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Tout ce qui a été posté par Doïna
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Et pourtant Hamon est son époux ! J'en conclus que, sexuellement, c'est un bon coup ?
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Poutou Poutou Poutou Poutou Rien que ce nom me fait rire.
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Le programme de Hamon donne des vapeurs au patron du Médef : "Absurde", "idéologue", "irréaliste"... tels sont les adjectifs qu'a utilisé Pierre Gattaz le 24 janvier afin de qualifier le programme de Benoît Hamon... C'est bizarre : quand un candidat est applaudi par le Médef il aurait plutôt tendance à me foutre les jetons, alors qu'un candidat qui fout les jetons au Médef aurait plutôt tendance à me sembler engageant... C'était juste une impression personnelle.
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Marine Le Pen vient de publier son programme : lien ; c'est quand même bien moins à droite que celui de Fillon, et peut-être même plus à gauche que Valls avec sa loi El-Khomri et son 49.3. Conclusion : mieux Marine que les Républicains !
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Attention : dans mon message, je n'ai pas dit qu'il fallait contraindre à quoi que ce soit. Il est vrai qu'il ne faut pas oublier que chaque fois qu'un allocataire achète quelque chose, il paye une taxe sur la valeur ajoutée donc participe à l'économie du pays. Ceux qui s'opposent à ce type de revenu sans contrepartie de travail devraient d'ailleurs réfléchir à la tournure des évènements si on les supprimait totalement : en sachant qu'il y a environ 2 millions et demi de foyers bénéficiaires du RSA en France, imaginez toutes ces personnes privées de ça du jour au lendemain ? On les verrait descendre dans les rues, affamées, puis se ruer sur les magasins pour les piller, se jeter sur les bienheureux qui peuvent manger à leur faim pour leur voler tout ce qu'ils possèdent, s'installer dans leurs maisons, incendier les banques, brandir les têtes des politiques sous les fenêtres de l'Elysée... Ah la vache, ah la vision d'apocalypse ! Tout ça parce que des individus totalement immoraux qui oeuvrent dans les sphères du pouvoir auraient décidé que c'était immoral de percevoir un revenu aussi minime sans contrepartie de travail.
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Et aussi : où des femmes d'hommes politiques peuvent se faire payer deux notes rédigées pour un montant que le plus acharné des travailleurs salariés ne pourrait même pas mettre de côté en toute une vie de labeur.
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J'en parle dans un précédent post : on peut prendre un tas de mesures pour occuper les sans-emploi comme valoriser le bénévolat sans contraindre qui que ce soit pour les inciter à en faire, offrir une petite prime à ceux qui consacrent de leur temps au milieu associatif ou autres activités utiles telles que l'aide aux devoirs dans les écoles, l'animation dans les hospices, etc., supprimer autant que possible les frais pour les chômeurs longue durée prêts à s'investir dans une création d'entreprise ou l'ouverture d'un commerce (plus encore qu'actuellement je veux dire), créer des formations ou des retours aux études pour permettre aux chômeurs longue durée d'augmenter leurs chances sur le marché de l'emploi, leur offrir la gratuité ou la semi-gratuité des dépenses liées aux loisirs sains (sport, culture, etc.) et je pense en particulier à ceux qui ont des enfants. J'imagine qu'à l'avenir, les gens ne travailleront pas à temps plein mais de façon alternée parce qu'on aura pas besoin de leurs services tout le temps, et que ceux qui choisissent de ne pas travailler pour se consacrer à autre chose : leur famille, le bénévolat, une passion... ne dérangeront personne parce que ce ne sera plus un problème. On verra des revenus sans contrepartie de travail comme une évidence.
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Evidemment qu'il faut les aider. Je vais me répéter : dans une société où le robot prend progressivement la place de l'homme dans toutes ses tâches ingrates, pénibles, répétitives, dangereuses, et où la population va toujours croissante, peut-on logiquement envisager de ne plus aider les sans-emploi ? À compter de là, pourquoi tant de méchanceté vis-à-vis de ceux-là ? Pourquoi les traiter d'assistés, de parasites, souhaiter qu'ils soient contraints à des corvées non rémunérées pour subir davantage le poids de leur situation comme s'ils en étaient responsables, comme si c'était un crime d'être chômeur ? Personne n'a dit ce qu'il pensait de mes précédents messages quand j'ai écrit que nous allions vers une société où seules les têtes pensantes travailleront, tout le reste étant assuré par des robots, ce qui signifie que tout le monde n'aura pas à travailler, ou alors presque plus. Pourtant, ce n'est pas de la science fiction, c'est le genre de société qui nous attend.
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Tu m'as mal comprise ou c'est moi qui ne te comprends pas ? Pour rappel j'ai bien dit : moi ça me va (à propos de son programme). Sauf erreur de ma part, il me semble bien qu'en plus de taxer les robots, il compte sur une taxation de l'argent placé en banque par ceux qui en ont.
