Docteur CAC

beignets de crevette avec une sauce maison à base de viandox, sauce piment, sauce noic miam (...) et de la mayo. dans la tete j'ai une envie de beignets au pomme flambé au saké

Avec le recul on dira que nous étions bête de ne pas l'avoir fait avant !

C'est surtout que la ribambelle de Franchouillard à deux sous me case les noyaux de façon bien mignonne.

Les idées libertariennes me font penser à Von Mises, enfin bon c'est pas le sujet...

J'ai la mauvaise manie de ne pas me relire pourtant on le dit souvent mais bon ...

Un banane flambé : 2 bananes, du sucre pour le caramel, un gousse de vanille, un peu de cannelle, le jus d'une orange, un peu de zeste d'orange et de citron vert si on en a, et un peu de rhum que l'on fait flambé. Il n'y a rien a ajouter, c'est facile et très bon. j'ai déjà une idée de recette : poché et sauce meurette.

Sans trop faire de HS on nous disait que la relance par la demande ne marchait pas, et avec un tel un air supérieur (rarement vu cela) et on a vu le résultat de la relance par l'offre, un magnifique résultat :gurp:...

C'est bien mieux de regarder vers ceux qui ont moins que soit, c'est étrange, limite un réflexe pavlovien. C'est tout aussi étrange que dans ce pays on demande le respect alors que l'on est plus prompt a critiquer celui qui se trouve dans la mouise. C'est quand même incroyable que sur facebook des choses comme cela passe sans trop faire d'histoire (par contre moi je ne l'ai pas eu sur mon mur, bon signe ?), cela me fait pensait à un tableau avec des prix avec le Franc et l'Euro qui ne respectait même la présentation méthodologique basique de donnée en économie alors au final on fait n'importe quoi et la pensée suit ce chemin. Une blague entre amis ? heu ... c'est une excuse ca . Je dois pas avoir le même sens de l'humour alors. L’aigreur, la jalousie, la haine, cela n'honore personne mais ça nous fait perdre un temps ... à tous niveaux ... Il reste vraiment des citoyens en France ? ou on est condamner à subir ce genre de conneries pendant longtemps ? Attention le vocabulaire kénésien n'est pas trop aimé (en même temps s'il n'est pas compris :smile2:).

On est donc tous d'accord pour dire que le problème c'est aussi le mode de repésentativité au parlement : si chacun avait un espace pour parler sa permettrait de fixer les choses non ? La proportionnelle ? intégrale ? partielle ? qui est pour ?

Non mais j'avais ca mériterais un peu plus de développement, je ne disais pas cela pour être méprisant. Ce n'est pas l'objet du débat.

Le FDG et le NPA c'est pas la même chose hein .... J'aimerais bien que la politique montre une capacité d'émulation intellectuelle comme le fait Mélenchon, il réfléchit, écrit, fait de nouvelles propositions pas des trucs qui remplissent des pages internet (juste pour dire de noircir les bits du web), être d'accord ou pas on s'en fou franchement mais on a de quoi réflchir un peu plus haut que le QI de la poule asthmatique. Au moins ce mec il peut parler d'économie de l’offre et de la demande, de dévaluation, d'inflation, de théories économiques, de cas concrets, en gros il y a de quoi réfléchir (d'accord ou pas avec ses idées). Au moins en la matière on atteint le niveau du BAC ES chose pas si évidente pour tous les programmes ... Faire des caricatures des politiques c'est bien facile mais ça ne les discrédite pas parce-que franchement face à lui cela ne tiendrait même pas 30 secondes et encore ... Alors c'est bien de faire le malin et des leçons d'histoire mais va falloir être plus costaud que cela genre attaquer son programme ...

En France le communisme était (sauf erreur de ma part) trotskiste, pas stalinien.

