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truebypass

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Tout ce qui a été posté par truebypass

  1. Pardon, j'ai ri tellement t'es un cliché. Shame on you. Je risque pas de répéter puisqu'on ne dit pas la même chose, mais c'est pas grave. Quand ça veut pas, ça veut pas.
  2. Ah oui donc ton cas est encore plus grave en fait. Genre toi, t'es pas dans les quidams? Pertes humaines pendant la guerre Israël-Hamas — Wikipédia (wikipedia.org) Selon les estimations, sous réserve de vérification, du Bureau de la coordination des affaires humanitaires: ISRAELIENS: environ 1 200 personnes ont été tuées sur le territoire israélien dans l'attaque du 7 octobre, dont au moins 33 enfants. PALESTINIENS: Les bombardements israéliens, le siège de Gaza et l'invasion de Gaza ont tué 41 020 Palestiniens, dont plus de 7 797 enfants, entre le 7 octobre 2023 et le 19 septembre 2024. Selon l'UNICEF, à la mi-avril 2025, on en est à: 52 653 palestiniens été tuées, dont 15 613 enfants Israël - Territoires palestiniens : après le cessez-le-feu, l'incertitude - UNICEF [3 Raser tout un territoire et tuer plus de 52000 personnes, dont 15000 d'enfants, ça n'est pas proportionné pour venger la mort de 1200 personnes dont 33 enfants. Une stratégie que Tsahal utilise également: À Gaza, des civils utilisés comme “boucliers humains” par l’armée israélienne (courrierinternational.com) Nouvelle enquête sur l'armée israélienne qui utilise des Palestiniens comme boucliers humains à Gaza | France Culture (radiofrance.fr)
  3. Faudrait par exemple, peut être dire ça aux habitants du kibboutz de Beeri. En Israël, la première enquête sur la débâcle sécuritaire du 7 octobre 2023 (lemonde.fr) Guerre. La “procédure Hannibal”, une règle militaire israélienne controversée (courrierinternational.com)
  4. Le simple fait de se retirer de la liste officielles des présidentiables changerait vraiment quelque chose dans la campagne anti-gauche généralisée, sincèrement?
  5. Ahem. Le concept de légitime défense est, aux termes de la Charte de l'ONU (article 2-4) un "droit naturel" de l'État. Il s'agit d'un droit coutumier, qui a été codifié par l'article 51 de la Charte de l'ONU. Comme en droit civil, le droit de légitime défense est défini comme une exception au principe de non-recours à la force[1] ; Il est autorisé exclusivement en cas d'agression armée. Son exercice doit être proportionné à l'agression subie et la riposte doit être immédiate. Ainsi, est une agression une invasion, mais aussi un blocus ou un bombardement. Légitime défense — Wikipédia (wikipedia.org)
  6. C'est même carrément pire dans la mesure où son système sévit depuis 2017 et impacte le pays dans les grandes largeurs. Le bouquin sur Mélench', c'est l'enième campagne de diversion pour continuer à enfiler le peuple tranquillou en préparant 2027.
  7. Avec le "laisser passer" de l'autorité israélienne et des services de renseignements israéliens qui savaient déjà ce qui se tramait. Et avec l'appui de Tsahal qui a déclenché en parallèle la directive Hannibal en tirant carrément sur sa propre population pour faire le moins d'otages possibles.
  8. «Il impressionne tout le monde autour de lui, ils sont tous bluffés», «il y a dans la chimie exceptionnelle de son être quelque chose qui paralyse». Ce sont les mots tenus par l’éditorialiste Anna Cabana le 17 janvier 2020, sur BFM TV, à propos d’Emmanuel Macron. Comme possédés, fanatisés, les admirateurs du président se comportaient comme les adeptes d’un gourou. Enquête sur une secte qui prend en otage un pays entier depuis 8 ans. Dès son enfance, le petit Emmanuel était obsédé à l’idée de séduire et de dominer : de ses cours de théâtre à son ascension fulgurante dans le monde de la finance, jusqu’aux plus hautes marches du pouvoir. Comment ne pas s’inquiéter d’un homme qui a choisi ses propres initiales pour former le nom de son propre parti politique – En Marche, Emmanuel Macron ? De nombreux signes avant-coureurs auraient dû alerter les spécialistes de l’embrigadement sectaire. Une armée de courtisans totalement dociles avaient organisé, dès 2016, une campagne digne de régimes soviétiques. Alors que Macron, illustre inconnu, s’apprêtait à lancer sa candidature, le JT France 2 parlait d’un «électron libre», «transgressif, fracassant». La chaîne de service public prenait même des accents religieux à son égard : «Depuis sa présence aux fêtes de Jeanne d’Arc à Orléans […] il se sentait comme appelé de façon quasi mystique à servir la France autrement. Ce soir il se met en position de répondre à ce désir.» Macron répondait généreusement à l’envie insoutenable du bon peuple de le voir au pouvoir. Cette unanimité allait du Figaro à Médiapart. En 2017, Edwy Plenel déclarait : «Parfois j’ai l’impression que je les convaincs mieux [les électeurs, de voter Macron] que certains de ses soutiens». Avant le premier tour, Médiapart écrivait : Macron a «compris qu’un ancien monde était en train de sombrer dans les ruines pavées d’impuissance et d’inexistence de la présidence Hollande». Dès le 2 novembre 2016, Macron avait accordé un long entretien à Médiapart pour lancer sa candidature. L’Obs disait qu’il incarnait «à la fois un projet, un élan, un espoir de renouvellement et une volonté de rassemblement». L’intégralité du spectre médiatique s’était mis à son service comme un seul homme, de la presse people montrant son corps musclé sur photoshop aux journaux «sérieux». Un phénomène d’hypnose collective, comme dans un régime totalitaire : tout était fait pour lui offrir le pouvoir. Le jour même de son investiture, Macron défilait sur un véhicule militaire, entouré de soldats, sur les Champs Élysées, comme s’il était le général d’une armée. Quelques semaines plus tard, il enfilait une combinaison d’aviateur de l’armée, comme s’il allait piloter un avion de chasse. Des mises en scène qui auraient dû inquiéter, préfigurant la guerre qu’allait mener cet illuminé à son propre peuple. Très vite, dès son arrivée au pouvoir, Macron organisait de grandes fêtes à Versailles, reconstituant des cérémonies d’Ancien Régime. Il avait d’ailleurs déclaré «il nous manque un Roi». Des propos qui auraient dû en inquiéter plus d’un. C’est assez logiquement qu’Emmanuel a organisé un véritable culte de la personnalité et liquidé tous les contre-pouvoirs. Les médias officiels organisaient presque quotidiennement des éloges monarchiques à son propos. En janvier 2024, Anna Cabana, toujours elle, déclarait sur BFM que le macronisme est «un objet tempéramental, une hardiesse, un goût de la transgression» mais aussi «une envie de prendre tout le monde par devant, par derrière, c’est ce qu’il fait Emmanuel Macron». En avril 2025, les médias avaient atteint un tel degré de fétichisme qu’ils ont même fait leurs gros titres sur «l’odeur du président», qui utiliserait un «parfum floral, frais et sportif, devenu désormais le signe du pouvoir élyséen, choisi par le président pour affirmer son style et imprimer sa marque». La Cour entretient un rapport quasi-charnel avec le corps du président. Des éloges d’un côté, une répression totale de l’autre. Des dizaines de personnes ont été arrêtées pour des banderoles comportant le slogan «Macronavirus» pendant le confinement. Il y a eu des interpellations à domicile pour des messages hostiles sur les réseaux sociaux. Des journalistes convoquées par l’anti-terrorisme. Il avait rétabli le crime de lèse-majesté. Mais cela n’est rien en comparaison des milliers de blessés et de mutilés par le régime, dont le seul tort était d’être descendus dans la rue pour contester son pouvoir. Jamais aucun président n’avait poussé aussi loin la violence d’État en temps de paix. Emmanuel a toujours raison, et il connaît tout. Pendant la crise du Covid, ses proches expliquaient très sérieusement : «Le président est devenu épidémiologiste» car il lit des rapports, et prend lui-même les grandes décisions sur la santé des français. À cette occasion, il déclarait, les yeux exorbités : «Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive». Ses adeptes, endoctrinés, ne voyaient toujours pas le danger. Le 9 mai 2022, Emmanuel est réélu après avoir à nouveau confisqué l’élection. Devant les caméras, lors d’une cérémonie à l’Élysée, il caresse le visage de ses vassaux, leur donne des petites tapes sur la tête. Marisol Touraine, venue du Parti Socialiste, ministre de la Santé sous Hollande, lui murmure, le visage empourpré et l’œil brillant : «Maintenant que tu as les mains libres, tu peux faire… tout ce que tu veux». Une scène sectaire. Le macronisme organise régulièrement des purges, il violente ses cercles les plus proches. En 2024, Emmanuel dissout l’Assemblée Nationale sans prévenir personne, même pas son Premier Ministre Gabriel Attal qui se retrouve mis à la porte, comme beaucoup d’autres avant lui. Macron sélectionne personnellement les candidats de son parti qui pourront se présenter. Parmi les purgés, Gilles Le Gendre, l’un de ses plus proches soutiens. Ancien patron du groupe de députés macronistes, il n’est pas réinvesti pour la 2ème circonscription de Paris, alors qu’il s’était déjà déclaré candidat. Une humiliation brutale, pour lui faire payer son refus de voter une loi sur l’immigration. Aucun écart à la ligne, même minime, n’est tolérée. Instable, agressif, autoritaire : peu à peu, Emmanuel a fait le vide autour de lui. En avril 2025, son propre bras droit, l’homme présent depuis le début de son ascension au pouvoir, Alexis Kohler, quitte son poste de conseiller de l’Élysée. Macron est seul. Ses accès de violence ne sont pas destinés qu’à ses proches. À échéances régulières, comme un manager tyrannique, il injurie aussi toute la population française : «Ceux qui ne sont rien», «fainéants», «réfractaires»… Il parle de «rabzouzes» pour parler des français d’origine maghrébine, ou déclare à Mayotte, devant les habitants qui venaient de subir un terrible ouragan et de nombreux morts : «Si ce n’était pas la France, vous seriez 10.000 fois plus dans la merde !» Jusqu’où ira cette emprise et cette violence ? Ces dernières semaines, isolé et plus impopulaire que jamais, Emmanuel a décidé qu’il voulait la guerre. Il parle de «réarmement», débloque des sommes astronomiques pour l’armée et appelle la jeunesse à «l’esprit de sacrifice». Le système Macron est bien une secte, avec ses adeptes, ses gourous, son culte de la personnalité et ses purges. Une secte qui contrôle 70 millions de personnes et pourrait bien nous mener au désastre absolu. C’est-à-dire à la guerre dont le gourou a toujours rêvé. «La Meute» : l'enquête que vous ne verrez pas à la télé (contre-attaque.net)
  9. La blague du jour: Mec, c'est déjà ce que vous faites. Netanyahou menace la France de représailles en Palestine (contre-attaque.net)
  10. T'es parti tout seul dans les étoiles à te faire ton petit film dans ta tête. Nouveau point Pascal Praud pour mon champion!
