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Je suis plutôt de ce côté de la barrière:
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40 % des gens sauveraient d’abord leur chien plutôt qu’un inconnu d’un incendie, selon une étude
truebypass a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Actualités - Divers
Le chien, bien évidemment. L'autre, il peut brûler. -
"C'est une contre-culture" : comment le curé de Clisson juge le Hellfest, le festival de l'Enfer
truebypass a répondu à un(e) sujet de sovenka dans Religion et Culte
T'as été courageuse. Et riche. Moi j'ai arrêté en 2014 après 8 éditions. C'est devenu la foire aux bestiaux, à la gentrification du public, à la commercialisation du merch à outrance. Sans parler de l'affiche: toujours moins d'extreme au profit du rock estampillé rtl2. Quant au Motoc, pareil. L'orga qui fait du filtrage au T shirt pour pas choquer les fragiles et les touristes? FOAD les mecs. -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Soit disant. C'est comme les fameuses armes de destruction massives imaginaires dans la guerre d'Irak Volume 2. Un prétexte pour l'économie de guerre et l'hégémonie atlantiste avec le fiasco humanitaire et géopolitique prévisible qui en a découlé. Personne, vraiment? Et pendant ce temps, les fanatiques sanguinaires au pouvoir en Israel ne font pas que menacer ses voisins de la destruction: ils détruisent et tuent. "Faites ce que je dis, pas ce que je fais." -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
C'est faux et tu le sais très bien. La France appelle Israël à se conformer à ses obligations internationales en (...) - La France au Royaume-Uni (ambafrance.org) L’attaque d’Israël contre les fondements du droit international doit avoir des conséquences : experts de l’ONU | OHCHR Israël et le territoire palestinien occupé : le droit de l’occupation doit être respecté | Comité International de la Croix-Rouge (icrc.org) DL204-Monde-2.-Israel-et-la-negation-constante-du-droit-international.pdf (ldh-france.org) Qu’est-ce que le droit humanitaire ? Le droit international humanitaire (DIH), aussi appelé droit des conflits armés internationaux, repose sur plusieurs textes fondateurs ratifiés en partie au lendemain de la seconde guerre mondiale, qui avait été particulièrement meurtrière pour les civils. La quatrième convention de Genève de 1949 est le texte le plus important. Elle énonce plusieurs principes fondamentaux sur la protection des populations civiles en temps de guerre : la distinction entre civils et combattants ; la proportionnalité dans l’attaque ; la précaution dans l’attaque ; l’interdiction des maux superflus. Ces principes ont pour but de minimiser autant que possible l’atteinte aux populations civiles en temps de guerre en limitant les méthodes et moyens militaires employés par les belligérants. Le terme « civil » renvoie à la fois aux personnes mais aussi aux possessions individuelles ou collectives (appartements, maisons, infrastructures, écoles, hôpitaux, patrimoine, etc.), que le droit international protège aussi. « Les quatre conventions ont été ratifiées de manière universelle, donc elles ont été acceptées par l’ensemble des Etats », explique Caroline Brandao, enseignante-chercheuse en droit humanitaire. Ces règles tirent aussi leur légitimité du droit coutumier, à savoir un ensemble de règles non écrites généralement acceptées par tous les pays et toutes les cultures depuis plusieurs siècles et reconnues aujourd’hui comme source du droit international. « Le Comité international de la Croix-Rouge s’est basé sur les manuels militaires de chaque pays pour trouver des règles communes, explique Mme Brandao. On ne peut plus arguer de ne pas être concerné et dire “ça ne s’applique pas à moi”. » Civils et combattants : comment le droit les distingue ? La notion de « combattant » renvoie à tous les membres des forces armées d’une partie au conflit, à l’exception du personnel sanitaire et religieux. Ces forces armées peuvent désigner les armées régulières d’un pays ou un groupe armé organisé. Les individus qui n’ont pas encore pris part aux combats mais qui ont été recrutés, entraînés et équipés par un groupe armé non étatique sont aussi considérés comme des combattants car intégrés de facto à un groupe armé. En revanche, les personnes ayant quitté les forces armées ne sauraient être définies comme des combattants : tant qu’elles ne retournent pas en service actif, elles sont considérées comme des civils. Les civils sont donc définis, à l’inverse, comme toute personne non-membre dd'une force armée, mais ils perdent leur protection au