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jean ghislain

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Tout ce qui a été posté par jean ghislain

  1. Ben oui, c'est comme dans la vie. Un gars vient vous aborder (c'est un exemple comme ça): "demain le ciel va tomber, car la météorite untelmachintruc viendra rentrer en collision avec, donc le champ magnétique va s'inverser, et nous on va tomber dans l'espace". Franchement, vous lui foutez une baffe, ou vous prenez la tangente ? Perso, comme tu dis Alain, moi aussi je préfère aller fouetter d'autres chats que d'aller m'emmerder avec eux... Retournez à l'école, s'il le faut vraiment, au lieu de relayer de pareilles impostures, et on pourra peut-être un peu discuter science.
  2. Quand on utilise de faux arguments scientifiques que l'on fait passer comme des évidences visant à révolutionner la science, cela relève en général plus d'une imposture scientifique. S'il est vrai que la science peut encore avancer par à coup, et que certains paradigmes puissent évoluer un jour, d'une autre côté, néanmoins, les petites théories de quelques déglingués (dont on se demande parfois si ça tourne bien rond dans leur tête pour commettre leurs escroqueries pseudo-scientifiques), elles sont d'autant plus fumeuses, qu'il y aura toujours des malchanceux qui n'ont pas connu l'école assez loin pour être attrapé par le bout du nez, hélas. Alors, un petit Laurent Glazy mégalomaniaque, et qui se fait escroc pour l'occasion... ou un autre sorti du fin fond d'on ne sait d'où, il pourrait changer l'ordre du monde avec une belle blouse blanche "de scientifique" et seulement avec quelques arguments certainement glanés ça et là dans des revues de vulgarisation ? De qui se moque-t-on, on se demande ?
  3. Règles pour la direction de l'esprit. (Regulae ad directionem ingenii) de Descartes. Résumé sur Wikipédia
  4. C'est tout-à-fait louable (et très prometteur) pour un jeune esprit de penser déjà comme ça. Moi, je me souviens qu'à 16ans, je lisais Descartes. Tu connais, toi qui semble aimer la philosophie et la logique ?
  5. La science, elle n'est pas l'apanage de l'Occident, et encore moins des chrétiens, elle appartient à tous, il suffit d'ouvrir un bouquin de chimie ou de maths pour en apprendre les principes universels, à tous les points du globe. Cependant, du point de vue de l'Histoire, certes peut-être grâce à un système social, politique, économique, ou intellectuel/culturel plus ou moins favorable, il est indéniable que toutes les civilisations ne pèsent pas le même poids, pour ce qui est du progrès. Et il est certain qu'au point de vue technologique et des savoirs, c'est bel et bien l'Occident qui est devant. Certes, on peut reprocher à l'Occident de se reposer trop sur les lauriers du savoir, là où il faut encore et encore avancer. Mais, Maroudiji, vous faites parti de ces dégoûtés de l'Occident, ce qui explique votre allégeance envers les apports des autres civilisations dans leur passé comme dans leur actualité. Je suis allé sur votre blog. Il est pathétique de votre loggorhé idéologiquement anti-Occident, et proposant toutes formes de superstitions alternatives (l'Indouisme à votre sauce, par exemple). *** Moi j'aimerai poser à tous ces questions. Où d'autre part ailleurs qu'en Occident, un peuple s'est mis à se rassembler sur la place publique pour échanger les savoirs, comme l'on initié les grecs dans l'Antiquité démocratique ? Ce que nous faisons aussi ici, au passage, pour continuer... Où est-il permis une telle liberté de mixité de culture, de critique, de parole, et cela dans l'espoir d'une avancée commune ? Où aurait-t-on pu permettre de faire le différence entre le vrai du faux, qui doit toujours être remis en question, même à l'intérieur de la soi-disant "intouchabilité" et "sacralité" du discours religieux ? Soyons reconnaissant d'ailleurs de l'apport des philosophes des Lumières pour y avoir contribué ! Donc oui, en Occident, l'athéisme prend peu à peu la place d'une religion, qui tire encore ses casseroles depuis le Moyen-âge. Est-ce si dérangeant ? Les religieux sont tolérés selon la laïcité, où est donc leur problème, quelles sont leurs revendications ? Celle de ne pas imposer leur vision de leur Dieu unique, à tous ? Celle de ne pas vivre dans un Occident fondamentalement, pour ne pas dire extrêmement, religieux comme forme finale de société ? Ou encore celle de ne pas pouvoir rendre responsables, de tous les maux possibles, ceux qui ne rentrent pas en religion comme eux, avant de mieux les détruire ? *** PS/ Votre sujet, c'est votre haine envers l'Occident qui veut transparaître, et votre lutte, vous l'avez officialisé par votre présence revancharde, ça et là sur le net. L'athéisme, permis en Occident, vous met hors de vous. Vous serez à jamais notre haineux, par votre sujet "l'athéisme n'est que du bluff" que vous auriez dû baptiser "Je hais l'Occident", au vu de vos contributions. Mais c'est votre Kampf, et c'est votre porte ouverte pour déverser votre bile. Plus de cent pages, et rien tout le long comme échanges constructifs... et pour cause ! Et vous voyez, le sujet n'est pas fermé, et vous êtes toujours là. Bien malgré vous, vous profitez de l'ouverture d'esprit que vous combattez pourtant. L'athéisme, que du bluff ? Et la science aussi ? Et l'Europe, c'est du toc ? etc... Gonflé quand même !