  11. truebypass

    habemus papam

    Heureusement que c'était pas pour celui de Bouillon.
  12. Pourquoi? Je le disais plus haut: pour utiliser ce prétexte afin se justifier une guerre totale et des annexions de territoires en guise de réponse.
  13. C'est tout l'intérêt d'écouter les structures qui font du debunkage et de l’investigation journalistique : elles posent un regard analytique sur les medias antagonistes qui se content de réciter ce que le milliardaire d'en haut leur aura donné comme directive. Tu sais, j'ai pas besoin de me forcer à manger du caca tous les jours pour me rappeler que ça a bien le gout du caca. Le voir en photo, ça me suffit amplement. Eh bien dans le cas des médias, c'est pareil. Du coup, bah bon courage pour tous le caca à manger!
  14. Surtout lorsque les plus hautes instances de l'état savent qu'il va y avoir un attentat, mais qu'elles laissent faire pour utiliser ce prétexte afin se justifier une guerre totale et des annexions de territoires en guise de réponse. 7 Octobre : le renseignement israélien était au courant d’un plan d’attaque du Hamas – Libération (liberation.fr) Lapid : Benjamin Netanyahu savait depuis des mois que se profilait "un 7 octobre" - The Times of Israël (timesofisrael.com) Israël : l’enquête de l’armée sur le fiasco du 7-Octobre épingle les défauts d’analyse de la menace constituée par le Hamas (lemonde.fr)
  15. Merci! Enfin quelqu'un d'autre qui voit un parallèle entre la weltanschauung pangermaniste et le plan sioniste de la team Likoud & associés. Ca sent le retour du remake du plan Madagascar.
  16. Bah écoute, je te laisse te renseigner tout seul comme un grand sur les capacités d'investigations journalistiques et de debunkage (ainsi que les affaires révélées) d'organes comme Contre-Attaque ou encore Blast et on compare ensuite avec tout le reste du game qui oscille entre fake news, recrachage en diagonale de dépêches AFP et café du commerce en direct. OK?
  17. Je suis de type "bordel désorganisé" avec du TDA à gérer en background. En gros, dès que je suis en train de planter, j'essaie de m'isoler. Eh oui, je suis une merde.
  18. "Pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait" Eric Zemmour, 6 mars 2010, Salut les terriens, Canal + Propos doublement condamnés en justice en février 2011 pour provocation à la discrimination raciale. Ah non, pour moi ce type est clairement une merde. L'antisémitisme, c'est discriminer un juif pour ce qu'il est, pas pour ce qu'il fait. Je vais prendre un exemple simple pour montrer que tu racontes des conneries à mon sujet : Tsedek! et Haaretz, moi je les admire alors que I24News, je les déteste. Pourtant ils sont tous juifs. Mais pas tous sionistes. Une guerre contre le droit international apparemment.
  19. Attends, ils vont tout arranger avec un numéro vert: La santé mentale, Grande cause nationale en 2025 | info.gouv.fr Elle voudra sans doute faire un truc de droitarde bien dur et bien radical. Indice de réussite: il parait que ça marche pas trop aux USA...
  20. Racisme ordinaire façon "tiens, une balle perdue gratuite pour les bougnoules en survet' que je peux blairer". C'est magique. Tu veux vraiment faire la liste des structures baties et non baties qui ne sont pas entretenues sur le territoire français? En tout cas, Tsahal a une drôle de façon "d'entretenir" tout ce que les colons ont apparemment si courageusement bâti depuis 48 en territoires palestiniens. C'est comme pour le concept de "défense" en fait? Les mecs font tout l'inverse?
  21. C'était Reinhard Heydrich qui disait "en tant que national socialiste, je suis sioniste" à propos du départ forcé des juifs allemands et autrichiens vers la Palestine après 1935. Ca met sérieusement en perspective la réalité des actuelles connivence et collusions des différents régimes/partis d'extreme droite nationalistes. Mais ça, je l'ai pas sorti du fion d'un Kevin Bossuet mais d'un ouvrage sérieux de Guido Knopp...
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