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Doïna

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Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Bonjour (encore !), je voudrais savoir comment faire pour que mon nouvel avatar s'affiche. J'en ai assez de cette tête de chat noir. Pouvez-vous m'aider s'il vous plaît ? (En fait j'aimerais changer d'avatars tous les mois pour mettre de la nouveauté).
  2. Doïna

    Narcissiques-pervers

    Ah mais, non non Simplicius, je n'ai pas précisé : une fois au restaurant il envoyait la main sous la jupe.
  3. Doïna

    Narcissiques-pervers

    Oui j'avoue, je me suis trouvée supérieure sur le plan moral à un supérieur au boulot, parce que pour ma part, si j'étais patron, je ne profiterai jamais de ce statut pour tirer profit -sexuellement parlant- de mes subalternes. Enfin, je ne suis pas psychiatre pour diagnostiquer Pierre-Paul-Jacques, on est bien d'accord, hein ? Mais que penser d'un patron, qui se présente toujours comme un mec impéccable, toujours habillé sur son 31, qui utilise un language assez charismatique pour rallier tout le personnel à sa cause dans les réunions, et puis qui, les autres jours, dans les bureaux, dans les couloirs, insiste pour que les nouvelles se laissent inviter au restaurant. Si une ose refuser, il sa suit jusque dans le bus et l'assomme de son paroli, pour la pousser encore et encore à accepter. Si elle persiste à refuser, alors il devient menaçant, et la pauvre devient sa bête noire sur le lieu de travail. Sans compter qu'il fera de son mieux pour monter tous les autres contre elle, quitte à jouer les victimes. Un type comme ça, est-ce que c'est : un pervers-narcissique ? Ou bien est-ce que c'est un mec du sud, tout simplement ? (Lol)
  4. Doïna

    Narcissiques-pervers

    Oui, c'est vrai, des fois il faut supporter des pervers-narcissiques au boulot, et comme en général ils ont des postes de supérieurs ! Je vous raconte pas... Mais un pervers-narcissique ne peut-il devenir un tueur en série ? Ou je me trompe de pathologie ?
  5. Doïna

    un jour... un poème

    Le poème suivant est traduit du persan, il est un peu humoristique : L'amour maternel Une belle disait à celui qui l'aimait : "Ta mère ne cesse de me faire la guerre. Du plus loin qu'elle me voit, son front se ride et ses sourcils se froncent. Les yeux pleins de colère, de ses traits acérés elle accable mon tendre coeur. Elle me chasse du seuil de sa maison aussi brutalement que la fronde chasse la pierre. Tant que vivra une mère si dure, le miel sera coloquinte sur mes lèvres et sur les tiennes... Si tu veux que je sois à toi, tu dois à l'instant même, sans retard, sans trembler, T'en aller déchirer ce flanc et arracher le coeur de ce sein étroit, puis, pour effacer la peine du mien, me l'apporter chaud et sanglant." Le misérable, amoureux insensé, ou plutôt criminel ignorant toute honte, était ivre de vin, égaré par la drogue : il oublia les sentiments d'un fils. Jetant sa mère à terre il lui fendit le sein et lui arracha le coeur, puis se précipita vers la maison de sa maîtresse, dans le creux de sa main tenant le coeur comme une orange. Par hasard il buta sur le seuil et tomba, se blessant légèrement au coude et laissant échapper ce coeur tout chaud et qui gardait encore un peu de vie. Et lorsque, s'étant relevé, il s'en approcha pour le ramasser, il entendit alors de ce coeur plein de sang sortir doucement ces paroles : "Mon enfant, as-tu mal à ton bras écorché ? As-tu mal à ton pied blessé ?" :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: Iradj (1874-1926)
  6. Doïna

    les langues

    Ton idée est bonne je trouve, il y a tant à apprendre sur les langues, ne serait-ce que sur la langue française. J'espère de tout coeur que ça pourra se réaliser.
  7. C'est toujours un plaisir de faire des bons petits plats et de dorloter un homme adorable.
  8. Le féminisme n'est le mal absolu que pour les phallocrates, les patrons harceleurs, les cogneurs de femmes, les proxénètes... et tous les hommes qui, d'une manière générale, veulent pouvoir considérer impunément les femmes comme un cheptel, tirer profit de leur misère quand c'est le cas, et autres injustices à leur faire subir. Je précise que tous les hommes ne sont pas comme ça (heureusement !). Mais il y en a. Il y a encore de nos jours des patrons qui veulent abuser des jeunes stagiaires, des sales types prêt à cogner leur compagne et à la rabaisser par tout moyen pour se sentir supérieurs, des voyous qui retiennent des filles sur le trottoir avec des menaces contre elles et leur famille... Sans oublier les différences dans le monde du travail : réticences à placer une femme comme manager, écarts de salaires, refus de créer des crèches au sein de l'entreprise, etc.. Aussi, je ne pense pas qu'être tatillon sur ce qui peut sembler des broutilles : suppression du terme "mademoiselle"... soit inutile. C'est toute une mentalité dans le fond qu'on remet en question, dans un pays où, dès qu'une femme se trompe (voyez les comportements des automobilistes) ou n'est pas d'accord avec un mec, il y a de fortes probabilités pour qu'on la traite de "salope", de "connasse", de "pute"... et autres insultes fort explicites sur la considération qu'on leur porte.
  9. Doïna

