Aller au contenu

economic dream

Membre
  • Compteur de contenus

    3 028
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par economic dream

  1. Bla bla bla... Tout sans papier est un profiteur? Le vrai profiteur est le patron qui l'utilise comme main d'oeuvre bon marché sans assurance.
  2. Un sans-papiers qui est malade ne vaut pas la peine d'être soigné mais un français oui? J'aimerais voir vos réactions si vous étiez à la place de ses sans-papiers malades.
  3. C'est juste chez moi ou est-ce qu'on ne peut plus donner de -1 aux messages en général? Je ne pense pas en avoir abusé ^^
  4. Oh mais ces femmes là il vaut mieux les éviter , même pour un pur Gaulois ^^
  5. Les électeurs Mélenchon me sont toujours apparu mieux informés que ceux qui ont voté Le Pen. Ici sur le forum et ailleurs...
  6. Il est grand temps de lutter contre les loyers trop élevés quand on sait que 1 million de ménages ont des difficultés à payer le loyer ou ont déjà des arriérés...
  7. Une bonne chose! Il est temps de mettre fin aux loyers honteusement élevés. Mais il faudrait aussi une indexation automatique des salaires pour éviter que les loyers ne soient trop élevés tous les 5 ans...
  8. Bon anniversaire ( avec 3 minutes de retard ^^)!

  9. J'ai bien peur qu'on va encore nous imposer une intervention militaire... La propagande médiatique est déjà en marche.
  10. Je crois que les Grecs préfèreraient qu' un parti résolve le problème de la dette plutot que de taper ( dans les 2 sens) sur les immigrés.
  11. .Et pourquoi donc ? Quand la solidarité des français ne sera plus monopolisé par les impôts, ils pourront faire des dons sans se ruiner aux différentes associations qui aides les gens dans le besoin, et contracter des assurances pour tout et rien. Et si personne n'a envie d'aides les pauvres et les SDF? On les laisse crever? Fuel : Ais je seulement le choix que de participer a tout cela ? Non. Tu connais le chèque éducation ? Ça marche plutôt bien dans un pays plus au nord, que beaucoup prennent pour modèle. Tu contredis tes positions. Ce sont des subsides en fait. Le vrai minarchisme serait que les parents payent chaque année à l'école privée un certain montant, sans intervention de l'Etat. .Que fait la secu qui ne pourrait pas être pris en charge par des assurance privé ? Elle ne cherche pas à faire du profit à tout prix. C'est vrai qu'aux Etats-Unis c'est tellement bien: - il y a déjà eu des centaines de morts parce que les compagnies d'assurance ne voulaient pas financer une opération nécessaire pour survivre. - une anecdote: un jour, un menuisier qui n'avait pas d'assurance privée, a eu un accident avec la scieuse et il perdit des doigts: on lui proposa de recoller son pouce pour 80 000 dollars ou les autres doigts pour 20 000 dollars. Merveilleux, n'est-ce pas? Je parlait pour retrouvé du boulot. Pour les indemnité, tu payait de touts façon une assurance chômage quand tu bossait, qu'est ce que ça change si elle est privé ? En supprimant la majorité des taxes et impôts tu double le salaires de tout le monde. Après c'est au gens de choisir comment dépenser leurs argents. Bas populisme! L'Etat redistribue aussi la richesse: on profite des routes, des écoles, des divers services publics financés par l'Etat. Un autre exemple: L'année dernière, dans une petite ville américaine, une maison dont le propriétaire n'était pas assurée a pris feu. Les pompiers qui travaillaient pour une compagnie privée sont venus mais sont repartis illico lorsqu'ils ont vu que le propriétaire n'avait pas d'assurance auprès de la compagnie privée. La maison a donc été détruite et le pauvre homme ruiné. C'est ça que tu veux?