Ha un flyer maintenant c’est un programme politique. Pour être honnête je comprend ce que vous voulez dire et ce que cela implique mais je crois que le partie visé est le parti-dont-tous-les-sujets-du-forum-n'arretent-pas-de-parler-et-ca-devient-franchement-gonflant à la rigueur s'il lui arrive quelque chose, je n'en pleurait pas ... C'est pas plutôt une constituante que vous voulez dire et pas un CSP ? En même temps les considérations d'un étasuniens concernant le socialisme, c'est un peu relatif ...Enfin bon c'est que de la politique, pas étonnant que ça ne soit pas très intéressant. La droite a inventé le droit d'inventaire mais systématiquement des autres, c'est génial quand même !

Quand la religion s'occupe d'autre chose que de la spiritualité (de politique par exemple), cela entraine des problèmes de compréhension. Mais plus globalement, je dirais même que c'est accorder trop d'importance à ce que la religion devrait être aujourd'hui.

Je vois vraiment pas pourquoi l'Islam est en soi incompatible avec la démocratie. Ca doit fonctionner comme pour les représentations réductrices de l'identité : on englobe, on généralise en 1 idées des choses bien plus complexes. C’est comme les gens qui vont dans un pays étranger juste pour acheter de la contrefaçon et vive à l'hotel et qui pensent pourvoir donner des leçons d'histoire et critiquer la façon de vivre des locaux. Pour moi la religion n'est qu'une part de notre identité "plurielle" et le plus intéressant et de savoir ou on la situe par rapport à d'autres parts de notre identité. Personnellement je n'ai jamais lu le coran même si je sais que dans une BU je pourrais trouver des livres sur l'analyse du Coran, j'ai eu une éducation catho laxiste : c’est plutôt par habitude familiale et excuse pour les adultes de se beurrer la tronche et l''occasion de faire une belle fete avant la disparition de certaines personnes. De la religion je n'en garde pas un bon souvenir au regard de l'histoire, le dogme religieux ne me convient pas et peu importe la forme (je suis de l'avis de Schopenhauer sur la relation entre science et religion). C'est pour cela que je juge pas trop même si j'avoue ne pas trop comprendre pourquoi les femmes se couvrent les cheveux, est ce que c’est moi qui en conclue qu'elles sont musulmanes ? cela n’est même pas l'apanage de cette religion. Après c'est sur que je n'en ferais pas un énorme drame, rien qui me fera devenir islamophobe. Je trouve dommage juste de se prendre la tête pour une question de religion.

En 78 la dette publique est de 23% et Lionel Jospin a réduit la dette. Si vous aviez passé un peu plus de temps à lire un peu moins de conneries vous auriez été capable de vous dire que le recours à la dette est une conséquence directe à la politique de désinflation des pays, le vote de la loi Pompidou-Giscard (des mecs de gauche hein ?) en 1973 (reprise dans les traités européens successifs pour aller vite hein) devrait vous dire quelque chose : elle permet à la dette d'avoir un "effet boule de neige". Ensuite, le mouvement de la construction néolibérale de l'Europe est en marche d'où va découler la logique de la BCE empêchant le recours aux politiques monétaires. En France la dette s'explique par une baisse des recettes et un peu moins par l'augmentation des dépenses : conclusion du livre suivant Le piège de la dette publique. Comment s'en sortir, Attac Ed. Les liens qui libèrent, 2011, 192 p. (hors collection Martine désolé). Vous êtes le seul a croire ici que les leçons de nos petites vies insignifiantes sont "explicatives". Vos autres remarques ne me fond ni chaud ni froid, vous êtes un peu perché mais c'est drolatique.

C'est complétement faux mais bon vous pouvez tourner dans votre bocal pendant longtemps.