  6. D'où le problème que si en France, nous les laissons s'exprimer, il faut garder bien en tête le danger que représente les religieux pour le progrès scientifique, et par-là l'ensemble de l'évolution de la société. D'autant plus si nous leur laissons organiser la cité. La priorité de la République, on le sait bien, c'est l'école. Tout commence là. Mais que deviendrait un enfant endoctriné par des illuminés qui baseraient tout sur un pseudo-savoir qu'ils disent détenir tout bonnement de leur Dieu ? La religion, certes, c'est pour la spiritualité, et elle a sa place pour ouvrir le coeur des hommes. Mais sa place n'est pas de savoir, encore moins d'enseigner des contre-vérités scientifiques. Là est le danger.
  7. Bon si je peux apporter ma petite pierre à la gravitation, en espérant que vous ne la laisserez pas tomber comme ça... :smile2: La gravitation, petit rappel de physique, c'est une propriété qu'a la matière, de s'attirer entre matière, jusqu'à un certain rayon d'action. Et si tous les objets tombent sur Terre, c'est parce que la masse de la Terre est suffisamment énorme pour tout attirer vers le bas. De sorte qu'il faut lui opposer une force contraire énorme (celle des réacteurs de fusées, par exemple) pour en sortir. Sur la question de la différence entre le pourquoi de la gravitation, et du comment. Pour savoir comment tombe un objet, il suffit d'une observation scientifique, en clair, au départ, il faut ouvrir grand les yeux. Quant à savoir pourquoi un objet tombe, c'est comme dit précédemment : parce que c'est une propriété de la matière. Ton problème religieux te fait voir Dieu partout et derrière chaque action, les tiennes, et même celles de la matière, je veux dire ce qui se passe comme extérieur à toi, devant toi. Pour répondre à ta question plus précisément, si en Occident, la tolérance envers la religion fait partie des valeurs laïques de la République, c'est parce que l'Europe elle-même est passée par-là (Moyen-âge religieux). Ceci-dit, nul n'ignore que ces temps sont dépassés (surtout depuis la révolution scientifique copernicienne reprise par Galilée, combinée à l'avancée intellectuelle qu'a permis les Lumières). En fait tu peux tout-à-fait vivre tes idées sur Dieu, même les plus farfelues, personne n'ira t'embêter ou te mettre en prison pour cela. Le tout, c'est de ne pas vivre enfermé sur tes délires métaphysiques, comme vivrait un mystique au milieu de la forêt. Tu as la chance d'être en Europe. Ouvre les yeux, écoute, et profites-en pour apprendre. Car ce n'est pas le privilège de tous les pays, si tu vois ce que je veux dire ! PS/ Bon courage pour ta maladie.
