Mite_Railleuse

Tuer, voler, trahir est profondément humain aussi.

Je m’approche déjà pas d’une vache, alors d’un éléphant… Je ne fais pas non plus de selfies, et accessoirement j’essaie de foutre la paix aux animaux ! Chuis tranquille

Polyvalent pitêtre ? Il a bon dos Alzheimer ! Inculte !!

Amusant, je ne sais pas. Il voulait être rassuré je crois...

M’aurait étonnée que tu t’engouffres pas dans la brèche !

Penser savoir en lisant 3 lignes sur un forum, c’est ne rien savoir. C’est un constat, pas plus.

Des personnes ont aimé tes poteries, les ont achetées, et tu es témoin qu’il existe des gens honnêtes sur cette terre. C’est bon aussi de le rappeler ! Une belle journée

Désolée je suis, je ne sais absolument pas comment faire. Par contre, je suis intriguée par cet "orteil du pouce"...

Ambivalent ?

Comment peut-on affirmer ça sans rien savoir ?

Ah, nous avons un nouveau Docteur Love...

Je fais bien la différence. Mais comment dissocier l’humain du professionnel ? Il faut l’être, capable de tourner les talons. Même s’il n’est pas possible, souhaitable (?), "professionnel", ni savoir comment intervenir de quelque manière que ce soit, j’ai cette image de la personne qui s’éloigne en laissant l’autre. Je ne dis pas que j’ai raison ou que je détiens une quelconque vérité, mais que ce doit être difficile à encaisser, à vivre. Et si ça ne l’est pas, il me semble que quelque chose s’est perdu en route...

Alors si j’ai tout bien compris... Les femmes doivent, devraient se soutenir, mais pas les hommes, parce qu’ils sont (en théorie) les dominants. Quand une femme a un poste de pouvoir, elle voit les autres femmes comme des "rivales potentielles". Et pas les hommes, comme des rivaux potentiels ? Un homme qui a un poste de pouvoir, lui s’en fout des rivaux potentiels, c’est normal, c’est une "rivalité virile". Et si c’est une femme qui brigue son poste, il s’en fout toujours, ou bien c’est pas pareil qu’une "rivalité virile" normale ?

Et pas les hommes ?

Je n’ai pas d’expérience en psychiatrie, mais je crois que toute hospitalisation, dans n’importe quel service, est source de stress et d’inquiétude. Mais tu seras dans un environnement sécurisé, avec des professionnels qui connaissent leur job...

Cet aprem à Castelnaudary...

OK, pas de souci

Dans une ville du Chili oppressée par la dictature de Pinochet, une boucherie de quartier est le théâtre de curieuses rencontres : des réunions obscures s’y tiennent, des passions s’y nouent… Un enfant aveugle, une institutrice et un boucher fort en gueule composent ainsi le trio majeur de cette fable teintée d’humour et de poésie. Mais derrière l’apparente naïveté s’esquisse une condamnation sévère des régimes totalitaires… Hugo se terre chez lui, retranché derrière une porte blindée. Il observe l'horizon partir en fumée. Jusqu'au jour où, poussé par le destin, il se décide à sortir et à traverser le chaos pour atteindre le coeur même du brasier. Pauline a rejoint un groupe de révoltés, quelques jeunes réfugiés dans les tunnels du métro afin d'échapper aux bombardements. À bout de force, elle se résout à sortir, en quête d'air et de lumière. Dans un univers dévasté, recouvert par une épaisse couche de cendres mortifères, chacun avance avec l'ardeur du dernier souffle, le vacarme comme boussole.

Ouvre un sujet

Ben si, C’EST là question. Le sujet du post.

La semaine des Pyrénées, qui n’est pas un gratuit. Et oui j’y ai travaillé durant deux ans. Et non je ne suis pas journaliste. Je n’ai d’ailleurs pas dit que je l’étais. Ce qui ne m’a pas empêchée d’y avoir travaillé. Et d’avoir écrit bien plus qu’un papier sur une fête. Si tu fais allusion à @Tequila Moor ou à @apis 32, je serais curieuse de les entendre rapporter ce que j’aurais dit à ce sujet. Tout en étant désolée de les citer. Et ne viens pas me parler d’imposture, quand tu viens travestir la vérité, pour je ne sais quelle raison.

Voilà. Bien résumé...

J’ai bossé 2 ans dans un hebdo. Mais je n’ai jamais été confrontée à une situation qui aurait pu me poser un cas de conscience. Donc mon sentiment est tout à fait subjectif. J'ai beau comprendre et être dans la plupart des cas plutôt d’accord avec les arguments des uns et des autres, j’arrive pas à m’imaginer couvrir une situation dramatique, puis le job fini, tourner les talons et partir. Mais bon, j’ai pas vécu, alors...

Le trou noir quoi ! C’est moche...

Tu veux dire qu’il n’est plus possible de se caler en orbite ?