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Amazones

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Tout ce qui a été posté par Amazones

  1. Que de perspicacité ma princesse, on peut remarquer qu'aucune entourloupe sur les publicités t'échappe ;) Bisous bisous et bonne journée

  2. Merci, merci que de kissouille, miam miam - Oui, je vais très bien même si les vacances scolaires sont propices à davantage d'occupations .... Ils sont si choux lol - Et pour toi, tout se passe comme tu le veux ?

  3. Une envie de bisouter mon ambassadrice ;)

  4. Hello noisettes, j'ai eu temps de lire ce que tu avais mis sur la crainte d'une perte d'emploi. Il me semble que si l'employé n'arrive à accomplir les tâches convenues, à plusieurs reprises, l'employeur ne manquera d'idées pour lui trouver un motif de licenciement, si cela est son choix ....malheureusement - Bisous au passage

  5. Amazones

    Poéme à moi ;)

    Bonjour et enchantée, je dirais que les mots essentiels y sont mais ne faudrait-il pas insérer quelques lignes supplémentaires ou amplifier son importance ..... la fin est à mon goût trop brut de mots ..... même si de probabilité, c'est ce que tu as voulu émettre .... une simple suggestion :blush: ..... Douce journée et au plaisir
  6. Amazones

    Total Instrumental

    Bonjour Libre et kissouille Cajou En quoi cela serait, bien au contraire, ça change ..... Et merci pour la modification ..... Ma curiosité à l'écoute est bien plus forte que de ne rien dire ..... Douce journée --- --- Ahhhh, c'est https .... :p ---
  7. Mais que dites vous donc .... Elles sont si charmantes :wub: Je me demande même si je n'aurais pas plus d'angoisse si on me regardait comme il le fait si bien .... Quel charmant homme .... Moi, en tous les cas, il me fait craquer ...... --- Si nous restons dans les personnages effrayants, je mettrai directe Regan ..... "Exorciste"
  8. Très très belle chanson, ma chatonne d'amour ---
  9. Hello Titsta, je te souhaite un joyeux anniversaire, bisous et bonne journée

  10. Bonjour et bisous aux personnes du dessus
  11. Amazones

    DON QUICHOTTE

    Aucune honte ne doit ...... mais il est vrai que ce personnage est un art à lui tout seul. Merci d'en avoir porté attention
  12. Bisous ma Lyza et merci de ta visite <3

  13. Un passage chez mon cher Usagi ..... Bisous

  14. Un gros bisous à mon Astrono préféré ... Bon après-midi ;)

  15. Waouhh, quelle magnifique trouvaille sur l'horreur ... Bravo ;) et bonjour en cette journée ... Bisous

  16. Bonjour à tous http://www.youtube.com/watch?v=UfBgAq0sQ1s
  17. Bonjour Plouj, je te souhaite un joyeux anniversaire, au plaisir