    les langues

    Le Grévisse très bien aussi.
  10. Doïna

    un jour... un poème

    La ville Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Avec tous ses étages en voyage Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d'un rêve, elle s'exhume. Là-bas, Ce sont des ponts musclés de fer, Lancés, par bonds, à travers l'air ; Ce sont des blocs et des colonnes Que décorent Sphinx et Gorgones ; Ce sont des tours sur des faubourgs ; Ce sont des millions de toits Dressant au ciel leurs angles droits : C'est la ville tentaculaire, Debout, Au bout des plaines et des domaines. Des clartés rouges Qui bougent Sur des poteaux et des grands mâts, Même à midi, brûlent encor Comme des oeufs de pourpre et d'or ; Le haut soleil ne se voit pas : Bouche de lumière, fermée Par le charbon et la fumée. Un fleuve de naphte et de poix Bat les môles de pierre et les pontons de bois ; Les sifflets crus des navires qui passent Hurlent de peur dans le brouillard ; Un fanal vert est leur regard Vers l'océan et les espaces. Des quais sonnent aux chocs de lourds fourgons ; Des tombereaux grincent comme des gonds ; Des balances de fer font choir des cubes d'ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu ; Des ponts s'ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent des gibets sombres Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Et tout là-bas, passent chevaux et roues, Filent les trains, vole l'effort, Jusqu'aux gares, dressant, telles des proues Immobiles, de mille en mille, un fronton d'or. Des rails ramifiés y descendent sous terre Comme en des puits et des cratères Pour reparaître au loin en réseaux clairs d'éclairs Dans le vacarme et la poussière. C'est la ville tentaculaire. La rue - et ses remous comme des câbles Noués autour des monuments - Fuit et revient en longs enlacements ; Et ses foules inextricables, Les mains folles, les pas fiévreux, La haine aux yeux, Happent des dents le temps qui les devance. A l'aube, au soir, la nuit, Dans la hâte, le tumulte, le bruit, Elles jettent vers le hasard l'âpre semence De leur labeur que l'heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de la démence. Le long du fleuve, une lumière ouatée, Trouble et lourde, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie avec des flots d'alcool est fermentée. Les bars ouvrent sur les trottoirs Leurs tabernacles de miroirs Où se mirent l'ivresse et la bataille ; Une aveugle s'appuie à la muraille Et vend de la lumière, en des boîtes d'un sou ; La débauche et le vol s'accouplent en leur trou ; La brume immense et rousse Parfois jusqu'à la mer recule et se retrousse Et c'est alors comme un grand cri jeté Vers le soleil et sa clarté : Places, bazars, gares, marchés, Exaspèrent si fort leur vaste turbulence Que les mourants cherchent en vain le moment de silence Qu'il faut aux yeux pour se fermer. Telle, le jour - pourtant, lorsque les soirs Sculptent le firmament, de leurs marteaux d'ébène, La ville au loin s'étale et domine la plaine Comme un nocturne et colossal espoir ; Elle surgit : désir, splendeur, hantise ; Sa clarté se projette en lueurs jusqu'aux cieux, Son gaz myriadaire en buissons d'or s'attise, Ses rails sont des chemins audacieux Vers le bonheur fallacieux Que la fortune et la force accompagnent ; Ses murs se dessinent pareils à une armée Et ce qui vient d'elle encor de brume et de fumée Arrive en appels clairs vers les campagnes. C'est la ville tentaculaire, La pieuvre ardente et l'ossuaire Et la carcasse solennelle. Et les chemins d'ici s'en vont à l'infini Vers elle. Emile Verhaeren (Les villes tentaculaires)
  11. Mon insulte préférée quand j'ai affaire à un mysogyne c'est "bandeur du cul !"
  12. Tout à fait d'accord avec toi angelot : plussoiement sans hésitation.
  13. En fait, c'est la religion (ou la secte, qui est une religion à petite échelle au fond) qui impose des codes, des dogmes, etc. . Mais on peut très bien croire en Dieu, ou bien disons en un niveau divin, tout en rejetant les religions. Croire en Dieu et suivre une religion c'est deux choses bien distinctes.
  14. Pourquoi tu dis ça ? Développe, donne au moins un exemple.