  12. J'aimerais pas être pauvre dans ton Etat idéal et encore moins malade.
  13. Au 19ème siècle, les Etats-Unis étaient minarchistes. Résultat: pas d'impots pour les + riches, pas de protection sociale, pas de Sécu, des salaires de misère, beaucoup de maladies et de pauvreté, pas de droit de grève, pas de syndicats,... Bref, le paradis.
  14. L'unique raison pour moi de me réjouir est la présence de Montebourg au gouvernement dans un domaine très important en plus.
  15. Je suis meme pour la totale nationalisation du crédit, trop important et trop stratégique pour l'économie pour être laissé dans les mains de quelques uns actionnaires.
  16. Excellent sujet! Mais il est malheureusement plus facile de conforter ses idées reçues que de lire des articles comme celui qui détruisent ces idées reçues.
  17. Ceux qui n'aiment pas Sarkozy, détesteront Copé. Sinon, les militants UMP ne sont pas très stratégiques en voulant Le Pen comme figure de proue de l'oppostion. C'est la candidate qui se prendrait dans tous les cas, une dégelée à un second tour. Outre cela, j'ai l'impression que beaucoup ne votent UMP que pour l'immigration. Cela ne leur dérange pas de voir Le Pen incarner l'opposition, alors qu'elle a un discours économique aux antipodes de l'UMP.
  18. Il faudrait les remercier de ne pas s'évader fiscalement? Pour moi, payer ses impôts que la Nation, que l'Etat de droit vous réclament, c'est normal. Si pour les + riches c'est l'inverse, alors il y a un problème.
  19. Il faut bien se rappeller qui se cache derrière Sarkozy: " L’oligarchie sarkozyste bientôt orpheline ? PAR IVAN DU ROY (3 MAI 2012) Pour le président candidat, ils incarnent le mérite, l’effort et la réussite patrimoniale. « Ils », ce sont ses proches amis du monde des affaires, son réseau d’investisseurs, de PDG et de grandes fortunes : Les Bernard Arnault, Vincent Bolloré, Martin Bouygues, Jean-Luc Lagardère et consorts. Cette « France du travail » qui « n’a pas à s’excuser pour son patrimoine », selon les mots du Président. Retour sur une oligarchie financière placée au cœur du quinquennat qui s’achève. « La France du travail n’a pas à s’excuser pour son patrimoine, pas à s’excuser pour ses efforts, pas à s’excuser pour son mérite. Ce qu’elle possède, elle l’a gagné », lance le candidat-président le 1er mai, lors du rassemblement de l’UMP place du Trocadéro à Paris. Nicolas Sarkozy semble avoir bien vite oublié d’où viennent les amitiés qu’il a liées avec le monde des affaires. Parmi les quatre grandes fortunes les plus proches du Président, et présentes à la soirée du Fouquet’s du 6 mai 2007, tous ont hérité de groupes industriels ou d’entreprises fondés par leur géniteur. Les empires Bouygues – dans le BTP, la téléphonie mobile, sans oublier TF1 – et Lagardère – Groupe Lagardère et Hachette, participation dans EADS – étaient déjà bien en place lorsque Martin et Jean-Luc en ont pris la tête. Le premier, Martin Bouygues, est le parrain de l’un des fils du Président et a été témoin de son mariage avec Cécilia Attias. Le second, Jean-Luc Lagardère, considère Nicolas Sarkozy comme un « frère ». Bernard Arnault, désormais 1re fortune française, a également été témoin de mariage, et Vincent Bolloré, 10e fortune française, avait prêté son yacht à la nouvelle famille présidentielle. Si Bernard Arnault et Vincent Bolloré ont su réorienter et développer les affaires familiales, c’est en partie grâce à Antoine Bernheim, ancien associé-gérant de la banque Lazard, qui les a appuyés financièrement. Des parrains si méritants Antoine Bernheim, véritable « tuteur » de Nicolas Sarkozy dans le monde des affaires. Il a soutenu le futur chef de l’UMP pendant sa traversée du désert, après l’élimination d’Édouard Balladur au 1er tour de l’élection présidentielle