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Tout ce qui a été posté par apis 32
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En développant une agriculture locale, y compris de ville, il ne devrait pas y avoir besoin d'exporter. Personnellement je me fournis directement chez les producteurs.
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Je ne pense pas non plus qu'ils veuillent nous empoisonner, d'autant plus qu'ils s'empoisonnent eux mêmes en premier. Mais ils s'accrochent à un modèle agricole mortifère et qui ne tiendra pas longtemps, car en plus d’être consommateurs de pesticides ils sont exagérément consommateurs d'eau et aggravent les problèmes de sécheresse. Des solutions existent ( agroforesterie, couverts végétaux... ) mais certains s'accrochent à cette agriculture d'après guerre...
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Ben oui ! Les agriculteurs de la FNSEA sautent sur chaque exploitation qui se libère pour s'agrandir, empêchant ainsi de nouveaux paysans de s'installer ! Forcément, ça fait moins d'agriculteurs...
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C'est bien ce que je dis : Il veulent être subventionnés pour continuer à nous empoisonner et ne remettent pas leurs pratiques en cause. Ils ne sont pas TOUS les agriculteurs.
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Ça m'agace un peu qu'on dise " les agriculteurs" Il s'agit de la FNSEA... Tous les agriculteurs ne réclament pas plus d'aides pour payer leurs pesticides. Les agriculteurs ont un rôle primordial, ils n'ont pas tous les bons combats.
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Je crois que pendant longtemps je me suis laissée portée par les évènements, avec deux points de repère importants : mes enfants et mon travail d'instit spécialisée. Aujourd'hui, je deviens petit à petit ce que je veux être : suffisamment centrée pour savoir aimer ceux que j'aime et aider ceux que je veux aider. Enfin en paix avec moi-même !
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Heu... la bestiole en chaleur, je croyais plutôt que c'était un chien ou un chat... Si la bestiole du mec est en chaleur et qu'il ne veut pas d'enfant, il vaut mieux le faire stériliser aussi, mais il semble qu'il ne soit pas d'accord...
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Alors par contre, la bestiole, je suis pour la stériliser, elle !...
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Je crois que si vos discussions continuent à tourner autour de ce que chacun a dit ou pas par le passé, nous allez entrer dans un conflit stérile et inutile. La situation actuelle est que lui ne veut plus d'enfant ( ça a l'air d'être assez définitif ), que toi tu en as envie et que de plus tu es insatisfaite de votre mode de vie actuel. As tu aussi essayé de négocier ces autres aspects ? A partir de là, c'est à toi de prendre une décision. Ce que je veux dire, c'est que tu n'as pas besoin de te convaincre que c'est un connard pour opter pour une séparation. Ça ne rend pas les choses plus faciles, juste plus amères. Sans compter que s'il y a de l'amour entre vous, vous pouvez aussi inventer d'autres formes de relation : Si tu n'as pas envie de t'enfermer dans une famille qui n'en est pas une, sans enfants, tu préfèreras peut-être opter pour rester en couple, mais en habitat séparé. Mariés amants, c'est pas mal, non plus. Si vos chemins se sont vraiment séparés, alors dont acte, pas besoin de ressentiment pour alourdir les choses. Et vous devez définir ensemble la suite de vos relations : rester amis ou couper complètement les ponts. Mais ce qui importe, ce ne sont pas les reproches que tu peux lui faire mais ce dont tu as envie, toi, maintenant pour continuer ta route...
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alors, supprime nos message et ne garde que ceux de @couroucoucou ! Mais, est ce vraiment ce que tu veux ? Peut-être effectivement que maintenant, tu es plus au clair sur ce que tu désires vraiment, je te le souhaite !
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Le rôle de belle-mère est très difficile à vivre, et la maternité ne résout aucun des problèmes que cela pose, je peux te le garantir par expérience. Si tu as l'impression d'avoir plus perdu en renonçant à ta vie de célibataire que gagné dans ta vie de couple, il faut que tu arrives à lui en parler calmement, sans être dans le reproche mais dans le constat de ce que tu ressens. En étant bien au clair sur ce que tu désires, je souhaite que ce topic t'aide dans ce sens.
