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Tout ce qui a été posté par apis 32
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Même pas le persil, la ciboulette et 3 tomates cerises, au bord de la fenêtre ?
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Tu l'as volé tout prêt ou tu l'as fait toi même ? :smile2: J'ai les tomates du jardin, le concombre du marché, et la menthe de la piscine, mais j'attends que ma mère vienne, demain, pour le préparer ...
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Ben oui, en gros, c'est ce que je viens de dire ! :smile2:
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Elle présente sa pratique comme une forme de militantisme. CONTRE les grandes surfaces. Là où je crois qu'elle se trompe, c'est que la meilleure façon d'être contre les grandes surfaces, c'est d'être POUR les producteurs. Les échanges, les cultures de balcon, acheter en vente directe... et les "disco soupes" se développent de plus en plus !
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A partir d'un certain âge, j'ai l'impression que ça change beaucoup plus vite ... On dit : J'en ai marre d'entendre les gens dire vaguer. Kicékadiça ?
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Tu as raison. Moi, j'en mange, du foie gras, une fois par an, que j'achète directement à un producteur, qui maltraite bien moins ses canards que ne le sont les poulets élevés industriellement.
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Depuis une trentaine d'année, je me tartine la peau de crème hydratante (bio, pas toujours la même ). Mais je n'ai jamais su me maquiller, sauf pour carnaval ou quand je faisais des colos ... Mon petit plus à moi, c'est "plus nature que nature" et là où je suis le plus féminine c'est ... sans rien
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Heu ... avis de gasconne, le foie gras, c'est meilleur avec du pain d'épice ! :smile2:
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Pour bien manger, on peut voler. Il y a aussi les jardins partagés :
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De ne jamais avoir le temps de m'habituer à l'âge que j'ai ...
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Ou Emmanuel Todd avait-il raison ? ...
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Peut-être ... Mais en attendant, partout, on parle du côté sombre du drame, pas beaucoup de lui.
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LE POMPIER OU LE TERRORISTE ? Je viens de passer deux jours quasi muet, abasourdi par les violences terroristes qui ont frappé des innocents en France et en Tunisie. De nouvelles étapes dans l’horreur viennent, dans les deux cas, d’être franchies : une décapitation sur le sol hexagonal, une fusillade sur une plage paisible. Ne croyons pas que cela cessera là : le mimétisme va jouer, ces abominations serviront de modèles à d’autres, la cruauté prendra des dimensions vertigineuses. Un détail m’inquiète : la publicité que les médias font aux criminels. Elle a d’infinis effets pervers. Si la célébrité représente l’une des formes de la réussite contemporaine – « chacun cherche son quart d’heure de gloire » -, les médias décernent une sorte de légion d’honneur aux terroristes. Ils les font entrer au Panthéon des criminels, sans se rendre compte que, pour certains, c’est le Panthéon des martyrs. Effet pervers… Privilégier le spectaculaire, le sensationnel, c’est privilégier la violence. On nous fait entendre l’arbre qui tombe, pas la forêt qui pousse. On donne du bruit au bruit. On fait silence sur l’essentiel. Consacrer du temps, de l’antenne, des mots, de la place, aux criminels, c’est certes tenter de comprendre, mais c’est aussi inverser les valeurs. Je voudrais qu’on me parle des héros du bien, pas des héros du mal. Je voudrais qu’on me parle du pompier qui s’est jeté sur Yassin Salhi et l’a neutralisé. Imaginez la scène : le terroriste vient d’accrocher au grillage la tête de sa victime et ouvre des bouteilles d’acétone pour faire sauter l’usine en hurlant des paroles de haine. Le pompier se jette sur lui et, aux poings, l’arrête, le domine puis le livre aux forces de l’ordre. Non seulement ce pompier du SDIS38 a sauvé des centaines de vies, mais il a aussi sauvé une idée de l’homme : l’humaniste qui met sa force au service des autres et du bien commun. Grâce à lui, la bonté n’est pas morte. J’aimerais qu’on le célèbre davantage que le criminel. Ce pompier se repose chez lui, choqué, blessé, nous dit-on. Par prudence, on maintient son anonymat. Merci à lui. Pour continuer à vouloir vivre dans ce monde, pour en avoir le courage, la foi et l’envie, j’ai besoin de penser à lui. Merci d’exister. Eric Emmanuel Schmitt
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La provocation et les règles du débat
apis 32 a répondu à un(e) sujet de Savonarol dans Aide et Suggestions
Hé non ! j'ai pas eu le temps de troller ! Je ne le ferai plus, c'est la chaleur .... -
Ah bon ? Ya des permis, en plus d'huile de palme dans les pots de nutella ?
