brooder

C'est justement une histoire de politique sinon comment répondre aux urgentistes, agriculteurs, retraités, jeunes, chômeurs, travailleurs pauvres etc ... Dans une démocratie il faut répondre aux problèmes par des politiques pour les masses. Chercher à se trouver un sauveur n'est qu'une politique de l'autruche.

Des généralités, je ne suis pas le premier à en faire ... sinon l'aphorisme "on ne fait pas de politique avec des bons sentiments" devrait être sur tous les bâtiments publics au lieu de "Liberté, égalité, fraternité"

Le "mal" et le "bien" sont des valeurs morales. Ceux-ci se marient très "mal" avec la politique. Les hommes politiques sont là au nom de nous tous et n'ont d'autre jugement que devant l'histoire. Comme simples citoyens nous ne relevons pas du même sort.

On ne peut pas d'un coté se présenter comme une puissance économique mondiale et de l'autre jouer le repli identitaire. Si le commerce est le signe de puissances et d'ouverture, l'occident se doit de partager ses ressources comme les pays pauvres partagent leurs ressources.

Notre histoire nous montre bien que l'homme est haineux. Mais il est capable du pire comme du meilleur. Donc à chacun de faire comme il le sent.

Cela ne rime à rien de parler de gènes sans se gêner (lol) alors qu'effectivement une minute de réflexion permettrait de soulever les malentendus (sinon à quoi cela sert d'avoir de la matière grise?!) Si l'on mettait autant d'ardeur à se soutenir plutôt qu'à se combattre le plus gros serait fait.

En ce qui concerne les remèdes il ne faut pas tomber, aussi, dans la facilité. La fin du monde cela fait depuis le début du siècle dernier que l'on a les deux pieds dedans. Pour ne citer qu'un exemple, je parlerais du débat français sur les centrales nucléaires qui était et qui reste une abhérrarion au vue des risques et des déchets et qui pourtant maintenant ressemble à une solution en matière de rejet de CO2...

Cela ressemble à "on ne peut pas être et avoir été" comme profiter de l'existence et réfléchir à ce que cette existence nous a amenée ou pas ! Cela ne nous empêche pas d'être et par ailleurs "compter ses sous". C'est comme l'action et la réflexion. Comment devient t-on un être pensant si ce n'est en se jetant dans l'action.

"Une fois que vous avez fait ce que vous deviez faire, les autres ne vous laissent pas faire ce que vous voulez" Batman.

L'existence pour la "ressentir" c'est voir un continuum dans sa vie depuis "toujours" et sur lequel il est possible d'établir son futur. Vivre dans l'urgence ne permet pas de prendre le temps de réfléchir à se continuum. Penser librement conduit à se poser les questions sur sa place parmi les autres.

J'ai travaillé un cours moment dans des maisons de retraites comme aide soignant. J'ai fais cela le plus professionnellement possible mais je ne m'imaginais pas en faire ma "vie". Pourtant très tôt cette expérience, si elle ne m'a pas "sauvé", comme je l'ai ressentie, m'a "libéré". en quoi consistait cette libération ? méchamment, je dirais que comme tous mes congénères, je finirais décati.

Image d'un état et la preuve qu'il n'y a pas de pouvoir sans abus de pouvoir

L'espace comme le temps est relatif. Rien n'est plus "petit ou grand" qu'autre chose. C'est ce qui fait l'ingénuité de l'homme renforcer par la société qui ne fait que de le rabaisser.

Si l'être de la philosophie est l'essence pour aller bosser tous les jours à 5 heures du mat, je préfère rester en rade. Ainsi Nietzsche a due perdre sa santé à écrire pour faire chier les enfants de bourges qui ne voulaient pas aller travailler...

L'univers bloc me semble dépassé par la théorie des multivers. Si multivers il y a, ils ne sont surement pas étrangers l'un aux autres et doivent être intriqués dans une fusion présente qui participe à la création de futurs.

Pour ton information maintenant ce qui a le vent en poupe c'est le massage, pas de pénétration, hygiène assurée

Il ne faut pas oublier que maintenant c'est le client qui est le justiciable. Et aussi que le sexe est soit disant notre dernière liberté. ... De quoi faire craquer pas seulement que les petites culottes.

Mes convictions ! si ça continue, faudra que ça cesse

Ce qui est respectable à mon avis, c'est de pouvoir maintenant mettre mes convictions à l'épreuve de la réalité.

c'est personnel !

Peut être parce que ceux sont qui font les lois sont les premiers clients de ces dames ?!

... fort heureusement après 25 années de foutage de gueule ils m'ont laché

Maintenant le rythme est celui d'une machine et la "norme" est la précarité !

La loi du plus fort s'applique aussi aux entreprises, les grosses dévorant les plus petites ... Si on arrive au constat qu'il y a des plafonds de verre, séparant les plus riches des moins riches et ainsi de suite, de ceux qui ont peu de ceux qui n'ont rien, il n'est pas idiot de penser que pour la stabilité de la société, la propriété soit un handicap à partir d'un seuil.

Alors que les actionnaires misent sur des profits immédiats sur des participations, les pauvres n'auraient pas le droit de profiter sur des primes d'états immédiates aux prétextes que cela nuirait aux entreprises ?!