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Tout ce qui a été posté par Crève
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Je vous présente mes excuses, je ne voulais pas faire de vous un monstre de foire, ni vous exposer. Ne voyez dans mes sollicitations que de la curiosité pour le phénomène de la douance, et les personnes concernées.
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Mais du coup, vous, vous êtes lequel ? Atypique ou HPI ? Ou les deux ?
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@Jane Doe Je ne souscris pas à cette définition, qui me paraît trop large : si c'était seulement "une pensée différente" ou un "fonctionnement différent" ou "une façon d'appréhender le monde différemment" qui vous caractérisait, alors entrerait dans ce champs aussi les sous-doués, ceux dont le Q.I. varie entre 60 et 80. Eux aussi sont "différents". Pour moi, de dire "non, je suis pas supérieur, je suis juste différent", c'est de la fausse modestie. Certes, vous avez un fonctionnement différent, MAIS, ce fonctionnement différent vous apporte une avance, c'est de la facilité, en somme. La fameuse pensée "en arborescence" vous permet d'arriver plus vite et plus sûrement au bon résultat. La phrase en gras : par exemple, le champion du monde d'échecs Magnus Carlsen, assurément surdoué, qui tenait tête à Garry Casparov à l'âge de 12 ans, a avoué qu'il ne savait pas lui-même comment il savait quel était le bon move sur l'échiquier. Il le sait, c'est tout. C'est donc son inconscient. Par contre, je souscris au fait que le système n'est pas adapté pour vous (les surdoués), ce qui entraîne l'échec, scolaire ou professionnel.
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J'ai du mal à l'expliquer. C'est comme une passion pour le cinéma, ou pour la cuisine, ça s'explique pas. Je crois que mon frère était / est légèrement plus avancé (il avait des facilités). On s'entendait bien.
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J'ai une passion pour les surdoués.
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Des noms ! On veut des noms ! ! Les intelligences multiples, Howard Gardner. ?
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comme c'est dommage ! c'est pourtant un exercice intellectuel intéressant d'observer comment un réalisateur a compris une oeuvre, quelles libertés il s'est permis pour le transposer à l'écran, comment un-e acteur-rice se voit, interprète un personnage de roman. Après, c'est vrai, un film peut supplanter un roman dans l'imagination du lectorat : parfois, on ne se souvient plus que du film, on oublie le roman, car les images ont un impact qui peut être plus fort que la lecture. C'est le cas de Fight club par exemple, le film de Fincher est fort, déroutant ; pourtant le roman de Chuck Pahlaniuk dont le film est tiré est très réussi, mais mais on est moins estomaqué en en sortant.
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22/11/63 est un roman touffu, le thème du voyage dans le temps ; le passé est rendu de façon très réaliste. Si tu n'as pas accroché au livre, peut-être pourrais-tu essayer avec la série, tirée du roman, en huit épisodes : le scénario prends quelques libertés par rapport au livre, ce qui n'est pas pour déplaire.
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Le roman me fait étrangement beaucoup penser aux Illusions perdues de Balzac : un ambitieux qui monte dans la société par le journalisme.
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il me semble qu'il existe un mouvement nommé "Return of Kings", qui prône un retour au patriarcat, de la virilité, etc. et peut-être aussi les Incels sont à mettre du côté des masculinistes..
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On va avoir une conférence sur cet auteur. Je me relis ses classiques.
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en gras : - Pourtant, derrière toute cette histoire et cette médiatisation, j'avais l'impression que la plèbe développait un goût malsain pour les histoires les plus sordides, qu'il y avait un voyeurisme, et qu'elle se repaît même [voire affaire du Père Preynat, débat autour de Lolita de Nabokov qui revient sur le devant de la scène] - ses émotions ? Il me semble que si j'ai bien suivi Vanessa hier chez Busnel, elle affirmait n'être pas dans l'émotion revancharde, pas dans l'émotion vengeance, mais dans le factuel, le témoignage limpide, précis. Quelle gamme d'émotions vois-tu dans ce livre ?
