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sirielle

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  1. Il y a quand-même des personnes qui reluquent beaucoup dans la rue ou autre, ce qui les amènera à davantage juger que des personnes qui sont par exemple dans leurs pensées autres, les yeux sur le paysage ou autre, et qui ont moins tendance à observer, et juger ceux qu'ils croisent, qui ne sont pas tellement intéressés par ça. Ceci dit je ne prétends pas que ce serait forcément une mauvaise chose d'observer beaucoup les gens y compris en-dehors d'échanges mais tout le monde n'est pas comme ça. Et on ne juge pas forcément tout ce qu'on voit, personnes ou autre, ça dépend de l'intérêt qu'on y porte.
  2. Dans les villes moyennes aussi il peut parfois exister une tendance plus marquée à critiquer négativement (sur divers points) les personnes croisées parce qu'une toute petite ville ou un village encouragent davantage à se soucier d'une bonne entente, au moins d'avec une part importante de la population (mêmes personnes côtoyées souvent) et non pas tout le monde sans exception, et une grande ville, par la diversité de sa population, favorise davantage une certaine indifférence aux personnes auxquelles on n'a pas tellement de raisons de s'intéresser. Bien sûr ce n'est qu'une généralité.
  3. Le sujet vise l'expression de ressenti subjectif par rapport à la quantité ressentie de jugements à ce propos, l'importance de l'influence de ce jugement sur le relationnel de tous les jours, pas simplement par rapport au fait de pouvoir juger ou être jugé par-ci par-là. En fonction de l'entourage ou des personnes que l'on côtoie par exemple, voire du style que l'on a, on est plus ou moins jugé, et cela a plus ou moins un effet positif ou négatif sur notre vie, voire parfois on s'en sert professionnellement ou autre. D'autre part on aura plus ou moins tendance, en fonction de la mentalité que l'on a, de nos centres d'intérêt, de s'attarder dans ce domaine de jugement, on est plus ou moins critique à ce sujet (positivement ou négativement) selon les cas, et parfois plus particulièrement par rapport à certains types de personnes, comme par exemple juger plus souvent les femmes, ou bien les hommes, plus souvent les jeunes, ou bien les personnes atypiques, etc...
  4. Avez-vous le sentiment d'être beaucoup jugé sur votre physique en société, en famille, en couple..? Pas forcément directement, mais aussi au travers d'attitudes influencées par un avis (positif ou négatif) sur votre physique? Et vous-même, jugez-vous couramment le physique des gens que vous croisez? Pas forcément irrespectueusement, mais vous faites-vous un avis par rapport à une bonne, mitigée ou mauvaise impression relative à l'aspect physique des uns et des autres? (Leur style vestimentaire, leur coiffure, leurs traits du visage, leur corpulence, etc...) Quels critères vous semblent importants pour un bel aspect physique ou une bonne présentation?
  5. sirielle

