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Tout ce qui a été posté par Crève
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Trouvé dans une cabine : Terre brûlée de J. Christopher Que se passerait-il si un virus s'attaquait aux plantes, et les décimait toutes ? livre catastrophe
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Je lis un roman de science-fiction français : Bonheur, tm (Trademark), qui pousse les curseurs de la société de consommation jusqu'à l'injonction de consommer, d'être occupé, qui fait des paris sur les guerres, qui contrôle les déviants, les oisifs, les philosophes, société qui s'érige en ennemi de ceux qui pensent et qui ne veulent pas faire de la consommation leur but ultime de l'existence.
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Voie Dune sur grand écran, ça a quand même plus de gueule que de le voir sur le timbre-poste que représente ton smartphone, l'ambiance sonore, etc. Et puis y aller avec des amis, qui ont les mêmes goûts (SF), en parler au sortir du ciné, etc. Après, ce que je déplore, c'est l'état des lieux : tu marches sur du pop-corn laissé par les derniers occupants, ça croque, de la boisson sur la moquette, etc.
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Dernier film vu : The Killer, le dernier Fincher. Un film que ce réal a concocté spécialement pour Netflix. J'avoue, je m'attendais à plus de complexité scénaristique de la part du réalisateur de Seven et Gone Girl. Somme toute, c'est bien filmé, très bien joué, le tueur froid et méthodique, qui se remémore son credoi, qu'incarne Fassbender remplit bien son office. avec un petit hommage à Léon. Dans une société de traces, de caméras, il devient de plus en plus dur de passer incognito, sous les radars. Par contre, pour celles & ceux qui l'ont vu, j'ai une question :
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Et tu penses quoi de Chanson douce de Leïla Slimani ? Moi j'ai pas été enchanté, saisi, mais peut-être est-ce parce que je ne suis pas parent ?
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Vu le dernier Scorcese, Killers of the Flower moon. Du grand cinéma, avec les deux acteurs fétiches de Scorcese, DeNiro, mais aussi Lily Gladstone, le réalisateur a fait sa première partie de carrière avec DeNiro, et sa seconde partie de carrière avec DiCaprio; enfin réunis. C'est vrai que 3 h26, ça peut faire peur, mais ça passe crème, il n'y a aucune scène du film à retirer, on est happé par l'histoire. Quand Scorcese raconte l'Amérique, on apprend certains pans de l'histoire qu'on ne connaissait pas, les indiens Osages par exemple. La cupidité des blancs. Leurs crimes. Quand on évoque ce film, on met souvent en avant les deux acteurs hollywoodiens, mais il faut aussi souligner le jeu de l'actrice qui joue une Osage fortunée, Lily Gladstone, qui est très performante ; ne pas se contenter de dire "ah c'est le film avec Dicaprio et DeNiro", un comble surtout vu le propos du film, c'est aussi le film avec cette fabuleuse actrice.
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Dernière lecture : un Sade, Les crimes de l'Amour ; j'aime beaucoup la langue de Sade, très distinguée, pour décrire le vice et la vertu.
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tout à fait, le but étant de nous amener dans des lectures hors de nos chemins habituels
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Dernière lecture : un roman d'Aurélien Bellanger, intitulé Téléréalité. Il s'agit de l'épopée télévisuelle des années 90-2000 ; Aurélien développe un personnage, qui, comme dans son premier roman La théorie de l'Information, était un précurseur et un fin analyste de marché, et a su voir le potentiel de la Téléréalité. Bien sûr son personnage est fictif, mais le contexte est bien celui de la France en la fin de siècle, l'univers télévisuel. Il a des idées fortes comme lorsqu'un personnage déclare que pour changer le monde, t'as plutôt intérêt à vendre un bon concept de télé, plutôt que de finir en pléiade. D'autres analyses se suivent, comme le constat que les télévisions nationales d'Europe sont cloisonnées, il n'y a pas d'unité en Europe, pas ou peu de concept qui se soit exporté d'un pays à l'autre. Quelques fantaisies de l'auteur, on devine, quand il décrit l'équipe du Club Dorothée, qui s'adonne à des soirées avec cocaïne. L'objet du roman reste cette mode, cet éphémère qu'a été la téléréalité française.
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Moi ça me fait l'effet inverse, plus je lis de la SF, plus j'ai envie d'en lire, il me faut du lourd, du pessimiste à souhait !
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Dernière lecture : un roman écologique, prise de conscience du danger que court l'espèce humaine :
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Dernière lecture : Pas pleurer, de Lydie Salvayre. D'emblée, plus riche qu'un autre roman d'elle, Tout homme est une nuit.
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Qui est , pour vous, le plus grand écrivain Français de tous les temps ?
Crève a répondu à un(e) sujet de Ximène dans Littérature
La question n'a pas trop de sens, parce qu'on y mélange les poètes (Baudelaire) et les romanciers (Balzac), deux exercices littéraires différents, qui ne se comparent pas. Pour ma part, je reconnais Balzac comme le père des romanciers français, le Docteur es sciences conjugales, le bâtisseur de la Comédie humaine, concurrent de l'état civil, le romancier prolixe, volubile, infatigable et précurseur. -
Dernières lectures : lecture assez perturbante. rafraichissant.
