-
Compteur de contenus
9 749 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par sirielle
-
Comment imaginez-vous les membres du Forum ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Auger dans Inclassables
Il est vrai que je suis souvent timide dans la vie courante, mais que ça ne m'a pas empêchée de fréquenter pas mal d'hommes... Toi je t'imagine avec un fort caractère et de l'humour, avec de l'assurance avec les gens et les femmes aussi. Tu me rappelles un peu quelqu'un que je connais. -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
sirielle a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Est-ce qu'on est vraiment un winner quand on cumule à profusion les relations toxiques, quand bien même on a beaucoup de succès et qu'on n'a pas de souci d'un point de vue compétition sexuée, oui et non à mon avis. La sexualité c'est aussi du domaine relationnel, et une réussite relationnelle, ce n'est pas que plaire, c'est un échange vraiment harmonieux, et plaire beaucoup ne garantit pas que ses échanges soient vraiment harmonieux au final. Parfois le succès a même aussi ses revers... -
Je cultive mon amour-propre, je soigne mon apparence quotidiennement, je suis très attentive à moi-même, à mon bien-être et à mon ambition, régulièrement introspective... ainsi je sais relativement bien ce que je veux ou pas indépendamment de ce que peuvent penser les autres.
-
Phénomène social : La Misère Sexuelle
sirielle a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Le fait est que beaucoup de gens en parlent relativement librement, même si ce n'est pas une obligation, et trop culpabiliser ceux qui en parlent relativement librement, d'une manière positive ou négative, peut s'avérer néfaste, et favoriser un tabou social délétère. C'est aussi grâce à la liberté de parole en sexualité que le féminisme, voire la prévention, avancent. Et en parler ce n'est pas forcément en parler grossièrement... -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
sirielle a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Ce sont surtout les pudibonds qui évitent le plus de parler de sexualité, beaucoup de gens peuvent en parler de temps en temps entre amis par exemple, ça fait partie de la vie courante... -
Les costards cravates ne draguent plus.
sirielle a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
En principe j'aime bien les barbus avec une barbe assez bien taillée, et le style sportif ou décontracté, mais pas trop négligé quand-même effectivement. Tiré à quatre épingles, ça peut être trop aussi hors contexte qui s'y prête. Personnellement actuellement l'homme auquel je suis liée est plutôt un adepte de la randonnée question sport, ce que je peux aimer aussi même si je fais surtout de la gym... Et puis les cheveux longs pour un homme, attachés ou pas je peux aimer, mais ce n'est pas son cas. Et il est de style plutôt classique du point de vue vestimentaire. -
Les costards cravates ne draguent plus.
sirielle a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
Si ceux qui draguent dans la rue ne sont pas forcément en costard, ça ne signifie pas qu'ils n'en portent jamais non plus. Beaucoup d'hommes varient dans leurs tenues selon les circonstances. Et il y a beaucoup d'autres lieux de dragues que la rue aussi... Si certaines femmes se plaignent de n'être pas draguées, la drague existe quand-même encore y compris dans la rue, même si il y a davantage de retenue chez certains par rapport au féminisme, et quelque part à raison évidemment, la drague envahissante ou agressive pouvant véritablement poser un problème important pour les femmes, encore à l'heure actuelle. -
A mes yeux ce serait présomptueux de considérer qu'on sait mieux que les autres quand ils doivent rire ou pas, sauf bienséance de rigueur, en tout cas c'est mon avis. Le rire c'est un peu comme la musique, il y a une part importante de subjectivité qui entre en jeu. Alors estimer qu'une personne est trop susceptible quand elle pique une crise de colère pour un oui ou pour un non est une chose, estimer qu'elle doit rire quand nous on estime que c'est le moment où il le faut en est une autre. L'orgueil est davantage il me semble dans le fait de penser qu'on sait mieux que les autres comment éprouver des émotions à leur place, que dans rire ou ne pas rire à une blague.
-
Phénomène social : La Misère Sexuelle
sirielle a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Personnellement je n'ai jamais eu de souci pour être avec quelqu'un, comme beaucoup de gens. Mais à mon sens la misère sexuelle ne signifie pas forcément que manquer de partenaire, ce dont souffrent avérément certaines personnes cela dit, pour différentes raisons, mais aussi possiblement d'avoir une sexualité problématique par rapport aux éventuelles difficultés relationnelles rencontrées couramment, et les divers risques inhérents à de telles relations... Violences physiques et psychologiques, IST, les potentiels risques liés à sexualité ne sont pas toujours que bénins, même si la sexualité est censée en principe favoriser l'accomplissement personnel. -
Je dirais que l'humour ne donne pas plus droit à tout que la chanson ou la poésie... C'est un espace de liberté à préserver, voire à cultiver, dans une certaine mesure, avec sa richesse d'esprit, mais qui doit quand-même pouvoir comporter des limites de décence intellectuelle et relationnelle, comme d'autres formes d'expression. Personnellement, si on s'amuse à me manquer de respect, je ne vais pas apprécier, même si là encore, mon droit de réaction est censé se cantonner lui aussi à certaines limites relatives au respect d'autrui. Et même si je peux aussi rire de moi ou d'autres régulièrement dans la mesure de ce qui me paraît assez acceptable et subjectivement amusant...
