-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
Chapitre Universe 186 : Un test de pouvoir
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Tu as fait de gros progrès, bravo x) -
Quel rapport tu as avec les autres alors, dis-moi! Ah oui, autant pour moi. L'homme est un être réfléchi qui est capable de se foutre sur la gueule de manière plus impressionnante. Donc, il est intelligent. Et, j'ai franchement pas l'impression que nous faisons autre chose que faire ce dont nous avons besoin tout au long de notre vie. Ils sont peut-être plus nombreux, mais pas franchement différents. La fourmi n'est pas dominé par l'homme. Loin de là. Et, c'est une espèce qui, jusqu'à preuve du contraire, me semble bien plus intelligente que nous. Même sans cervelle. ( Pour moi, une matriarche, c'est pas de la domination ) J'avoue! Mais les ours (je pense au grizzly, là) étant plutôt solitaires, ce sont des mammifères sans vies sociales, donc sans véritables dominations. Dans une société sans "roi", n'y a-t-il pas autre chose, c'est-à-dire ce qui est inhérent, en théorie, à une société, soit la "collectivité"? La démocratie au sens réel du terme. La sécurité? Oui. Mais que craindre, s'il n'y a rien à craindre? Et, je ne suis pas certain que la cupidité et l'avidité de pouvoir soit des comportements strictement "naturels". Et, si c'était le cas, notre "cervelle" aurait au moins un intérêt. Pour une fois.
-
On sent comme de la conviction, là-dedans!
-
Ah oui, donc nous sommes fondamentalement différents. Mais je croyais que l'homme était un "animal politique", un sociétal? On se rapprocherait donc plus de la relation dominant/dominé que de la société? Et la fourmi, un être simple, c'est facile à dire. Je ne vois vraiment pas ce que l'homme a de plus complexe. La quête du pouvoir? Notre nature? Aux mammifères? Pas le cas des dauphins, déjà. La vérité, c'est qu'on se cherche des excuses dans notre "nature", nature qui n'existe peut-être même pas, pour justifier notre idiotie.
-
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fourmi Si les fourmis y arrivent, pourquoi pas l'être de "raison"?
-
Constat que j'ai eu l'occasion de faire aussi. Mais, il ne me satisfait pas. Certes, il y a du vrai là-dedans. Seulement, il y a aussi autre chose. Et, oui, "gagner" et "perdre" ne sont pas adaptés, mais apparemment, vous m'avez compris. C'était une façon de parler. D'ailleurs, merci pour la citation. C'est à celle-ci que je pensais, en effet. A partir du moment où on estime qu'il y a du "bon" et du "mauvais", on ne peut que faire dépendre l'un de l'autre. Il faut dépasser cette apparente opposition binaire. Il n'y a qu'une chose à répondre face à Hobbes et face au reste : "humain, trop humain". L'homme n'est pas plus loup qu'il n'est agneau.
-
Je ne suis pas vraiment rousseauiste. Mais, je sais une chose : on ne peut pas gagner si on part déjà perdant dès le départ. Et la "nature humaine" n'est ni mauvaise, ni bonne. Elle est ce que nous en faisons. Je ne retrouve plus la citation en question, mais elle disait, en gros, que le "mal" n'était pas la faute de ceux qui l'exercent, mais des autres qui regardent sans y faire. Là, je trouve que c'est un peu pareil.
-
Pour un pessimiste, oui. En fait, plus j'y réfléchis, plus je me dis qu'il y a autant de bon que de mauvais en lui. Il a simplement fait le choix de croire en son "démon".
-
Il est possible à toute échelle. En fait, la condition, c'est nous, c'est-à-dire notre capacité à ne pas "faire le mal". Grosso modo.
-
Qui a dit qu'il le fallait? Et, qui a dit que nous pouvions?
-
Il disait qu'il ne fallait pas se fier à ceux qui nous ont déjà trompé, c'est-à-dire nos sens, oui. La matière? Mais, est-ce que le caillou que je peux toucher et voir est-il plus matière que ce qui le constitue? Est-ce qu'il est plus concret que l'ensemble des atomes? Nous attribuons bien trop le concret et la matière à "nous", pensant que le monde est tel que nous le voyons et ressentons, croyant au fait que notre réalité est la réalité, à considérer qu'il y ait vraiment "la" réalité et que ce concept ait seulement un sens. Ca, je te l'accorde, même si je n'irais pas jusqu'à croire que toute cause à une fin ou qu'une fin à sa cause. Non seulement parce qu'elles peuvent être multiples, mais parce que rien, sinon notre expérience, n'indique que cela est nécessairement le cas pour tout.
