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Tout ce qui a été posté par CAL26
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Je ne vois pas le lien avec mon message : je ne dis pas qu'aucun autre animal que l'humain n'a de culture. Je dis seulement que la culture humaine lui a permis d'explorer d'autres milieux très rapidement (sans pouvoir y vivre à temps plein) et qu'elle lui a permis d'accroître rapidement son espérance de vie, ce qui n'est observé chez aucune autre espèce animale. Mais bien sûr qu'apprendre à se soigner, à s'adapter et transmettre le fruit de ses apprentissages aux générations futures n'est pas réservé à l'Homme.
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Et je ne pense pas être un trainard en soulignant quelques singularités humaines. Mais j'admets que la limite de mes connaissances et plus généralement la limite du savoir humain peut biaiser le regard. Admirer est toujours agréable et j'admire l'histoire d'homo sapiens parce qu'il est un grand singe. Mais cela ne m'empêche pas d'admirer le règne animal dans son ensemble.
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La culture a permis à l'Homme d'accroître très rapidement son espérance de vie et d'explorer des milieux qui lui étaient totalement hostiles (le fond des océans, l'espace, la très haute montagne...) Si d'autres espèces animales se sont progressivement adaptés à des milieux changeant, cette adaptation a été beaucoup plus lente.
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Je ne connais pas l'origine de cette phrase "Dieu a créé l'Homme à son image" mais je la prends au premier degré pour rire avec. Athée convaincu, je sais que c'est l'Homme qui a créé Dieu à son image pour en faire une entité qui dépasse perception et raison, juste verbe. En fait, la culture est le propre de l'Homme.
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Les triathlètes sont particulièrement proches des canards.
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Dieu a fait l'Homme à son image et l'Homme est un animal. Donc Dieu est un animal (il s'est bien planté quand même).
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La question qui se pose est la singularité de l'Homme, et on peut souligner une singularité sans en faire une supériorité qui n'aurait de sens que pour l'Homme. Que l'on regarde notre histoire d'animaux en l'admirant et que cela ne nous empêche pas d'être humble parce que nous sommes des êtres vivants avant tout. Cela nous assujetti et nous rend plus beaux parce que moins essentiels que ne le font les religions.
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Pour en rester dans l'observation de ce qui constitue le propre de l'homme, je dirais quelle autre espèce qu'homo sapiens a laissé autant de traces physiques de son passé? Et dans cette quantité de traces se lit la culture, symptôme de la singularité de l'être humain. Ce n'est que parce que le langage, intériorisé et traduit sur différents supports, a émergé dans nos relations sociales que la culture a pu être constituée et consolidée. Et cette culture conditionne notre présence au monde, notre conscience préalablement interpersonnelle, pour le moins conditionnée par la culture. Que l'on considère le langage, la culture, toute notre cognition et notre métacognition (qui recouvre métaphysique, philosophie, remise en question permanente et caetera ), nous sommes essentiellement des êtres sociaux et notre abstraction ne découle que de l'intelligence collective. Nous avons donc des singularités biologiques (la bipédie notamment qui a engendré la naissance de cerveaux immatures et donc très dépendants de l'environnement social) qui favorisent cette intelligence collective source inépuisable d'abstraction. Dans le règne animal, les animaux les plus sociaux ont ceux qui font le plus preuves de capacités d'abstraction et l'homo sapiens par sa singularité physiologique puis par sa culture a poussé ces capacités au paroxysme.
