Passiflore

Bien sûr que si, à tout un tas d'autres choses mais tout dépend de ses propres valeurs, de ce qui est important pour soi et de la place que l'argent a dans sa vie. Ce me semble l'évidence même; recherche d'apaisement, de quiétude, de bien-être.

Voilà c'est cela, c'est une façon d'être dénuée de savoir-vivre; c'est parler à quelqu'un en mâchant bouche ouverte du chewing-gum en faisant des bruits de bouche, c'est ne s'exprimer qu'en employant des mots grossiers voire orduriers (jurer comme un charretier embourbé) etc... C'est un manque total de classe allant de l'expression orale à un certain langage corporel (façon de se tenir, de s'asseoir, gestes) en passant par la tenue vestimentaire.

Mais peut-être que cela leur convenait et qu'elles étaient heureuses ! En grandissant, peut-être qu'elles rueront dans les brancards et diront à leurs parents qu'elles veulent suivre un autre chemin... ou pas !

Je vais même aller plus loin: pourquoi les médias nous informent de faits atroces, sordides, alors que ces tragédies ne concernent QUE les familles concernées ? À quoi sert que nous en soyons informés puisque à part nous affliger de l'horreur vécue par certaines personnes (les victimes) et par leur famille, nous sommes impuissants face à ces atrocités ? Ce n'est vraiment pas du journalisme utile, nécessaire, de relayer de telles informations.

Il y en a certains et certaines que nous avions en tutorat qui n'ont pas tenus au-delà d'une demi-journée, d'autres ont fait l'effort de finir la journée et au terme de leur 1ère journée de tutorat ciao, on ne les a plus revus ! Il nous faut trouver le domaine dans lequel on se sent bien, à sa place et où on aura l'envie de donner le meilleur de soi-même; j'ai trouvé MA place.

S"il est important pour une croyante catholique de se servir d'un tel objet cultuel pour ses prières il n'y a pas là matière à se moquer, Gepetto allons allons un peu de tolérance voyons !

Pour certains ça l'est mais pour moi non, sachant toute l'importance qu'a notre mission (je considère comme telle chacune de mes interventions) auprès des vieilles gens et des personnes handicapées pour lesquelles nous oeuvrons.

En ce cas ça n'en est pas, du bénévolat.

Très certainement, je le pense aussi. C'est sûr qu'en un tel cas, y'aura un 'blème !

Certains couples dits mixtes, l'un étant croyant l'autre ne l'étant pas, tiennent pourtant la route, en tout cas lorsqu'ils partagent quand même quelque chose et qu'ils sont heureux ensemble en dépit de cette différence. Tout dépend comment cela est vécu et s'il n'y a pas frustration du côté du croyant (comme il en est question dans un autre sujet).

Tombera de très haut (quand enfin il réalisera l'ampleur du désastre) celui qui ne réalise pas à quel point la France s'ensauvage... Les enfants et les jeunes d'aujourd'hui sont en grand danger, mieux vaut en avoir conscience, même si hélas on ne parviendra pas à tous les protéger, à tous les sauver de cette effroyable violence qui les guette même au sein des établissements scolaires ou à la sortie de ceux-ci...

Quels sont ses centres d'intérêt ? Qu'aime-t-elle ?

L'amour est au centre de l'histoire, bien entendu mais il est tout de même important de savoir si l'on pourra compter sur l'autre en toute circonstance; ceci afin de donner toutes les chances à son couple de tenir la route loooongtemps.

On peut aussi sauter à l'eau pour qu'il y ait une place de plus dans la barque et ainsi sauver une personne de plus ! Si je le ferais, moi ? Ben non, je ne sais pas nager !

Si pas de grand homme à grands bras sous la main, elle a un troisième choix: monter sur un escabeau. Flûte, pas d'escabeau assez haut -------) frustration de ne pouvoir trouver une solution mais comme elle a pris le parti de conserver son sang froid en toute circonstance et se disant qu'à tout problème il y a une solution, elle renonce au changement de piles et trouve un autre moyen pour avoir l'heure.

Certes, on peut travailler afin de les améliorer certaines aptitudes mais à quoi bon s'obstiner lorsque l'on prend conscience que l'on n'est pas capable de faire ceci ou cela. La sagesse nous pousse alors au raisonnable renoncement et à la quête d'une "mission" dans nos cordes, dans laquelle on s'épanouira et où l'on donnera le meilleur de soi-même. Faire tout son possible, faire de son mieux pour atteindre les idéaux ayant du sens et de la valeur pour soi, oui.

J'aurais aimé que mon boulot soit plus médical au niveau des soins seulement voilà, je me sens tourner de l'oeil quand je vois une seringue s'enfoncer dans la peau ou du sang couler en abondance d'une blessure profonde... Je me suis fait une raison: jamais je ne serai infirmière. Ma "frustration" face à l'obligation de devoir renoncer s'est muée en volonté de vivre au mieux ma fonction d'auxiliaire de vie auprès de personnes âgées ou handicapées dans le cadre du maintien à domicile. C'est moins valorisant ? Je m'en contrefiche, me sentant utile auprès des personnes qui me sont confiées et c'est cela qui m'importe le plus, n'ayant pas la vanité d'accéder coûte que coûte à un métier pour lequel je ne suis manifestement pas faite.

Par conséquent, mieux vaut avoir des ambitions à la hauteur de ses aptitudes (si tant est qu'on les ait déterminées) afin d'éviter autant que faire se pourra le désagréable sentiment de frustration mais l'ambition qui parfois nous habite peut faire qu'on les évalue mal; en ce cas, la frustration sera inévitable. Tant pis pour soi, ou plutôt tant mieux car ce pourra être un enseignement important; on se remettra alors en question.

L'un des bons points de la sagesse, selon moi: accepter ce que l'on ne peut changer, accepter ce que l'on ne peut réussir, accepter ses limites.

Salut boudd' ! J'avoue avoir du mal à ne pas réussir ce qu'il est important pour moi de réaliser; cela vient du côté perfectionniste de mon caractère.

On est fier de soi quand on y parvient, quand on a réussi à garder son self-control. Parfois plus facile à dire qu'à faire, tout dépend de ce dont il s'agit et du degré d'importance que cela a pour soi

Quelque chose de cet ordre-là, oui. Pourtant du genre opiniâtre, je n'insiste pas bêtement quand je comprends que c'est hors de ma portée, irréalisable et que je m'entêterais en vain. Pas facile parfois, de gérer la frustration engendrée par l'échec; tout dépend de ce dont il s'agit et de l'importance que cela a pour soi.

... "Haut les pieds, peau euh... pô d'gibier !" Ça volait vach'ment haut !

Quand on était enfant, on disait: "haut les mains, pô d'lapin !"

Il appartient à chacun de veiller sur sa santé car personne ne le fera à sa place une fois que l'on est adulte. Les parents veillent à la bonne santé de leurs enfants, cela fait partie de leurs responsabilités envers eux mais quand ils deviennent adultes, ils doivent se prendre en main.