  8. Remettre une paire de chaussettes malencontreusement tombée par terre.
  9. Ben oui, il a raison le Maxence avec son topic ! Ya plus bon, le temps de Vichy, ma bonne dame ! Hitler, réveille-toi ! (Je plaisante, d'accord ? Je rajoute que je suis un pur produit du gauchisme, étant de la génération Mitterrand )
  10. On ne peut demander aux gens que ce qu'ils sont capables de donner, et pas plus. Fais avec ce que te donne les échanges avec les autres. Et si certains ne te donnent rien de rien en retour, n'hésite pas à les barrer de ta vie. Ta violence vient de là, de ta déception envers autrui, de ceux qui profitent de toi. Donc à toi d'éviter ce genre de lien avec l'autre, si tu veux t'en sortir et voir d'autres horizons. Ceci dit, si je dois te dire ce que la vie m'a appris, c'est que l'on avance toujours par soi-même, et même si l'aide des autres peut servir, il ne faut pas trop en attendre.
  11. "La propriété, c'est le vol", disait Proudhon. Il voulait parler de la force du travailleur qui est exploitée, sans avantage de propriété, cet avantage dont seul le Capital profite. D'une part sans doute parce que le travailleur de base ne possède rien de son outil de production, laissé au Capital et actionnaires. D'où l'inégalité d'évidence : l'ouvrier travaille au profit de celui qui possède et qui s'enrichit à son insu, ne lui laissant à lui que les miettes du système en place, précarité incluse... - A la privatisation des moyens de production, on peut opposer la nationalisation comme une solution parmi d'autres. - Les mécanismes de libre marché, d'autant plus quand ils sont laissés sans surveillance étatique, ne profitent pas au final au citoyen, puisque le tissu socio-économique dans son ensemble s'en voit détruit à petit feu. Que choisir, entre l'enrichissement d'une certaine classe, qui se fout royalement de la destruction des corps sociaux en crise ? Ou entre la collectivisation anti-capitaliste qui générerait moins de misère, avec aussi moins de grandes fortunes... et ceci dans le but d'un progrès collectif prioritaire ? - L'individualisme, le libéralisme et la recherche du profit, autant de principes "décomplexés", mais cela peut-il se faire à terme au détriment de la morale ? Qui sème le vent récolte la tempête. Ceux-là seront-ils toujours impunis, même s'ils ont encore de belles heures devant eux ?
  12. Ce qu'essaye de nous dire NeeD dans son langage savant et elliptique, c'est que notre système actuel, à savoir social-libéral avec une intervention de l'Etat (théorie de Keynes) pour relancer la croissance (à crédit, en quelque sorte), ne fait qu'empirer le gigantesque trou de la crise (par des bulles économiques), et que l'argent qui devrait servir à "sauver le Capital", ne lui sert qu'à continuer à faire son argent sur le dos des aides d'Etat aux entreprises. Ce qu'oublie de nous dire NeedD, c'est que dans une économie ultra-libérale, ce serait bien pire. Puisque d'une part, ce serait les plus faibles acteurs économiques du Capital (certaines banques en faillite, entreprises endettés) qui seraient laissés tomber au profit des plus chanceux... c'est-à-dire à ceux dont les dents de requin rayent le parquet, pourrait-on dire et qui se foutent bien des autres acteurs économiques... bref, la loi du plus fort. Alors, oui, dans une économie libérale avec intervention à la Keynes, l'argent perdu est bien celui des contribuables, mais à plus forte raison, il en serait bien pire pour une économie ultra-libérale, puisque ce serait à plus grande échelle, et que ce serait alors tout l'argent disponible dans les banques qui servirait les plus forts et s'engouffrerait dans le trou de l'enrichissement des actionnaires, au détriment et au nez de tous (c'est-à-dire des travailleurs qui ont un peu épargné, ou des petits possédants qui remboursent leurs crédits, et surtout au détriment des droits sociaux si l'on veut parler des plus modestes qui n'auraient droit à rien, si ce n'est d'aller se faire pendre, puisque "inutiles" à ce genre de système ultra-libéral). Mais peut-être que NeeD se met-il d'emblée du bon côté, ou du moins l'espère-t-il ? As-tu de bonnes dents de requin NeeD ? :D PS/ C'est la crise déjà existante qui donne des déficits budgétaires dans l'économie, et qui accroît la crise, et non pas les aides. Car c'est parce que le système libéral est vicié que l'argent se perd, même si certains profitent parfois de spéculations, de bulles économiques, avec ou pas l'aide de l'Etat. Qui plus est, un excédent budgetaire n'est pas forcément synonyme d'absence de crise et de bon fonctionnement. Pour preuve la crise de 2007 en l'Espagne ou l'Irlande aussi, où les crises sociales s'accentuent malgré un excédent budgétaire qui la précède. Seule la consommation, par les aides à la population et aux entreprises, peut relancer l'économie. A contrario, ce n'est en aucun cas l'épargne qui pourrait le faire, comme le pense faussement ton économiste Hayek, surtout si cette épargne est accaparé à un système déjà en crise, qui ne ferait que l'accentuer, étant donné que l'appétit du Capital est sans fin. Ma position est que c'est par la solidarité, et une redistribution juste qu'une économie est digne de ce nom. Des inégalités supplémentaires ne feraient qu'entraîner notre économie dans le mur, avec toujours moins de travailleurs, et au final moins d'enrichissement pour tout le monde, et cela au profit d'une poignée qui s'accapareraient les richesses.