regard du droit international s’ils prennent part aux hostilités. Le droit international interdit aussi de cibler des personnes qui n'ont pas de responsabilité militaire même quand elles travaillent pour une organisation non étatique qui comprend une branche armée. Ainsi, les fonctionnaires travaillant pour le Hamas ou même ses chefs politiques ne peuvent être légitimement ciblés par l’armée israélienne sans que cela ne constitue un crime de guerre. Peut-on viser des bâtiments civils ou sanitaires ? Tous les bâtiments civils sont protégés par le DIH et ne peuvent faire l’objet d’une agression de quelque nature que ce soit (bombardement, pillage, invasion, tirs, encerclement, privation d’eau ou d’électricité, etc.). Les établissements de santé sont spécialement protégés par le droit international. « Ce sont des sanctuaires (...), ils ne peuvent pas constituer des objectifs militaires. Et on parle d’objectif militaire lorsqu’une attaque doit apporter un avantage militaire précis », affirme Caroline Brandao. Cette protection couvre aussi bien les hôpitaux que les laboratoires médicaux, cliniques, postes de secours, centres de transfusion sanguine et pharmacies. Mais cette protection ne s’applique pas si ces endroits sont détournés de leurs fonctions humanitaires pour commettre des « actes nuisibles à l’ennemi ». La présence d’armes ou de gardes armés ne suffit pas à constituer un acte hostile. Dans le cas où l’ennemi protège ses combattants ou stocke ses munitions dans un hôpital, il s’agit d’une utilisation abusive. Pour agir légitimement, l’attaquant doit en premier lieu exiger que l’utilisation abusive en question cesse dans un délai raisonnable. Le personnel médical est protégé par le droit de la guerre et ne doit pas être entravé dans l’exercice de ses fonctions humanitaires. Il perd cette protection s’il participe aux combats. Il en va de même pour les ambulanciers, lesquels ne peuvent pas, par exemple, transporter de munitions ou de combattants valides. Les journalistes sont aussi couverts par le droit international et ne peuvent être pris pour cible, ainsi que leur équipement professionel, à moins qu’ils ne prennent part, eux aussi, aux combats. En vertu du droit international, ils ne peuvent pas non plus être arrêtés, détenus ou sanctionnés dans l’exercice de leurs fonctions. Le blocus est-il interdit ? Le blocus d’une ville ou d’un territoire n’est pas à proprement parler interdit par le droit international humanitaire, mais soumis à des règles en ce qui concerne la méthode employée et les éventuelles conséquences humanitaires. Il est par exemple interdit d’affamer une population civile, l’utilisation de la famine comme méthode de guerre constituant un crime de guerre. Le blocus ne peut ainsi priver les civils des services et biens essentiels à sa survie, sans quoi il devient illégal et s’apparente à une « punition collective », ce qui survient lorsque toute une population civile est punie pour un ou des faits qu’elle n’a pas commis. Un point de droit qu’a récemment rappelé le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, aux autorités israéliennes. Quelles sont les règles sur les otages ? La prise d’otage est formellement prohibée et considérée comme un crime de guerre, c’est-à-dire une infraction grave à la fois au sens de la convention de Genève, du droit coutumier, de la Cour pénale internationale (CPI), de la législation de très nombreux Etats et pour un grand nombre de manuels militaires. La prise d’otage du fait des forces armées du Hamas est donc pénalement traduisible en justice devant la CPI. Quelles précautions Israël doit-il prendre dans la bande de Gaza ? Le droit humanitaire impose de prendre toutes les précautions possibles pour éviter ou minimiser les pertes collatérales de vies civiles et les dégâts sur les constructions civiles. Ces règles imposent à l’attaquant de : vérifier que ses attaques concerne bien des objectifs militaires ; avertir la population civile environnante des attaques à venir ; ne pas attaquer si les pertes civiles risquent d’être disproportionnée par rapport au gain militaire recherché, éviter si possible d’attaquer des objectifs militaires dans une zone densément peuplée ; évacuer autant que possible les civils proches des cibles avant une attaque. La convention de Genève défend aux belligérants de volontairement placer des objectifs militaires au milieu de zones fortement peuplées. Lorsque le cas se présente, comme à Gaza, cela ne peut et ne doit pas alléger les obligations qui incombent à l’attaquant. Il est, par exemple, prohibé de recourir à des explosifs ayant un rayon de