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Tout ce qui a été posté par January
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Oh oui pont, porte, chemin, arbre, n'importe quoi "du diable" en fait, oui partout en Europe et peut-être même plus loin. C'est comme les lacs, ils abritent tous leur "dame"
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Alors, le loup (canis lupus pour les intellos donc), c'est un canidé. La famille regroupe plusieurs sous-espèces sauvages, domestiques ou férales ('pouvaient pas mettre sauvages tout simplement), toutes parfaitement interfécondes, comme le loup gris commun (Canis lupus lupus), le loup arctique (Canis lupus arctos), le chien (Canis lupus familiaris), le dingo (Canis lupus dingo), le loup des Indes (Canis lupus pallipes) ou encore le chien chanteur de Nouvelle-Guinée (Canis lupus hallstromi). Si les formes sauvages sont d'origine holarctique (vous voyez le planisphère ? Coupez-le en deux, "holarctique, c'est toute la moitié du haut) , la domestication et le marronnage (le marronnage c'est quand des animaux domestiques retournent à la vie sauvage) ont permis à l'espèce de coloniser l'ensemble des écozones terrestres. Loup arctique Sous ses formes sauvages, le loup gris a été peu à peu exterminé par l'homme dans plusieurs zones de son aire de répartition originelle, en particulier au XIXe siècle. Au XXIe siècle, il ne reste plus qu'environ 300 000 individus dans le monde, principalement dans des zones « de grands espaces » restées sauvages, telles que la taïga de Sibérie et du Canada ou les steppes et les massifs montagneux d'Europe et d'Asie centrale. Il est désormais protégé dans de nombreux pays occidentaux, où l'on tente de préserver les populations restantes. Quelques programmes de sauvegarde ont permis aux loups gris de revenir dans des zones où ils avaient disparu, en particulier en Amérique du Nord. A suivre...
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Symbole de liberté et de nature sauvage, le loup est aussi un gardien discret qui veille sur l’équilibre du vivant. Espèce clé de voûte, il garantit la bonne santé des écosystèmes en régulant les populations d’ongulés sauvages. Grâce à lui, forêts, prairies et montagnes respirent mieux : moins de dégâts sur les cultures, moins de pressions sur les jeunes arbres, et des paysages qui retrouvent leur richesse. Sa présence, loin d’être une menace, est un atout pour l’agriculture, la biodiversité et la forêt. Canis Lupus : https://www.ferus.fr/loup Et pourtant le loup subit un acharnement grandissant. Les appels à destruction de cette espèce protégée se multiplient dangereusement sur tout le territoire.
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Le pont du diable Le pont fut construit sous l'inspiration du diable pour la perdition des âmes des belles filles de Thueyts. "Par nos âmes, que le diable lui-même construise un pont pour que nous puissions rejoindre nos amoureux", disaient les filles de Thueyts. Le diable se décida à exécuter ce que ne pouvait faire les hommes. Le diable jeta ce pont sur le sauvage défilé de l'Ardèche à Thueyts, pour que les garçons et les filles puissent abriter sur l'autre rive leurs coupables amours. Il étendit son pouvoir sur le gouffre, le rocher, et la nuit venue, il chasse les âmes, suivi par un cortège de bêtes impures dont les clameurs se mêlent au tumulte des eaux. Beaucoup d'amoureux, glissant dans le gouffre, ne revinrent jamais au village, et l'on croit parfois entendre leurs appels désespérés mêlés au grondement des eaux.