  13. C'est toi, Constantinople qui n'a de cesse de cracher sur la France laborieuse et laissée pour compte par la crise. Ton fantasme est de maintenir une force de travailleurs précaires et soumis au Capital et à l'économie de marché, pour y trouver individuellement ton compte. Alors, tu fais peut-être parti de ces 1/4 de Français qui gagnent plus de 2000€ par mois, avec toute la splendeur de ton arrogance en plus. Collabore bien avec le système en place, s'il te rapporte tant que ça, mais tu auras peut-être un jour un mauvaise surprise...
  14. Les Français préfèrent-ils subir la crise capitaliste de plein fouet et voir tout un pan de la population avec des minima sociaux misérables qui s'accélèrent dû à la précarité et la flexibilité du travail que demande le libéralisme ? Une bonne partie de la population est éjectée de fait. Un gouvernement plus à gauche et plus dur avec le patronat, qui fait ses bénéfices sur le dos la population française, ça te fait peur ? http://www.drees.san...es-s,11309.html Oui c'est là le problème, un quinquennat soi-disant de gauche qui ne fait rien pour les droits sociaux des travailleurs. Ca doit être la franche rigolade au Medef. De qui se fout-on ?
  15. Allez, essayez pour une fois d'être moins bête : vous voulez vraiment penser et nous faire penser que le libéralisme est encore valable, avec toutes les preuves possibles qu'il détruit de lui-même l'intérêt des travailleurs en les sacrifiant comme précaires ou même en les privant d'emplois et ceci, par exemple, par des délocalisations profitables aux seuls actionnaires - vous voulez nous faire sérieusement penser que c'est ces salauds de gauchistes qui sont responsables ? Parce que pour moi, vous réussirez pas à me la faire... Votre argument comme quoi un vrai socialisme est forcément le refus de l'internationalisation des échanges commerciaux, vous l'avez trouvé ce matin en vous rasant ?
  16. Quelles propositions ? Il s'agirait d'être moins mou. Moins se compromettre avec le patronat et l'industrie, qui n'ont que faire du tissu et du droit social, pour la plupart, mais ne regardent que le profit. Ce serait déjà une avancée sociale. Je n'ai jamais cru en un engagement responsable sérieux du Medef et compagnies. On a vu à quoi a mené le pacte de responsabilité. Voilà ce qu'espérait Valls (je cite) "L'Etat a pris ses responsabilités et tenu son engagement en créant le CICE et le Pacte. Aux partenaires économiques de prendre les leurs, en mettant pleinement à profit leurs nouvelles marges de manoeuvre pour investir et pour embaucher et en négociant dans toutes les branches des engagements pour l'emploi et la formation des jeunes, comme le prévoyait l'accord signé le 5 mars 2014 - il y a plus d'un an - par le Medef, la CGPME et l'UPA". Résultat un an plus tard ? "Mi-mars, le gouvernement ne recensait que 10 accords de branche, dans les 50 principales". Pourtant les entreprises encaissent 40 milliards d'euros d'aides, sous formes de réductions d'impôts et de cotisations sociales. De même pour la baisse de la TVA, en promesse d'embaucher dans la restauration du temps de Sarko. Les économies dégagées sont allés soit directement dans la poche de restaurateurs, soit ont servi à un sur-investissement cadeau. Mon avis est que les seules mesures efficaces doivent passer par des cadres légaux, et non pas sur de simples engagements prometteurs. Dans les faits, le patronat prend à l'Etat, en échange de promesses trompeuses, pour leur enrichissement personnel alors qu'ils devraient développer l'emploi. Bien sûr qu'il faut des dispositifs pour renforcer la dynamique de l'économie, c'est crucial. Seulement il faut des dispositions légales contre les entreprises qui font mauvais jeu. Mais c'est aussi entrer dans une politique plus générale vers de meilleurs contrôles vis-à-vis des excès et effets pervers du libéralisme. Cela est valable bien évidemment aussi pour la crise agricole actuelle. Si on laisse faire la loi sauvage du marché, les prix seront toujours à la baisse, l'agriculture en France va décliner, ce sera des chômeurs en plus. Il faut donc des dispositions légales pour encadrer le marché, et des amandes pour ceux qui détruisent sciemment l'économie. Mais de plus, on devrait aussi laisser la place à l'économie coopérative, où ceux qui s'engagent sont les concernés sur place, et non pas des patrons décideurs avec toute leur horde de commerciaux. Ce développement de l'esprit collectiviste n'a pas encore toute sa dynamique, mais cela reste à faire...
