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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. J'ai habité en divers lieux au cours de ma vie mais je suis Occitane de naissance et d'habitat actuel pour ce qui concerne la région.
  2. Ils ont quand-même démontré ainsi scientifiquement, par cette expérience entre autres, que l'activité cérébrale relative à la pensée, générait des ondes distinctes et recevables traversant la boîte crânienne.
  3. En même temps un comportement est bien souvent aussi d'ordre physique, et non uniquement mental. Ainsi par exemple critiquer une gestuelle, une expression faciale, une sur ou sous-exposition corporelle, etc... c'est aussi critiquer l'aspect physique, même si pas exclusivement. Et critiquer un aspect physique n'est pas forcément le "critiquer ouvertement" à la personne directement concernée. Mais de la même façon, critiquer la mentalité d'une personne peut s'avérer très inapproprié et discourtois dans bien des situations, ceci dit ça n'enlève pas qu'il est essentiel pour l'honnêteté intellectuelle, de critiquer très fréquemment telle ou telle idée, telle ou telle information véhiculée..., ne serait-ce qu'en son for intérieur mais pas seulement. (Y compris éventuellement par rapport à "l'esthétique" du mental.)
  4. D'un point de vue scientifique, il existe diverses études dont certaines mécaniquement assistées et "prometteuses", toutefois "la science" et ses méthodes ne sont pas forcément le seul domaine de référence pour la connaissance.
  5. J'ai eu Beyoncé pour la danse par exemple, comme modèle...
  6. Concernant l'attitude, il est possible entre autres d'être vigilant aux émotions apparentes d'une personne. Si certaines expressions d'émotions sont peu éclairantes, d'autres en revanche peuvent être très révélatrices. Par exemple, une expression de tristesse simulée, des larmes de crocodile, ou bien un sourire forcé, un ton qui sonne faux,... ne sont pas forcément très crédibles. Ou à l'inverse un rire nerveux mal placé, un regard non contrôlé, etc... Tout le monde n'est pas bon acteur.
  7. Je juge de si l'attitude et le comportement de ce "quelqu'un" semblent cohérents d'avec ses dires. Je suis attentive à ses formulations et à la qualité de ses arguments, à leur poids, dans ses explications. Je tiens compte des ambiguïtés laissant envisager plusieurs interprétations. Et des intérêts qu'il pourrait peut-être viser implicitement. Je mesure sa crédibilité en fonction des probabilités, et si j'ai un doute je reste partagée. Mais il m'arrive rarement d'avoir besoin de contrôler tellement la sincérité de quelqu'un, quoi qu'il en soit en règle générale je m'applique à prendre en compte les doutes qui s'imposent à moi et à ne pas surinterpréter un échange.
  8. Dans les lieux publics ou équivalent non. La plupart du temps ce sont des hommes que je n'ai pas remarqués un seul instant ou à peine avant qu'ils ne m'abordent. Et j'ai l'habitude d'avoir un visage fermé et indifférent avec les gens que je croise en société. En revanche le plus souvent je suis seule lorsque je suis abordée, plus rarement en étant accompagnée de près. Par contre quand ce sont des "amis d'amis", ils peuvent alors être au courant par ce biais que je peux éventuellement être disponible, si du moins c'est le cas à ce moment-là.
  9. Dans mon cas c'est vrai oui. La quasi-totalité de mes rencontres ont été à l'initiative des hommes et non pas de mon initiative, sauf anecdotiques exceptions donc.
  10. Pour moi le plus souvent ça a été, dans mon quartier ou ma ville, ou autre ville où j'étais (sur des lieux publics, du quotidien, parfois festifs ou professionnels mais pas forcément). Et par amis d'amis souvent aussi.
  11. Si je partage un logement avec quelqu'un par choix, c'est que j'estime que c'est positif dans l'ensemble pour nous même si ça demande quelques concessions, quitte à revenir plus tard sur cette décision s'il le faut. Mais lorsque je suis en couple, pour moi, partager un même logement est une possibilité mais ne doit pas être une obligation, il m'est d'ailleurs arrivé plusieurs fois d'être "longuement" en couple sans que nous partagions pour autant le même logement, pour des raisons pratiques entre autres.
  12. La critique ici vise l'oeuvre apparente, l'oeuvre physique ou psychique. Et lorsque l'on critique une peinture par exemple on ne critique pas directement le peintre même s'il en est pour une part responsable. Ce qui revient un peu au même si ce n'est qu'il s'agit pour son corps de ce que l'on fait de soi ou ce que d'autres ou plus vastement les aléas, les évènements, ont fait de soi. Et lorsque l'on critique une idée, on critique avant tout l'idée elle-même et non celui qui la porte ou ce qui l'a mené à cette idée, même si c'est ce qui en porte la responsabilité. D'autant que lorsque l'on réprouve un état physique pour l'impression désagréable qu'il procure spontanément par exemple, ses causes et responsables ne sont pas toujours saisissables, ni donc visés. En d'autres termes un résultat est réprouvable par lui-même indépendamment de sa ou ses causes. Mais aussi, comme évoqué plus haut, l'état physique peut impacter l'état mental et ses choix, et pas uniquement l'inverse.
  13. Enfant, j'imaginais la vie d'adulte moins riche de sens mais plus simple. Quelque part c'est mieux que ce que j'espérais à ce moment-là et moins bien à la fois. Mais je suis heureuse et fière d'être issue de mes parents et d'exister dans la continuité de ma famille que j'aime beaucoup. La vie n'est pas toujours facile à mes yeux, mais j'ai beaucoup d'amour propre même si j'aimerais que ceux que j'aime et moi-même soient plus en sécurité et moins toujours dans l'inquiétude de ce qu'il peut advenir de nous.
  14. Croyez-vous à la télépathie? Si oui, dans quelle mesure? Avez-vous des anecdotes à ce sujet (tendant à attester ou au contraire à douter de sa réalité)?
  15. sirielle