  15. Bonjour, Personnellement, je pense que la vie est comme un parcours initiatique, et ce que l'on croie en le divin ou pas. Quant au fait qu'il existe une justice immanente oui c'est sûr. Il y a des gens qui font le mal et tôt ou tard cela leur retombe dessus. Pour vous donner quelques exemples : dans une cité où j'ai vécu il y avait un homme qui passait son temps à faire la morale à tout le monde. Donc il épiait les autres pour les prendre en faute et pour les dénigrer après, jusqu'au jour où il a été pris en flagrant délit en train de se patouiller derrière une voiture tandis qu'il matait les mamans assises autour de la balançoire. Belle leçon pour lui ! Mais il existe des cas beaucoup plus critique de tuniques de Nessus et autres.
  16. Bonjour, Alors tout d'abord, au risque de paraître démodée, je tenais à te dire ceci : on parle gaiement de "séduction" mais plus de "courtise", pourquoi ? Parce que courtiser implique une certaine durabilité de la relation qui s'ensuivrait, même sans aboutir à un mariage, même si cela demeurait de la pure galanterie ? Séduire pour quoi alors ? Si c'est juste pour pécho évidemment ça peut en rebuter plus d'une. Ceci exprimé, pour répondre à ta question : je pense qu'un homme peut gagner la confiance d'une femme même très méfiante s'il est patient. D'abord gagner son amitié et son respect. Si elle a des enfants il faut en tenir compte, faire preuve de compréhension quant au temps que cela lui prend pour bien s'en occuper, et ne jamais avoir de comportement déplacé ou séducteur devant eux car cela pourrait choquer cette maman. En somme il faut vraiment vouloir te faire une place dans son coeur, surtout quand on sait que certaines femmes se méfient des hommes depuis leur enfance à cause du comportement lamentable de leur propre père. Enfin moi je sais bien ce que c'est et te parle avec mon coeur : je trouve que les hommes brusquent trop les choses, qu'ils prennent la mouche dès qu'ils sentent que ça va pas leur tomber tout cuit dans le bec. Pas très romantique tout ça. Aussi, autre chose : une femme c'est fier, même si cela fait longtemps qu'elle est seule parce que déçue des hommes elle ne deviendra pas lesbienne pour autant, n'est-ce pas ? C'est plutôt les mecs qui se tapent des mecs comme eux, voire des chèvres, quand y a rien d'autre !
  17. Puisque ça a l'air de déranger Mélanchon, pourquoi ne pas aller l'ouvrir juste en face d'un bureau du Front de gauche ?
  18. Précise : que sous-entends-tu par là ? Le cannabis, excitant ! Depuis quand ? Un ramollissant oui ! Evidemment il faut avouer que quand un mec tombe là-dedans, il s'y trouve bien puisque c'est une drogue, mais plutôt que d'admettre les ravages comme il est incapable de s'en dépétrer il va prétendre que ça le rend encore plus viril qu'avant, que s'il touche pas à sa copine quand il en a une c'est parce que c'est elle qui fait pas ce qu'il faut pour le mettre en condition (alors qu'en vrai un mec en bonne forme il a pas besoin que sa nana se coupe en quatre pour que le zizi soit bien droit et bien dur n'est-ce pas !), etc. etc. et que je t'en raconte, et puis que je t'en raconte encore, jusqu'au jour où c'est l'hosto ! Mais ça c'est comme l'alcoolisme. Un alcoolique vous lui faites remarquer qu'il est alcoolique, il va dire que c'est pas vrai, qu'il en est pas encore là, qu'on l'a jamais ramené en brouette, que le voisin boit plus que lui, etc. et j'en passe, jusqu'à la cirrhose.
  19. Aussi je pensais : il faut savoir accepter son sort parfois, accepter le fait que tout au long d'une existence on va faire un bout de chemin avec une personne, et puis qu'un jour on va rompre, ou bien alors aussi le fait qu'on peut avoir à marcher longtemps tout seul. C'est comme ça, c'est tout. C'est dur, mais il faut rester ce qu'on est malgré tout, ne pas sombrer dans le pessimisme pour autant en se convaincant qu'on n'y croit plus. Cela dit, il est vrai que dans notre monde il y a de plus en plus de célibataires. Ne serait-ce pas le contrecoup de la surpopulation ? Je pense ça en considérant que se mettre en couple fait de nous des parents potentiels : nous sommes tout de même 7 milliards d'humains sur la Terre ! Qu'en pensez-vous ?
  20. De toute façon c'est un faux problème, ce magasin de sex toys s'il n'est pas autorisé à rester aux alentours d'une école il n'a qu'à aller rouvrir plus loin, ou dans une autre ville.