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je l'ai lu en mars 2019 ; j'en ai un bon souvenir, notamment l'espèce de jeu vidéo qui recréée une réalité, et dans laquelle le temps peut s'accélérer, comme on accélère un film. Avec ces soleils qui apparaissent. Si j'ai bien compris, le problème à trois corps, c'est le problème quand trois corps célestes interagissent dans l'espace, on comprend qu'ils sont imprévisibles. Vous avez compris ça aussi ? Que pensez-vous du roman ?
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edit
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Comme mentionné dans "vos lectures du moment", je viens de terminerf la biographie de Guy de Maupassant. Par Paul Morand. Ce qu'il faut savoir sur cet auteur : l'angoisse traverse tous ses récits (Le Horla), le maître à penser de Maupassant c'était Flaubert, qu'il a aimé comme son père, celui-ci a vu tout de suite dans son histoire Boule de suif le potentiel, il a aimé les femmes et non une femme, et il a fini fou, interné, due à la syphilis, dont on s'interroge encore si elle est héréditaire ou contractée, mort à 43 ans. Sa mère lui a survécu.
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Est-il possible de philosopher sans un minimum de culture philosophique ?
Crève a répondu à un sujet dans Philosophie
oui c'est possible, tu vas juste réinventer l'eau chaude. -
J'vois pas ce que ça apporte, d'un point de vue intellectuel, ce défi. Alors que si on prenait pour défi, de lire un livre par mois, un livre que tous lirait, et qu'après on en parle en commun, on pourrait confronter nos points de vue, et là yaurait du débat intellectuel.
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C'est à chacun de compléter le tableau ? ou c'est @January qui le fait ?
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si j'avais pas des lectures orientées (de S-F), car j'ai des chroniques à écrire pour un site spécialisé en science-fiction, et des critiques pour une revue, et des relectures d'épreuves, et des livres imposés par le cercle de lecture, ça m'aurait peut-être intéressé, ton défi. mais là je suis trop pris.
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Ayant prochainement une conférence sur l'oeuvre de Maupassant, je lis une biographie :
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bien sûr qu'elle compte, mais pas à hauteur de 50 % comme vous le suggérez : car il faut garder des pourcentage pour la - la mise en scène, - le jeu des acteurs-rices, - le scénario, - les dialogues, - les costumes, - les effets spéciaux, - les effets comiques, - les effets dramatiques, - la photographie, - les décors, etc. 50 % pour la musique, c'est trop. je ne peux que redire ce que j'ai dit sur la musique : moi il m'a tourneboulé.
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Pour le cercle de lecture de ma ville on a ce livre à lire :
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oui la musique est importante dans un long métrage, elle habille le film avec élégance, avec race, lui donne un ton ; la musique est au long métrage ce que l'habillement est à la personne. mais en matière de S-F, c'est pas ce que j'attends au tournant, en tant que jury, mes critères se focalisent d'abord sur le concept. La vidéo qui tente de rapprocher Matrix de Dark city est grossière et démagogue ; la façon dont le thème [réalité virtuelles], tronc commun aux deux, est traitée, est tout à fait différente. Voilà ce que j'ai écris, il y a plusieurs années sur Dark City : DARK CITY _1998 « Sommes-nous plus que la simple somme de nos souvenirs ? » pose le scientifique. - À minuit, heure symbolique, la notion du temps s’altère, les dimensions se déforment, les rêves admettent les scénarii les plus déjantés, une espèce extraterrestre « Strangers » opèrent sur une ville Dark City la syntonisation. - Ici, la syntonisation est la capacité de modifier l’environnement « tout transformer par votre seule volonté ». Ce n’est pas si hallucinant que cela, puisque c’est ce que font les rêves. - Ainsi, les meubles, les immeubles, les objets, tout