Virginie31

Des sans couilles --' Qui les attaquerait à mains nues ? - Julien Pierre, 1 m 97, 110 kilos, Benjamin Kayser fait dans les 1 m 82/83 pour environ le même poids et Rougerie 1 m 93 pour une centaine de kilos. T'as pas trop envie de leur chercher des noises en principe...

Trop vaste question ! J'ai voté pour le 3. Dans ma famille, on est très bise - voire smack, même d'enfant à parent : pour se dire bonjour le matin, quand on part à l'école, quand on se retrouve le soir, quand on va se coucher, etc... Je sais pas si c'est une tradition familiale ou si la plupart des familles françaises réagissent comme ça. J'avoue que c'est un truc qui me soûle vite. Je suis quelqu'un d'assez froid donc si tu me dis bonjour comme ça, ok ça va le faire mais j'avoue que ça dépend des personnes. Avec celles qui " comptent " c'est un automatisme. Avec les gens de passage ou celles que je vois rarement et dont je n'ai rien à faire, j'avoue que ça me soûle. Donc je dirais que ça dépend des circonstances ^^' Après, tu en as qui sont vexés si tu ne leur fais pas la bise, ça peut vite prendre des proportions monstres...

Je parlais du gueuloir ! Tous les textes sont nouveaux, je ne te fais pas de critique là dessus ! C'est déjà bien beau d'avoir les couilles de partager ta créativité, même de façon anonyme. Tu as du talent, il faut peaufiner

Tu fais exprès de jouer sur les sonorités ? Ca fait limite mal tous ces " an " en début de texte. Et y a limite trop d'adverbes... Tu devrais essayer un gueuloir chez toi - si ce n'est déjà fait - c'est du déjà vu mais cet auteur ne laissait rien au hasard Je me suis couché le soir en homme et me suis levé en spectre. Une de tes plus belles phrases en mon sens. Mes yeux sont restés scotchés dessus. A méditer.

En parlant de poids... On raconte que le jour de l'enterrement du roi Henry VIII, celui-ci pesait tellement lourd que ses porteurs le laissèrent tomber, ce qui répendit son sang sur les pavés de l'église... et ravirent ses chiens de chasse qui suivaient le cortège qui s'empressèrent de le lécher. * Bon appétit *

L'abbaye de Monte-à-Regret ( je viens de tomber dessus, je ne connaissais pas... ) Qui désignait la potence ou l'échafaud. Cette expression pour désigner l'échafaud date du XVIIe siècle. Nous la comprenons avec son terme 'regret' (on va rarement volontiers à une exécution quand on en est le principal acteur), mais elle vient plus probablement de à regrès, qui voulait dire ' à reculons ', car on faisait monter le condamné à l'envers vers la potence avant de lui passer la cravate de chanvre autour du cou.

Avoir les yeux en couilles d'hirondelle : être fatigué Vive le Sud-Ouest :p

Idem ! Enfin, c'est une bon engrais parait-il - c'était mon grand-père qui disait ça :)

Royaume-Uni ou Nouvelle-Zélande... Entre Tolkien et Peter Jackson, mon coeur balance et fait boum boum... :blush:

Faire amende honorable Qui signifie reconnaître ses torts, demander publiquement pardon. C'est au XVIe siècle que cette expression apparaît, d'abord avec la seconde signification proposée, avec un sens bien plus fort qu'aujourd'hui puisqu'il est carrément question de pénitence publique alors que, depuis le XVIIIe, on l'utilise pour de simples excuses. Le mot 'amende' vient du verbe 'amender'. Dès le XIIIe siècle, il désignait une peine, une punition correspondant à la réparation d'un tort, souvent grave, avant, bien plus tard, de se spécialiser dans la réparation pécuniaire, comme l'amende que nous versons aujourd'hui à l'État pour peu qu'un radar bien dissimulé nous ait pris en faute ou qu'un pandore mal placé ait constaté un léger chevauchement de ligne blanche continue. L'amende honorable, qui imposait une demande de pardon en public, était une peine infamante qui se traduisait entre autres par une privation d'honneur (honorable = relative à l'honneur) et était opposée à l'amende profitable, celle-ci consistant en un paiement de sommes d'argent, la seule qui nous est restée.