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Je ne peux me baser que sur ton écrit, sans vous connaître, et mon opinion n'a donc que peu de valeur... Maladroit et un peu macho, certes... Malhonnête, je ne crois pas... Quand on n'a pas d'enfants, ou quand on est encore jeune, l'envie d'avoir des enfants peut-être très forte. Quand les enfants grandissent et qu'on découvre peu à peu toutes les responsabilités que cela implique, il arrive effectivement un moment ou on hésite à se relancer dans l'aventure pour se consacrer à ceux qui sont là. A toi d'évaluer ce qui, aujourd'hui, a le plus d'importance pour toi. Votre relation vous a visiblement fait changer tous les deux, pas forcément dans le même sens. Mais pour justifier une éventuelle séparation, ne lui mets pas tout sur le dos, cela risque de polluer vos futures discussions, de rendre les choses plus difficiles et tu risques de le regretter. Sororalement.
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Je suis très loin de ma jeunesse, mais je fréquente beaucoup de jeunes. Les uns dans le milieu des musiques et danses traditionnelle. Musiciens souvent multiinstrumentistes, chanteurs, danseurs ils maîtrisent souvent plusieurs formes d’occitan. Ouverts aux autres cultures dites minoritaires souvent férus d'histoire, j’apprends beaucoup à leur contact. Les autres dans le milieu des luttes écologiques, ils ont parfois recours à la désobéissance civique et se trouvent donc dans l'illégalité. Jamais pour favoriser leurs intérêts personnels, ils ont un sens aigu de la vie, du bien commun et montrent parfois un courage héroïque. Certains naviguent dans les deux milieux... Je suis admirative des jeunes que je côtoie, pour l'étendue de leur culture et leur respect des êtres vivants, humains ou non humains...
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deceme mes de la fred genèr mes de la nèu heuren mes de la ploja ...
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En somme, tu concentres ton mental et tes efforts sur un état que tu voudrais voir disparaître. Il te faudrait changer de point de vue : Que cherches tu de positif ? Le calme, la paix, la légèreté... ? Alors, tu pourras concentrer tes pratiques sur un objectif ... La respiration, la sophrologie et les thérapeutes peuvent t'aider, la lecture aussi si tu choisis des oeuvres inspirantes. La télé, ça peut permettre de se délasser un moment, d'accéder à une certaine culture mais en ce qui concerne ton bien être elle ne peut pas t'aider beaucoup, ou alors à te fuir, ce qui n'est pas une bonne idée...
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Je connais mieux :
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En même temps... on a tout le mois de janvier pour présenter ses voeux. Et puis, c'est très important ?
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apis 32 a répondu à un(e) sujet de apis 32 dans Inclassables
Alors le correcteur d'orthographe, s'il aide parfois, il provoque aussi les erreurs, parfois. J'aime beaucoup la langue, mais ancienne instit spécialisée ayant travaillé avec des dysphasiques, dyslexiques et autres dyspraxiques, je suis très tolérante sur l'orthographe qui n'est qu'un code très récent.... Déjà, on ne devrait pas dire les fautes..., ce sont des erreurs, tout au plus... -
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apis 32 a répondu à un(e) sujet de apis 32 dans Inclassables
Je suis allée vérifier mais... l'Auvergne et le Limousin font bien partie de l'Occitanie. On y parlait donc l'occitan sous une forme cheucheutée ( avec de ch partout ) d'après ce que j'ai entendu dire ! Avec cette idée stupide de nommer Occitanie une toute petite partie de l'Occitanie historique plus la catalogne du Nord, je ne sais pas comment trouver une carte en ligne. Cet été, j'ai assisté à une conférence passionnante sur la cabrette et les bougnats montés à Paris où ils ont inventé les bals musettes bien avant que les italiens y imposent l'accordéon. -
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apis 32 a répondu à un(e) sujet de apis 32 dans Inclassables
Chez nous, les locuteurs dont c'était la langue maternelle ont pratiquement disparu. Mais l'occitan est (re) devenu une langue de culture. Chaque semaine, j'ai location d'entendre ou de pratiquer des chants ( traditionnels ou créés ) il y a une littérature, une poésie qui continuent de vivre et dans les basl, les festivals, les stages on entend parler occitan. C'est pour cela que je m'y mets... -
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apis 32 a répondu à un(e) sujet de apis 32 dans Inclassables
Je partage tout à fait ton point de vue à ce sujet. De plus, en m'intéressant à l'occitan, à son écriture normalisée et à ses différentes formes, plus particulièrement le gascon du Gers, j'ai réalisé que le Français "normalisé" n'existe qu'à l'école et à la télé. Je suis née à Paris, mais quand je suis arrivée, jeune instit, dans le Gers, j'ai pris très vite l'accent, parce que... les enfants ne me comprenaient pas. Il y a quelques années, j'ai répondu à l'invitation, pour un réveillon, de copains de forum... dans les Vosges. Nos "accents" respectifs nous avaient fait rire. Mais au delà de l'accent, nos Français sont tellement teintés de lexique et de syntaxe locales que ça en fait des langues proches, mais différentes ! -
J'ai vécu toute une vie d'angoissée migraineuse. La sophrologie et le méditation de pleine conscience me soulageaient mais je n'était pas autonome dans ces pratiques. J'allais de temps en temps voir un ostéopathe qui me faisait un soin pour mes migraines. Il y a deux ans, il m'a proposé de faire une série de soins pour aller plus loin que les symptômes. Puis, au bout de quelques séances, il m'a proposé de prendre plus d'autonomie en participant à un groupe de yoga. Petit à petit, je me suis détendue, jusqu'à gérer mes émotions beaucoup plus sereinement. Je participe toujours à une séance de yoga par semaine, suis très attentive à ma respiration ( ce qui me permet de venir enfin à bout des migraines ). Je ne fais pas de longues méditations mais essaie de pratiquer la pleine conscience dans les petits moments de la vie : repas, douche, allumage du feu, balade des chiens..., de pratiquer la gratitude et e choisir de poser mon regard sur ce qui est positif. Je ne sais pas quel est le chemin qui est le tien, mais il y a certainement, pour toi, une pratique qui peut t'aider à avancer plus sereinement.