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critique société Camille est la fille de Sylvie, la femme de ménage qu'Anaïs emploie depuis quinze ans dans sa maison du Touquet. Maintenant qu'Anaïs la loue sur Airbnb, Sylvie s'épuise à tout nettoyer de fond en comble avant l'arrivée de chaque nouvel occupant. La petite entreprise fonctionne jusqu'à ce jour des vacances de la Toussaint qui fait basculer leur vie et les sépare à jamais. Dévastée, Anaïs démonte un à un les mécanismes qui ont irrémédiablement conduit au drame dont elle tient Sylvie pour responsable. Révoltée, Camille refuse de voir sa mère injustement accusée. Dans ce roman tendu et percutant, Amélie Cordonnier met en scène la dérive de nos vies où tout est à louer, la force de travail des uns, la maison des autres. Qui en paiera le prix ? Un peu partout dans le monde, de nos jours. Alors que son meilleur ami décide de l'exclure de sa vie, une artiste tente de récupérer le cadeau démesuré qu'elle lui avait offert ; un couple entreprend de bouter hors de chez lui leur fils de trente ans qui, comme tout bon Millenials, va mettre en scène cet « abandon » sur les réseaux et devenir une star du net ; un business man détourne l'argent de son entreprise avant de partir mener une vie déprimante au soleil, jusqu'à être rongé par la culpabilité ; une femme s'acharne, jusqu'au drame, à posséder une maison prétendument hantée... Douze nouvelles impitoyables, caustiques et cruelles pour critiquer avec fougue la société de biens. « J’aimerais connaître vos motivations pour ce voyage chez nous, M. Yann. Nous serions ravis de vous accueillir, mais nous voudrions accueillir, en même temps que nous vous accueillons, l’ensemble de vos motivations. Car on ne voyage jamais seul, vous le savez bien. On voyage toujours accompagné. On voyage accompagné de ses motivations. Pourquoi voulez-vous aller chez nous, M. Yann ?» Quand un écrivain français se rend à la délégation de Corée du Nord pour obtenir le précieux document qui lui ouvrira les portes d’un pays bouclé à triple tour, c’est bien plus qu’un simple rendez-vous administratif qui s’engage…
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Vous pouvez regarder ici
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C'est ce qui a toujours été fait. Sauf qu'avant il y avait des sommations, maintenant il n'y en aura plus.
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Dans le massif des Voirons, on raconte qu’un père et son jeune garçon, venus d’Espagne, s’étaient installés dans une bâtisse isolée, où ils vivaient en paix avec leur mule blanche. Un jour, le village apprit leur disparition : on retrouva leurs dépouilles derrière la maison, sans que personne ne sache ce qui s’était passé. La mule, introuvable au moment du drame, réapparut peu de temps après, avant de s’éteindre à son tour, devant la maison désertée. Depuis ce sinistre événement, on raconte qu’à minuit, l’ombre d’une mule blanche se manifeste près des ruines. Elle frappe du sabot sur le seuil, comme pour appeler quelqu’un. Soudain, la silhouette d’un enfant apparaît à la lucarne, saute par la fenêtre, atterrit sur le dos du fantôme et disparaît avec lui dans la nuit, ne laissant derrière qu’un silence glaçant.
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BIS REPETITA. Les hors sujets seront sanctionnés d'un bannissement du topic.
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Tout le monde va un peu se calmer d'accord ? Et on va revenir au sujet : L'aide humanitaire à Gaza.
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'me fait penser à Déméter Quand Hadès, souverain des morts, enleva Perséphone pour en faire son épouse, la mère de cette dernière, Déméter, partit à sa recherche, délaissant les récoltes de la Terre. Prenant la forme d'une vieille femme nommée Doso, elle erra pendant neuf jours et neuf nuits. Voyant que la famine menaçait les mortels, Zeus envoya son messager Hermès au royaume d'Hadès pour lui demander de rendre Perséphone à sa mère. Mais la jeune déesse avait mangé six pépins de la grenade que le rusé Hadès lui avait offerte pour la garder avec lui, la tradition voulant que quiconque mange dans le royaume des morts ne peut plus le quitter. Zeus obtint que Perséphone passât l'hiver aux Enfers avec son époux et le reste de l'année avec sa mère. Ainsi débuta, selon la mythologie grecque, le cycle des saisons.
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officier de police judiciaire.
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Pas en cause. Il y a eu modération. Tu as été modéré ? Non. Donc ces propos là sont ok. Merci.
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Comment peut-on ne pas intervenir ??
January a répondu à un(e) sujet de Mite_Railleuse dans International
Comme ça n'a pas l'air d'être compris par tous, je répète, le sujet de fond, c'est : La déontologie des photographes. C'est pas le cliché de 1913 qui est là pour illustrer le sujet (pour la forme donc). @Mite_Railleuse, peut-être que comme ça ? -
Du respect pour l'auteur, merci.
