Mite_Railleuse

Comme quoi, on peut bourlinguer ailleurs et être pétri de certitudes, le manichéisme et les clichés chevillés au corps.

Mon voisin a repeint mes wawas. J’ai envie de faire un mur avec des illustrations steampunk ! Avec lui au centre, en exergue. Faut que je trouve un p’tit truc à écrire, pour que les mecs s’appliquent à bien viser. Avec ce délicieux regard fixé sur eux, qui sait, ça peut faire des miracles...

Si tu savais la taille de ma crédence, tu comprendrais mon désespoir…

Et valà, c’est malin ! Ça fait longtemps que je résiste, mais là chuis en train de sombrer…

J’ai juste répondu à ton affirmation sur le suicide dans les pays pauvres. Et oui, il faut être bien malheureux pour que des enfants se suicident. Dans n’importe quels pays…

« … il est important de noter que le suicide n'est pas un phénomène limité aux seuls pays à haut revenu. Selon l'Organisation mondiale de la santé, la région africaine a le taux de suicide le plus élevé au monde, estimé à 11,2 personnes pour 100 000 habitants en 2019, contre une moyenne mondiale de 9,0 pour 100 000 habitants cette année-là. Le Lesotho affiche des taux particulièrement élevés, avec 87,5 pour 100 000 habitants, suivi par l'Eswatini, avec 40,5 pour 100 000 habitants. L'OMS souligne que 77 % des suicides ont eu lieu dans des pays à revenu faible ou intermédiaire en 2019, ajoutant que le manque de données sur le suicide a conduit à une sous-déclaration continue. » Source

Oui, c’est mieux de voir en vrai. Ça évite les mauvaises surprises. Peut-être dans les grandes enseignes de bricolage. Ou chez les cuisinistes.

Après, je ne connais pas les prix…

J’aime la diversité des crédences en verre…

Le courage. Celui de cet étudiant. Et celui aussi du militaire qui refuse d’avancer sur lui…

Oui, elle est vertigineuse ! J’ai pas le vertige, mais là…

La première fois que je l’ai vu, j’en ai eu des frissons …

Si la lucidité commandait sans trembler les émotions, les ressentis, les désirs, ça se saurait. Je trouve ce "quand on veut, on peut", grotesque et inepte.

Toi non plus t’es pas étanche ?

Elle faisait allusion à ceux qui étaient pré ados et ados pendant le confinement. C’est en tous cas ce qu’elle et ses collègues ont constaté, avec le recul. Bien sûr que ce n’est pas LA cause de ce mal-être. Mais cela en fait peut-être un peu partie pour ceux qui l’ont vécu.

Non, je ne me souviens pas. Mais perso, j’ai vécu plutôt bien le confinement. Alors je crois que je n’ai pas vraiment pris la mesure, l’ampleur du phénomène...

J’ai eu cette discussion avec une amie qui travaille dans une mission locale, et effectivement, il semblerait que le confinement ait fait des dégâts auprès de pas mal de jeunes. Ils se sont repliés sur eux-mêmes, ne sortent pratiquement pas, ne vivent pas une vie sociale de leur âge, "normale". Victimes d’un climat mortifère et en quelque sorte du vol d’une partie de leur vie. Inquiétant. Et si triste...

Ce n’était vraiment pas un ergotage. Je n’arrivais pas à saisir le sens de la question avec cette notion de "légitimité". Parce que justement, je trouve que la haine est vraiment quelque chose de quasi organique, comme un raz de marée qui submerge tout. Qui est du domaine du cerveau reptilien plus que de la légitimité. Je sais pas si je suis très claire...

Aucune "leçon" en ce qui me concerne. Juste un mot qui dans le contexte ne me parlait pas.

Incapable d’entendre un autre discours que le tien. Ça n’a pas l’air d’ouvrir les écoutilles, d’avoir la foi… Et crois bien que si tu devais être mon « punching-ball », je serais bien moins courtoise. Pour le reste, j’en ai un peu rien à foutre de ce qui t’arrangerait.

Et si quelqu’un "ose des choses au delà du permissible et de l’acceptable", comme prendre (ton) chien, dans (ton) jardin et le clouer sur ta porte d’entrée, tu t’en fous ?

Non plus. Je n’arrive pas à trouver un terme que je trouverais plus "juste". Mais c’est pas grave, je comprends l’idée.

Je ne trouve pas vraiment adéquat ce terme de "légitime", parce que légitime par rapport à quoi, mais là, je n’en trouve pas d’autre. En tous cas je comprends que l’on puisse l’éprouver. Je pense qu’elle est bien plus toxique et destructrice pour celui qui la ressent que celui vers qui elle est dirigée. Mais je n’ai pas été confrontée à quelque chose qui l’aurait provoquée, alors difficile d’être affirmative, ou ne serait-ce que pertinente...