  17. La fronde au Ps le dénonce depuis plus d'un an : Hollande fait marche droite toute, obstinément avec son équipe social-démocrate, contre tous vents qui demande plus de gauche. Tandis que la crise des agriculteurs touche la France, et fait risquer de basculer tout un pan de notre économie rurale à une mort certaine, Macron fanfaronne son soutien au Medef. C'est pourtant eux qui sont responsables, et dans ce cas, ceux de la grande distribution. Propulsés à l'époque par Sarko, et sous prétexte d'un meilleur pouvoir d'achat des français, Leclerc a lancé la guerre des prix avec les autres grandes enseignes. Ce patron tout rabougri, fils de..., n'en demeure pas moins un requin dans le monde des affaires, et ses acheteurs auprès des fournisseurs n'hésitent pas à faire baisser le prix sous le minimum vital. Dans le milieu, beaucoup sont à se plaindre de ses méthodes commerciales. Malgré tout, le fils de... propose un large sourire et une voix doucereuse devant les fournisseurs qu'il a ruiné, ou qu'il est en train de le faire par diverses manipulations, en jouant avec le droit. http://pluzz.francet...,127059845.html Alors à quand une défense de notre appareil productif, vis-à-vis de ces loups de la grande distribution, en grande partie responsable de la crise agricole actuelle ? Le raisonnement du profit, de la course à la compétitivité ne doit certainement pas se faire au détriment des travailleurs, du tissu et du droit social existant. Ce raisonnement est incapable de voir ses propres effets pervers : la précarisation des travailleurs, et à terme la destruction de notre économie. A quand un tournant vraiment à gauche ?
  18. Que pouvons-nous faire à l'échelle internationale ou même européenne, face à cette montée en puissance de cette abomination ? Peut-on craindre que les velléités de Daesh se propage à l'Europe ? Comment faire face à ce danger ?
  19. Je plaisantais, mais les vieilles valeurs se perdent, mon bon monsieur ! :smile2: Fais gaffe quand même que le ConStructeur te veuille pas bien assaisonné. Quand on pense qu'ils mangent déjà leur Dieu !
  20. Z'avez raison. A la limite, il le suggère, le ConStructeur de charpente, laissons les chrétiens et les musulmans se bouffer entre eux, à moins que ce ne soient les musulmans qui bouffent déjà les chrétiens ? c'est clair ou que même entre vous vous bouffiez, bande d'extrémistes bouffons ! Manque plus qu'une bonne tranche de jambon pour relever le tout.
  21. Il a raison Black Cat, la religion c'est intime. Nietzsche parle d'une intériorisation, d'un refus du monde, surtout quand il s'agit pour eux de passer la tête dans les vapeurs fumeuses d'un au-delà imaginaire. Puisque les religieux renient le monde tel qu'il se présente d'emblée, autant leur faire rester à leur place d'inverti intériorisé, d'où la place de l'intime. CQFD.
  22. Faux. La création est parfaite, ou dit de façon moderne : "tout est bon dans le cochon" ... sacré religion !
  23. ou pas, The Dalek, pour certains la création est merveilleuse. Pour d'autres c'est des débilités ces citations d'allah, oui. Content que ça te fasse marrer. Bon, sur ce, messieurs les religieux, je vous laisse à vos enculages de mouches entre vous, je vais manger.
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