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Je vous trouve un peu dur avec cette série : personnellement, j'y ai appris quantité de données scientifiques, à commencer par la première : ce qu'est une extinction de masse. ça permet de mettre en perspective le vivant, et le remettre dans son contexte : une espèce fragile, dépendante du climat, et éphémère. On apprend notamment qu'une variation de 10 degrés sur la planète suffit à provoquer une extinction de masse, et que la vie est dépendante des gaz à effets de serre. Trop peu, et les températures chutent, comme dans la première extinction de masse, où la moitié du globe est gelé, et trop, les températures montent comme dans la troisième et plus meurtrière extinction de masse. La vie actuelle est constituée de 10 millions d'espèces (encore que tout dépend comment on décompte une espèce, est-ce qu'on compte toutes les races de chiens par exemple ?), et ça représente que 1 % de tout ce qui a existé, en nombre d'espèces. Les premiers animaux étaient les méduses. Il y a eu les amphibiens, et puis les animaux ont développé une colonne vertébrale, puis une mâchoire, ce qui fut la combinaison gagnante dans l'évolution. Les effets spéciaux sont saisissants, on a l'impression d'avoir ces animaux filmés. Le seul bémol que j'émettrais, concerne toujours certains faits ou aspects, dont j'aurais aimé savoir comment les scientifiques ont déterminé : par exemple, la couleur de la peau des animaux que nous voyons à l'écran, ou le cri qu'ils émettent, ou la vitesse de déplacement, ou les proies qu'ils préféraient. Comment ils font pour savoir ça ? Est-ce spéculatif ? Approximatif ? Supposé ? Personnellement, j'adore ce genre de documentaire, c'est passionnant, on en ressort instruit.
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J'ai tenté de lire Le Silmarillion, mais j'ai arrêté après 146 pages, me donnant l'impression non pas d'un roman, mais d'une ébauche de roman, ou un livre d'histoire, d'une histoire fictive, mais peu passionnante. @Gouderien, vous qui êtes passionné par le souffle de Tolkien, avez-vous lu celui-ci, qui est en quelque sorte la fresque entière dans laquelle se trouve incrustée Le Seigneur des Anneaux ? et dont je n'ai pas retrouvé la même passion et rythme narratif que LOTR, ou le Hobbit.
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Très bon roman au final, très bien construit et haletant jusqu'au bout.
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Vu quatre épisodes de Tapie, le biopic sur Bernard Tapie : je me suis rendu compte avec cette série, que je ne suis plus friand de biopics ; et je m'en explique : dans cette série, qui se veut biopic de Bernard Tapie, on ne sait plus ce qui est vrai, de ce qui est une fantaisie des scénaristes, c'est-à-dire que la vie seule de Bernard Tapie n'est pas assez palpitante, alors Netflix l'a romancé. Le biopic a le cul assis entre deux chaises : d'une part, relater la vie d'un individu, et d'autre part être attrayant. Voulant courir deux lièvres à la fois, la série ne remplit aucune de ses deux missions : on ne sait pas ce qui est vrai dans leur série, et c'est pas non plus palpitant comme un Breaking Bad. Résultat ça m'agace, et je crois que j'aurais préféré un documentaire sur cette personnalité française, plutôt qu'une série à son effigie, trop romancée pour calquer la réalité, et cependant pas renversante d'originalité.
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Je lis un Sandrine Collette : Six Fourmis blanches ; pour l'instant j'en suis au début, je ne vois pas trop où l'autrice veut en venir, avec cette histoire de sacrifice dans les montagnes.
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Je lis les deux B.D. adaptées de Despentes, Vernon Subutex : j'ai apprécié l'évolution du personnage, sa déchéance, sa mise à la rue (qui peut tous nous arriver) et l'univers glauque en général de l'autrice ; elle sait en quelques lignes de dialogue, donner beaucoup de profondeur à ses personnages, et d'humanité. Les déshérités, ceux poussés toujours plus bas par le système.
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Oui vous avez raison, quand je pense au fantastique de Balzac, je pense par exemple à La Peau de chagrin, mais aussi à une nouvelle moins connue qui s’appelle L’elixir de longue vie.
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Je continue sur ma lancée Divergent de Veronica Roth, avec le tome 2 : Insurgent.
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Je ne sais si le Live action aura autant de succès que le manga papier, mais j'ai assez peur que ça tourne en rond : bon en gros, l'équipage voyage, tombe sur des gros méchants, et les tatane. bon j'exagère, les personnages sont travaillés, mais je ne sais pas si je rempilerai pour les autres saisons. je préfère relire le papier.
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on m'a prêté un livre de fantastique : le labyrinthe de Pan, je n'ai plus trop de souvenirs du film, si ce n'est la créature étrange à table qu'il ne fallait pas déranger :
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(hommages à Hubert Reeves)