  18. Hello mister, passe une bonne journée et kissouille

  19. Amazones

    Trompe-l'oeil

    Le trompe-l’œil .... ..... Doit provoquer ce premier contact de surprise ..... La Condition Humaine de René Magritte en 1933 "La main touchait une surface plane ; et l’œil, toujours séduit, voyait un relief : en sorte qu'on aurait pu demander au philosophe lequel des deux sens dont les témoignages se contredisaient était un menteur" ..... Diderot, Salons en 1761 "Il mène l'expérience jusqu'au bout. le spectateur n'a pas à faire le premier pas d'acceptation de l'œuvre en tant que représentation. il est surpris et trompé dès le premier contact. Sa perception lui dicte que ce qu'il a devant les yeux fait partie intégrale de son monde environnant et sa réaction n'est pas d'accepter ce qu'il sait n'être qu'une illusion, mais de toucher pour vérifier la réalité. La mystification est totale. Elle est certainement voulue par l'artiste qui établit un jeu avec son auditoire." --- La représentation de l'œuvre d'art Le tableau et la sculpture La grisaille a été utilisée depuis l'Antiquité pour imiter, à s'y méprendre, la statuaire en marbre. Nous avons déjà analysé la vogue et la grande réussite de cette technique dans la peinture murale et la décoration proprement dite. Dans la peinture de chevalet, il faut signaler l'emploi qu'en ont fait les Flamands du XVe siècle pour orner les volets extérieurs de leur polyptyques. initialement, dans l'optique de donner au retable l'aspect et la teneur de l'objet de culte complet, l'extérieur représentait, comme les porches d'église, des niches contenant des statues en grisaille. Ce fut aussi un moyen de donner libre cours aux recherches spatiales des peintres, liés encore, dans l'illustration des intérieurs, aux contraintes rigides de l’icône et de son monde céleste. l'Ange et Marie par Jean Van Eyck, Diptyque de l'Annonciation Maitre de l'Annonciation d'Aix (actif en Provence vers 1445) - Le Prophète Isaïe Pour plus de renseignements : Lien Merveilleusement moulés et d'aplomb sur leur socle, l'Ange et Marie de Van Eyck se détachent du fond précieux et poli qui porte leur reflet. Les statues sont confinées dans des niches, mais l'aile de l'Ange est un saillie et projette son ombre sur le cadre. La lumière venant de droite unifie et sanctifie l'ensemble. C'est peut être cette perfection raffinée de l'Annonciation de Van Eyck qui en a fit l'objet de culte principal d'un diptyque de dévotion privée. En effet, les revers de ces panneaux, décorés du même porphyre feint que le cadre, ne s'ouvrent sur aucune image. Par la suite, les statues en grisaille tombèrent dans le piège des libertés prises par leurs créateurs. Elles commencent à "vivre" et même à se colorer, comme le montrent les Prophètes des volets appartenant au retable l'Annonciation d'Aix. En recevant le souffle de vie, les représentations de ces statues semblent cesser d'être des trompe-l’œil. L'Abondance de Giovanni Francesco Penni On connait une intéressante grisaille de Giovanni Francesco Penni, documentée comme ayant servi de volent de la Petite Sainte Famille de Raphaël. Elle porte d'ailleurs le nom de Raphaël gravé dans la partie inférieure. D'une très grande beauté d'exécution, cette Abondance se détache comme une statue de petite dimension au fond en faux marbre incrusté, démontrant, en Italie, la survivance de ces volets de tableaux exécutés en trompe-l’œil. Les panneaux peints, imitant les bas-reliefs, furent en grande vogue dès la fin du XVIIe siècle. En commençant avec De Wit - le hollandais qui amena en France la mode des witjes (blanc, en hollandais) - il faut citer la filiation de son école, Geeraerts, Sauvage, Doncre, Boilly qui décorèrent de grands panneaux les murs des églises et des palais. La réussite de ces œuvres est absolument saisissante, les artistes étant arrivés à représenter le haut-relief comme la ronde-bosse, la graduation de la profondeur comme le mouvement, avec une égale virtuosité. Le tableau du tableau En faisant la représentation d'un tableau en trompe-l’œil, l'artiste échappe à toute contrainte de vraisemblance quant au contenu de l'image. Ce n'est que le contenant, support matériel, qui doit tromper. Pour arriver à changer le tableau en tableau du tableau donc en trompe-l’œil, l'artiste doit créer un repoussoir visuel et intellectuel qui relègue son contenu dans le monde reconnu fictif d'une image. Il faut que le tableau devienne objet et que cet objet soit représenté en trompe-l’œil. Ce repoussoir peut être un coin de toile retroussé, un bord effiloché, un verre cassé, un encadrement feint ou, bien entendu, une mise en scène plus complexe. Ecole Ferraraise (XVe siècle) Vierge Enfant avec deux anges vers 1480 Le tableau de l'Ecole Ferraraise démontre, dès 1480, les potentialités suggestives du tableau