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Tout ce qui a été posté par Passiflore
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Autre exemple, le compteur linky : on peut le refuser mais alors il faudra casquer donc on l'accepte pour ne pas devoir payer. Bien illusoire notre liberté...
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Je ne te le fais pas dire, quand a-t-elle existé ??? Notre liberté n'est qu'illusoire car prenons par exemple les 11 vaccins obligatoires des bébés, ah bien sûr que les parents peuvent les refuser mais alors leur seront fermées les portes des crèches et des écoles ; ils sont donc contraints à faire vacciner leurs enfants...
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Emmanuel Macron testé positif au Covid-19
Passiflore a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans France
Oh mais ne vous inquiétez pas pour lui, il aura droit LUI à des traitements qui la lui sauveront, sa vie, contrairement au peuple qui n'a droit, lui, qu'à un vaccin dont on feint d'ignorer la dangerosité et les éventuels effets secondaires... -
Malheureusement non, ce n'est pas comme ça que ça se passe, à moins que l'on ne fasse qu'un mi-temps mais une personne seule ne pourrait vivre décemment avec 600 ou 700 euros par mois, à plus forte raison si elle a un ou des enfants et qu'il n'y a donc qu'un salaire à la maison. Nous allons nous battre dans l'année à venir afin d'avoir un salaire décent et d'être reconnues.
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Plus exactement, j'ai contribué par ma réactivité à prolonger des vies... arrivées à leur terme.
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C'est ce que nous disons à notre bureau local lorsqu'il nous est demandé de pratiquer des actes infirmiers. Lors d'une journée de formation sur le thème : "les limites de la profession", j'ai éclaté de rire lorsque l'animatrice a dit : "pas d'éconazole (poudre médicale en cas de rougeurs) ni de gouttes dans les yeux ni vider la poche urinaire ni..." elle n'a pas pu poursuivre son énumération et les collègues des autres secteurs présentes m'ont suivie pour lui dire : "mais madame, ces actes-là nous les pratiquons quasi tous les jours !" ce à quoi elle a répondu : "je le sais bien mais je devais quand même vous en informer car tel est le thème de cette formation"... No comment... De toute façon, rien qu'à voir le mollet de la dame, le doute n'était pas permis ; le mollet de cette jambe-là avait quasi doublé de volume par rapport à son autre mollet !
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Quand l'état de la personne auprès de qui nous sommes nous inquiète, nous appelons illico le 15 et restons auprès d'elle jusqu'à l'arrivée des secours ; à chaque fois que j'ai eu à le faire, les pompiers ne se sont pas déplacés pour rien.
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Nous n'avons pas de notions médicales, ne faisant pas partie du personnel médical mais nous savons reconnaître certains symptômes. Il y a quelques années, un dimanche, j'ai vu le mollet anormalement enflé, très rouge et dur de la vieille dame à qui je faisais la toilette. Elle m'a dit : "j'appellerai mon médecin demain", ce à quoi j'ai répondu : "je ne partirai pas madame, avant que vous ayez appelé votre médecin" ce qu'elle fit. Le doute n'était pas permis, elle avait effectivement une phlébite. Nous n'avons (en théorie) pas le droit de faire la toilette d'une personne diabétique car c'est alors un acte médical devant être effectué par un-e infirmier-ère, il nous est pourtant demandé de le faire. De même que vider une poche urinaire, ce qui est un acte médical, parfois nous le faisons. De même que des gouttes dans les yeux, nous le pouvons si ce n'est que du sérum phy' mais nous mettons des gouttes médicales parce que n'est-ce pas, les infirmières n'ont pas le temps de revenir pour des actes de si courte durée chez leurs patients... Ce ne sont que quelques exemples parmi d'autres. Lorsque l'on commence le boulot d'aide à domicile, on est durant une semaine en tutorat avec les divers salariés puis on se lance, seule, dans la tâche. Certaines ont tenu... une demi-journée, rire ! Les toilettes, oui et certains soins (même infirmiers) oui. Merci à vous !