-
C'est ce qui me semblait, en effet. Mais ce que nous voyons est-ce vraiment la réalité? Et, est-ce vraiment le matériel?
-
C'est ça. C'est "l'humain, trop humain". De même que le mot "être" indique qu'il soit "vivant". Pourquoi serait-il vivant? Parce que nous le sommes? Pourquoi a-t-il créé alors du "non vivant"? Pour créer un "parc" aux vivants? Pourquoi ainsi? Pourquoi pas autrement? Parce qu'il le fait à son image? Mais, le faire à son image, ce n'est pas limiter son pouvoir? J'ai le sentiment que les raisonnements menant à Dieu sont "trop humains", trop peu détachés de ce que nous sommes. Et, comment prétendre que Dieu, au moins à l'origine de notre univers, ou étant notre univers (ou mettez-y la forme que vous voulez), soit à notre image, ou nous à son image, sachant que nous ne sommes même pas poussières dans l'immensité qui nous entoure? Pourquoi serait-ce nous qui sommes à son image, et pas plutôt l'atome ou l'étoile, la galaxie? Puis, en allant plus loin, rien n'indique, sinon notre ignorance et notre finitude, qu'il y a un commencement et qu'il y aura une fin. Mais c'est là simple discussion puisque rien n'indique que l'un ou l'autre soit plus vrai que l'autre. Autrement dit, l'athée se fonde sur les incohérences de la foi pour le refuser. Le croyant, lui, a justement la foi, c'est-à-dire qu'il admet ces incohérences. Après, je ne sais pas si dans la religion musulmane, les croyances sont tout à fait les même que pour les catholiques ou protestants que je connais, très logiquement, mieux. Donc, je ne sais pas si j'y réponds forcément.
-
Je n'ai rien d'un athée, mais l'idée de Dieu me pose un problème, problème qui se retrouve dans le titre de son sujet, c'est-à-dire le "qui". Ensuite, le mot "être" me pose également un souci et est issu de la même erreur que le "qui". Voilà tout.
-
-
Je préfère les deux premières strophes que je trouve plus "musicales". J'avais vraiment le sentiment que c'était une "chanson", donc. Et, comme tu le sais, puisque tu sais tout, la poésie est musique.
-
Normal, tu es plus culturé que moi. "La frustration de n'avoir quasiment rien écrit" : c'est à cela qu'on reconnaît les poètes/écrivains, mon cher! Vous voilà fait!
-
Poème court. C'est assez rare, chez toi. Assez pour le noter. Il est aussi très direct. Moins imagé. Autrement dit, il est fait pour être clair sans réfléchir. Ce n'est pas un reproche, plutôt un constat. Et, quelque chose me dit que ce n'est pas un hasard.
-
-
coup de gueule contre certains forumeurs
Jedino a répondu à un(e) sujet de eclipsepartielle dans Aide et Suggestions
Faut arrêter d'en discuter ici, donc, je te l'accorde! Il faut être honnête. -
coup de gueule contre certains forumeurs
Jedino a répondu à un(e) sujet de eclipsepartielle dans Aide et Suggestions
C'est la crise. Ils font pression sur le bas peuple -
coup de gueule contre certains forumeurs
Jedino a répondu à un(e) sujet de eclipsepartielle dans Aide et Suggestions
Le respect de la personne, oui. Le respect des idées, non. Je n'ai pas dit qu'un type avait raison d'insulter l'autre personnellement. Mais sa pensée, ça se justifie en débat. Je n'ai pas fait la distinction, au départ, mais je ne fais pas l'amalgame. -
coup de gueule contre certains forumeurs
Jedino a répondu à un(e) sujet de eclipsepartielle dans Aide et Suggestions
Ce que je trouve ridicule, en réalité, c'est la bestialité rendue "moderne", "humaine", comme s'il y avait un mérite à le faire. Il n'y a aucun honneur, aucune gloire, aucun mérite, aucun rien, à se maitriser pour ça sachant que le but même est odieux et minable. Mais, j'ai l'art du mépris. Apparemment. N'est-ce pas paradoxal de débattre si c'est pour discuter? De discuter si c'est pour débattre? Nous ne pouvons pas nous entendre avec les autres si les règles implicites sont mal établies et, surtout, si elles divergent à ce point.