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Pourquoi le travail s'impose comme une nécessité ?
apis 32 a répondu à un(e) sujet de l empereur dans Société
Benjamin n'a rien d'un hippie ! Les hippies rejetaient le modèle de société dont ils étaient issus, en particulier la famille. D'après le projet, le mode de logement prévoit de préserver la famille pour ceux qui le désirent. D'autre part, les hippies expérimentaient toutes sortes de substances dont il explique qu'il n'y touche pas, pour préserver sa santé et ne pas se rendre ainsi dépendant du système médical. Enfin, je ne pense pas qu'il soit dans la privation. c'est un être raisonnable et organisé, qui s'est fait soigner les dents quand c'était nécessaire, semble en bonne santé physique et morale, plein de projets et heureux de vivre. Il pourrait être le petit fils de Pierre Rabhi. ( Il est beaucoup plus sympathique que ses fils, en tout cas ! :smile2:) -
Je ne ferai plus d'enfant ... C'est promis !
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Pourquoi le travail s'impose comme une nécessité ?
apis 32 a répondu à un(e) sujet de l empereur dans Société
Oui, c'est comme ça que je le comprend. Et je le comprend d'autant plus que les échanges médiatisés par l'argent sont maintenant terriblement faussés. La poste n'a plus d'usager, mais des clients. Les parents considèrent les enseignants comme les gens ( grassement ) salariés pour garder leurs enfants, les éduquer un peu et éventuellement leur apprendre quelques rudiments ... Les médecins sont rétribués pour vaincre la maladie ... voire la mort... Tout a un prix et en plus, tout ce qui a un prix est taxé... Il me plaît bien, à moi, ce jeune ... Et je comprends tout à fait son projet... Bien mieux, effectivement, que de parasiter le système sans échanger. -
Pourquoi le travail s'impose comme une nécessité ?
apis 32 a répondu à un(e) sujet de l empereur dans Société
Lui, il propose d'expérimenter une utopie sans argent, mais pas sans travail ... -
Pourquoi le travail s'impose comme une nécessité ?
apis 32 a répondu à un(e) sujet de l empereur dans Société
En fait, là ce à quoi je rêve ... ce n'est pas tant de ne rien faire que de ne plus avoir de contraintes ... JE NE VEUX PLUS ME LEVER AVANT LE SOLEIL, C'EST CONTRE NATURE !!! -
Pourquoi le travail s'impose comme une nécessité ?
apis 32 a répondu à un(e) sujet de l empereur dans Société
C'est quoi, le travail ? Quand je ne travaillerai plus, je pourrai : M'occuper de mon petit fils, quand ma fille aura besoin d'aide. Entretenir mieux ma maison ( c'est la cata ! ) Entretenir mieux autour de ma maison ( c'est encore plus la cata ! ) Avoir plus de carrés dans mon jardin, mieux entretenus, toute l'année ( pour l'instant, c'est juste tomate et haricots pourpres, pour le plaisir, l'été ) Cuisiner davantage, et mieux. Danser et chanter davantage. Et, si j'ai le temps, faire un peu de bénévolat. -
Les régions et l'Europe, ça va ensemble ! https://gennetines.org/ Allez voir le planning, sur les 8 parquets, ça vaut le coup !
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Petite précision : Les mots en eur viennent du patois francilien ( origine du "français" ), ceux en our viennent de l'occitan. Le malheur est français, l'amour occitan ...
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Non, ce qu'on réclame, et commence à obtenir, c'est le bilinguisme, la double signalétique, un espace pour les différentes cultures ... Au musée campanaire, à l'isle jourdain, les visites se font généralement en français, on en propose en anglais ou espagnol pour s'adapter à la demande, et de temps en temps, on en fait aussi en gascon, au moment du carnaval, de escota et minja. Il se trouve que les fêtes les plus sympas sont gasconnes, chez nous... D'ailleurs, escota e minja se termine par la messe des moissons qui n'est pas dite ( et chantée ) en latin mais en occitan . Il y a bien des bal musettes, où les gens sont bien habillés, et ne dansent qu'avec leur partenaire. Si je veux m'amuser, je n'ai pas le choix, ce sont les bal trad, plus détendus, ou tout le monde danse avec tout le monde. Je suis une amoureuse de la langue française, et ... je ne sais pas parler gascon, je ne suis pas tombée dedans quand j'étais petite, je suis née à Paris et je ne suis arrivée dans le Gers qu'à 20 ans. Mais je chante un peu, j'aime cette langue (qui a d'ailleurs pas mal inspiré le français tel qu'on le parle actuellement ) et je compte bien l'étudier plus sérieusement quand je serai à la retraite, parce qu'il y a de plus en plus de locuteurs, et une littérature à découvrir ... Ne serait-ce que Jean François Bladé ...
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cadeau : une scottisch de chez nous, jouée à la boha (prononcer bouho), cornemuse gasconne.