destruction trop étendu car les dommages sur les civils risqueraient de dépasser de loin les gains militaires. Des explosifs trop puissants ou à fragmentation, imprécis car incapables de distinguer les cibles combattantes des civils innocents, sont qualifiés par le droit comme des armes « de nature à causer des maux superflus ». Il est également parfaitement interdit de bombarder une zone tout entière « comme un objectif militaire unique » alors que les objectifs militaires visés sont nettement espacés et distincts. Le fait de prévenir un endroit peuplé d'un bombardement donne-t-il à Israël le droit de le bombarder ? Lors d’une attaque dans un lieu densément peuplé, le droit de la guerre impose à l’attaquant d’avertir efficacement les civils. La notion d’efficacité dépend des circonstances, l’enjeu principal étant de donner un temps suffisant aux civils pour évacuer la zone, sans quoi un tel avertissement ne sera pas considéré comme conforme au droit. Toutefois, le droit international dit que les civils qui n’évacueraient pas la zone menacée doivent être protégés, sans quoi les belligérants auraient de facto le droit de déplacer de force des populations entières et de menacer des populations qui n’ont aucun moyen de se défendre. Cette disposition doit permettre, en outre, d’offrir une protection aux civils qui ne peuvent se déplacer (santé précaire, handicap, etc.). Un belligérant a-t-il le droit de refuser l’accès aux convois humanitaires ? « C’est une obligation pour toutes les parties au conflit de donner un accès humanitaire aux organisations neutres et impartiales », précise Caroline Brandao. Un belligérant n’a donc pas le droit de s’opposer à l’acheminement d’un convoi humanitaire. En revanche, il a le droit de vérifier le contenu des véhicules qu’il laisse passer. Cela ne signifie pas pour autant que l’aide humanitaire puisse être acheminée rapidement. « Ce qui est difficile à mettre en place d’un point de vue opérationnel et logistique c’est que pour faire passer ces convois, il faut un accord négocié avec les parties au conflit qui établit des règles pour permettre l’acheminement de l’aide humanitaire », témoigne Colline Beytout-Lamarque, enseignante-chercheuse en droit international humanitaire, jointe par L Monde. « Le souci que l’on a dans la situation actuelle, c’est que l'on n’a pas d’accord pour garantir et pérenniser ce couloir humanitaire. Ça veut dire que l’on revient à la table des négociations pour le prochain convoi, ce qui prend du temps », nuance-t-elle. Lorsque les parties prenantes au conflit s’opposent à de tels convois, le droit international contraint les Etats tiers à faire pression sur les belligérants afin qu’ils respectent leurs obligations. Qu’est-ce qu’un crime de guerre ? On entend par « crime de guerre » toute violation grave du droit international humanitaire commise à l’encontre de civils ou de combattants ennemis dans le cadre d’un conflit armé. La définition donnée par l’article 8 des statuts de Rome fondant la CPI fait, le plus souvent, autorité. La majorité des crimes de guerre jugés concernent les meurtres ou les atteintes à l’intégrité physique de civils ou de prisonniers de guerre, mais aussi le pillage ou la destruction délibérée et arbitraire de constructions civiles. Le « crime contre l’humanité » est quelque peu différent, puisqu’il est défini comme une attaque intentionnelle généralisée ou systématique contre toute population civile. Il se différencie du crime de guerre par le fait qu’il peut être commis en temps de paix, à grande échelle et de façon systématique. Le « crime de génocide » renvoie à des actes commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Il peut s’agir de meurtres, mais aussi d’atteintes à la santé physique ou mentale des membres d’un groupe, de sa soumission intentionnelle, de l’atteinte à sa natalité ou de transfert forcé de ses enfants à un autre groupe. Le droit punit également l’entente en vue de commettre le génocide, l’incitation directe et publique à sa commission, la tentative et la complicité. Qui peut poursuivre Israël ou le Hamas pour crime de guerre ? La convention de Genève prévoit des moyens de lutter contre l’impunité des auteurs de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité. « Cela passe d’abord par une justice nationale, qui doit se saisir pour juger les personnes qui n’ont pas respecté le droit humanitaire. Et si les juridictions nationales n’ont pas la volonté ou ne sont pas en mesure de le faire, une juridiction internationale peut se saisir », analyse Caroline Brandao. En matière de juridiction internationale, la première