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Une affaire embarrassante pour Macron ?
Doïna a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
De toute façon, mais qu'est-ce que c'est que ce Macron ? C'est un type qui répond avec mépris aux manifestants qu'il n'a pas de leçon à recevoir, qui les accuse de bloquer le pays parce qu'ils sont en rogne contre le 49.3, qui leur balance "tu me fais pas peur avec ton tee-shirt, la meilleure façon de se payer un costard cravate c'est de travailler" comme si l'habit de pingouin était un but en soi*, qui perçoit les ouvriers comme des illettrés qui n'ont pas le permis, et que le médef applaudit à s'en faire mal aux mains ! Donc faudra pas s'étonner d'apprendre qu'un jour ou l'autre, il ait poussé le mépris jusqu'à détourner du pognon lui aussi, à l'instar des châtelains de Beaucé et de bien d'autres. -
Bon, sinon, pour en revenir aux robots : il faut s'attendre à ce qu'il y en ait toujours plus, y compris à ce qu'ils remplacent totalement les tâches ingrates, pénibles, répétitives ou dangereuses, donc plutôt que d'accabler les chômeurs longue durée et les bénéficiaires du RSA, de les injurier en les traitant d'assistés, pourquoi ne pas s'y prendre autrement avec eux ? On peut taxer les robots mangeurs d'emplois pour leur verser un revenu qui ne leur permettra certes pas de rouler sur l'or, mais au moins de parer à leurs besoins quotidiens et payer leurs factures mensuelles. Contre le désoeuvrement (puisque certains prétendent que l'oisiveté est mère de tous les vices), on peut prendre un tas de mesures : valoriser le bénévolat sans contraindre qui que ce soit pour inciter les sans emploi à en faire, offrir une petite prime aux sans emploi qui consacrent de leur temps au milieu associatif ou autres activités utiles telles que l'aide aux devoirs dans les écoles, l'animation dans les hospices, etc., supprimer autant que possible les frais pour les chômeurs longue durée prêts à s'investir dans une création d'entreprise ou l'ouverture d'un commerce (plus encore qu'actuellement je veux dire), créer des formations ou des retours aux études pour permettre aux chômeurs longue durée d'augmenter leurs chances sur le marché de l'emploi, leur offrir la gratuité ou la semi-gratuité des dépenses liées aux loisirs sains (sport, culture, etc.) et je pense en particulier à ceux qui ont des enfants. Avant de balancer : ah, les chômeurs sont responsables de leur situation, ce sont des fainéants, des parasites de la société, faut réfléchir. C'est un fait que la robotisation supprime des postes parallèlement à l'augmentation de population. Tôt ou tard il faudra bien accepter des changements radicaux dans le fonctionnement de la société par rapport à ça. Le revenu universel, c'est un début : on ne peut donner du travail à tout le monde mais, pour autant, on ne va pas condamner à mourir de faim ceux qui ne travaillent pas ou même les réduire au servage pendant que des entrepreneurs s'enrichissent grâce à la robotisation, ce serait totalement inhumain. Nous allons indubitablement vers une société où seuls les têtes pensantes et les artistes travailleront, tout ce qu'il peut y avoir d'indigne pour l'humain étant exécuté par des robots. Ce n'est pas de la charité, c'est de l'humanisme !
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Et toi et Morfou (qui t'a plussoyé) : expliquez-moi un peu d'où vous vient tout ce temps pour glander sur Forumfr ? Ce n'est pas le week-end que je sache !
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Un jour on passera outre tous ces problèmes, sans compter que l'humain pollue avec ou sans robot, ne serait-ce qu'avec sa voiture quand il se rend sur son lieu de travail. Sinon, je suis en partie d'accord : des professions comme enseignant, médecin, sage-femme, et un tas d'autres ne doivent pas être déshumanisées. En revanche, agents de nettoyage, éboueurs, etc. ce ne serait pas très grave de confier à des robots ces tâches qui obligent des humains à avoir toujours le nez dans des mauvaises odeurs ou sont vraiment pénibles pour un bas salaire, et payer sans exiger de contrepartie la population qui ne travaille pas à cause de ça.
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C'est pas le travail qui me gène, ce sont les collègues. Des fois je me demande : mais qu'est-ce que je fous là, à supporter des abrutis pareils, qui ne soignent même pas leur haleine en plus !
