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Tout ce qui a été posté par January
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Non non pas hurler il y a eu beaucoup de littérature là-dessus. Merci pour l'article !
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Dans le cas qui nous occupe le papa n'a rien vu à redire... Et la maman : Judith Godrèche en "couple" à 15 ans avec Benoît Jacquot : sa mère révèle pourquoi elle n'a rien dit : : https://www.purepeople.com/article/judith-godreche-en-couple-a-15-ans-avec-benoit-jacquot-le-role-de-ses-parents-en-question_a519552/1
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ça me paraît toujours complètement lunaire les Matzneff et compagnie qui continuent à dire : elle était consentante on s'aimait. Au moins oui... si seulement ils disaient : j'ai vraiment fait de la merde, j'ai abîmé des gens, pardon..
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C'est tout le problème. Elles sont jugées, ça oui ! mais écoutées.. ça dérange, les victimes ça dérange et ça fout la trouille, "pas d'ça chez nous", surtout quand on parle de mineurs. Il est encore trop répandu dans la société que les victimes mineures d'abus prolongés sont "cassées". Qu'on ne peut jamais en sortir, avoir une vie - je vais pas mettre normale non - je dis cassées mais, parce que j'ai pas osé dire tout de suite, écrire, cinglées. C'est terrible ce jugement. Les victimes seraient inaudibles parce-que complètement foutues, cinglées, dans leur truc, on peut ni entendre et surtout pas comprendre, y a rien à comprendre faut les laisser où elles sont etc etc.... Regardez Adèle Haenel.. Voilà, on l'a traitée de cinglée, de folle "mais la pauvre, avec ce qu'elle a vécu, on peut devenir que cinglée, ces gens ne sont pas normaux". Ou comment décrédibiliser la parole des victimes. Et ça continue..et ça dure. Et c'est intolérable.
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Un système qui interroge : comment les parents des actrices ont-ils pu laisser leurs filles entre les mains d'un homme avec une telle différence d'âge ? Interrogée à l'époque sur son père, Alain Godrèche, psychanalyste, la jeune fille avait répondu avec simplicité : "Je voulais être avec la personne que j'aimais, j'avais quinze ans. [...] Mon père n'a rien dit. [...] Je crois qu'il a confiance en moi [...] ça m'a aidée à ne pas faire de conneries, au bout du compte, je n'en ai pas fait". Une réponse qui ne lui convient plus aujourd'hui : si elle avoue que son père, qui en avait obtenu la garde à 8 ans, après le divorce avec sa mère, n'a rien fait pour la sortir de là, elle avoue surtout qu'il n'a "rien vu venir". Un cas de figure dans une famille monoparentale qui se présentait aussi dans l'histoire de Vanessa Springora, victime de l'écrivain Gabriel Matzneff, et qui ne serait pas rare.. https://www.purepeople.com/article/judith-godreche-en-couple-avec-benoit-jacquot-a-14-ans-ses-parents-responsables-un-expert-reagit-il-faut-arreter-de_a519836/1
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"J'en fais partie" : Catherine Ringer réagit aux accusations de Judith Godrèche à l'encontre de Benoît Jacquot et Jacques Doillon "Je me suis retrouvée dans ce qu'elle racontait, vraiment, fait-elle savoir au micro de France Inter. Sauf qu'elle, elle était battue il était beaucoup plus vieux etc. Mais oui, ce côté, de cette période où, sous prétexte d'art et d'évolution et puis aussi d'être provocant, de secouer le vieux monde, de faire des choses qui allaient de l'avant, on était pas mal de petites jeunes filles qui se sont fourvoyées et qui ne se sont pas enfuies, qui n'ont pas dit non. Et qui ont dit oui, tiens, bah peut-être. Et j'en fais partie, voilà." https://www.programme.tv/news/actu/231120-jen-fais-partie-catherine-ringer-reagit-aux-accusations-de-judith-godreche-a-lencontre-de-benoit-jacquot-et-jacques-doillon/
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Sans les "autres" victimes ou non, il n'y a aucune possibilité de libération de la parole. Aucune. Dire à quiconque de la fermer, c'est tuer la possibilité d'un échange avant même qu'il n'ait eu lieu. C'est tout réduire à néant. C'est réduire à néant tout ce que des gens admirables ont fait jusqu'ici pour avancer. On n'a pas le droit de faire taire sur ces sujets, quiconque, on n'a pas le droit.
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La réponse à la question ayant été donnée, on peut fermer.
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Je voudrais écrire sur les raisons du comportement de la société, mais j'ai du mal, j'y reviendrai.