instance est la CPI, qui a été spécialement créée pour juger de tels crimes. La Palestine ayant adhéré en janvier 2015 aux statuts de Rome qui fondent la Cour, celle-ci peut poursuivre pénalement tout crime de guerre ou crime contre l’humanité commis sur son sol ou par un Palestinien. Cela peut concerner à la fois les crimes commis dans la bande de Gaza par les forces armées israéliennes que les massacres commis par la branche armée du Hamas le 7 octobre sur le sol israélien. La CPI peut également être saisie sur demande du Conseil de sécurité de l’ONU, quand bien même aucune des parties impliquées n’aurait adhéré aux statuts de Rome. La communauté internationale, par les Nations unies, peut aussi demander à mettre en place une commission d’enquête sur un conflit armé en particulier, puis si les crimes sont avérés, à créer une juridiction spéciale pour traduire les responsables en justice, comme ça a été fait avec l’ex-Yougoslavie et le Rwanda. En cas d’inaction de la communauté internationale, intervient la notion de compétence universelle, qui autorise n’importe quelle juridiction nationale à poursuivre les auteurs de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité. Cette exception se justifie par le fait que la gravité de ces crimes porte atteinte à l’ensemble de la communauté internationale. « C’est une obligation de rendre justice, quel que soit le moyen. S’il n’y a pas de moyen international qui peut se saisir de l’affaire, les Etats ont l’obligation de mettre en place cette compétence universelle », selon Mme Brandao. Certains Etats comme la France ont une conception relativement restrictive (un lien avec la France est exigé, qu’il s’agisse du lieu géographique du crime, des auteurs ou des victimes), d’autres comme l’Allemagne, l’Italie ou la Belgique partagent une application plus large de cette notion. Dans les faits, face aux tensions que le conflit suscite sur la scène diplomatique, il semble peu probable que la justice d’un pays en particulier se décide à enquêter puis à tenter de traduire en justice des responsables israéliens ou palestiniens. Israël-Gaza : ce que dit le droit international en temps de guerre (lemonde.fr) -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Main dans la main avec le Mossad et le gouvernement de Bibi alors. Ils savaient. Ils ont rien fait. Ah si, ils ont appliqué la directive Hannibal pour les aider à finir le boulot. A condition que la "légitime défense" respecte le droit international: Convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre | OHCHR Oh zut, ça marche pas ici. -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Ca fait 75 ans que les USA fait des paris pour soit disant réussir à changer des régimes ci et là de par le monde pour quelque chose "de mieux" Résultats: Aucun succès. Zéro. Désastres humanitaires et régions fragilisées après passage de la Team America of ze liberty de la démocratie du bien. Israel, c'est bonnet blanc et blanc bonnet, surtout sous perfusion généralisée des USA. C'est juste devenu un avant poste atlantiste au Moyen-Orient. De toute façon, c'est simple: -des barbus au pouvoir? L'occident dit "Pas bien!" -pas de barbus au pouvoir? L'occident dit "Pas bien!" Ca s'est vérifié en Iran, en Irak, en Syrie, au Liban, etc. Pendant ce temps, des démocraties d'hier ont tué des milliers voire des millions de pauvres gens, la démocratie "la plus puissante du monde" est encore à jurer sur la Bible, exécuter à mort des individus et ne s'est pas encore débarrassé de son problème de ségrégation raciale... et sa petite soeur, l'état d'Israel - "seule démocratie du coin" arrive à cocher toutes les cases de l'eugénisme sur les populations juives noires, de la théorie du sol & du sang, du nationalisme religieux et du nettoyage ethnique par dizaine de milliers de morts en moins de 100 ans d'existence. On a vraiment bien pété le balais qui servait à nettoyer devant nos portes, non? -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Quantité ne rime pas avec qualité. Les dommages collatéraux balayés d'une main, l'animalisation d'une population entière, le suprématisme, etc.. C'est un peu comme la Blitzkrieg en fait: c'est impressionnant, c'est resté gravé dans les mémoires de l'histoire militaire mondiale, mais ça reste de la merde au fond. -
Et le salon du Bourget continue de se faire faire pipi dans la bouche comme un bon gros paillasson.
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Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
BFM, toujours sur la brèche de l'info: -
C'est bien, c'est bien. Fais un bisou sur le pipou de Meyer de ma part.
