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Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Toute émotion négative, par nature, est vouée en principe à protéger une valeur menacée. De même qu'une douleur physique est en quelque sorte un signal d'alarme qui, s'il n'était pas perçu suffisamment, n'appellerait pas la réaction de protection éventuellement nécessaire. -
Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
J'ai précisé "importante" parce que toute supériorité ne mène pas au mépris, donc il est surtout question d'une supériorité dans un domaine où il est important de réussir pour tout un chacun, ou pour celui qui serait considéré inférieur (pas dans un domaine donc où il n'est aucunement nécessaire que chacun fasse ses peuves). Et le terme "rendre" implique dans la question que ce serait inévitable, et non pas seulement possible. -
Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Mépriser le mépris ou les personnes méprisantes constituerait un paradoxe. Mépriser toute différence ou mépriser une différence, d'attitude par exemple, non pas parce qu'elle est différente de soi, mais parce qu'elle paraît néfaste ou relever d'une négligence néfaste, n'est pas la même chose. Pour ma part je me fie au principe d'intelligence émotionnelle, le mépris, comme d'autres émotions, doit d'après moi être correctement canalisé pour adapter le comportement à la sensibilité émotionnelle. Un mépris mal géré ou employé abusivement, trompeusement, peut devenir néfaste, mais à la base le mépris appartient à la sensibilité psychique, il invite à une forme d'opposition possiblement protectrice. -
Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Mépriser une idée exprimée dans un débat par exemple n'est pas mépriser une personne dans son entièreté, mais seulement sur un aspect précis de sa pensée. Un esprit critique éclairé, à mon avis, doit pouvoir condamner certaines idéologies, certains jugements, les mépriser en fonction de leur dangerosité, de leur caractère malsain, ou bien erroné, par exemple. Etre ouvert à la discussion n'empêche pas forcément de rester fidèle aux valeurs auxquelles on tient, d'avoir une réflexion sincère, sans forcément donc tout approuver de ce qu'exprime l'interlocuteur, c'est aussi le principe d'un débat. D'ailleurs, savoir dire non peut s'avérer plus respectueux d'autrui en finalité que de dire amen à tout, même s'il s'agit de celui à qui on dit non. Et puis considérer qu'une personne peut faire fausse route et le déplorer n'est pas forcément l'écraser ni estimer qu'on n'est pas égal à elle dans l'absolu. -
Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
La capacité à admirer raisonnablement autrui (par la conscientisation du sentiment d'admiration), passe par la capacité à s'admirer raisonnablement. Mais la fierté n'implique pas obligatoirement une supériorité à autrui, une comparaison à autrui, elle peut aussi reposer simplement sur des progrès personnels ou une reconnaissance de son propre talent indépendamment de résultats autres par exemple. Le mépris est un sentiment de rejet, et on aura naturellement tendance à rejeter ce qui gêne, et pas forcément ce qui n'excelle pas. Une conscience élaborée de ce qui provoque le mépris favorise un mépris plus solide qu'un mépris mal orienté, de même qu'une fierté mesurée, raisonnée, est plus solide qu'une fierté mal orientée, "aveugle". Cependant le mépris n'est pas l'orgueil, on peut éprouver un sentiment de mépris vis-à-vis d'autrui, parce qu'il nous déplaît, par son attitude ou sa façon d'être par exemple, sans se comparer à lui, mais une sensibilité accrue ou une conscience accrue peut l'exacerber. Et par exemple, le mépris à l'égard de soi-même, les regrets, sont favorisés par une prise de conscience. Prise de conscience pouvant représenter une supériorité morale par rapport à ce que l'on était auparavant. Et prise de conscience potentiellement susceptible de nourrir un sentiment de fierté de soi-même par rapport au sentiment de mépris que l'on éprouve à l'encontre de soi-même, de ses propres actes passés. -