-
Dieu n'existe pas, c'est prouvé.
sirielle a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Philosophie
Tout d'abord je précise qu'ici encore, pour ce récit, je considère qu'il est question de parabole, d'un récit spirituel, teinté d'allégorie, et non d'un texte à ne saisir qu'au premier degré. Et je dirais que tout ne dépend pas forcément de la prière, mais la prière est un principe de pouvoir de l'esprit, de la pensée et de l'imaginaire, parfois communautaire, auquel on croit ou pas. Donc ça ne signifie pas que dans tous les cas de figure seule la pensée (ouvertement exprimée ou non) compte pour arriver à ses fins, ni qu'elle a tout pouvoir, mais qu'elle peut quand-même compter. On pourrait estimer que désirer ardemment quelque chose en pensée est vain si on n'accompagne pas suffisamment cette pensée de moyens plus concrets pour accéder à ce désir, mais on peut aussi considérer que la pensée, et ce que l'on en fait ou pas, peut quand-même déjà avoir une certaine influence (positive et/ou négative) sur les évènements, et que c'est aussi quelque part un moyen de faire vivre l'espoir que de conscientiser ses souhaits profonds, de les formuler avec aplomb et foi spirituelle en la nécessité de changement, voire de les partager, une persévérence de l'esprit face à l'adversité parfois extrêmement difficile à affronter, que l'on pourrait vouloir occulter à l'excès, ou face à laquelle on pourrait être tenté de se résigner trop facilement. La spiritualité repose fortement sur la pensée, dont éventuellement la prière. Et concernant le sens du sacrifice, le contexte nécessite malheureusement quelquefois de prendre sur soi, de renoncer, ne serait-ce que temporairement, à certains biens (son insouciance, son confort, par exemple simplement) pour réussir ses objectifs. La conscience morale peut effectivement aussi juger des pensées ou paroles, dont éventuellement les prières, mais à mes yeux rien ne prouve que l'idée des prières en question pour la fin de la guerre dans ce récit ne puisse causer un tort important en lui-même à qui que ce soit, si elle n'est pas surinterprétée, ni même à ceux qui croient que leur pensée peut peut-être avoir une influence positive. Donc personnellement j'estime qu'une prière morale spirituelle peut représenter une liberté dans une certaine mesure, et dans cette histoire rien ne prouve non plus d'après moi, dans la demande à prier pour la fin de la guerre, une véritable contrainte liberticide ni une menace directe, mais plutôt et surtout une valeur pacifiste clairement prônée. J'ajoute une citation concernant la liberté de pensée pour compléter mon point de vue, même si ce n'est pas directement lié à cette histoire d'apparitions, car elle me paraît pouvoir être d'une certaine utilité sur ce sujet, dans le jugement de ce que l'on peut accepter ou condamner moralement en société. -
Dieu n'existe pas, c'est prouvé.
sirielle a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Philosophie
Je ne l'ai pas lue mais au regard de l'importance de nos divergences d'opinion au sujet de la religiosité, et de nos différences d'état d'esprit dans la manière d'aborder les textes religieux, il est très peu probable que mon point de vue soit parfaitement en accord avec ton analyse... Ceci dit je la lirai quand-même à l'occasion si tu souhaites vraiment connaître mon avis à son propos. -
Être trop beau et ignorer totalement une femme.
sirielle a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
L'érotomanie est un thème connu dans le domaine de la psychologie. C'est un mal où sont interprétés comme des signes d'attirance de la personne ciblée, objet du fantasme, un peu tout et n'importe quoi, y compris éventuellement l'indifférence ou même une chanson, une lecture à un autre propos, un élément ne provenant pas directement de la personne ciblée. Un principe de biais de confirmation. Et si l'érotomanie représente un trouble délirant, touchant relativement peu de personnes, ce type de délire existe aussi dans une moindre mesure, à un degré non considéré comme pathologique. -
La conscience morale n'est pas qu'hypothèse fragile.
