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Eventuellement

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Tout ce qui a été posté par Eventuellement

  1. Eventuellement

    Vilaine

    Puisque nous avons toutes et tous des seins, que nous avons toutes et tous des talons, le choix est large. C'est décidé, cry aime la Terre entière.
  2. Eventuellement

    Lâcher prise ?

    "Lâcher-prise, c'est peut-être arrêter de me demander ce que je dois faire et comment, pour me demander ce que je veux être et vivre." Néanmoins, il n'y a de réel chemin (vers le devenir voulu) que s'il y a planification. On ne peut atteindre un idéal, l'être souhaité, qu'en ayant énoncé les hypothèses et les outils de sa réalisation. Il s'agit, techniquement, d'avoir réuni les moyens et la méthode, en faire la conjoncture en vue d'un objectif donné, allier le comment au pourquoi afin d'être efficace avec efficience. Car dès que l'on a posé la question du "que voulé-je être ?", on commence tout de même un cheminement abstrait, une véritable gestion de sa propre vie. Je pense cependant comprendre la teneur de ta pensée. Il existe deux temps : La planification, puis le relâchement complet des moyens et de la réalisation. Je trouve cependant paradoxal que l'on puisse prétendre annihiler le perfectionnisme et la "prise de tête" en voulant fixant la direction. Car lorsque la flèche est tendue, l'archer met en place tous les moyens qu'il a afin d'anticiper les éventuels aléas (qui n'en sont que sur le long terme) qui viendraient à courber la trajectoire de sa flèche. S'il tendait l'arc pour tendre l'arc en visant équiprobablement dans n'importe quelle direction (l'intention pure), il n'aurait presque aucune chance d'atteindre son objectif. Alors comment dire que l'intention suffit lorsque l'on prétend à quelque chose de beau et grandiose ? Plus généralement, comment dire que l'intention suffit à achever ne serait-ce que la plus petite entreprise ?
  3. Eventuellement

    Lâcher prise ?

    Lâcher prise, c'est peut-être rester fidèle à soi-même, ne pas vouloir sembler et finalement accepter ses sentiments contradictoires... J'ai besoin de creuser par là
  4. Bonjour Xavier,

    Je te conseille de venir sur "Maths forum" où des scientifiques chevronnés te répondront sans doute mieux. Je connais, en particulier, un physicien qui touche de manière efficace à l'automatique et l'électronique. Je ne doute pas que certains pourront te répondre en ce qui concerne les systèmes asservis.

    J'y serai aussi ^^

    Bonne journée.