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L’islam et l’extrême droite : une convergence évidente ? 🕋🟥⚖️
truebypass a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Les deux sont d'ED, détestent les mulsulmans et les rabzas. Ca crée des liens. -
L’islam et l’extrême droite : une convergence évidente ? 🕋🟥⚖️
truebypass a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
C'est tellement "évident" qu'en France tous les leviers, soutiens, promoteurs et représentants de l'extreme droite, sont des ennemis affichés de tout ce qui touche à l'islam, aux musulmans et aux individus d'origine maghrébine. Par contre pour taper la bise aux sionistes et faire des voyages en Israel... Meyer Habib : Jordan Bardella a sa place en Israël (lesfrancais.press) Visite du Rassemblement national en Israël : un voyage qui divise (franceinfo.fr) -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Ca sert à taper dans la fourmilière à sionistes bas de gamme et t'es tombé dans le piège, petit chat. Ce genre de commentaire est d'ailleurs plutôt ponctuel, sinon rare si tu daignes regarder l'ensemble de mes participations. Mais j'ai déjà du mal à estimer ta probité, alors ne parlons même pas de ton empirisme. -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Venant de toi mon pauvre Pascal Praud-like, c'est un honneur. -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Une nouvelle nuit d’échange de missiles entre Israël et l’Iran a eu lieu entre le 14 et le 15 juin. La domination technologique d’Israël, qui contrôle le ciel et multiplie les bombardements, est évidente, bien que l’Iran soit de nouveau parvenu à toucher le sol israélien avec ses armes. C’est une nouvelle étape dans l’escalade mortifère. Oubliant volontairement que c’est Israël qui a lancé l’attaque et donc déclenché la guerre, la classe médiatique française est au garde à vous. Sur Cnews, on prétend que «les Israéliens sont en train de défendre nos valeurs, la sécurité de l’Occident et la sécurité de l’Europe». BFM donne la parole à des israéliens qui expliquent qu’ils ont «mal dormi», et même à des députés du Likoud, le parti de Netanyahou, qui déroulent leurs éléments de langage. Euronews parle d’habitants de Tel Aviv «sous le choc». France 24 titre : «Destructions et stupeur à Tel Aviv». On évoque aussi les immeubles d’habitation détruits et les personnes «sous les décombres». Tout est fait pour créer de l’empathie avec Israël. Il n’y a jamais eu le dixième d’un tel traitement de l’information pour Gaza, intégralement rasée et victime d’une opération génocidaire. Dans cette guerre médiatique qui vise à intoxiquer l’opinion et à encourager la marche vers la guerre – avec l’appui de la France – voici 10 rappels que vous n’entendrez pas ailleurs : 1 – Israël s’est procuré l’arme nucléaire illégalement et ne respecte pas les traités internationaux. Officiellement, Israël a lancé une attaque pour empêcher l’Iran de se fournir une arme nucléaire de façon secrète. C’est pourtant exactement ce qu’a fait… Israël. Dès 1949, un an après sa création, l’État hébreu cherche à se doter de la bombe, mais les USA s’y opposent, pour éviter une prolifération nucléaire au Proche-Orient. Israël désobéit, et lance secrètement son programme dans le désert du Néguev, avec l’aide de la France. Une aide décisive : dans les années 1950, Israël va enrichir de l’uranium grâce à des techniciens français. En 1960, un scientifique britannique alarme sur le fait qu’Israël pourrait fabriquer une bombe «sale», très radioactive. «Israël ne construit pas de bombe nucléaire et n’a pas l’intention de le faire» répond officiellement l’État hébreu. Un nouveau mensonge. En 1967, les USA apprennent qu’Israël est capable de produire du plutonium, et donc sur le point de fabriquer ses bombes. Mis devant le fait accompli, le président des USA, Nixon, passe un accord secret qui reconnaît le droit à Israël d’être une puissance nucléaire, mais sans «faire d’introduction visible d’ogives». Il s’agit d’éviter une panique des pays arabes qui les pousseraient à se doter de la bombe à leur tour. Aujourd’hui, même si ce n’est toujours pas reconnu officiellement, Israël disposerait de 100 à 200 têtes nucléaires. Ce qui permet aux plus radicaux du gouvernement de Netanyahou d’appeler à envoyer une bombe atomique sur Gaza. Cette arme a donc été acquise clandestinement, en-dehors des traités internationaux. Israël