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Justement : le robot a vocation à remplacer l'humain dans les tâches ingrates ou trop pénibles. Faut-il pour autant laisser crever de faim ceux qui auraient travaillé si le robot n'était pas là ? Faut-il que le robot ne soit utile qu'à l'enrichissement du patron au détriment des autres ? Non : on paye les gens qui ne travaillent pas, c'est la moindre des choses. De toute façon, l'avenir c'est le robot. Un jour, la plupart des humains n'auront plus à travailler pour vivre, sauf s'ils le souhaitent, ou alors ils travailleront un minimum. Ils pourront consacrer la plupart de leur temps aux loisirs, au sport, aux arts, à la culture, à ceux qu'ils aiment, aux associations, et les robots feront tout le reste et ce sera très bien comme ça (sauf peut-être pour les larbins nés qui sont paumés sans leur cher asservissement quotidien et, fous de douleur, s'abandonnent alors à leur propre destruction par l'alcool et les drogues. C'est comme ça quand on sait pas s'occuper !).
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Tu t'inquiètes pour rien : ils sauront bien lesquels taxer.
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Non mais déjà au sujet des robots : c'est logique de créer une taxe là-dessus. Nous vivons dans une civilisation où, du fait des progrès de la médecine, les individus sont de plus en plus nombreux. A côté de ça, il y a de moins en moins de boulot parce que les robots sont de plus en plus accessibles et performants. Voyez : partout, des robots, aux caisses, pour timbrer son courrier, prendre de l'argent... Et autant de postes en moins ! Cela me semble par conséquent logique de rabattre les bénéfices permis par ces robots vers le social et de réduire les temps de travail sans diminuer les trains de vie qui vont avec. Je trouve également primordial d'aider les jeunes qui ont de plus en plus de mal à se faire une place dans cette société et à dénicher un boulot stable.
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Les grandes lignes du programme de Benoit Hamon : moi ça me va !
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Pénélope est un prénom dur à porter : il incline au tissu de mensonges et à prendre les autres dans sa trame.
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Attention, la blonde pète le feu cette année. Mélenchon, lui, c'est plus ce que c'était : il vieillit.
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Allez, un peu d'humour :
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En fait, pour comprendre la galanterie, il faut remonter aux sources, donc jusqu'à l'amour courtois médiéval. L'homme courtois devait être galant envers la femme non pas pour réduire celle-ci à une petite chose fragile qu'il faut aider en toutes circonstances, mais parce qu'il devait toujours se rappeler qu'il était son serviteur. Eh oui, c'est ça le vrai principe de la galanterie : l'homme est le serviteur de la femme ! Sexiste envers les hommes, la galanterie ? Bon, faut quand même rappeler qu'au Moyen Âge, les nobles, tout en étant friands de belles dames à courtiser, de poèmes à l'eau de rose et de chansons d'amour, étaient des brutes en puissance : ils aimaient guerroyer, piller, violer, avaient le droit de cuissage sur les serves de leur fief en plus de celui d'emmurer les épouses infidèles et de donner la main de leurs filles à qui bon leur semblait.
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Bon, un homme galant sort en premier de la voiture pour tenir la porte à la femme qui l'accompagne. Qu'est-ce qu'on fait, on manifeste ? Est-ce qu'il a fait ça pour la rabaisser ou pour se montrer gentil ? En fait, je pense que la galanterie n'aurait jamais soulevé de telles questions et n'aurait même jamais posé de problèmes s'il n'y avait pas eu d'autres choses vraiment déplorables et humiliantes pour les femmes, non ?
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Le souci dans la politique américaine, c'est qu'il n'y a que deux partis : les démocrates et les républicains. Donc j'imagine les Américaines du bas de l'échelle, subsistant grâce aux aides et voyant les conditions de vie se dégrader, entendre des stars bourrées de fric comme Madonna par exemple, critiquer Trump et appelant à voter pour Hillary... Cela a pu les révolter ? Voter Trump aurait été pour elle une façon de dire merde à une élite bien-pensante qui ne les comprend pas et ne les écoute pas. Le vote de ces femmes-là : celui du désespoir plutôt que de l'espoir ?
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La galanterie, c'est pas bien méchant. Certaines ultras le prennent mal parce qu'elles y perçoivent un rabaissement à quelqu'un de faible. Le fait est qu'il faut être poli avec son prochain quel qu'il soit. Perso je tiens la porte à la personne qui arrive derrière moi, je dis bonjour, au revoir, et je dis merci. Donc, dans la galanterie, je pense qu'il faut y voir de la politesse et du respect, tout court. C'est particulier parce que c'est le respect manifesté par un homme à une femme. On ne peut pas dire en effet qu'un homme est galant parce qu'il est courtois avec un autre homme. Pour comprendre la galanterie, il faut remonter très loin dans l'histoire je pense. Mais qu'est-ce que c'est, pour toi, la galanterie, puisque tu m'en parles ? Qu'est-ce qui est propre au nouveau féminisme et qui t'écoeure ? Dis-moi tout, je ne suis pas au courant.