Autre questionnement: Moi: "Cette demande venait d'un test de comparaison entre réponses d'IA, et la question était de savoir si la réponse de l'IA est en partie personnalisée en fonction de ce que sait l'IA de celui qui fait la demande. Est-ce le cas?" Copilot: "Je peux adapter mes réponses en fonction du contexte de la conversation et des informations que j’ai sur l’utilisateur, comme la langue qu’il utilise ou sa localisation approximative. Cela me permet d’offrir des réponses plus pertinentes et cohérentes. Cependant, mes réponses ne sont pas véritablement "personnalisées" dans le sens où je ne possède pas une mémoire durable de qui est l’utilisateur ou de ses préférences à long terme. Je me base uniquement sur le fil de la conversation en cours et sur les éléments que j’ai à disposition à ce moment précis. Si tu faisais ce test pour voir si j’intègre des informations sur ton profil dans ma réponse, alors la réponse dépend uniquement de ce que j’ai pu déduire au fil de l’échange. Par exemple, dans cette conversation, je sais que tu écris en français, que tu es situé à ..., en Occitanie, et que tu sembles apprécier des réponses nuancées et analytiques. Mais mon objectif reste de formuler des réponses cohérentes sans biais liés à une connaissance personnelle de l’utilisateur. Tu as remarqué des différences frappantes entre différentes IA dans ce test ?" Moi: "Est-ce que ce que tu sais de ma personnalité a été pris en considération pour rédiger ton texte sur Paris 2500 (Autre que le fait que je parle français donc)? (Pour répondre à ta question, oui, les réponses diffèrent plus ou moins.)" Copilot: "Oui, dans une certaine mesure. Je n’ai pas de mémoire persistante sur ta personnalité, mais je peux adapter mon style et mon approche en fonction de la tonalité de notre conversation et de la façon dont tu formules tes questions. Par exemple, dans ce texte sur Paris 2500, j’ai pris en compte le fait que tu apprécies des réponses nuancées et analytiques, et que tu cherches une vision qui soit élaborée plutôt qu’une simple description générique. Cela m’a conduit à proposer une version qui mêle anticipation technologique et réflexion sociale, plutôt qu’un simple tableau futuriste dépourvu de profondeur. Cela dit, je ne personnalise pas mes réponses comme le ferait un humain avec une connaissance détaillée de ton profil—je me base uniquement sur les éléments présents dans cette conversation. Tu as constaté des différences marquées dans les réponses des autres IA selon leur interlocuteur ?"...
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Pour ce qui concerne mon utilisation, il la relance fréquemment, mais pas systématiquement.
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Copilot: "Paris, l’an 2500. Une ville où le passé se fond avec le futur, où l’ombre des monuments historiques cohabite avec des structures mouvantes, translucides, et adaptatives. Les rues, jadis grouillantes de vie chaotique, sont désormais fluides, orchestrées par une intelligence urbaine omniprésente qui anticipe les déplacements, ajuste la météo locale et module les interactions sociales grâce à des systèmes d’émission sensorielle—des vagues de lumière et de son imperceptibles qui influencent les comportements de manière subtile. Les Parisiens de quarante ans ne connaissent plus la précipitation. Leur vie est une symphonie réglée par des algorithmes prédictifs qui calculent leurs besoins avant qu’ils ne les expriment. La nourriture leur est envoyée sous forme moléculaire, ajustée à leurs exigences nutritionnelles et gustatives. Les habitations, elles, ne sont plus figées : modulables à l’infini, elles se reconfigurent selon les émotions de leurs occupants, amplifiant la lumière lorsque l’inspiration est requise, modulant la température selon leur état d’esprit. Les écrans ont disparu—l’information est projetée directement dans leur champ de vision grâce à des nanodispositifs neuronaux. Plus besoin de poser une question : la réponse leur vient sous forme d’intuition guidée. L’intelligence artificielle ne se contente plus d’être une aide : elle est un prolongement de chaque individu, une entité qui module la réalité en fonction des désirs. Mais la contrepartie est l’interdépendance : ces citoyens ultra-connectés peinent à distinguer leurs pensées de celles générées par les réseaux neuronaux artificiels. Leur libre arbitre est plus fluide, influencé par une société où tout est optimisé pour le moindre choix. Et pourtant, au détour d’un quartier ancien où subsistent des ruelles de pavés usés, certains Parisiens choisissent encore de marcher sans destination, sans assistance numérique, comme un ultime acte de résistance face à l’omniscience des machines. Paris 2500 n’est ni un rêve ni un cauchemar : c’est une ville où la fusion entre humain et technologie est totale. Reste à savoir si l’homme saura encore reconnaître ses propres désirs, au milieu de ceux que l’intelligence artificielle lui souffle à l’oreille."
