Mite_Railleuse

David contre Goliath ?

Argumenter quoi ? Il suffit de lire ! Le mépris t’est tellement familier que tu ne le vois plus ? Je le remets, pour se rendre bien compte… « Après tu peux aussi avoir le pequin lambda mais lui en général il a peur parce qu on lui dit d avoir peur sans avoir besoin de lui fournir beaucoup d'explications. Il a son lexomil et son netflix pour le détendre et l'occuper. »

Tout.

Kirsten dun ? Je ne sais jamais son nom

Tu n’as pas saisi mon propos. Elles ont de la chance que tu ailles voir ailleurs… Et quand on a que wokisme, homme déconstruit, et j’en passe de la même teneur, sous le clavier, c’est osé de causer sans frémir, « sempiternelles jérémiades et complaintes » ! Mais il paraîtrait que tout oser serait un signe distinctif… Sinon je ne sais toujours pas ce qu’est un homme « déconstruit »…

Du mépris décomplexé. Pas plus.

Ça vaut très largement le mépris décomplexé de la tienne.

Je vois... Comme beaucoup d’autres, tu l’ânonnes, ce "déconstruit", tout en étant infoutu de donner le début, même anémique, d’une explication. Elles ont de la chance, les femmes françaises...

On en parle encore, alors que l’on est plus ensemble depuis au moins la préhistoire ! Un super souvenir...

Ben si, un peu quand même ! Ne surtout pas "déconstruire l’homme blanc, hétéro de plus de 50 ans ». C’est la substantifique moelle de ton oeuvre, ici... Mais en vrai, ça veut dire quoi déconstruire un homme ? En pratique, ça donne quoi ? Allez, tu peux me le dire à moi, promis je le répéterais pas...

La seule fois où j’ai mis guêpière et porte-jarretelle, il a mis 3 plombes à défaire les 300 000 boutons que j’avais mis une semaine à boutonner, et ça s’est terminé en fou-rire cosmique ! Le tout, dans un tipi avec une giganstesque baignoire en plein milieu... Bonjour le week-end glamour

T’en as quelque chose à cirer toi, des femmes afghanes ? Mis à part « l’homme blanc, hétéro de plus de 50 ans » et bien sûr les femmes surtout pas françaises, c’est quoi tes « priorités » ? Si je voulais imposer quelque chose, ce serait de donner le choix. Pas plus…

Demande à ton smiley, il a l’air d’avoir compris, lui…

Je connaissais pas, chuis archi fan !!!

Tu vas avoir du mal avec moi et mon arrogance, alors, parce que priver de liberté (s), faire peser un joug implacable et criminel, sur toute une partie de la population, les femmes pour ne pas les citer, c’est bien bien bien plus qu’une « erreur ». C’est une monstruosité ! Une hérésie, une atteinte à l’humanité…

@Luchik Le mot que tu veux toi. Quitte à l’inventer pour Elle…

« Lassés des excès des moudjahidines et des luttes intestines après l'expulsion des soviétiques, les talibans ont été généralement bien accueillis par la population afghane lors de leur apparition. Leur popularité initiale était en grande partie due à leur succès dans l'éradication de la corruption, la lutte contre l'anarchie et la sécurisation des routes et des zones sous leur contrôle, ce qui a stimulé le commerce. » Source

Difficile…

Un modèle comme celui qu’on se trimballe depuis des temps quasi immémoriaux, qui fait quand même la part belle, faut bien l’avouer, à chacun sa place bien définie, immuable ? Et dans la distribution des rôles, le mâle triomphant, "viril", et tout et tout s’est attribué le rôle vedette. Enfin des scénarii qui changent...

Le « nous » ne me dérange que quand il est prend toute la place et annihile totalement l’individu et ses particularités. Pour l’auto alimentation, je ne comprends pas.

J’ai été cueillie par « Les voyageurs de l’aube ». Sa plume dessine, capture les éléments, et tout ce qui compte vraiment, plus qu’elle n’écrit… « Il suffit parfois de se taire et les réponses viennent seules, elles ne demandent que cela, mais les questions les effarouchent, elles parlent trop fort, elles remuent, elles ne désirent pas, elles veulent, elles ignorent que le silence est le berceau où se murmure tout ce qui vaut d’être entendu. »

Pas chez le mien. Mais bon, j’ai la papote facile, ceci explique peut-être cela…

Alors les autres je sais pas, mais moi l’engagement, c’est vrai, chuis pas fan fan… Mais outre ça, il y a vraiment des amours étouffants. Ou l’autre n’existe que par le « nous ». C’est oppressant…

Un peu pareil. De plus, je me sens comme prisonnière, étouffée dans un carcan. Et j’ai l’impression que la personnalité de l’autre se dilue dans cet amour. J’aime pas...

C’est vrai. Mais ça ne change rien non plus aux contacts qu’à un boulanger avec ses clients.