-
Dieu n'existe pas, c'est prouvé.
sirielle a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Philosophie
Quand j'écrivais que tu n'y avais pas goût je faisais référence à la manière dont tu les avais qualifiés. Lorsqu'on estime qu'un écrit est une ânerie, on peut difficilement considérer honnêtement qu'on y a goût, qu'on apprécie vraiment sa lecture, même si on en prend plus ou moins connaissance. Pour le respect, il était question dans mon message de respecter l'intérêt libre des lecteurs pour la culture religieuse. Effectivement le respect est une notion vaste, mais j'ai précisé relativement clairement à quel respect je faisais allusion. Mon évocation de ce respect n'impliquait pas vraiment de jugement à ton égard, simplement une allusion à la part de subjectivité des centres d'intérêt intellectuels dans le choix des lecteurs. En d'autres termes, si tu ne trouves que peu d'intérêt à une lecture, d'autres en trouveront peut-être davantage en fonction de leur situation personnelle, et inversement, sans que ces différents états d'esprit n'impliquent forcément un tort de part ou d'autre, dans l'interprétation du texte. -
On se base sur ce que l'on sait pour en juger, conséquences positives et négatives de l'acte, champ des possibles au moment de l'action, nature du mobile ou du but, influences extérieures, préparation éventuelle de l'acte, et on tient compte également de la part d'incertitudes et du niveau de capacité de jugement dans le contexte pour modérer le jugement...
-
Même si la forme reste discutable, pourrait varier en fonction de l'interlocuteur et de sa manière d'employer les mots, mon raisonnement se basait sur des certitudes, des connaissances acquises à propos du bien et du mal.
-
Un dieu peut représenter par exemple en résumé le maître absolu (d'un domaine).
-
Les notions de bien et de mal provenant à l'origine de la sensibilité y compris empathique, une bonne connaissance de soi (prédispositions et instincts naturels, y compris grégaires, analyse des émotions, etc...), ainsi qu'une empathie développée, favorisent leur conscientisation, leur compréhension, leur dissociation légitime. Mais le bien et le mal ne sont pas des notions tout à fait figées, si du moins on s'intéresse en détail à ce qu'elles peuvent représenter, elles évoluent dans le temps, au fil de l'histoire, elles peuvent dépendre en partie d'un contexte (tout en étant clairement dissociables au moins en partie) et la sûreté du jugement moral en pratique dépend aussi de la connaissance assez précise de ce contexte.
-
Le bien et le mal sont conscientisés intellectuellement par l'Homme par le biais de la sensibilité y compris empathique à l'origine.
-
Il était question dans ma phrase de croyance. Pour croire véritablement il faut tenir pour vrai, et pour tenir pour vrai (et non pas faire semblant de tenir pour vrai, ni n'avoir que peu de doute) il faut s'appuyer sur des constatations, et non sur des doutes, ou de simples hypothèses. Quant à la foi, si tu utilisais ce terme hors religion, car il est possible de l'employer autrement, tu n'emploierais probablement pas le même préjugé. Etymologiquement le terme renvoit à la confiance. Il peut être important, pour bien comprendre un texte, de saisir ses nuances, sans trop généraliser ses exemples, ses illustrations.
-
Dieu n'existe pas, c'est prouvé.
sirielle a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Philosophie
C'est ton interprétation, j'entends. Pour ce qui me concerne, j'ai pu trouver à plusieurs reprises dans les écrits religieux un intérêt intellectuel et culturel, une utilité personnelle, mais sans prosélytisme pour autant. Que tu n'aies pas goût à ces lectures n'est aucunement un souci pour moi, à partir du moment où tu peux quand-même respecter l'idée que d'autres puissent éventuellement, eux, y trouver un intérêt pour eux-mêmes, sans que ça n'implique forcément une mauvaise utilisation ni une mauvaise compréhension des textes de leur part. Car la culture religieuse peut aussi représenter une forme de liberté, non-obligatoire, dans le cadre de la légalité... -
Personnellement, en principe si je suis "attachée" à un homme je reste avec lui malgré les éventuels inconvénients, car c'est que je tiens encore à lui, sauf si je pense avoir trouvé mieux, ou sauf si je me sens vraiment mieux sans lui à long terme, mais dans ces cas-là normalement je n'irai pas jusqu'à dire que je suis attachée à lui, plutôt qu'il est encore dans mes pensées mais que notre relation ne me convient pas ou plus assez, au point que ça ne vaut pas la peine de chercher des solutions. En d'autres termes, pour ce qui me concerne, si je suis vraiment attachée à quelqu'un seule une raison importante peut me faire envisager une rupture, pas une simple hésitation.
-
La mode peut s'apprécier aussi au travers de bas prix. Personnellement je la conçois par exemple comme un goût pour l'esthétique individuelle au sein des tendances sociales, et c'est aussi savoir bien s'habiller entre autres en fonction des circonstances et de ses propres particularités physiques. Au-delà des prix des robes affichées pour le sujet, personnellement si j'avais dû en choisir une seule à porter pour moi-même, j'aurais choisi la numéro 5.