d'un tableau. Il s'agit d'une image sainte conventionnelle peinte sur l'arrière d'un canevas, cette image étant recouverte d'un tissu retenu au cadre par des bandelettes clouées. Le tissu a été arraché et on n'en voit plus que les bords déchirés, révélant comme une vision, la Vierge et L'Enfant. La révélation a souvent été interprétée presque littéralement par les artistes comme la levée du voile. Dans cet extraordinaire trompe-l’œil, le spectateur est directement impliqué dans un acte de violence qui lui permet la prise de conscience de la Divinité. Cette œuvre - par sa puissance d'évocation - met l'ambiguïté du réel/fiction sur un plan d'une grande richesse spirituelle. Surprenante dans le cadre artistique de l'Italie du Quattrocento, elle anticipe de deux siècles l'utilisation de l'arrière du tableau, du tissu déchiré, des bandelettes clouées, comme alphabet du trompe-l’œil. Vision de la Sainte Famille près de Vérone en 1581 d'Angolo del Moro, actif au XVe siècle Dans la Vision de la Sainte Famille près de Vérone, Angolo del Moro représente une toile partiellement tendue sur son canevas. Le haut de cette toile est détaché et enroulé sur lui-même, empêchant ainsi la lecture complète du tableau représentant la Vision sur le ciel nuageux surplombant une vue lointaine de Vérone. Le cartellino plié atteste, comme toujours, par contraste, l'appartenance de cette toile au monde des représentations picturales. Pourtant, derrière le bord déchiré et enroulé, on voit le reste de l'image que l'on perçoit comme une réalité dont le tableau n'est qu'une réplique. C'est en détrompant le spectateur que ce tableau devient un trompe-l’œil. Le trompe-l’œil, le dessin et l'estampe "Ces trompe-l'œil témoignent autant de la virtuosité de leur créateur que du goût d'une époque" La représentation en peinture d'un dessin ou d'une estampe a certainement présenté, pour l'artiste, l'attrait de rendre avec le pinceau et la couleur, le graphisme du noir et blanc. C'était confirmer la victoire de la peinture sur le dessin, c'était également la liberté de choisir son sujet comme dans toute représentation d'une œuvre d'art, en simulant la profondeur de l'espace grâce au pouvoir évocateur du papier que l'on peut amonceler, plier, déchirer, à volonté. Ce type de représentation a permis d'établir tout un système de citations dans lequel sont peintes en trompe-l'œil des œuvres gravées par l'artiste - reprenant parfois ses propres tableaux - ou bien exécutées par un graveur de métier d'après des tableaux connus. Trompe-l’œil de Gabriel Gresly vers 1750 Le trompe-l’œil de Gresly reprend une mise en scène familière au peintre. Une estampe est fixée par des clous et des cachets à une planche de bois noueuse et veinée. Cette estampe en lambeaux, ayant perdu tout intérêt artistique, n'est là que pour servir de support à une enveloppe et à une plume. Pourtant, le Chirurgien avait dû connaitre la gloire car on le retrouve représenté dans plusieurs trompe l’œil. Sur la même planche est accroché un opuscule tout aussi ancien et écorné. La trame signifiante qui donnait un sens à ce trompe-l’œil, a été elle aussi détruite par le temps, et on reste aujourd'hui sous le charme de cette harmonie de tons effacés qui confond dans un tout les striures du bois et les papiers déchirés. Autoportrait au verre brisé de Louis-Léopold Boilly vers 1795 Passionné par les problèmes d'optique et innovateur des techniques du trompe-l’œil, Louis Boilly a laissé un intéressant Autoportrait au verre brisé en camaïeu de gris. Parfaite imitation d'une estampe, il aurait facilement pu tromper totalement. Le subterfuge du trompe-l’œil parfait pouvait, en théorie, passer inaperçu. C'est ici qu'intervient le verre brisé qui attire l'attention du spectateur, le fait s'approcher du tableau et lire la signature donnant la clef du mystère. le tableau est signé Boilly pinxit. Biographie Le tableau et son cadre On peut considérer comme cadre d'un tableau aussi bien l'ornement qui l'entoure que l'endroit où il est exposé. Dans les deux cas, le trompe-l’œil pose des problèmes ambigus. Parfois, le tableau en trompe l’œil contient son cadre factice. S'il se présente comme une toile effilochée ou détachée de son châssis, il ne doit pas être encadré : la muséologie d'aujourd'hui devrait respecter cette conséquence logique de son iconographie. De la même façon, une œuvre d'art accrochée à un panneau de bois n'a pas besoin de cadre. Souvent, l'œuvre d'art est entourée d'autres objets dans une mise en scène qui es rarement laissée au hasard. Il arrive que celle-ci laisse entrevoir la personnalité de son commanditaire et deviner l'ambiance de l'endroit où elle était présentée. Coin d'atelier de Benedetto Sartori Le soin d'atelier de Benedetto Sartori montre non seulement les outils du peintre mais deux