Quel sujet prometteur et distrayant ! La simple évocation de la croissance a l'effet de réveiller des coutumes tribales telles que les danses d'invocation ou les rites initiatiques (comme un mystérieux rite dentaire :gurp:) non pas pratiqués par un chaman mais par nos politiques allant chacun de leurs petites théories... Mais souvent les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances. C'est ballot mais en même temps nous avons oublié quelqu'un dans l'histoire non ? bah oui... LA principale intéressée : la science économique. Il apparait donc assez important de redéfinir le cadre général de la pensée économique concernant la croissance et puis accessoirement elle pourrait dire des trucs intéressants ... Au début il y avait le ... commencement Pour commencer, la croissance est avant tout un agrégat macroéconomique : la croissance est une mesure quantitative d'une valeur économique (agrégat) au niveau national (macroéconomique). Il ne s'agit pas d'émettre un jugement moral (si elle est juste ou injuste) comme on pourrait le faire en philosophie, en sociologie, ou même en économie du développement (avec ce procédé, on peut alors modéliser autour d'équations et d'hypothèses qui ne prennent évidemment pas en compte toutes les variables explicatives). En terme d'agrégats économiques, la croissance se traduit dans la mesure du PIB. La première traduction de la croissance est la logique des cycles : Un cycle est donc un découpage en plusieurs phases : expansion retournement récession reprise En partant de cette citation et du principe qu'il y a une certaine régularité dans ces cycles, on peut alors déterminer plusieurs périodicités : Kitchin (3 ans), Juglar (10 ans), Kuznets (20 ans), Kondratiev (50 ans). Ces cycles ont des variables communes qui ont chacun une influence plus ou moins volatile sur l'économie et sur sa croissance comme la production industrielle, consommation, la FBCF, le chômage , la monnaie, les taux (nominaux et réels), les salaires réels, l'inflation, ect. L'analyse de Kaldor (1958) est un exemple bien connu de cette mise en relation des variables économiques pour mesurer la santé d'une économie (Voir le carrée magique de Kaldor). Il faut préciser alors une distinction élémentaire des modèles concernant la croissance : on parle de modèle de croissance endogène ou exogène. Lorsqu'il est exogène c'est que des variable (notamment le progrès technique) n'est pas une variable expliqué par le modèle (Solow), à l’inverse lorsqu'il est endogène, le modèle précise les variables (Romer, Lucas, et Barro). La croissance ou la recherche de la cause de la richesse des nations ? Dans le contexte de la première révolution industrielle (et où le rendement agricole décroissant obligeant le maintien d'un état stationnaire qui va conditionner la pensée classique), Adam Smith cherchait donc les causes de la richesse des nations. Ainsi c'est l'accumulation du capital qui permet la croissance économique grâce à la division du travail qui tend à une spécialisation (une division des taches) qui aura pour conséquence d'améliorer la productivité. Malgré tout la division du travail a une limite, celle de la taille du marché : la production à grande échelle est un préalable à la spécialisation. Pour Ricardo, la qualité des terres cultivables (facteur de rendement et de croissance) n'est pas égale : la croissance oblige la mise en culture de nouvelles terres qui seront toujours d'une qualité inférieure aux précédentes (toujours du fait des rendements agricoles décroissant). Conséquence : augmentation du prix du blé et des produits agricoles en corrélation avec la baisse de la fertilité des sols nécessaires à l’entretien de la force de travail dans l’industrie. La croissance nécessite donc de payer des salaires réels croissants. La rente dans le produit national augmente et la part des profits baisse puisque les salaires sont fixés à un minimum incompressible. Le profit étant le motif et la source de l’accumulation du capital, l’accumulation est inexorablement freinée et l’économie converge vers un état stationnaire sans croissance. Sur le plan de la politique économique, la pensée de Ricardo désigne clairement la rente et les propriétaires fonciers comme des adversaires de la croissance industrielle : la classe des rentiers est désignée comme « la classe stérile ». Le libre-échange serait le moyen de desserrer cette contrainte en abaissant le prix du blé (1846 : abolition des « corn laws »). On retrouve l'idée d'avantage comparatif (domaine de l'économie politique internationale). Un première approche intéressante : le modèle de Solow Le modèle de Solow fonctionne avec l’hypothèse de base suivante : la quantité de travail est stable à long terme. Dans ce cas, seule une augmentation de capital peut faire varier la production or du fait de la loi des rendements décroissants, la productivité marginale tend vers zéro. Solow reprend alors la logique des classiques (Smith et Ricardo) : à terme l’économie parvient à un état stationnaire. La croissance ne peut alors être provoquée que par une augmentation de la quantité de travail, considéré comme un facteur exogène, et par le progrès technique, perçu comme « une manne tombée du ciel ». Le dépassement du modèle de Solow Le problème est donc posé : quid du progrès technique ? les économistes ne peuvent pas ad vitam aeternam éviter la question de l'origine du progrès technique : il faudra donc procéder ce que l'on nomme l'endogénéisation du progrès technique. Mais pas seulement ! la complexification de nos économies passant d'économie de subsistance à une économie industrielle et de consommation de masse obligera les économistes à endogénéiser bien d'autres variables. Je vais m’arrêter là et vous laisser méditer sur cela, je poursuivrais cela dans un autre billet mais avant cela il va bien falloir étudier le progrès technique !