  5. Eventuellement

    Tube de Rubens

    Bonjour, J'ai eu l'idée d'écrire ce billet en raison d'une révision sur le sujet (milieux compressibles). J'espère faire d'une pierre deux coups pour le partiel de mardi ! Ce billet est en construction. I) Introduction Le tube de Rubens est une expérience d'acoustique permettant de visualiser l'amplitude et la longueur d'onde d'un son à l'aide de flammes. II) Connaissances préalables 1) Onde Une onde est une perturbation se propageant dans un milieu quelconque. Il s'agit d'une perturbation et non d'un mouvement de matière puisqu'au passage de l'onde, la matière n'est pas transportée. Il s'agit même du contraire : La matière "transporte" l'onde et permet sa propagation de proche en proche. Lorsque le milieu a retrouvé le repos mécanique, la position de chaque point spatial devrait être la même dans un référentiel galiléen, ssi le matériau n'a été soumis à aucun mouvement d'ensemble (si le domaine d'étude est isolé dans un repère bien choisi). Il est possible d'isoler deux types d'ondes : Les ondes transversales et les ondes longitudinales. Les premières perturbent la matière dans le sens orthogonal à celui de leur propagation (lumière, ondes de surface, soliton dans un ressaut hydraulique, etc.) et les secondes déforment la matière dans le même sens où elles se propagent (ondes de choc, bruit qui sont toutes les deux des ondes de compression-dilatation). Toute onde peut être schématisée par une fonction à plusieurs variables, donnant son intensité en fonction du temps et de l'espace considéré. Une onde périodique a de plus pour particularité de se répéter dans le temps et dans l'espace selon un schéma répétitif. En 2-D (temps et propagation unidimensionnelle), par exemple, on nommera sa périodicité spatiale la "longueur d'onde" et sa périodicité temporelle la "période". Ce sont respectivement une longueur et un temps, représentatifs de l'écart qui existe entre deux perturbations identiques, en temps ou en espace. 2) Ondes stationnaires Parmi les ondes sinusoïdales (fonctions sinusoïdales en temps et en espace), périodiques (forcément périodiques puisque sinusoïdales), progressives (se propageant en espace), nous pouvons isoler les ondes stationnaires. Une onde stationnaire est une onde sinusoïdale entretenue grâce à deux conditions aux limites dans un milieu donné. Ces conditions aux limites (de nœuds de position en général, c'est-à-dire des lieux où la perturbation est nulle) permettent à l'onde incidente et l'onde réfléchie d'interférer et de s'additionner pour créer une onde qui donne l'impression de ne pas se propager, pour une fréquence donnée. (Crédit photo : Wikipedia) Commentaire : Noter que le schéma se place dans le cas d'une onde transversale. Pour une onde longitudinale, il s'agit de la même chose. Il suffit de se représenter un ressort tendu en de certains endroits et comprimé dans les interstices de ces endroits de tension. La fréquence (inverse de la période temporelle) la plus petite permettant la formation d'une telle onde s'appelle la fréquence fondamentale ou, par métonymie, la "fondamentale". Les multiples de cette fondamentale sont ce qu'on appelle les harmoniques. Finalement, dans le cadre d'ondes sonores (ondes de compression-dilatation), la superposition de la fondamentale et des harmoniques, à des amplitudes données et toutes différentes pour chaque composante, forment le son audible et inaudible. On peut résumer en disant que toute onde sonore est une superposition (on parle en maths de combinaison linéaire) des harmoniques affectées d'un certain coefficient : leur amplitude. Il s'agit de l'intensité que l'on affecte à chaque harmonique, leur "volume" en quelque sorte. Un son peut donc tout aussi bien être représenté par un profil temporel ou spatial que par un profil fréquentiel (on trace l'amplitude de chaque fréquence), son spectre sonore : (Crédit photo : Le Monde) 3) Phénomènes de mécanique des milieux continus a) La masse volumique Tout milieu constitué de matière est fait de particules. Ces particules sont de tailles assez diverses d'un matériau à un autre, selon qu'il s'agit ou non d'un matériau composite, par ailleurs. Un milieu donné est en règle générale composé de molécules ou atomes, bien qu'il puisse être fait de plasma (nuage d'ions et d'électrons) par exemple ou encore de particules bien plus exotiques. (Crédit photo : O. Thual) Assez intuitivement, nous nous attendons à définir des milieux plus ou moins denses, selon que l'encombrement microscopique des particules est important ou non. Pour ce faire, il est utile d'introduire la grandeur appelée "masse volumique", comme étant le rapport de la masse d'un échantillon de volume V, divisé par ce même volume. Nous généralisons même en énonçant que la masse volumique est une fonction des coordonnées d'espace (et éventuellement de temps) et que la masse volumique en un point donné est la limite de la quantité du dessus lorsque l'élément de volume, centré en ce point, a une mesure qui tend vers zéro. Il peut être utile de se représenter physiquement ce que pourrait être la masse volumique à des échelles d'espace différentes : Si l'on zoome hors d'un objet (pour des échelles d'espace de plus en plus grandes), nous pourrions nous attendre à une masse volumique croissante ou décroissante, selon que la matière gagne ou perd en densité. Si l'on zoome au contraire dans l'objet, à des échelles de l'ordre de l'angströmétrique (10⁻¹⁰m), la densité varierait de plus en plus fortement, car d'un coup l'on passerait à des structures contenant des atomes plutôt "resserrés" à des structures "plus lâches". Pour des échelles d'espace mésoscopiques - par contre - qui avoisinent généralement le micrométrique, nous avons une masse volumique plutôt constante selon que l'on zoome légèrement dans la structure ou hors de la structure. Nous pouvons donc parler de milieu continu dans ces échelles assez grandes par rapport au libre parcours moyen des molécules mais somme toute petites devant la structure macrométrique du milieu. Les fluides que nous étudions en font partie. b) Compressibilité En MMC, la pression est évoquée sous la notion de compressibilité du fluide ou du matériau, c'est-à-dire la faculté qu'il a à se compacter sous l'effet d'une contrainte exercée sur lui. Autrement dit (et en omettant de signaler les fondamentaux de cinématique des milieux continus), nous pouvons traduire l'incompressibilité d'un milieu par le fait que tout sous-système, ou "partie" du milieu (volume fictif contenant un certain nombre de particules), au cours de son mouvement, ne voit pas sa densité varier : Un de ces sous-systèmes (qu'on nommera particule par abus vis à vis de la dénomination adoptée pour son contenu) de volume donnée garde son volume comme elle garde sa masse au cours du temps. On parle encore d'évolution - ou écoulement, dans le cadre de fluides - isochore, c'est-à-dire "qui garde un volume constant". En réalité, tout milieu est compressible, le soit-il de manière infimement perceptible dans les cas les plus extrêmes. De manière intuitive, il est clair qu'un gaz (qui a une densité assez faible par rapport à d'autres milieux du fait d'un libre parcours moyen - LPM - très grand comparé à celui d'un liquide ou d'un solide) est assez facilement compressible, puisqu'il est principalement fait de vide et que sa LPM permet de le densifier petit à petit. Cependant, un liquide ou un solide voient microscopiquement des interactions se former entre les molécules et tendre à les repousser entre elles pour des échelles très petites. Il n'est pas facile de comprimer la structure de la matière à ce niveau-là. En thermodynamique, nous parlons de compressibilité isotherme ou isentropique (à température constante ou entropie constante), capacité qu'a un milieu à augmenter ou non sa densité sous l'effet d'une augmentation de pression. Celle de l'eau est par exemple près de 10 000 fois inférieure à celle de l'air dans les CNTP, ce qui est facile à constater lorsqu'on prend une seringue et qu'on essaie de comprimer de l'air et de l'eau. III) Comment ça fonctionne ? 1) Le dispositif (Crédit photo : Wikipedia) Un tube de Rubens prolonge un haut parleur. L'autre extrémité du tube est reliée à un réservoir (pressostat) de gaz inflammable, en général du propane. (Crédit photo : Wikipedia, www.physics.school.nz) 2) Synthèse Le haut-parleur traduit un signal électrique en une onde sonore par la vibration de sa membrane par un système de couplage électro-mécanique. Cette onde (de compression-détente du milieu, rappelons-le) se propage ainsi d'un bout à l'autre du dispositif et est en partie réfléchie à l'extrémité opposée du tube de Rubens. A de certaines fréquences (la fondamentale et les modes propres), l'onde sera stationnaire, et présentera des nœuds d'intensité là où l'intensité est nulle et des ventres d'intensité là où elle est maximale. L'intensité étant ici la valeur de la pression du gaz en un point de l'espace. Un dispositif d'ignition se trouve au niveau des orifices et permet l'apparition des flammes. Puisqu'il y a corrélation entre pression en combustible et intensité de la flamme à une concentration en comburant donnée (ici de l'oxygène), les ventres de pression seront les lieux où la flamme sera la plus haute, et les nœuds de pression seront les lieux où la combustion sera incomplète (en terme de cinétique chimique). à suivre
  6. Eventuellement