    Le destin

    Un comportement contre-nature est un comportement allant à l'encontre des besoins naturels des uns ou des autres sans Légitimité (c'est à dire sans justification objective basée sur les bénéfices par rapport aux inconvénients pour le bien-être, y compris d'un point de vue personnel, social ou environnemental...). Une alimentation saine, un sommeil régulier, une activité physique régulière, le relationnel et la communication nécessaires, par exemple, favorisent la santé et sont visés par l'instinct naturel... Exemples de comportements contre-nature: toxicomanie, activité déraisonnablement polluante, évitement relationnel outrancier ou inversement, etc... Les actes, les évènements, ont des conséquences, dont celles d'être amené à choisir (consciemment ou inconsciemment) parmi diverses possibilités. Le libre-arbitre se situe dans les choix qui nous appartiennent légitimement. Très régulièrement se présentent à chacun diverses possibilités (parfois construites), choix relationnels, choix organisationnels, d'orientation, de loisirs, choix alimentaires, etc... Parmi les multiples possibilités (dont les plus fantaisistes), existe une part de liberté, c'est à dire de possibilités d'agir en adéquation avec l'accomplissement personnel (les possibilités d'agir dégradantes n'appartenant pas à la liberté mais à l'égarement). Au sein de la Liberté les décisions appartiennent soit aux uns, soit aux autres, c'est le libre-arbitre. Exemple de libre-arbitre: le consentement sexuel respectif entre adultes. Si la décision de consentir ou non m'appartient (par exemple), il s'agit de mon libre-arbitre, de mon droit de choisir par moi-même. Et idem pour autrui. Le libre-arbitre d'une personne représente les décisions qui lui appartiennent dans le cadre du Droit (de la Liberté). (Et porter atteinte au libre-arbitre d'une personne revient à la priver abusivement de son droit à décider par elle-même.) Conscientiser son destin passe par la connaissance de soi, or la connaissance de soi n'est pas toujours facile d'accès, du moins au-delà d'une certaine mesure. Négliger son destin peut donc provenir entre autres d'une méconnaissance de ses propres besoins. (Cela dit on peut être empêché d'accomplir son destin sans l'avoir voulu.) Et ne pas explorer son destin peut devenir un destin si ce premier destin, cette part de destin donc, n'est plus ou pas encore souhaitable au regard du contexte. Mais n'explorer aucunement son destin, ou destin nécessaire, ne peut pas être un destin car il serait absurde d'être voué à ne pas être ou faire ce à quoi on est voué (paradoxe), du moins donc au-delà d'une part de ce à quoi on est voué que l'on aurait d'assez bonnes raisons de sacrifier (ou de faire patienter) au regard du contexte.
  6. sirielle

    Le destin

    L'un n'empêche pas forcément l'autre, voire peuvent même dépendre l'un de l'autre, destin et liberté pouvant coexister, par une condition naturelle à laquelle on ne peut totalement se soustraire mais permettant ou nécessitant divers choix respectivement attribués en son sein (libre-arbitre), voire aussi laissant accès à divers choix se désolidarisant des lois de la nature (égarement du pouvoir). D'autre part on peut aussi se considérer libre de réaliser son destin (voire de le conscientiser), ou au contraire empêché de le faire.
  7. sirielle

    Le destin

    Oui, c'est ce que je pense, nous sommes voués à réaliser divers objectifs relatifs au bien-être de l'écosystème et à l'accomplissement de soi. Et nous sommes naturellement porteurs d'idéaux que notre sensibilité nous amène à projeter.
  8. sirielle

    Le destin

    Il est possible de répondre "rien n'y appartient" à la question, mais effectivement pour ma part j'attribue avant tout au destin, non pas forcément la part des conséquences logiques des évènements, qui ne sont d'ailleurs pas toujours visées, ni d'après moi préétablies à long terme, mais plutôt la programmation biologique, y compris respective. Ceci dit, si certains aspects de cette programmation peuvent être facilement saisissables, si on approfondit, d'autres beaucoup moins, une part instinctive de l'inconscient relative aux particularités propres par exemple, etc... D'autant que la nature évolue, y compris en fonction du contexte qu'on lui confronte au fil du temps... Quant à y échapper, ce qui n'est pas forcément souhaitable sauf si le contexte le nécessite vraiment, ce serait alors aller à l'encontre de ce pour quoi on est fait par nature, avec par exemple, à tort ou à raison des alternatives de contexte, ou encore subir un évènement empêchant l'accomplissement de ce pour quoi on est fait...
  9. sirielle