de 1995. « Au fil des dîners et des réceptions plus ou moins mondaines, les amis de Bernheim deviennent aussi ceux de Nicolas Sarkozy », raconte le journaliste Frédéric Charpier [1]. Antoine Bernheim était, en 2011, l’un des administrateurs français les mieux rémunérés – près de 700 000 euros par an [2] – grâce à ses six mandats au sein du groupe Bolloré, de Ciment français, du fonds d’investissement Eurazeo (qui détient 25 % des parts d’Ipsos), d’Havas et de LVMH (Bernard Arnault). Cela ouvre bien des portes. Le second « parrain » de celui qui devient Président en 2007 est le milliardaire canadien Paul Desmarais. Il possède 44 % des actions de Power Corporation, une société financière nord-américaine qui détient d’importantes participations dans plusieurs grandes entreprises européennes et françaises. « En 1995, il accueille le futur Président dans sa propriété québécoise de 75 kilomètres carrés, où il le réconforte en trouvant les mots justes, que rapporte Sarkozy le jour où il le décore : "Il faut que tu t’accroches, tu vas y arriver, il faut que nous bâtissions une stratégie pour toi." », rapporte Frédéric Charpier. Les efforts de la dérégulation Paul Desmarais et un autre ami milliardaire du candidat-président, le Belge Albert Frère, ont directement bénéficié de la privatisation de GDF, supervisé par un certain Nicolas Sarkozy, alors ministre des Finances. L’homme le plus riche de Belgique était lui aussi présent à la soirée du Fouquet’s, le 6 mai 2007. Il est propriétaire, aux côtés de Power Corporation (et donc de Paul Desmarais), du Groupe Bruxelles Lambert, qui lui-même possède des actifs au sein de quelques poids lourds de l’industrie hexagonale : GDF-Suez, Imerys (« leader mondial des spécialités minérales pour l’industrie »), Lafargue (BTP), Pernod-Ricard, Total et Veolia Environnement. Antoine Bernheim et Paul Desmarais ont été faits grands-croix de la Légion d’honneur en 2007 et 2008. Une prestigieuse décoration qui n’avait été accordée jusque-là qu’à un seul grand patron : Marcel Dassault, fondateur du groupe éponyme, et père de Serge, sénateur UMP de l’Essonne, héritier du groupe aéronautique et propriétaire du Figaro. Dans la famille des héritiers amis du Président, figure également Dominique Desseigne. Le propriétaire du Fouquet’s, 92e fortune française, a hérité du groupe Lucien Barrière au décès de son épouse, Diane Barrière-Desseigne, en 2001, qui avait elle-même hérité des parts que lui a léguées son père, fondateur du groupe. Celui-ci est spécialisé dans les hôtels de luxe et les casinos. Il a directement profité de la loi libéralisant les jeux et les paris en ligne, adoptée en avril 2010 sous la présidence d’un certain… Nicolas Sarkozy. Un marché alors estimé à 3 milliards d’euros [3]. Depuis, le groupe « a conclu un partenariat stratégique avec la Française des Jeux, avec pour ambition de devenir un des leaders du secteur des jeux de poker en ligne en France ». Sûrement les fruits de l’effort et du mérite, pour un quinquennat qui avait déjà bien commencé : l’ensemble des entreprises cotées en bourse faisant partie du réseau de Nicolas Sarkozy avaient engrangé une capitalisation excédentaire de 7 milliards d’euros dès son élection (lire notre article). Le patrimoine de la Collaboration La milliardaire désormais la plus célèbre de France, Liliane Bettencourt, dont une infime partie (400 000 euros) de l’immense fortune (17,5 milliards) aurait servi à financer la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007, est elle aussi l’héritière d’une lignée méritante. Son père, Eugène Schueller, d’origine alsacienne, lance en 1909 une teinture pour les cheveux baptisé L’Oréal, rachète Monsavon en 1928, puis crée le shampoing Dop en 1933. Le groupe, qui pèse aujourd’hui 20,3 milliards