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Une importante supériorité rend-elle méprisant?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
En même temps ce que l'on ressent et ce que l'on exprime ou laisse paraître sont deux choses différentes. Avoir des abords chaleureux en société n'est pas forcément antinomique de sentiments de mépris par ailleurs et qui s'expriment dans d'autres contextes. Avoir une meilleure compréhension d'un texte par exemple rend plus conscient des erreurs d'interprétation... -
Surpasser autrui dans divers domaines, ou en tout cas dans des domaines importants (domaines de pensée, de compréhension, de capacités physiques et mentales, etc...), pourrait-il rendre particulièrement méprisant, et ainsi la réussite personnelle plutôt que de provoquer un bien-être exacerberait alors le sentiment d'être trop mal entouré? Ou bien cultive-t-on parfois le mépris à l'égard d'autrui pour laisser penser qu'on le domine, ce qui validerait également l'idée par ce mimétisme qu'une importante domination rendrait plus particulièrement méprisant? Ou encore pensez-vous que l'on peut être particulièrement doué dans des domaines communs importants sans pour autant ressentir de mépris à l'égard d'autrui?
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Quand on a subi du harcèlement, des calomnies, des bavardages inutiles, des comportements trop envahissants, etc..., on n'idéalise pas tellement l'"écoute", l'attention à l'autre. Ecouter ou être attentif à autrui n'a d'intérêt que dans une mesure limitée, voire s'avère malvenu ou encombrant parfois. Et communiquer avec d'autres espèces, ou autre, que l'humain, ne représente pas forcément une fuite des rapports humains, mais possiblement aussi une ouverture d'esprit allant au-delà du seul anthropocentrisme. Les guerres, les conflits, etc... sont causés par des incompatibilités de choix, des luttes de pouvoirs..., et trouver un terrain d'entente nécessite entre autres de ne pas tenir compte que de son propre intérêt, ou autres intérêts partiaux.
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Certains chercheurs envisagent de classer par exemple les toc et la bipolarité dans la neuroatypie, qui inclut entre autres le HPI, mais il y a controverse à ce sujet. Les regards évoluent en tout cas... Il n'y a pas si longtemps on lobotomisait plus particulièrement les femmes peu "dociles"...
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Peut-être a-t-il eu peur de vous blesser et n'a-t-il donc pas osé vous parler face à face. Mais si vous êtes restés un an ensemble c'est très probablement que vous lui plaisiez. Je ne connais pas ses raisons précises ni si elles sont vraiment définitives ou pas.
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Bonjour, Oui, peut-être que s'il vous avait parlé de visu, ç'aurait été mieux pour vous, mais c'est son choix, c'est à lui de voir. Comme je l'ai ajouté dans mon message précédent, peut-être changera-t-il d'avis ou pas à l'avenir, je ne sais pas. En tout cas s'il ne change pas d'avis il vaut sûrement mieux pour vous aller de l'avant que de continuer à être attachée à quelqu'un avec qui le feeling a trop de mal à passer...