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Nous y allons de moins en moins. Portions réduites, prix en augmentation, qualité en berne, la totale. Et comme j'ai bossé dans ce milieu ben.. Reste le gastro, faut aimer aussi, le chef et sa créativité du moment.
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Bah, on a tous joué avec les bestioles non ?
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C'était de la recherche en sciences naturelles quand on a eu le cours, je savais déjà comment ça marchait !
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La légende de Maria-Mâtre Maria Mâtre était une femme de pêcheur et une remarquable cuisinière mais elle avait un gros défaut : elle était très gourmande. Un jour elle avait réalisé un de ses chefs-d’œuvre, la galette aux queues d’écrevisses, pour rendre hommage à son mari qui revenait affamé de la pêche. Or elle ne résista pas au plaisir de goûter la galette avant le retour de son mari et sa gourmandise était telle qu'elle dévora la galette toute entière ! S’apercevant de cette trahison et fort courroucé, son mari appela à la vengeance du ciel ! Son désir fut exaucé et la malheureuse Maria Mâtre fut changée en statue de pierre avec sa galette sur la tête ! Maria-Mâtre, surplombant le lac de Nantua :
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Comment peut-on ne pas intervenir ??
January a répondu à un(e) sujet de Mite_Railleuse dans International
L'éthique des photographes a été très critiquée, régulièrement. En ce moment c'est la photographie animalière qui est sous le feu des critiques. Certains artistes font des clichés avec des habitats détruits, bêtes appâtées, capturées et même parfois tuées, pour le besoin de mise en scène. -
Je l'ai gardée vraiment très longtemps, elle est restée dans un carton avec mes carnets jusqu'à la mort de ma mère, j'avais 17 ans. Sinon je jetais des trucs dans les toiles d'araignées. Bon on va pas se mentir, le pain, le ver de terre, les trucs morts, ça marche pas. Les fourmis ça marche moyen, le mieux c'est la mouche, mais faut la choper..
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Oooh mais oui, les schtroumpfs... Alors j'ai joué longtemps avec une boîte de Solutricine. Si, je l'ai récupérée dans la poubelle, j'ai mis du coton dedans et une petite figurine qui "vivait" là dedans. C'était bizarre, j'aimais bien ma boîte avec la figurine dedans, je lui racontais des histoires.
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C'était la vie des rats pour bloquer correctement le socle en bois, il se barrait avec l'élastique, la balle, tout ! Des coups à se le prendre aussi dans les jambes !
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Solitaire Et ça : Les patiences Je pouvais y passer des heures et des heures. J'ai appris à jouer aux échecs, mais faute d'adversaire.. J'ai toujours détesté les dames. Je jouais toute seule à tous les jeux de cartes, aux petits chevaux et autres jeux de l'oie. Et je me suis fait des tas de bleus au jokari. Le plus drôle c'était encore de faire des conneries.. De la bouillasse à jeter dans les fenêtres ouvertes de la voisine (goaaaaaaaaal !), par exemple.
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Comment peut-on ne pas intervenir ??
January a répondu à un(e) sujet de Mite_Railleuse dans International
Mais de quoi on parle là ? Discuter avec le mari ? On est en Mongolie, en 1913. Stéphane Passet ne parle pas mongol, assurément. Il est envoyé là-bas pour tester l'autochrome des frères lumière, faire des photos en couleur. Il s'appuie uniquement sur des guides écrits. Aujourd'hui encore il est difficile d'affirmer, après les recherches faites autour de la publication du National Géographic en 1922, qu'il s'agit bien d'une mise à mort pour adultère. En tout cas torture ça, c'est clair. Extrait "Stéphane Passet", collection clichés célèbres : On ignore comment Passet a obtenu cette information, car il ne parlait probablement pas mongol et s'appuyait probablement sur des guides. Sur la photo, on voit des bols de nourriture et d'eau pour la prisonnière. Il pourrait s'agir d'une forme de torture visant à prolonger l'inévitable mort par exposition au froid, ou cela pourrait indiquer que la punition était censée être temporaire et qu'elle serait finalement libérée.