n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n’est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA). C’est pire que ce qui est reproché à l’Iran. 2 – Une «attaque défensive» n’existe pas. Lors de la guerre en Irak, les USA ont prétexté une «guerre préventive» pour empêcher la prolifération «d’armes de destruction massive». On sait désormais que c’était l’un des plus gros mensonges du XXème siècle, qui a causé des centaines de milliers de morts en Irak et déstabilisé durablement tout le Moyen-Orient. Désormais, les pro-israélien vendent le concept «d’attaque défensive» : un oxymore, comme un coup de poing affectueux ou une claque gentille. C’est une agression délibérée commise contre un État, en violation du droit international, quoiqu’on pense du régime iranien. 3 – L’armée israélienne utilise la population civile comme bouclier humain. Pour justifier le génocide à Gaza, Israël et les médias occidentaux nous ont beaucoup parlé de «boucliers humains», c’est à dire de combattants au sein de la population civile, qui justifieraient les «dommages collatéraux». Gaza était l’un des territoires les plus densément peuplés du monde, sous blocus depuis 15 ans, il est logiquement impossible pour les palestiniens, même s’ils le voulaient, de construire d’éventuelles infrastructures militaires – qui auraient été immédiatement détruites – à l’écart de villes. Surtout, dans toute guerre asymétrique, où une force infiniment plus puissante et armée écrase un ennemi sans capacité militaire, il est logique que les combattants se cachent s’ils veulent survivre. C’est le principe de toute guérilla : de Cuba au Vietnam, de l’Algérie à la Résistance française. C’est même un principe adopté par des armées régulières, en particulier la Suisse qui cache d’énormes infrastructures militaires derrière des paravents civils. En revanche, Israël n’a aucune raison valable de placer ses bases militaires au cœur de la population. Saviez-vous que la principale base des Forces de défense israéliennes, qui abrite le commandement militaire, se trouve au cœur de Tel Aviv, dans le quartier de Kirya ? Ce bâtiment a été visé par l’Iran, entraînant des destructions alentours, abondamment médiatisées. Si l’on parle de «boucliers humains» à Gaza, il faut dire la même chose pour Israël. 4 – Israël a assassiné les négociateurs iraniens. Avant l’attaque, l’Iran était engagé dans des négociations avec la Maison-Blanche sur son programme nucléaire. Parmi les personnes tuées lors de l’attaque israélienne de jeudi figurait le principal négociateur nucléaire iranien : Ali Shamkhani. Le 15 mai, le quotidien Le Monde titrait : «Nucléaire : l’Iran est prêt à accepter un accord en cas de levée des sanctions, affirme un conseiller du Guide suprême». Ali Shamkhani avait affirmé que «Téhéran s’engagerait à ne jamais fabriquer d’armes nucléaires en échange d’une levée des sanctions économiques contre l’Iran». Les négociations étaient sur le point d’aboutir, mais Israël a lancé l’assaut et détruit le processus. Netanyahou avait fait la même chose en assassinant les négociateurs du Hamas qui tentaient de faire avancer un accord de cessez-le-feu et un échange d’otages. À chaque fois, c’est le choix de la guerre à outrance et de l’escalade. 5 – Israël agresse tous les pays voisins. Rien que ces dernières semaines, l’État colonial a mené des frappes sur le Liban, la Syrie, le Yémen, violé l’espace aérien de l’Irak… Il y a des exceptions : l’Égypte, dictature alliée de l’occident, qui protège les intérêts israéliens, et la Jordanie qui lui ouvre son espace aérien pour mener ses bombardements. En dehors d’Israël, aucun autre État dans le monde ne peut se permettre une telle frénésie belliqueuse sans recevoir ni sanction, ni embargo, ni riposte militaire de la coalition internationale. 6 – De la même manière que la guerre renforce Netanyahou, elle renforce aussi le régime des Mollah. Le régime iranien était affaibli par deux ans de contestations sociales et féministes. Les dirigeants iraniens ont assassiné des centaines d’opposant-es et persécutent les minorités. Maintenant que l’Iran est attaqué, le gouvernement va pouvoir verrouiller encore plus le pays et assimiler toute critique interne comme externe à de la complicité avec le sionisme. 