de chiffre d’affaires, est né. Eugène Schueller s’intéresse aussi à la politique. Avant la Seconde Guerre mondiale, il se rapproche d’Eugène Deloncle, dirigeant du groupe armé d’extrême droite La Cagoule, qu’Eugène Schueller finance. La Cagoule assassinera plusieurs militants antifascistes européens réfugiés en France. C’est avec lui que le fondateur de L’Oréal crée, sous le régime de Vichy, une organisation collaborationniste, le mouvement social-révolutionnaire. Eugène Schueller ne sera point inquiété à la Libération. L’un de ses proches, Jacques Corrèze, lieutenant d’Eugène Deloncle et condamné en 1948 pour intelligence avec l’ennemi, deviendra l’un des cadres dirigeants de L’Oréal. Dans les grandes fortunes françaises présentes au Fouquet’s le 6 mai 2007 [4], il n’y a guère que JC Decaux et François Pinault qui n’ont pas particulièrement profité d’héritages massifs. François Pinault, 5e fortune nationale, détient, via sa holding financière Artémis, 40 % du capital du groupe PPR (Puma, Fnac, Gucci…) et des parts dans le géant du BTP Vinci, accro aux partenariats public-privé. Il est pour l’instant le seul à publiquement s’inquiéter de la dérive très droitière de son ancien champion électoral : « Il perd les pédales. Les gens proches de lui pensent qu’il pourrait encore gagner. Il est cuit ! C’est comme dans le bunker de 1945 » [5], a lâché le milliardaire, le 28 avril, lors d’une exposition à Colmar. Sale ambiance de fin de régime pour l’oligarchie sarkozyste. Ivan du Roy"
  20. C'est extrêmement tiré par les cheveux et ça n'a pas tellement de pertinence. On peut défendre la sécurité sociale sans être communiste pour autant.... L'histoire de la Sécurité sociale commence en Allemagne sous la gouvernance de Bismark. Pour limiter l'ampleur du mouvement communiste, il négocia avec les socialistes: en échange d'un système de sécurité sociale, les socialistes devaient limiter l'influence des communistes. C'est donc grâce aux communistes que la sécurité sociale a été installée en Europe.
  21. Les néonazis allemands félicitent Le Pen... " L’extrême droite allemande félicite Marine Le Pen PAR RACHEL KNAEBEL (24 AVRIL 2012) Le parti d’extrême droite allemand NPD [1] a envoyé ses félicitations à Marine Le Pen pour son résultat au premier tour de la présidentielle. Dans un communiqué publié sur le site du parti allemand, le chef du parti, Holger Apfel, y souligne les convergences de son mouvement avec le FN. Selon lui, le NPD, comme le FN, se distingue des autres partis populistes de droite en Europe :« Des formations sans histoire, sans tradition et sans réel fondement idéologique », écrit-il. Le chef du NPD allemand, qui dit s’être rendu à plusieurs reprises à la fête Bleu-Blanc-Rouge du FN, ajoute que son fondateur, Jean-Marie Le Pen, a « toujours insisté sur son attachement à l’Allemagne et aux patriotes allemands ». Ce courrier n’est pas anodin alors que Marine Le Pen tente toujours de dédiaboliser le FN. Le NPD allemand affiche, lui, assez ouvertement ses sympathies néonazies. Une partie de ses membres sont d’ailleurs impliqués dans la mouvance néonazie du pays. Et deux de ses responsables régionaux sont mis en cause depuis quelques mois pour avoir aidé le groupe terroriste NSU (« clandestinité national-socialiste »), un groupuscule qui a assassiné neuf hommes d’origines turque et grecque dans le pays entre 2000 et 2006. La découverte de ces crimes, fin 2011, a d’ailleurs relancé le débat sur une interdiction possible du NPD. Le parti d’extrême droite allemand est loin d’atteindre aujourd’hui les scores du FN. Il a obtenu seulement 1,8 % des voix aux législatives de 2009. Mais le NPD s’est implanté dans les régions sinistrées d’ex-Allemagne de l’Est, où il dispose de sièges dans deux parlements régionaux."