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apis 32 a répondu à un(e) sujet de apis 32 dans Inclassables
Le Français, c'est déjà pas mal... et pas si facile ! Je n'ai pas non plus de don pour les langues, l'occitan, c'est pour moi un défi, par amour de cette langue et de cette culture. Effectivement, il y a beaucoup de plaisirs à trouver dans la pratique du Français... C'est aussi mon avis. Ton exemple japonais est intéressant... -
Une série en occitan-catalan-français-croate ( mais c'est sous-titré en français ) Franchement désopilante, avec des têtes connues pour ceux qui regardent les actualités en occitan sur FR3... ou Plus belle la vie. Ce soir, je vais la visionner pour la troisième ou quatrième fois, je n'ai presque plus besoin des sous titres ! C'est ici : https://www.france.tv/series-et-fictions/la-seria/
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Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours aimé les mots. Toute petite, je répétais tout bas ceux qui m'étaient inconnus, les savourais et leur inventais un sens... jusqu'au choc cognitif qui me remettait sur le droit chemin du parler correct. La solitude et ma lenteur m'ont très vite poussée dans la découverte du langage écrit et, féministe précoce et inconsciente, ce sont des textes de dictées ( exercice qui ne m'intéressait absolument pas en temps que tel ) qui m'ont charmée : ceux de Colette et de George Sand. Depuis ce temps, il en est pour moi de la langue comme de la danse. Un incessant aller retour entre les origines et le plaisir, entre la norme et l'invention... Planter les racines et déployer ses ailes... Je ne suis pas une défenseresse acharnée de la langue inclusive : en faire une convention la rendrait très vite rébarbative. Je suis par contre toujours charmée par les "celleux" et les "dans(h)eureuses" qui m'invitent et oublient de m'oublier. Je ne parle et n'écris que le français. Mais une autre langue me fait danser, depuis... bientôt 50 ans. Un jour, j'ai eu aussi envie de la chanter, puis de la comprendre. Cette année, j'ai fait un pas de plus, j'ai décidé d'apprendre à la parler. L'autre jour, nous n'étions que deux débutants dans le groupe, et dans ce poème il était question d'une dinde. J'avais compris le sens général : Après une description poétique et précise de son allure et de son plumage, la pauvre bête finissait mal. Encore mal remis des repas de fin d'année et de moins en moins adepte d'alimentation carnée, mon estomac commençait à protester. Elève studieuse, je me concentrais néanmoins sur le texte et en particulier sur un mot qui me résistait : l'aula. Un mot léger, aérien, coloré... mais qui dissonait dans le contexte : "cueita a l'aula". J'écoutais donc les locuteurs qui semblaient se régaler à proposer des traductions en évoquant des souvenirs. "cuite à l'aula"... à chaque fois, le mot résistait, il commençait à m'obséder... J'ai fini par avouer que je n'avais toujours pas compris ce qu'était l'aula, avec leurs traductions à la Nadau... Eclat de rire puis, explication collective : l'aula, c'est comme une marmite, ou plutôt un chaudron, mais pas n'importe quel chaudron, plus petit que... mais plus grand que... Je ne saurai jamais vraiment ce qu'est l'aula : je n'ai pas les références. Pas seulement parce que je ne suis pas née gasconne, parce que je n'aime pas assez faire la cuisine, je ne fais jamais cuire de dinde... Mais quand même, j'aime beaucoup cette langue, de plus en plus en la découvrant...