    Le destin

    Qu'est-ce qui, selon vous, appartient au destin dans l'existence, et peut-on y échapper?
  10. Instrumentaliser la mort d'animaux à des fins de divertissement peut paraître de mauvais goût, surtout pour les personnes sensibles. L'Eglise est censée être un exemple de moralité, or s'amuser avec des cadavres de volatiles abattus, et par extension, de la souffrance liée à l'exploitation animale, peut être jugé douteux sur ce point par de nombreuses personnes, y compris au sein de la communauté chrétienne.
  11. On est aussi ce que l'on fait, mais on n'est pas que ce que l'on fait. Ce que je fais pour les autres représente une part de ce que je suis. "Donner sans compter", peut s'avérer dangereux effectivement à outrance, déraisonnable, voire peut attirer par exemple la vénalité déguisée à son encontre, ou le sacrifice excessif de soi pour l'autre, mais par contre une relation de couple ou amicale implique aussi parfois d'être là pour l'autre quand il va mal, dans une certaine mesure en tout cas, ça appartient à la vie courante en général, même si souvent en temps normal c'est aussi juste partager de bons moments ensemble, se découvrir jour après jour...
  12. sirielle

    La morale

    A mes yeux le sens moral constitue le critère primordial de l'intelligence car il favorise un comportement juste, ce qui est à la base de la sagesse, d'un comportement approprié donc. La Morale se distingue par la sensibilité, y compris empathique et émotionnelle. Et en résumé ce qui est fait sans pénalité d'un point de vue existentiel, une pénalité juste pouvant s'apparenter à une peine méritée (un remord fondé par exemple), il est alors question d'actes (ou non-actes) qui ne provoqueraient aucune agression coupable (physique ou psychologique, volontaire ou involontaire, sur autrui ou soi-même), ou, en d'autres mots, aucune souffrance superflue (voire aucune souffrance idéalement lorsque le contexte le permet). Ceci dit la Morale n'est pas qu'un simple b.a.-ba, elle s'apprend et se nuance tous les jours au fil des multiples décisions et jugements sur les actes, avec un regard assez appuyé sur leurs causes et leurs effets (parfois à anticiper ou deviner) dans leurs contextes... Juger précisément de la moralité, l'amoralité et/ou l'immoralité des choix en fonction du champ des possibles peut nécessiter une importante perspicacité, ce n'est pas toujours simple, loin de là, et c'est aussi pourquoi les métiers de la justice (car la justice sociale et les lois sociales, évolutives, s'inspirent de la morale spirituelle, visent l'organisation réfléchie du bien commun), tel que juge, avocat, etc... peuvent s'avérer complexes, et certaines décisions, bien qu'impartiales en apparence, se sont parfois révélées profondément injustes...
  13. A mon sens la curiosité représente ce qui va au-delà de l'intérêt légitime parmi les centres d'intérêt possibles (exemple d'intérêt légitime: outils intellectuels nécessaires à l'épanouissement, à la réalisation de soi dans divers domaines). La curiosité s'apparente à l'envie de savoir plutôt qu'au besoin de savoir. On a régulièrement besoin de savoir, besoin d'apprendre au fil du temps, il est naturel d'orienter spontanément ou à dessein son esprit vers divers centres d'intérêt, domaines de connaissances, de réflexion et d'apprentissages (sociaux ou non), ce n'est pas forcément de la curiosité, c'est plutôt une vivacité mentale naturelle. Ce qui démarque la curiosité de la vivacité mentale ou intellectuelle, c'est que la curiosité est susceptible de s'égarer hasardeusement, elle voit un intérêt dans toute connaissance sans distinction, ou en tout cas elle ne fait pas forcément la différence entre intérêt mental ou intellectuel essentiel, supérieur, prioritaire, et intérêt secondaire, intérêt futile, intérêt risqué voire intérêt superflu, malsain ou nuisible (voyeurisme outrancier par exemple)...