7 – Pourquoi Macron défend-t-il Israël ? Le président a immédiatement parlé du «droit d’Israël à se protéger» et s’est dit prêt «à participer à sa protection». C’est gravissime, et la preuve que la Cinquième République est un régime autoritaire et dangereux. Un président mal élu, sans majorité, peut décider en quelques heures de piétiner le droit international et d’embarquer la France dans une guerre aux conséquences incalculables. Pourtant la France n’a aucune raison de défendre Israël, elle est même régulièrement menacée par les ministres de Netanyahou. 8 – «Téhéran brûlera» C’est ce qu’a déclaré le ministre de la défense israélien, Israël Katz, estimant que «le dictateur iranien est en train de transformer les citoyens iraniens en otages et de créer une réalité dans laquelle ils – en particulier les habitants de Téhéran – paieront un lourd tribut». Inversion, menace, qui arrêtera ce gouvernement fanatisé ? 9 – L’objectif d’Israël n’est pas atteint. Selon plusieurs experts, l’armée israélienne n’a pas (encore) sérieusement porté atteinte au programme nucléaire iranien. La volonté iranienne de se doter de la bombe nucléaire pourrait même se renforcer, accélérant sa mise au point, alors que le pays dispose déjà d’uranium enrichi. L’Iran a annoncé samedi cesser de coopérer «comme auparavant» avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), fustigeant son «silence» après des frappes israéliennes contre des sites nucléaires iraniens. Mais Netanyahou s’en moque, puisqu’il cherche l’escalade. 10- La guerre a permis d’enterrer la conférence sur la reconnaissance de la Palestine. La conférence à l’ONU sur l’État palestinien qui devait se tenir la semaine prochaine va être reportée, a annoncé Emmanuel Macron. Il n’y aura pas de reconnaissance de la Palestine par la France, l’Angleterre et autres. C’était l’un des souhaits de Netanyahou, il est atteint. -
Un navire d'aide humanitaire en route pour Gaza
truebypass a répondu à un(e) sujet de Lowy dans International
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Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Alors c'était vraiment pour la forme. Le Japon était à genoux, c'était une question de semaines. Mais bon, c'était sans doute "mieux" de faire un test grandeur nature tout en faisant une démonstration de force au bloc de l'est. De toute façon, les USA ont terminé la guerre comme ils y sont entrés: en fourbes. L'attaque de Pear Harbor n'était pas une surprise, Roosevelt était au courant mais cette attaque pouvait lui servir de prétexte pour entrer en guerre alors que l'opinion public était jusqu'alors défavorable à la guerre. Une attaque connue à l'avance et qui sert de prétexte pour rentrer en guerre... tiens, ça me rappelle quelque chose... -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Oui après tout, c'est pas comme si les USA l'avait déjà sans qu'on lui dise quoi que ce soit et par dessus le marché, s'en était servi deux fois de suite sur des civils. La faute à minimum 75 ans d'ingérence américaine et britannique. -
Frappes israéliennes en Iran : le chef des Gardiens de la révolution éliminé, le site de Natanz touché
truebypass a répondu à un(e) sujet de Ma Poule dans International
Depuis des mois, en plus de commettre un génocide à Gaza et d'annexer des territoires palestiniens en Cisjordanie, Israël a multiplié les agressions et provocations dans tout le Proche et Moyen-Orient : bombardements en Syrie, attaque militaire et attentats au Liban, frappes en Iran… Le gouvernement fasciste israélien sait que la guerre permanente est son assurance vie, et il a tout fait pour obtenir des réactions. Sans succès, jusqu'à présent. Cette fois-ci, c'est la bonne : un conflit contre l'Iran est déclenché, et il risque d'embarquer le monde avec lui. Netanyahou était plus fragilisé que jamais à l'intérieur comme à l'extérieur. Ces dernières semaines, il commençait à être lâché par ses plus proches alliés, y compris la France et l'Angleterre qui s'apprêtaient à reconnaître la Palestine. Il s'est mis à dos les opinions publiques mondiales, provoquant des manifestations de plus en plus importantes. Enfin, dans son propre pays, des milliers de soldats font défection, des protestations se font entendre jusque dans les rangs du Mossad, et une tentative de destitution a été lancée par l'opposition parlementaire. Quoi de mieux qu'une bonne guerre pour faire taire tout le monde ? Dans la nuit du 12 au 13 juin, Israël a lancé, avec l'accord tacite de Trump, plusieurs vagues de bombardements sur l'Iran. 200 avions de guerre ont largué leurs bombes, des drones militaires ont aussi été déployés pour frapper des sites militaires et nucléaires, mais également des immeubles résidentiels. 