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Nous avons des horaires de travail merdiques (en soirée, le week-end, les jours fériés) mais cela nous l'avons accepté en acceptant d'accomplir nos missions auprès de ces personnes. Ce qui nous insurge, c'est d'être sous-payées au vu des énormes responsabilités que nous avons auprès de très vieilles gens, de personnes souffrant d'un handicap ou de malades d'Alzheimer. Je me suis même occupée d'un petit garçon autiste (parti avec sa famille en Belgique du fait du manque de places dans les instituts français, là encore vive la France !)
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Les "grands" de ce monde (notion de grandeur ahem, plus que contestable mais c'est ainsi qu'on les qualifie) tel que Macron ont droit à d'autres traitements qu'un vaccin imparfait dont on ignore (ou feint d'ignorer) la dangerosité et les potentiels effets secondaires, réservé au peuple et donc aux "petits" (si souvent autrement plus grands par leur grandeur d'âme que les "grands" de ce monde). "Liberté, égalité, fraternité"... je ris jaune.
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Très juste ce que vous dites là car si une aide à domicile envisage un autre boulot plus rémunérateur (ce qui est le cas de mes collègues ayant entre 25 et 40 ans), qui fera à leur place les tâches indispensables que sont celles des aides à domicile !? Je connais le cas de plusieurs collègues ayant bossé auparavant en milieu hospitalier ou dans des centres Alzheimer qui ont fait le choix de travailler dans le domaine du maintien à domicile et donc au domicile des personnes ; elles ne regrettent pas ce choix mais déplorent le fait que ce soit un boulot pas reconnu et sous-payé au vu des énormes responsabilités que sont les nôtres auprès de ces personnes au terme de leur vie du fait de leur grand âge ou gravement handicapées. C'est, j'ose le terme, un véritable sacerdoce.
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Avant la maison de retraite, bon nombre de personnes vivent durant un temps (parfois y meurent) dans des résidences pour personnes âgées ; c'est l'intermédiaire entre chez soi et la maison de retraite, pour ainsi dire. Il faut en effet compter minimum 2000 euros pour avoir un logement dans une résidence décente. Nous travaillons dans les quatre résidences de la petite ville de province où je bosse, à une quinzaine de kms du village où j'habite.
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Nous n'attendons pas tout de l'Etat, nous réclamons juste un salaire décent, conforme à l'importance de notre travail, avec prise en considération de la pénibilité de notre tâche. Être payées au smic alors que nous nous occupons de la toilette et autres soins de personnes très âgées ou handicapées (nous avons notamment une bénéficiaire à un stade avancé de la sclérose en plaques, elle est en fauteuil-roulant) et de malades d'Alzheimer, c'est juste inacceptable. C'est en train de bouger ; des journées de grève sur le plan national sont prévues dans les mois à venir afin d'attirer l'attention d'un Gouvernement totalement indifférent envers des métiers tels que le nôtre, pourtant indispensable du fait que nous oeuvrons dans le cadre du maintien à domicile et contribuons donc à libérer des places (par trop insuffisantes) en maisons de retraite. Alors cette... "augmentation" de quelques euros de plus par mois, c'est juste un crachat méprisant de plus.
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Sérieux ??? Tu es sûre que c'est bien un bureau ADMR ??
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On est toutes payées au smic, les auxiliaires de vie quelques crougnettes de plus mais la différence sur la fiche de salaire est vraiment dérisoire. Le seul domaine où on pouvait encore nous ponctionner, c'est sur les indemnités kilométriques (nous utilisons notre voiture personnelle) ; depuis environ deux ans, c'est automatisé sur notre téléphone professionnel, ce qui veut dire que ce n'est plus nous qui entrons nos kms effectués, ça se fait automatiquement ; comme seul le trajet d'un point A à un point B est pris en compte et pas les kms réellement effectués (difficulté à trouver une place pour se garer, rues à sens unique, contournement d'un obstacle, etc...) on se fait empapaouter sur toute la ligne et ça impacte notre salaire. On nous a supprimé également le trajet retour chez soi à la mi-journée. Le week-end après Noël, je travaillerai ; eh bien je n'aurai aucune indemnité kilométrique lors du trajet retour chez moi en début d'après-midi (plus d'une quinzaine de kms) et lors de mon retour en ville en fin de journée pour les interventions du soir (là aussi, plus d'une quinzaine de kms).