    Préface

    @Zera : Toutes les questions les plus loufoques sont les bienvenues @Jedino : Aaaaah ça va donc devenir intéressant !
  7. Eventuellement

    Préface

    Ce blog, je l'écris pour moi, tel un entrepôt de curiosités, réflexions et exposés scientifiques, et j'espère même philosophiques. Avant tout, je souhaite qu'il puisse également servir de lecture pour celles et ceux qui seraient curieux d'en savoir plus sur un domaine qui ne leur est pas familier. Je ne prétends pas apporter des connaissances exhaustives et pointues sur ces domaines abordés, et j'ai encore moins la prétention d'aborder les questions les plus vastes et les plus complexes des sciences. J'espère seulement donner à réfléchir, peut-être exciter la "fibre du chercheur" qui existe sans doute en chacun d'entre nous, et dans le meilleur des cas exalter la curiosité des plus intéressés qui iront sans doute approfondir le sujet par eux-mêmes. Ce blog est aussi un appel à la discussion, discussion entre membres, discussion avec soi-même. Une des facultés primordiales dont doit savoir faire preuve un scientifique étant le sens critique, je vous invite à me critiquer autant que vous le penserez nécessaire. Poser les bonnes questions, ne pas hésiter à vouloir savoir davantage sont les bons réflexes. Bonne lecture
  8. C'est même une certitude. Sauf qu'elle a ouvert ses frontières de manière outrancière, sans regarder dans le porte-monnaie. Dans l'impossibilité de fournir à ces nouveaux arrivants des conditions de vie "moyennes", l'immigration de masse a eu pour effet indésirable la ghettoïsation et une prolifération des communautarismes. Tu peux aussi travailler et devenir un honnête citoyen plutôt que de chercher à t'imposer. T'imposer au nom de quoi ? Tu penses que pour vivre, ça passe forcément par un rapport de force ?
  9. Je pense exactement la même chose. Mais merci à V. pour ce moment L'autre jour, un de mes amis musulman a mangé du porc. Nous étions à un buffet et il avait trop faim pour faire attention à ce qu'il prenait. Je lui ai dit, après coup, que c'était du porc (je lui devais au moins ça, n'ayant pas osé au début pour ne pas gâcher son repas). Il n'en avait pas l'air plus affecté que ça. Il m'a seulement avoué qu'il ferait une prière pour expier ce pêché. Le pauvre, il avait d'autres soucis en tête !
  10. Haha on peut dire ça comme ça. Mais dans cette "puanteur" on retrouve la forte effluve de la fermeté, et dans le dégoulinant une once de douceur qui ressemble à la volonté de trouver un consensus...