Réduire le nombre des députés et des sénateurs, pour ce qu'ils font à longueur de journée et pour le salaire qu'ils en récoltent, ouais, ok, même si dans un idéal, ils ne sont pas là pour faire joli mais pour servir notre cause, du moins celle de la France. Réduire les charges patronales et salariales, oui, aussi c'est une bonne idée... dans l'idée. Dans la mesure où s'ils réduisent là, faudra bien qu'ils trouvent un bénéfice autre part et c'est certainement pas eux qu'ils vont faire douiller... Le problème reste donc entier et peut être associé à un cercle infernal. Il faudrait une solution miracle pour nous sortir de là et c'est bien connu, les politiciens ne sont pas des Gandalf ou des Harry Potter en puissance, ils ne peuvent pas tout changer du jour au lendemain, ils ne peuvent pas promettre quelque chose qui est techniquement infaisable et impossible. Inverser la courbe du chômage reviendrait à sortir ce pays de l'abîme dans lequel il s'enfonce depuis de nombreuses années, redonner du pouvoir d'achat à la populace et faire repartir l'industrie française pour qu'elle puisse enfin avoir un nouveau souffle et... embaucher. Arrêter de s'endette outre-Atlantique et en Chine : on parle quand même de deux super puissances mondiales - même si les US sont pas mal dans le pétrin d'après ce qu'on raconte... - d'une dette qui est vieille de plusieurs décennies et qui n'est pas prête d'être résorbée et la Chine peut être comparée à un Gargantua jaune : elle est en train de tout bouffer sur son passage et vu qu'elle a de l'argent, au lieu de garder notre fierté et notre savoir-faire, faisons-la investir dans nos plus grandes entreprises, vendons-lui nos vignobles, la Tour Eiffel et aussi, soyons fous, Versailles et le Louvre. Tout ce qui compte, c'est l'argent, n'est-ce pas ? C'est pour ça aussi qu'on fait en plus venir les Qataris... Abandonnons tous nos symboles, superficiels ou non...

Entre la poire et le fromage Qui signifie entre deux évènements, à un moment perdu, à un moment de conversation libre et détendu, comme on en trouve vers la fin d'un repas. Au XVIIe siècle, le fromage se mangeait après les fruits, dont les poires et les pommes étaient des exemples types. A l'origine, l'expression signifiait donc "vers la fin du repas", à un moment où l'on commence à être repu et détendu, instant plus convivial et propice aux discussions. Puis elle s'est généralisée pour indiquer "à un moment libre entre deux évènements", la poire et le fromage n'étant plus que des marques temporelles.

Petite mise à jour du sujet : 14 janvier 2014, 11h30 - Cécile Bourgeon reste mise en examen pour "coups mortels aggravés". La justice a rejeté la requête de ses avocats demandant l'annulation de ce chef d'inculpation dans l'enquête sur la mort de petite Fiona Au départ, la justice avait considéré la mère de la fillette de 5 ans comme complice de son compagnon Berkane Makhlouf. Cécile Bourgeon était alors poursuivie pour quatre délits, dont "recel de cadavre" et "non-assistance à personne en danger" et encourait cinq ans de prison. Mais Berkane Makhlouf l'ayant accusée à son tour de violences sur l'enfant, la justice l'avait également mise en examen pour "coups mortels aggravés". "Je suis déçue que ma cliente soit mise en examen pour des faits qu'elle n'a pas commis, qu'elle conteste vigoureusement, et sur la seule foi des déclarations d'un co-mis en examen", a réagi Me Gilles-Jean Portejoie, l'avocat de Cécile Bourgeon. Le défenseur de la mère de Fiona annonce qu'il va déposer un pourvoi en cassation. Concernant la recherche du corps toujours introuvable de la petite fille, Me Portejoie a indiqué : "Elle espère toujours aider la justice mais ses repères sont flous". Quoi penser ? Manipulation psychologique ou manipulatrice retorse ?