Pauvre Constantinople c'est un véritable bombardement .

Le vouvoiement c’est juste un signe de politesse mais si après vous prenez cela pour une insulte vous allez vous sentir souvent insulté . Rallier à vos idées ? c'est sur c'est mal partie mais bon je suis un optimiste par nature alors ... je suis rigide avec la rigidité, je l'avoue bien volontiers mais bon personne n'est parfait :smile2:. Si c'est juste pour entendre (ou dire) ce que l'on entend (dit) partout franchement je vois pas ce qu'il y a de constructif du tout. J'accepte d'être en désaccord mais profitons de parler pour être intéressant. C'est lourd tous ces carcans d'idéologies politiques sans que personne ne soit même d'accord sur ce qu'il y a à mettre de dedans. On parle de tout et de rien et ça n'avance pas, cela ne fait que polémiquer.

Sans vouloir être désobligeant, je m'adapte juste au niveau de la discussion, des crises sur le programme du FN j'en ai fait parce-que visiblement c'est émulation affligeante du moment. Alors contrairement a vous j'ai pour l'instant publier beaucoup plus de choses pertinentes sur ce forum notamment en matière économique et je vous invite à lire mes interventions. J'ai dit xénophobe pourquoi vous me parlez de racisme ? vous allez découvrir plein de chose ici du genre : croire que les politiques daignent respecter l'idéologie qui sont censés représenter est un peu naïf. Pour le reste ? je vous laisse dans votre délire j'ai pas de temps à perdre. Je vais vous appeler Rodrigo Diaz de Bivar (où Charles Martel au choix ...) pour vous faire plaisir. Quand on voit certaines réactions je me dis heureusement que l'expression permet dans un sens de se défouler. Comme si le FN n'était pas pourris ... ce qui manque le plus c'est de citoyen, les premiers fautifs de tout cela ce n'est pas eux mais nous ! il n'y a aucune excuse.

Je parle d’immigration dans son ensemble et vous vous réduisez au cas de l'immigration illégale. Je ne dis pas qu'il n'y a rien a dire ou rien a faire mais rien ne justifie à aucun moment une névrose. Je vous propose de retenir la définition de l'immigration de l'Insee (un site génial au demeurant), de compléter si ce n'est pas déjà fait d'étude économique sur l'impact de l’immigration (notamment aux USA), de faire un peu de sociologie, puis nous en reparlerons.

Le genre de personne complétement rigoriste sur un plan politique, qui marche à l'argument d'autorité, reprenant le verbiage du bar du coin sans rien proposer de constructif. Cela vous va-t-il comme développement ?

@ canonball heu... il n'y a qu'a voir sur le programme du Front pour être sur que la question de l'immigration est une névrose donc oui, assurément, c'est de la xénophobie ou alors vous en savez pas ce que cela veut dire ?. Elle est d'extrème-droite même si elle prétends le contraire : elle reprend le discours, les idées, les concepts, les sophismes, l'idéologie ect. Si elle veut être élu bien sur qu'elle doit adapter son discours mais ses électeurs comprennent ce qu'il y a derrière, il n'y a qu'a les écouter pour connaitre leurs priorités politiques. Le problème de toute cela c'est que le blablatage, la rhétorique ("ha lui qu'est ce qui parle bien, je vais voté pour lui !" ), l’expérience de sa petite vie érigée en généralité compte plus que la réflexion et la construction intellectuelle.

Je me demandas ce que Madame Taubira faisait dans ce gouvernement (et j'avais un peu peur avec la réputation qu'on lui donnait) mais sincèrement elle honore la République et montre le bon coté de la politique.