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Il y a des paliers pour avancer après la parole libérée. Certaines victimes restent bloquées parfois longtemps, parfois pour toujours, à certains niveaux. Ce qui suit la libération de la parole est souvent bien plus difficile, parce-que l'effort va être continu et sans soulagement. Parler, l'effort a été surpuissant, mais il y a soulagement, si infime qu'il soit il y en a un. Ensuite, il faut sortir du maelstrom, ça commence là. Je donne cette image du maelstrom parce-qu'elle a trouvé écho des dizaines de fois auprès de victimes et je pense qu'elle est juste. Vous avez parlé, voilà, imaginez vous au milieu de ça : C'est comme ça dans votre tête et dans votre corps. Je précise ne parler qu'au nom des victimes mineures abusées sur la durée, abus intrafamilial ou non, et dont la parole se libère tardivement, empêchée par une amnésie ou un déni. Et ce n'est pas universel, seulement très répandu. Une victime : une histoire.
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A un moment donné tu reprends ton souffle et tu ne mouftes plus. T'es insensibilisée à ce genre de truc. On entend bien pire. Petite digression sur les propos abominables : J'ai lu le livre de Neige Sinno récemment où elle relate ses années de viols par son beau-père. Beau-père qui a été condamné, et une fois libéré de prison, toujours reçu en famille, par les "amis"... Que lui ont dit ces gens, à Neige ? "Mais nous, il ne nous à rien fait..." J'ai connu. La même phrase.
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"Je pense que tout ça est extrêmement exagéré", avait commenté Anny Duperey, ajoutant: "Quand même six ans avec un réalisateur... Sous emprise, je veux bien, mais quand même consentante, non ? Je ne sais pas trop quoi penser de ce truc-là, mais je n'aime pas trop ces chasses aux sorcières tardives comme ça". ANNY DUPEREY ABANDONNE SON RÔLE DE MARRAINE DE SOS VILLAGES D'ENFANTS https://www.bfmtv.com/people/propos-sur-judith-godreche-anny-duperey-abandonne-son-role-de-marraine-de-sos-villages-d-enfants_AN-202402190563.html
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Nordahl Lelandais est devenu papa d’un petit garçon il y a deux mois
January a répondu à un(e) sujet de Pirene dans Actualités - Divers
Doublon -
Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
Ah les doublons et les sujets verrouillés... difficile parfois -
Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
c'était une histoire de doublon mal vécu, de titre... alors j'ai modifié le titre. mais le sujet restera là et renverra vers une suite quand ce sera vraiment nécessaire. -
Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
Je me souviens qu'un internaute m'avait interpellée pour fermer le sujet sur la guerre en Ukraine (ouvert par PH), "en plus, ouvert par quelqu'un qui n'est même plus là !", sous-entendu c'était n'importe quoi..ça m'avait choquée ça. j'ai jamais eu le coeur de fermer ce sujet pour ouvrir une suite du coup... -
« Nous devons dire son nom » : Bono rend hommage à Alexeï Navalny durant un concert de U2 « La semaine prochaine, ça fera deux ans que Poutine a envahi l’Ukraine », a déclaré le chanteur Bono depuis la Sphère à Las Vegas, où il assure une résidence depuis septembre dernier, avant d’enchaîner : « Pour ces gens, la liberté est le mot le plus important au monde. Si important que les Ukrainiens se battent et meurent pour elle. Si important qu’Alexeï Navalny a choisi d’abandonner la sienne ». « Poutine ne dira probablement jamais son nom. Ce soir, nous qui croyons à la liberté, nous devons dire son nom », a encore asséné le chanteur avant d’inviter la foule à scander avec lui « Alexeï Navalny » à plusieurs reprises avant d’entamer « Don’t Dream It’s Over ». Vidéo https://www.leparisien.fr/video/video-nous-devons-dire-son-nom-bono-rend-hommage-a-alexei-navalny-durant-un-concert-de-u2-19-02-2024-BTZLEJLMM5C4DPDAPL7ZVAS3UI.php
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Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
C'est sa femme qui est venue ici nous annoncer son décès. -
Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
Non pas cinq ans, je suppose que c'est une distorsion peut être que l'auteur aurait fait ? L'avatar en tout cas c'est le sien. Qui répondait à tout le monde c'est bien lui, et fervent patriote c'est encore lui... Je pense que c'est Prométhée Hades. -
Le vieux foremeur un peu grincheux et attachant il est où .
