à l'égard de la France est profonde, se sont mis dans de telles positions parce que précisément des médias comme charlie hebdo et des acteurs politiques ont quotidiennement proféré des discours les excluant symboliquement de la société. Ces gens là se retrouvent incessamment pointés du doigt, désignés en tant que cinquième colonne, ennemis de l'intérieur, discriminés à l'emploi, au logement, critiqués sur leurs croyances religieuses, accolés de nombreux clichés concernant leur violence, leur machisme, leur non-fidélité à la république (le fameux diviser pour mieux régner) etc... A force d'entendre se développer de tels discours (cela combiné à la politique internationale qui est la nôtre et qui produit des conséquences désastreuses dans les sociétés d'origine de ces personnes là), il devient quasi impossible, à moins d'être particulièrement sage, qu'une personne possédant des origines visibles, de sucroît Musulmane, puisse se sentir pleinement Française et intégrée à cette société. Il est impossible qu'elle puisse aimer du fond du coeur ce pays et ne pas développer des ressentiments à son égard. Ces personnes ainsi fragilisées se retrouvent par la suite récupérées par des recruteurs qui entendent s'en servir afin de mener à bien leurs combats. Dans cette histoire nous avons d'immenses responsabilités. Lorsqu'un enfant dérive à ce point là, en tant que parents nous portons une responsabilité certaine. Ainsi, je le réaffirme, que ce soit les médias comme charlie hebdo ou les acteurs politiques ou nous citoyens lambdas qui succombons à ces discours, nous avons des thèses, des pensées, des agissements qui s'avèrent être plus dangereux (je parle en terme de conséquences) que ne le sont ceux des terroristes qui ne sont que le produit, qu'une minoration de toute cette violence, de toute cette haine propagée. Ces terroristes ne sont que le miroir déformant de notre propre réalité. Alors nous pouvons continuer sur la même voie, feignant de ne rien voir, continuant à nous boucher les oreilles et à dire qu'ils sont méchants mais rien ne changera alors. Chaque camp accusant l'autre camp de tous les maux et s'exterminant mutuellement jusqu'à ce que plus personne ne subsiste. Est-ce ce que l'on veut ?
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Je pense qu'il est préférable de ne pas descendre au niveau de ceux que l'on combat nonobstant le coût financier que cela implique.
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L'état du journalisme en France. Quelle catastrophe, quelle médiocrité, que de raccourcis et de formules alambiquées, que d'arguties pour tenter de masquer le fond inexistant et les nombreux sophismes produits cherchant à discréditer un homme en lieu et place de ses thèses. Pour résumer la méthode : Ruffin tient des positions erronées car il se réfère à Etienne Chouard qui ose douter de la validité de la version officielle du 11 Septembre (à l'instar de milliards de gens dans le monde assurément) et qui en plus possède en "amis", Alain Soral et Dieudonné qui, eux, osent avancer des thèses anti-système. Ruffin a donc tort car son ami a des amis que les propriétaires des médias n'aiment pas (combien d'années d'études et d'expérience faut-il au juste pour détenir la place qui est celle de celui qui a produit cet "article" ?). Cela fait réellement pitié quant à l'état de la marge de manoeuvre réelle de la presse en France et de l'objectivité, de la neutralité et de l'honnêteté intellectuelle des journalistes/médias. Dire que nous osons donner des leçons de journalisme aux autres pays.
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Pour quelles raisons cela fut une erreur ?