    Les femmes à 30 ans ?

    Pour moi le passage à 30 ans a été plutôt heureux. Ceci dit ça n'a pas été une année très différente des précédentes. J'étais en couple, je vaquais à mes occupations, j'étais en bonne santé... Et cet âge n'est aucunement source d'angoisse symboliquement pour moi. En revanche bien sûr je me soucie de mon avenir, et je tente de mettre "toutes les chances" de mon côté pour vivre assez bien au fil du temps. Je m'efforce d'avoir un mode de vie sain, etc... Mais j'avais déjà ces préoccupations bien avant mes 30 ans.
  16. sirielle

    Votre connexion à la nuit.

    La nuit m'évoque la beauté discrète et obscure d'un ciel étoilé, la liberté d'esprit, sa fantaisie et ses dangers.
  17. Pour ma part je suis heureuse de ne pas avoir eu à porter d'uniforme durant ma scolarité car j'ai toujours aimé la mode et l'esthétique vestimentaire au travers des choix personnels. Je crois que l'école n'est pas qu'un lieu d'études et est là aussi pour permettre aux élèves de se socialiser progressivement en étant rassemblés dans la diversité. Cependant je conçois qu'il peut y avoir quelques avantages à l'uniforme tels par exemple que l'effet symbolique d'une tenue de travail commune et l'évitement des polémiques autour de certaines tenues. D'autre part il semble que l'uniforme est gratuit pour les parents, ce qui est particulièrement intéressant pour les foyers "modestes"...
  18. Personnellement je ne mettrais pas consciemment mon bien-être en péril pour un homme, ni physique, ni psychologique. Je peux faire preuve d'une certaine tolérance (pardonner quelques mots de travers, quelques maladresses, etc...), ainsi qu'envisager certaines concessions, si j'estime que ça en vaut la peine, mais pour moi un couple est censé apporter un bonheur essentiel de plus à la vie en quelque sorte, et non pas être un engagement à tenir coûte que coûte. Donc j'accorde un peu de ma confiance à ceux que je fréquente, mais je n'hésite pas à m'en séparer si j'estime que la relation est assez clairement trop néfaste ou risquée (conflictuelle, hypocrite, égoïste, etc...) et que j'y perds mon temps. Ceci dit fréquenter un même homme plusieurs années reste facilement possible pour moi quand l'entente est assez bonne pour ça et que l'on se plaît vraiment.
  19. Ranger "à grande échelle" est généralement la corvée la plus rébarbative pour moi. Plier des tas de vêtements, organiser les papiers, trier ce qu'il y a à garder, ce qu'il y a à donner, et ce qu'il y a à jeter, etc... Lorsque c'est à petites doses ce n'est pas un problème pour moi, mais sur un long moment ça m'ennuie beaucoup. A mes yeux ce n'est souvent intéressant ni physiquement ni mentalement, seul le résultat est motivant.
  20. Bonjour deja-utilise, meilleurs voeux à toi également Je suis parfois surprise de l'ampleur de la vision fataliste vis-à-vis de l'aspect physique. Personnellement, je pratique un sport "sculptant" quotidiennement, je surveille ma diététique que j'ai personnalisée et ma silhouette, j'ai une gestuelle travaillée, je mesure les risques que je fais courir à mon corps, je multiplie les soins et effets esthétiques, etc... comme beaucoup de gens. Je considère donc un peu mon aspect physique comme une sorte de pâte à modeler. Et même si les possibilités sont limitées, pour le "travail" corporel, comme pour le "travail" intellectuel et mental, elles sont nombreuses et peuvent grandement faire la différence à mes yeux. C'est pourquoi j'ai employé les termes "aspect physique" et non pas "apparence" par exemple. Car effectivement les artifices peuvent appartenir à la présentation d'une personne, à son apparence, mais il est moins question alors de purement elle-même. Ceci dit en couple par exemple, lorsque les tenues sont légères, ou par le biais des médias parfois, etc... ce qui est relativement