  21. De toute façon il faut s'attendre à ce qu'il y ait toujours de moins en moins d'amour, dans une société où l'on s'est habitué à avoir tout, tout de suite. On n'a plus trop de patience de nos jours, vous ne trouvez pas ? Enfin moi en attendant je constate que, parfois, j'intéresse des personnes du sexe opposé, qui me le font comprendre, mais qui baissent bien vite les bras en comprenant qu'il va falloir me courtiser, que je ne vais pas tomber dans leur plumard du jour au lendemain. Que penser d'hommes qui veulent tout avoir dans l'immédiat ? Sans inviter au cinéma, au restaurant, offrir des fleurs, etc., faire plaisir quoi, dialoguer, avant de passer au sexe ? Ce n'est pas très romantique, ça n'entraîne guère à l'amour. Mais cela vient peut-être aussi du fait que je vis dans le sud ? Peut-être que les hommes sont moins machos, donc plus tendres ailleurs ?
  22. En fait l'amour, on en parle toujours comme si c'était une entité extérieure à nous-même. Je pense plutôt que c'est une force que nous avons en nous, plus ou moins intense, plus ou moins résistante aux épreuves de la vie, mais en tout cas une force bien présente, qui possède bien des facettes. Elle est toujours là donc après une rupture, et certains la transforme en belles choses pendant une période de solitude, ce qui est de la sublimation. En attendant, même après un échec cuisant d'ordre sentimental, il ne faut jamais cesser de croire en l'amour parce que, justement, cette force qu'est l'amour, c'est ce qui nous permet de rester des gens sincères, bons, courageux dans la vie, et plein d'autres qualités comme ça, même si on ne doit plus jamais avoir la chance de rencontrer quelqu'un. Ne plus croire en l'amour au contraire, c'est céder à tout ce qui rend l'existence misérable : l'égoïsme, la lâcheté, la haine, etc..
  23. Il ne faut jamais cesser de croire en l'amour, même quand il ne vient pas, même quand il vous tourne le dos. Gardons toujours à l'esprit que l'Amour est enfant de bohème : il n'ai jamais, jamais connu de roi...
  24. Bonjour, pour vous donner mon avis, selon mon expérience et sans parti pris, je n'ai pas aimé l'amour avec un ex totalement accro au cannabis. Il avait des érections molles, et avant de commencer il fallait toujours qu'il termine ses deux ou trois joins. Il ne pouvait plus s'en passer comme vous l'avez compris, et puis cela lui faisait manquer aussi de souffle. Or ça compte le souffle, pour un homme qui fait l'amour. Le pauvre a été emporté par un cancer des poumons qui s'est généralisé. Une de mes amies également s'ennuyait au lit avec son concubin accro au cannabis. Sa consommation n'a fait qu'augmenter au cours du temps. Pour finir cela l'a détaché de la réalité, des autres, de tout... Jusqu'à sa copine qui était pourtant un canon de beauté. Quand elle n'en pouvait plus d'envie et lui réclamait des calins, il lui répondait qu'il n'y avait pas que le sexe dans la vie ! Et si elle insistait il lui disait qu'elle n'avait qu'à tout faire elle même, que de toute façon à son âge elle pouvait bien se débrouiller sans lui. Je passerai sur les autres problèmes que posent le cannabis dans un couple : pas de projet d'avenir parce que tout le budget y passe, risque de fausse couche, etc. etc.. De toute façon dites vous bien que l'amour avec un consommateur de cannabis ne vaudra jamais l'amour avec un mec amoureux et en super santé, qui ne fume pas, ne boit pas, fait du sport et a un bon mental. J'ai testé les deux, j'ai constaté la différence. Le meilleur c'est celui qui fume pas.
  25. ça peut faire rigoler les cartésiens (ce que j'ai été jusqu'à un certain âge) mais que penser quand les témoins sont plusieurs au moment des manifestations ? La maison dont je vous parle, avait été louée une fois à des touristes venus passer les grandes vacances en Bretagne (parce que c'est dans cette région qu'elle se trouve). Ils avaient payé à l'avance pour juillet et août, ils n'y sont même pas restés quinze jours. Ils ont tout quitté en catastrophe, sans se donner la peine d'emporter leurs affaires : ils ont laissé leurs vêtements, leurs chaussures, leurs ustensiles de toilette, la bicyclette de leur enfant et autres. Et on n'a plus jamais eu de nouvelles d'eux. Ils n'ont même pas demandé à être remboursés. Pourquoi ? C'est quand même bien qu'il a du se passer quelque chose, et qui leur a fait très peur, non ?
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