change en quelques minutes. - Ces extraterrestres ont également le pouvoir de télékinésie. - À ce changement d’environnement correspond également un changement de personnalité. Les Strangers modifient également la personne : ils effacent et implantent de nouveaux souvenirs, pour qu’ils correspondent au nouvel environnement. Chaque minuit, chacun se réveille différent. C’est ainsi que dans Dark City « No one knows who they are anymore ». - La raison de cela : ils testent l’être humain, cherchent à savoir ce qui nous détermine. Est-ce qu’un honnête citoyen se réveillant avec le souvenir d’être un meurtrier ne ressent plus de remord ? Qu’est-ce qui nous définit ? Pourquoi veulent-ils connaître notre âme ? - Les Strangers cherchent notre aptitude à l’individualité. De cette individualité ils ont besoin pour sauver leur espèce. Eux n’ont qu’une âme collective « nos âmes qui nous rend différents d’eux ». - Dark City est ainsi un laboratoire où les cobayes sont des humains. - Un homme leur échappe et semble ne pas se soumettre aux expériences des Strangers. Pour retrouver cet homme que John Murdoch a rencontré, ils vont employer une méthode révélatrice : ils vont implanter les souvenirs de John Murdoch dans l’un des leurs, faisant confiance à l’idée que le passé d’un individu détermine son présent. - Mais quelque chose échappe aux Strangers. Quelque chose que les humains ont « Instincts are irrational ». Nous percevons dés cet instant du film que quelque chose à l’intérieur de l’humain ne s’explique pas. · Si nous reconnaissons cette noirceur c’est parce que c’est NOTRE noirceur. Et cela ne pouvait s’appeler autrement que DARK city. · Comme les Strangers, nous testons nos médicaments, nous entraînons sur des animaux, créons des « champs d’expérience ». · Une espèce plus intelligente et / ou différente pourrait-elle nous asservir à notre insu (pour ses nécessités, comme rat de labo, etc.) ? · Le suicide est-il la seule solution comme le laisse présager l’inconnu du métro que John Murdoch rencontre ? Vaut-il mieux mourir si la Vérité sur notre identité et notre monde nous échappera à jamais ? · La superstructure Dark City où sont testés les êtres humains préfigure celle de The Truman Show, où tout est factice. · Quelle est la réponse ? Notre mémoire dirige-t-elle entièrement nos actes ? Le film n’est pas sans réponse : « Vous voulez savoir quelles sont les choses qui font de nous des humains ? Vous ne pouvez pas le trouver là-dedans (John Murdoch désigne sa tête). Vous avez cherché au mauvais endroit ». Faut-il préciser à quel endroit il fait allusion ? Le cœur. *** Vous avez raison, Dark City mérite d'être connu et reconnu, plus qu'il ne l'est, et au moins à égal avec Matrix, mais j'aime Matrix tout autant, mais pour moi, Matrix n'est pas une resucée de Dark City, c'est un traitement différent dans le concept, mais qui a la même force. mais c'est quand même deux concepts différents. mais si on va par là, dans les similitudes et qui en premier est le novateur, alors faut rendre hommage à Philip K. Dick, car c'est lui le vrai inspirateur des réalités virtuelles. (je vois pas trop le rapport entre Moon et Oblivion, mais j'ai plus trop de souvenirs des deux).
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si vous voulez discuter musique, allez dans la section appropriée ; moi, la musique de Rob Zombie pour Matrix m'a plu. bref, un film, c'est aussi un scénario, et en matière S-F : des idées. non, c'est pas au-dessus, c'est du même tonneau, et fait à la même époque. c'est juste qu'il est moins connu, le Dark City. du même tonneau en termes de concepts, car en S-F, c'est le concept qui compte. SW est très pauvre. je le répète, je n'aime que le PREMIER Matrix ; j'abhorre les suites. on peut pas mettre l'innovation qu'a apporté le 1 dans le même sac que les suites 2 et 3. l'acteur Keanu Reeves fait une prestation honnête pour ma part, il fallait un personnage banal à qui il arrive des choses extraordinaires, il a rempli son rôle. et le scénario, alors ? je te conseille les concerts alors, plutôt que le cinéma.