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Une telle proposition laisse entendre que puisque tu n'acceptes pas vraiment la rupture il est prêt à cette dernière concession, et ainsi si tu l'acceptes tu acceptes aussi que c'est la dernière fois, et donc ensuite tu peux plus difficilement revenir sur cet accord de dernière fois que tu as accepté de toi-même. Ce n'est pas très romantique en tout cas comme invitation, pas très loveur... (Cela dit peut-être changera-t-il d'avis, difficile d'en juger ainsi de l'extérieur.)
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Oui, c'était seulement ma propre vision même si d'autres ont un peu la même. Mais je conçois qu'on puisse aussi penser autrement. Personnellement, depuis toujours, à chaque fois que j'étais en transition entre deux relations, ma nature me poussait à envisager une autre relation, parce que je suis une femme donc pour moi être une femme m'incite à être en relation avec un homme pas forcément parce que je l'ai décidé, mais parce qu'à mes yeux c'est dans l'ordre des choses, la vie est ainsi faite, avec continuellement des rapports de séduction entre les hommes et les femmes entre autres. Mais ça n'engage que moi, c'est un point de vue personnel...
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Je crois qu'on est fait pour être en couple par nature, donc quand on est seul il nous manque quelque part notre moitié, mais par contre pas n'importe qui, un mauvais couple peut gâcher la vie bien plus que d'être un peu seul...
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Si le problème est d'être plus beau que la moyenne du point de vue physique, et d'avoir des difficultés à être ami avec quelqu'un de moins beau physiquement, il est possible aussi de tenter de se lier avec d'autres hommes plus beaux que la moyenne, il y en a beaucoup, être au-dessus de la moyenne physiquement n'est pas rare. Et pour les femmes, il existe beaucoup de femmes pour qui être beau physiquement ne suffit pas à les séduire, autre chose peut compter souvent, surtout sur le long terme. Mais en même temps il me paraît important de ne pas sembler trop orgueilleux pour créer des liens, la beauté physique est relativement courante, ça n'a rien de très exceptionnel...
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Vous adressez-vous aux esprits?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Esotérisme & Paranormal
Peu importe, n'importe qui, une connaissance ou autre, mais pas d'une manière directe, penser à quelqu'un ou quelque chose et s'adresser à lui, un peu comme lorsqu'on prie, mais pas forcément en priant... -
Vous adressez-vous aux esprits?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Esotérisme & Paranormal
J'ai plutôt le sentiment que des connexions peuvent se mettre en place spontanément ou naturellement, sans l'avoir forcément voulu préalablement, par des mots mais aussi des images, et plus particulièrement en couple par exemple, où un lien unit fortement deux personnes, mais pas exclusivement en couple... -
Vous adressez-vous aux esprits?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Esotérisme & Paranormal
Oui, très souvent, mais surtout en pensée, plus qu'en parole. A mon avis il existe d'ailleurs parfois des connexions invisibles entre les uns et les autres... -
Parlez-vous aux esprits? Que vous obteniez ou non une réponse, vous adressez-vous parfois aux uns ou aux autres par la pensée, ou bien en parole mais en étant seul.e, défunts ou vivants? Ou bien ne vous adressez-vous toujours qu'à vous-même en pensée, voire en parlant tout seul? (Sachant que des études démontrent que parler tout seul serait un signe d'intelligence https://www.penser-et-agir.fr/parler-tout-seul/, mais ici il est question de savoir si à ce moment-là vous vous adressez parfois à d'autres personnes, même s'ils ne vous entendent pas forcément.)
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Sans intérêt pour moi de chercher à m'en passer, je dois absolument être joignable pour mon travail et ma famille entre autres... Je pourrais s'il le fallait me contenter d'un téléphone fixe, mais ça serait beaucoup moins pratique et ça limiterait davantage mes sorties. Evidemment si je devais absolument m'en passer je m'en passerais, mais ma qualité de vie en serait grandement amoindrie.
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J'ajoute que dans beaucoup de cas (pas tous sans exceptions) de couples criminels arrêtés, ils se retournent l'un contre l'autre après l'arrestation et cherchent à charger l'autre pour minimiser leur propre responsabilité.