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Certains gueulent, comme tu dis mais leur colère est légitime. Prenons par exemple le cas des aides à domicile, sous-payées (payées au smic) en regard de la pénibilité du travail et de la responsabilité inhérente à leur fonction (toilette et soins apportés à des personnes très âgées, quasi centenaires et à des personnes handicapées), enchaînant jusqu'à épuisement, même en cette période covid, les interventions et les remplacements (lorsque les collègues tombent l'une après l'autre car testées positives au covid, sans oublier celles qui sont en arrêt depuis des mois car étant personnes à risques du fait d'un fort diabète) ; ne faisant pas un temps complet car l'épuisement et le burn out seraient alors inévitables... Eh bien ces dévouées aides à domiciles ne s'en sortent pas financièrement lorsqu'elles sont seules avec des enfants à charge ; épuisées, elles enchaînent pourtant les interventions pour parfois même pas 1000 euros sur leur fiche de salaire... quelques-unes de mes collègues sont dans ce cas-là... Et tu ne trouves pas que ce soit scandaleux et que la colère soit justifiée ?? On aurait apprécié un coup de pouce gouvernemental et une augmentation appréciable du montant du smic mais... macache, que dalle, on n'a droit qu'à l'indifférence et qu'au mépris de la part de nos dirigeants... comme toutes les "petites mains" qui ont pourtant maintenu à flot le pays lors des périodes de confinement... scandaleux, révoltant !!! Cette semaine, je suis en arrêt maladie (ce n'est pas le covid, ce sont des maux dus au surmenage de ces dernières semaines).
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Cette... "augmentation" ?? (je ris, jaune) n'est qu'une marque de mépris de plus de l'actuel président.
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comment était jesus christ selon vous ?
Passiflore a répondu à un(e) sujet de footcnul dans Religion et Culte
Je pense que physiquement, rien ne Le distinguait des juifs de son époque mais je suis sûre qu'Il avait quelque chose de de particulier dans son regard ; de la Douceur, de la Bonté, de la Bienveillance oui, quelque chose de particulier dans le regard ; un certain magnétisme qui devait fouiller jusqu'au tréfonds de l'âme celui qu'Il regardait. Même si parfois ses yeux devaient lancer des éclairs, lorsque par exemple Il chassa les marchands du temple ou qu'Il traita les pharisiens de race de vipères. -
Comment dire bonjour à une femme
Passiflore a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Amour et Séduction
LA correction, on dit ! Suis d'humeur taquine, aujourd'hui ! -
Comment dire bonjour à une femme
Passiflore a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Amour et Séduction
Que le terme "jeune", veux-tu sans doute dire ! -
Comment dire bonjour à une femme
Passiflore a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Amour et Séduction
Les quadras ne sont plus des jeunes femmes ; ce sont des femmes encore jeunes, certes mais ce ne sont plus des jeunes femmes. -
Comment dire bonjour à une femme
Passiflore a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Amour et Séduction
Un "bonjour !" dit avec un grand sourire (si on apprécie la personne), plus neutre si on ne l'apprécie que peu ou pas, voilà la meilleure des salutations selon moi également. -
Si vous en êtes là, une discussion décisive s'impose ; exprimez-lui tout ce que vous nous avez écrit là ; énumérez-lui ce que VOUS, vous souhaitez et dites-lui clairement comment VOUS, vous concevez le couple. S'il ne vous entend pas, s'il demeure inflexible sur le fait que le seul décideur est lui, qu'il sera fait comme LUI en décidera, malgré l'amour que vous lui portez, prenez la décision qui vous conviendra à VOUS, nul ne pouvant se mettre à votre place.