  11. Haha, la deuxième est tip-top !! :smile2:
  12. Elle s'est même affinée comme un vieux fromage !

  13. Un ancien message d'un certain membre du forum (qui date de presque 8 ans), et que je trouve éloquent au vu de ce que nous traversons actuellement :
  14. Ce qui veut dire ? Sur l'idée on est bien d'accord. Et tous ceux qui veulent se débarrasser du problème sauront que c'est ce qu'il faut faire. Mais il faut avouer qu'il n'y a rien de concret dans ce que tu dis, ce qui est décevant de la part de quelqu'un qui pense détenir la vérité en tout et sur tout...
  15. Sachant que sur ce forum, avoir raison ne suffit plus, il faut obtenir l'adhésion des autres (le +1). Et je trouve que tu en es un exemple probant. Plus sérieusement, qui te dit qu'elle n'a pas essayé le dialogue ? L'enfant répète les âneries de ses parents et n'en comprend pas l'affreuse portée même s'il a "saisi" que "Charlie Hebdo a mérité son sort et que le prophète ne doit pas être moqué". Ces mots s'ancreront dans sa tête et érigeront ce massacre comme étant LA vérité. On peut discuter avec l'enfant, essayer de le raisonner, mais puisque celui-ci n'a presque aucun recul et esprit critique, sachant qu'il vit en grande partie avec ses proches et que le facteur émotionnel (on écoute ceux qu'on aime) rentre également en compte, cette discussion sera bien vaine.
  16. Dieudonné est responsable de ses mots, et c'est tant mieux. Mais vous lui faites dire tout et n'importe quoi avant qu'il ait eu le temps de s'expliquer. Et ceci, je trouve, va à l'encontre de sa liberté d'expression, aussi étrange que cela puisse paraître. Enfermez-le s'il s'avère qu'il y a eu intention de profaner les morts, mais pas avant qu'il ait pu parler.
  17. Tout à fait juste. Maintenant, pouvons-nous être sûrs que si CH n'avait pas "provoqué" ces fanatiques, il y aurait eu un autre attentat de cette ampleur ?
  18. Vois-tu, intellectuellement parlant, ça me gêne de faire dire aux autres ce qu'ils n'auraient pas exactement dit, et ceci, je l'affirme en considération de mon inimitié profonde envers Dieudonné. Une provocation est une provocation, et est à prendre avec des pincettes surtout lorsque celui qui l'a proférée n'est pas clair sur le sens qu'il veut lui donner.
  19. S'il avait dit "Je suis Coulibaly", d'accord. En l'occurrence, il dit "Je suis Charlie Coulibaly". Si j'étais toi, je le laisserais s'expliquer avant de conclure quoi que ce soit.
  20. Ce n'est pas "littéralement" ce qu'il a dit, stricto sensu. Ce n'était pas explicite. On peut trouver pléthore d'interprétations possibles. A l'heure d'aujourd'hui, Dieudonné peut encore démentir et proposer une autre interprétation à ces mots certes insultants puisqu'ils associent deux messages contradictoires. Ce procès d'intention est à la fois hâtif et abusif. Un peu d'honnêteté.
  21. Très juste. Je m'aperçois que je n'ai pas pris le temps de peser mes mots et leur donner le sens voulu.
  22. Il y a des gens à qui cela gène, mais qui n'auraient pas voulu que l'on tue pour cela. Il y a des gens qui auraient voulu utiliser leur voix, leur stylo, afin de répondre aux caricatures de Charlie Hebdo, des personnes pour qui la liberté d'expression est un don et qui en usent pour dénoncer ce qui ne leur semble pas raisonnable. Je ne comprends pas ce procès d'intention de ta part, Jaxx. Croyants ou non, il existe des personnes à qui le message de Charlie Hebdo n'a pas semblé pertinent, voire irrespectueux. L'important, au final, est que ces personnes toutes unies militent contre cette atteinte odieuse à une liberté fondamentale du peuple français.
  23. Le Coran, Sourate II, verset 192 : "S'ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux." De plus, de plus... Il est d'une bêtise suprême de s'en tenir aux préceptes datant d'un millénaire, préceptes inhérents à une société mercantile, alors nomade et surtout archaïque. Les religions ont évolué, les hommes de foi les plus progressistes ont su adapter - que ce soit dans la religion catholique, juive ou musulmane - les enseignements de leur religion à une société dont les mœurs visent désormais à l'épanouissement de tout un chacun. L'Homme fait la religion, et l'inverse ne devrait pas être. Je connais des religieux bien plus tolérants et modérés que certains athées. Le message religieux est flexible, contrairement à ce que laisseraient penser certains illuminés. S'il est un message d'amour et de paix, comme se le revendique par exemple le Catholicisme, il doit avant tout viser le compromis et l'acceptation de l'autre, et non pas braquer certains croyants contre d'autres.
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