January a répondu à un(e) sujet de Ladislas dans Aide et Suggestions
Il s'agit de Prométhée Hades... Qui nous a quitté oui, suite à une longue maladie. -
« Drapeau satanique » : Darmanin demande l’expulsion d’un imam après un prêche anti français
January a répondu à un(e) sujet de new caravage dans France
BAGNOLS Propos anti-français : l'imam de Bagnols regrette la polémique "C'était un lapsus" https://www.objectifgard.com/actualites/bagnols-propos-anti-francais-limam-de-bagnols-regrette-la-polemique-cetait-un-lapsus-123425.php Il est vraiment conseillé de lire cet article avant de poursuivre le débat je crois. -
Bien sûr que c'est nécessaire, il n'est pas question de toi, ces victimes qui parlent, même 30 ans après, libèrent la parole, alors oui, merci à elles. Pour recueillir la parole de victimes depuis longtemps je peux le dire : les témoignages n'ont jamais été plus nombreux que depuis metoo. Et en ce qui concerne les enfants, il y a une vigilance qui n'existait pas avant, le réflexe : "C'est pas nos affaire, ça ne nous regarde pas" tend à s'amenuiser. La prise de conscience n'est pas encore là, mais bien amorcée, surtout chez les jeunes générations.
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Ces mécanismes sont puissants, très puissants. Ils maintiennent les victimes debout, "pire" : en vie. Les réminiscences apparaîtront quand le cerveau sera assez fort pour les supporter et supporter tous les "paliers" ultérieurs. Ca, c'est quand ça se passe "bien". Quand ça se passe mal, le cerveau bloqué dans son déni/amnésie va "exploser" en quelque sorte, c'est ce qui s'appelle la décompensation, c'est soudain et très violent. Pour certains c'est le raptus suicidaire immédiat. Je fais une nuance entre déni et amnésie traumatique partielle ou totale. L'amnésie traumatique partielle ou totale existe, n'en déplaise aux sceptiques. Plus souvent, il s'agit d'un combiné entre amnésie et déni. C'est à dire "on sait. Mais on ne veut pas savoir." Cet état est un cauchemar. Il faut beaucoup d'énergie pour repousser les assauts de son propre système cérébral qu'on veut tromper. L'épuisement est inévitable, dépression, dérèglements physiques et psychiques importants et malheureusement parfois durables. Lorsque les victimes se débattent là dedans, que ce soit avant, après, la première chose à laquelle elles vont penser ce n'est pas aller porter plainte non. Imaginez, d'une seconde à l'autre, vous ne savez même plus votre nom, c'est le vide absolu, le néant total, l'impression de ne plus avoir de corps, de ne pas être réel, toute la machine débloque - j'insiste : en une seconde, une seule - vous savez que c'est l'heure, voilà ça y est : vous devenez fou, vous allez mourir, l'angoisse est indescriptible, physique aussi.. Le cerveau se libère petit à petit. Plus vous devenez fort, plus il vous envoie du lourd. Plus vous résistez, plus vous développez de séquelles. Et ça ne s'arrête jamais, toute une vie dans certains cas à avoir des "trucs qui vous sautent à la figure" sans prévenir... Pourquoi ne pas porter plainte plus tôt ? Je voulais dire aussi ici que lorsqu'on est dans le déni, on va s'inventer n'importe quelle bonne raison pour justifier les évènements traumatiques, et donc s'en rendre responsable, même se persuader du consentement, de la recherche. Et quand on fait ça pendant des années et des années, la honte et la culpabilité ont tellement pris possession de votre psychisme, qu'il est impossible d'imaginer ne pas être ou coupable et/ou consentant, impossible. Et par là, impossible d'aller se plaindre où que ce soit, les victimes se taisent comme ça. Il y a des victimes qui font ce chemin tellement difficile du retour à la réalité, ça leur prend leur vie entière, et à la fin : elles se sentent toujours coupables, illégitimes. Alors porter plainte.... Juste, pour rappel : 5 à 6% de plaintes seulement par an, suite à viol. J'ai envie de dire aux sceptiques : cessez de l'être et enfilez leurs pompes aux victimes, essayez. Femmes, hommes, faites appel à toute la concentration dont vous êtes capables, imaginez être la victime, ressentez-le vraiment, et revenez ensuite nous dire si la première chose à laquelle vous pensez, c'est porter plainte.. J'ai beaucoup d'admiration pour celles et ceux qui le font. La cour d'assises est une boucherie..et s'il n'y avait que ça..
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loi sur les dérives sectaires provocation à abandonner un traitement ou s'abtenir de suivre un traitement
January a répondu à un(e) sujet de petirobert dans France
Retour au sujet. Merci.