étapes successives de la création artistique. C'est peut-être, comme la lampe éteinte, un rappel du temps qui passe, c'est aussi une affirmation de la polyvalence de l'artiste peintre et graveur. La négation du tableau Tableau retourné de Cornelis Norbertus Gijsbrechts vers 1670 L'artiste de l'Ecole Ferraraise avait utilisé l'arrière d'un tableau pour révéler une vision céleste ; Gijsbrechts, dans son extraordinaire trompe-l’œil, représente l'arrière vide d'un tableau, une négation totale de l'œuvre d'art. Censé être exposé par terre, appuyé contre le mur, ce tableau provoque irrésistiblement le spectateur et l'invite à le retourner pour voir le côté peint, qui n'existe pas. Sommet du paradoxe cérébral, cette œuvre contient en elle-même sa négation et agit comme un soufflet à l'égard de l'amateur d'art. Elle est peut être aussi symbolique de l'oublie dans lequel avait sombré, pendant des siècles, tout l'œuvre de Gijsbrechts, face au mur, au fond des collections. Tableau retourné de William M. David vers 1870 William M. David n'a eu l'occasion de voir l'œuvre de Gijsbrechts. Pourtant, de l'autre côté de l'océan, ils sont repris le thème du tableau retourné. En y ajoutant des enveloppes portant l'adresse du peintre, en faisant des jeux de mots, ou en y épinglant le portrait de Lincoln, les artistes américains ont accentué le relief et ... l'anecdote, mais ont rompu la puissante magie du tableau de Gijsbrechts. et pour finir ..... Le trompe-l’œil et le meuble .... Je vous avoue, une de mes préférées. L'extraordinaire imitation du bois par la teinture a permis l'intégration du trompe-l’œil directement au meuble. Il servit donc souvent de porte d’armoire ou de placard. Il est d'ailleurs possible que de nombreux panneaux en bois, aujourd'hui présentés comme tableaux, furent, à l’origine, utilisés ainsi. "Ce trompe-l’œil double face essaie non seulement de résoudre le problème de la troisième dimension, mais aussi celui de la face cachée des choses que l'oeil ne voit pas, mais dont la raison connait l'existence." Le Violon de Jan Van Der Vaart, 1674..... ..... Moins intéressant comme conception mais très habilement exécuté, peint sur un panneaux de porte pour la Devonshire House de Londres, a été transféré cent ans plus tard à Chatsworht. il est mainteneur inséré dans une porte condamnée qui ferme le salon de musique et que l'on entrevoit par l’entrebâillement d'une vraie porte. Le résultat de cette parfaite exposition d'un parfait trompe-l’œil est que le public non averti l'accepte comme une réalité et passe à coté sans lui accorder de l'importance. Pour en savoir davantage : Lien ---- Je vous souhaite une bonne lecture en compagnie de ce jeune garçon sortant du tableau de Pere Borrell del Caso vers 1874 .... ---- Source : - Livre Le trompe-l’œil par Miriam Milman - Livre de Magritte par Jacques Meuris
  20. Les Feuilles mortes de Yves Montand --- Chant d'automne de Charles Baudelaire Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ; L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. Il me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne ! Ce bruit mystérieux sonne comme un départ. II J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre, Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer, Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre, Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer. Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère, Même pour un ingrat, même pour un méchant ; Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant. Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide ! Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux, Goûter, en regrettant l'été blanc et torride, De l'arrière-saison le rayon jaune et doux ! --- Tableau de James Tissot - Octobre en 1877
  21. Bonjour :blush: Je propose .... Gabrielle tenant un miroir .... de Auguste Renoir en 1905 "Dans les années 1890, Renoir a exécuté une série de tableaux intimes où figuraient les membres de sa famille, des amis et personnes de son voisinage. Le modèle qui pose dans cette œuvre est Gabrielle Renard. Elle est âgée de seize ans en 1894, année de naissance de Jean, lorsqu'elle entre dans la maison des Renoir. Très rapidement, elle devient indispensable à la vie de la famille et restera pendant 20 ans chez l'artiste avant de se marier au peintre américain Conrad Slade en 1912. Coco était le troisième fils de l'artiste, né en 1901 ; Renoir avait alors 60 ans. Il fût extrêmement prolifique dans les œuvres traitant de Claude et s'en servit pour de nombreux portraits ou se mêlent affection et tendresse .... Lien --- Forêt
  22. Félicitation <3 <3 <3 <3 <3

  23. Un désir de passer par chez toi pour te souhaiter une douce journée et un bon week-end .... Bisous

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