  14. L'instinct naturel influence nos choix et nos actions (On peut considérer que Dieu est à l'origine de la nature des êtres vivants et ses lois inhérentes.). Nous n'agissons pas que par volonté mais aussi en fonction de ce que nous devons être sans l'avoir décidé. Cependant l'instinct naturel ouvre la porte au libre-arbitre, c'est à dire qu'il peut y avoir une part respective de choix raccords d'avec l'instinct naturel, plusieurs réponses possibles à lui apporter. Et au-delà du libre-arbitre, existe également la notion plus vaste de pouvoir, où il peut être aussi question d'aller à l'encontre de ce pour quoi on est fait, c'est le champ des possibles de l'action humaine (ou de l'action des êtres vivants dans une perspective plus étendue), qui n'est pas forcément que liberté, et où le risque d'erreur peut également avoir sa place.
  15. Oui, le type de sexualisation sur les réseaux sociaux est dans la prolongation de l'évolution progressive de la mode féminine et des représentations sociales liées à la sexualité et au désir, y compris IRL. La quête d'indépendance féminine également a été favorisée par la protection contre les violences conjugales, physiques, mentales et sexuelles, la désidéalisation de la fidélité inconditionnelle en couple, et la minimisation de l'entretien financier des femmes par les hommes entre autres... Et en même temps valoriser d'autres cultures peut aussi être enrichissant par certains côtés, la nôtre a ses failles, ses limites, et moi-même j'ai été particulièrement séduite parfois au cours de ma vie par des hommes dont la culture était très différente de la mienne, quelquefois les différences culturelles sont réellement enrichissantes en amour, sans que ce ne soit chercher à tirer abusivement profit de faiblesses culturelles.
  16. La langue française est évolutive, vivante, de nouveaux termes apparaissent au fil du temps en fonction de l'évolution des mentalités et de l'approfondissement des centres d'intérêt... Une langue vivante n'est pas figée dans ses acquis, aussi riche soit-elle, et chacun peut contribuer à son enrichissement si les avancées de la communication ou des idées le nécessitent. Cependant l'évolution d'une langue, l'introduction de certains nouveaux termes ou nouvelles expressions ou encore la diabolisation excessive de certaines formulations remplacées alors par d'autres peuvent aussi impliquer des effets négatifs, comme une surédulcoration de certains concepts par exemple, ou l'étiquetage outrancier, une déformation biaisée des sens originels des mots ou des racines de mots, etc... D'autre part l'évolution d'une langue gagne aussi parfois à simplifier en partie son usage.
  17. Sa comparaison paraît décalée de la réalité car il généralise trop des comportements particuliers qui ne sont pas propres à toutes ni forcément à une majorité, ni parfois aux époques dont il parle. Cela dit, là où je suis un peu d'accord c'est que les réseaux sociaux ont encouragé un temps une forme d'exhibitionnisme outrancier où certains étaient parfois prêts à aller trop loin dans leurs contenus ou à une sursexualisation pour attirer l'attention. Cependant c'est à mon avis une phase transitoire de l'essor des réseaux sociaux, au fil du temps, avec la concurrence, les échanges et la critique, les comportements s'attachent davantage à la qualité plutôt qu'à la provocation maladroite. Et à mes yeux le progrès en matière de télécommunication est avant tout une chance favorisant l'accès à l'information, à la liberté d'expression et aux échanges entre autres... Un autre point sur lequel je suis d'accord c'est que la mode des lèvres botoxées ou de la chirurgie à tout va par exemple n'est pas une mode saine... Toutefois je ne réduirais pas le féminisme à ses considérations, ni même au féminisme outrancier, que beaucoup reconnaissent par certains aspects, mais qui n'est qu'une part du féminisme, féminisme grâce auquel la société a aussi fortement progressé, des vies de femmes ont même été sauvées grâce au féminisme, ou grandement aidées... Je suppose qu'il est un peu influencé dans son discours par une nostalgie de sa jeunesse.