courant, les corps peuvent être grandement dévoilés y compris socialement... Quant au maquillage il est en temps normal peu modifiant. Quoi qu'il en soit on est par nature construit par des éléments au départ extérieurs à nous-même, on fusionne plus ou moins avec notre environnement, physiquement et mentalement. On ne peut pas d'ailleurs d'après moi dissocier radicalement le physique du psychisme car ils sont intimement attachés. Et à mon avis pour ces deux aspects la critique doit souvent considérer les conséquences, du mental et du physique donc, sur la vie, sur le ressenti. On pourrait alors estimer que les conséquences des mots par exemple, des idées que l'on construit et exprime, peuvent s'avérer parfois extrêmement influentes et donc critiquables, comme pour les personnes ayant un pouvoir politique par exemple. Mais en même temps on sait que l'état corporel influe sur l'état psychique, mais aussi que l'état physique est plus ou moins révélateur de l'état psychique, et donc qu'un état psychique peut aussi être critiquable en fonction de l'état physique...
  21. J'ai appris entre autres que derrière les apparences sociales ultra-conventionnelles, pouvaient se cacher beaucoup de sensibilité, et parfois de magie. Que si l'entente, l'harmonie et la compréhension communes n'étaient pas toujours complètement acquises, loin de là quelquefois, l'échange des idées, des ressentis et des différents modes de pensée reste souvent instructif et "voyageant", aussi anodin puisse-il paraître souvent pourtant, d'autant plus dans un contexte "libre" impliquant une disponibilité d'esprit. J'ai aussi appris à me connaitre moi-même, voire à progresser et me remettre en question sur certains points, au travers de mes écrits. Car l'écrit, et plus précisément l'écrit personnel interactif, est un moyen particulier de s'exprimer et de communiquer évidemment.
  22. sirielle

    La solitude

    Pour ma part je crois que la vie sexuelle et amoureuse est essentielle au bien-être, et qu'en être beaucoup privé.e que ce soit un choix ou non, est contre-nature et délétère. Bien qu'il ne faille pas pour autant lui accorder trop de place non plus c'est certain... Quant à la considérer comme un besoin, comme tant d'autres critères nécessaires à une vie heureuse et pleinement épanouie, je crois qu'on peut le faire sans en arriver à des échanges douteux ou surpossessifs. La chanson ancienne "Everybody needs somebody to love." par exemple, qui évoque ce besoin, a acquis beaucoup de célébrité et de popularité, aussi car elle n'a probablement pas choqué grand monde par sa "philosophie" que beaucoup partagent. Et bien d'autres chansons, y compris plus modernes, traitent également de ce sujet sans complexe.
  23. sirielle

    La solitude

    En même temps l'étude en question indique qu'une intelligence élevée a tendance à conduire à un penchant pour la solitude, mais pas totale, à accorder aussi de la valeur aux relations, mais de manière sélectivement limitée et optimisée. Et je ne crois pas que bannir la "vie sentimentale" de son existence puisse être idéalement favorable au bien-être, y compris intellectuel, à long terme. L'espérance de vie des célibataires est d'ailleurs moindre dans l'ensemble que celle des personnes en couple d'après une étude de l'INSEE par exemple. https://www.lesbridgets.com/index.php/statistiques/etude-statistiques-couple/vivre-en-couple-ou-celibataires.html
  24. sirielle

    La solitude

    Une étude a été menée auprès de milliers de personnes par des chercheurs pour expliquer le goût de certains pour la solitude. Evidemment être solitaire ou non n'est pas toujours un choix, là il y est question avant tout de mode de vie choisi, et non pas de solitude contrainte ou au contraire rendue impossible par le contexte.
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