Le 4 ou le 3... On parle bien du corps hein ! J'hésite, j'hésite, j'hésite... Un peu mais trop. Pile poil quoi... :blush:

JJ Goldman - " Elle a fait un bébé toute seeeeeeeule " :cool:

Branle-bas de combat ! Qui signifie agitation vive au cours de la préparation d'une opération (souvent dans l'urgence et le désordre). Si, de nos jours, l'expression s'utilise encore régulièrement avec ce terme de 'combat' alors qu'elle s'emploie communément hors d'un contexte guerrier, c'est bien dans le cas de préparations au combat qu'elle est apparue à la fin du XVIIe siècle, et plus précisément dans la marine. Pourquoi le "branle-bas" ou, plus précisément, qu'est qu'un 'branle' ? Un 'branle' est un hamac tel qu'on le retrouvait en quantité, accroché dans les entreponts des grands voiliers d'autrefois, pour que les marins puissent y dormir. Lorsqu'on sait cela, il est aisé de comprendre que, lorsque le marin devait se préparer dans l'urgence au combat, il lui fallait libérer l'entrepont en décrochant ou en "mettant à bas" son branle (d'où le "branle-bas"). Comme tous les marins en faisaient de même, en même temps, il s'ensuivait une certaine agitation et une certaine pagaille, notions qu'on retrouve dans notre branle-bas de combat d'aujourd'hui.

Je n'ai pris que des exemples, MartinHenry... Eichmann était quand même un salaud de même que von Braun : ça prouve bien qu'ils ont laissé filé des gros poissons qu'ils auraient pu attraper, peu importe comment, surtout les gouvernements, ils ont assez de moyens pour retrouver ces gens-là. Celui qui me foutra toujours les boules, perso, c'est Mengele. L'ange de la Mort, me semble-t-il, qu'il a été surnommé et pour cause... Pour ce qui est de la Triple-Entente, il me semble - pas sûre à 100 % hein ! Ca remonte quand même au lycée tout ça... - qu'elle a éclété au début de la Seconde Guerre Mondiale quand Staline a dit fuck à l'Angleterre et la France pour s'allier à Hitler. Mais c'était pour le principe : je n'ai peut-être pas employé le bon terme, mais je me souviens parfaitement avoir vu des clichés de vues aériennes des services secrets britanniques de certains chemins fers de fer qui allaient à Sobibor et tous ces camps-là pris en 42. Ils " soupçonnaient " qui se passait quelque chose d'horrible mais " allez savoir "... Donc là dessus, je reste sur ma position : il n'y a pas que les nazis qui auraient mérité un procès pour crime contre l'humanité.

Ne pas être sorti le l'auberge Qui signifie ne pas en avoir fini avec les difficultés ou les ennuis. Voilà une expression du XIXe siècle en apparence étrange, car il semble difficile d’associer les ennuis avec une auberge, généralement destinée à être accueillante. Et, à part dans l’auberge de Peyrebeille, dite L’Auberge rouge, quand on décide de sortir du lieu, rien ne nous empêche de le faire, pour peu qu’on ait payé notre dû. Il nous faut donc nous tourner vers l’argot et plus précisément celui des voleurs pour comprendre le sens de cette expression. En effet, dans ce monde-là, le terme auberge désigne la prison, ce lieu où le voleur trouve gîte et couvert, comme dans une auberge, une fois qu’il a été capturé et condamné. Autant dire qu’une fois qu’il y est enfermé, non seulement il est loin d’en avoir fini avec les ennuis de la captivité, promiscuité et sévices divers, entre autres, mais il aura beaucoup de mal à en sortir de son propre chef. Cette expression en a donné une complémentaire qui est sortir de l’auberge pour « se tirer d’un mauvais pas », donc des ennuis dus à la situation pénible dans laquelle on se trouvait.