  18. Pour moi, on se réalise avec le temps qui passe, on devient de plus en plus celui ou celle que l'on veut être, on apprend la vie au fil des jours et l'expérience nous façonne, la chance nous rend libre. Et puis en même temps les blessures s'accumulent, parfois elles guérissent, et nous rendent plus vigilants, plus lucides, mais parfois aussi elles laissent des séquelles irrémédiables... A mes yeux le temps est à la fois une succession de souffrances et d'épreuves à traverser, et une chance offerte aux vivants de construire un monde de plus en plus harmonieux, qu'ils saisissent ou non justement en fonction de leurs possibilités.
  19. Je m'efforce de faire attention aux autres, de ne pas trop les contrarier, mais même si je suis reconnaissante envers les gens pour de nombreuses raisons, je ne vois pas tellement ça comme quelque chose qui m'est dû au-delà du respect minimum auquel j'ai droit, car les gens font ce qu'ils peuvent. Je m'efforce alors d'être assez indépendante. Et à mes yeux la violence n'a à avoir sa place qu'en légitime défense. L'intolérance à la frustration mène parfois à la criminalité mais tout le monde a ses propres frustrations, on a chacun nos problèmes, ne serait-ce qu'au travers la souffrance de nos proches ou de l'inquiétude pour l'avenir, et la solution n'est pas forcément dans la confrontation, parfois oui, mais seulement raisonnablement. Et certains même transforment leurs frustrations en altruisme par exemple, cherchant à aider les autres... Et puis pour n'être pas trop frustré il faut aussi bien cibler ses propres besoins, se connaître soi-même, si on ambitionne n'importe quoi, si on est trop gourmand, on favorise une frustration logique voire même bienvenue, car on n'a pas réellement intérêt à avoir trop de choses... Or être en conflit avec autrui favorise la frustration, le mal-être, il me paraît essentiel de soigner le relationnel pour se sentir bien.
  20. Mots/voix, images, etc... Ma pensée se construit principalement en mots/voix, tout en étant accompagnée d'images, d'actions visualisées, d'émotions, de sensations... Je visualise davantage par l'esprit quand je suis stressée, ou quand j'ai quelqu'un à l'esprit, bien que pas uniquement, mais j'ai une réflexion vocale quasi-constante avec émotivité, association d'idées et jugements moraux. Concernant la mémoire il m'arrive aussi de me souvenir des odeurs, des sensations, etc... pas uniquement des sons et des images. Lorsque je cherche à mémoriser un texte ma méthode principale consiste à le lire et le répéter à haute voix autant que nécessaire, et j'associe certains passages à des idées rappels, des jeux de mots, des souvenirs...
  21. Je n'élève jamais la voix en société habituellement, je n'ai eu que très rarement de conflits ouverts avec une personne en dehors de mes proches. Et avec mes proches, quand le ton monte j'ai tendance à être conciliante, à chercher un terrain d'entente, je ne reste pas énervée longtemps. Je me remets beaucoup en question quotidiennement donc j'accepte d'être critiquée mais si j'estime que c'est excessif je me défends ou je coupe court à la discussion. Quand je me sens mal, j'ai plutôt tendance à me renfermer sur moi-même ou à chercher à m'isoler. Je suis sensible donc je ne dirais pas que je suis très tolérante à la frustration, mais je ne compte pas beaucoup sur les autres pour aller bien, je compte avant tout sur moi-même.
  22. sirielle

    Les mots qui bercent.

    "Vivre c'est aider à vivre, il faut créer d'autres bonheurs pour être heureux!" Raoul Follereau
  23. Personnellement, je n'ai pas ce problème, cuisses nues même lorsqu'il fait chaud elles ne frottent pas l'une contre l'autre quand je marche ou autre (je suis mince mais je suis taillée normalement). Peut-être que beaucoup ont ce problème mais pas tout le monde.
  24. Oui, j'accepte que l'homme avec qui je suis puisse être encore ami avec ses ex, ou qu'il ait encore leurs numéros ou leurs contacts. Moi même je suis encore en contact avec certains ex, sans plus, pour différentes raisons. Certains de mes ex se connaissent ou sont amis aussi...
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