78 personnes ont été tuées, dont des enfants, et 320 autres blessées. Plusieurs hauts responsables du régime iranien ainsi que des scientifiques ont trouvé la mort dans leurs maisons, avec leurs familles. Netanyahou a annoncé qu'Israël était à «un moment décisif de son Histoire» et que l'opération baptisée «la force d'un Lion» durera «le temps qu'il faudra». Cette opération a décapité l'élite iranienne et a humilié le régime. Elle a démontré que l'Iran est profondément infiltré par les services israéliens, qui ont non seulement localisé ses plus hauts responsables mais aussi saboté des avions et des appareils militaires avant l'attaque, empêchant une riposte rapide. Israël a également frappé en profondeur dans le pays, contre des sites stratégiques. Sur le site nucléaire de Natanz, lourdement bombardé, des radiations ont été mesurées ce vendredi. L'Iran subit depuis des mois de lourdes pertes sur son territoire et parmi ses alliés du Hezbollah, le régime ne peut pas ne pas réagir. Il ne s'agit pas tant de faire mal à Israël, mais de sauver les apparences. Le régime des Mollah est affaibli, il fait face depuis deux ans à d'importantes contestations, il est isolé diplomatiquement : il est obligé de montrer sa force. Vendredi matin, il a lancé une centaines de drone vers Israël, facilement interceptés. Le soir, il a tiré 200 missiles dont certains ont atteint Israël, y compris la capitale Tel Aviv. Le Likoud, le parti de Netanyahou, avait annoncé qu'il s'attendait à une riposte. Dès les missiles iraniens tombés, il a promis des représailles «terribles». Dans la nuit du 13 au 14 juin, de nouvelles escouades d'avions de guerre israéliens frappaient l'Iran. Tout est scénarisé à l'avance : maintenant, Israël peut se présenter comme l'agressé qui se défend, et ainsi enclencher une escalade incontrôlable. Macron a prononcé un discours dans lequel il «réaffirme le droit d’Israël à se protéger et à assurer sa sécurité [...] si Israël devait être attaqué, la France participerait aux opérations de défense d’Israël». Il est donc en train d'embarquer la France dans une guerre au Moyen-Orient, déclenchée par Israël. C'est extrêmement préoccupant. Autre conséquence : l’Iran risque d’accélérer sur la préparation de la bombe nucléaire. Le pays vient d'annoncer qu'il sortait du traité de non-prolifération des armes nucléaires, car des lignes rouges ont été franchies. Officiellement, l'attaque israélienne visait à empêcher l'Iran de se doter de l'arme atomique. Dans les faits, c'est l'inverse qui risque de se produire. Nous l'avons dit, Netanyahou lance cette guerre pour se maintenir au pouvoir. Cela va lui permettre de museler toute opposition à sa politique meurtrière, empêcher les manifestations et la tenue d’éventuelles élections, mais aussi son procès pour corruption. Il s'agit aussi d'un contre-feu : l'armée israélienne vient de couper toutes les communications à Gaza en détruisant la fibre optique qui reliait le territoire palestinien au reste du monde, un acte scandaleux. C'est aussi un contre-feu à la mobilisation internationale : celle du «Madleen» mais aussi le convoi pour Gaza qui se trouve actuellement en Égypte. Tous les yeux sont désormais rivés sur l'Iran. Enfin, une guerre contre l'Iran rentre dans le projet messianique des fascistes israéliens. Les colons religieux qui sont au gouvernement appellent depuis toujours à un conflit généralisé pour recréer «Eretz Israël», le «Grand Israël» de la Bible, qui s'étend selon leurs croyances sur le Liban, en Syrie, en Irak… Leur projet délirant est donc de mettre le feu à toute la région pour obtenir le retour du messie. Une seule certitude : l'obscurité s'approfondit, les empires veulent du sang et des larmes. Celui des peuples. -
Brian Wilson, chanteur et cofondateur des Beach Boys, est mort à l'âge de 82 ans
truebypass a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Musiques
Je l'ai effectivement regardé ces jours ci et c'était plutôt enrichissant. Mike Love s'est aussi racheté une âme et une virginité apparemment, ahah. Dans "Love and Mercy", c'est pas la même partition pour lui ^^ -
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truebypass a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Musiques
Ah, le business en famille... Mais bon, au moins ils ont pas eu à se farcir Yoko. -
Un navire d'aide humanitaire en route pour Gaza
truebypass a répondu à un(e) sujet de Lowy dans International