  22. Totalement d'accord avec cette analyse. Le discours de Le Pen en 2012, c'est la même chose que le discours de Sarkozy en 2007. Avec le risque d'une implosion de l'UMP et de nous retrouver avec un super-parti d'extrême-droite.
  23. C'est Sarkozy qui a banalisé l'extrême-droite: entrendre Le Pen en 2012 et Sarkozy en 2007, c'est entendre le même discours. Sarkozy a respectabilisé le FN en légitimisant ses thèmes chéries - immigration- et les politologues qui ont dit en 2007 que Sarkozy jouait à un jeu dangereux en ouvrant la boîte à Pandore, ont totalement raison. Le vote FN n'est plus condamnable, les gens en sont mêmes fiers car Sarkozy a ouvert la voie. Il faut esperer maintenant que l'UMP s'implose pas car à ce jeu dangereux, c'est Le Pen qui gagne. On aurait une ancienne UMP avec les modérés et Bayrou à coup sûr, et un nouveau super parti qui aura certainement un nouveau nom bientot en cas d'implosion de l'UMP, avec la droite populaire et l'extrême-droite. L'ancienne UMP avec Bayrou ne ferait pas le poids.
  24. " Travail illégal : scandale autour de Hollande (Sunday Times) Rédigé par lesoufflet le 20 avril 2012. 20.04.2012 La presse anglaise vient de sortir une nouvelle affaire autour de François Hollande. L’ancien chauffeur du candidat socialiste aurait travaillé pour Hollande sans être payé et aurait été menacé de mort par le directeur de cabinet du compagnon de Valérie Trierweiler. Une énième affaire tut par les journalistes français mais révélée par les médias étrangers. Mohamed Belaid, ancien chauffeur de François Hollande, accuse les équipes du candidat de l’avoir fait travailler illégalement en ne le payant que quelques fois « au black ». Des pratiques de l’exploitation humaine qui ne collent pas avec les beaux discours du candidat démago. La présumée victime accuse également Faouzi Lamdaoui, le chef de cabinet du président de Conseil général de la Corrèze, de l’avoir physiquement menacé plusieurs fois, quand il a essayé de rendre publique cette information. Rendre publique une information négative pour le candidat socialiste ?!! En France ??!! Quelle folie !!! Tout le monde sait très bien qu’il est interdit de diffuser la moindre information compromettante pour Hollande et ses barons. Au mieux vous serez considéré comme un manipulateur de « boules puantes », au pire comme un fasciste. C’est pour cette raison que les journalistes se contentent de déverser des flots « d’informations » sur la vie privée et les amis d’amis d’amis de Nicolas Sarkozy et refusent d’évoquer la moindre « boule puante » concernant les aveux de magouilles politiques de Hollande… Désormais, c’est la presse anglaise ou américaine qui doit sortir des informations négatives sur François Hollande, tant nos journalistes corrompus sont entrés en campagne. Le pire, dans ce comportement totalitaire, c’est que la majorité des journaleux doivent avoir l’impression de bien faire leur travail, d’être objectifs et professionnels. La bonne blague ! Un employé direct du favori à l’élection suprême raconte qu’il n’a pas été payé pour son travail, qu’il n’était pas déclaré et qu’il a reçu des menace de mort de la part des équipes du candidat et aucun journaliste n’imagine évoquer l’affaire. Si le Sunday Times a pris la peine d’en parler, c’est que cette affaire est incroyablement importante pour notre campagne. On a un candidat qui se dit de gauche et parle de justice sociale en permanence, alors que, concrètement, il se comporte comme un requin capitaliste qui exploite la misère"
×