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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Ce n'est vraiment pas un souci. C'est un peu le rôle d'un forum, que de s'intéresser aux sujets des autres aussi! Alors, comme dit, bon courage,et si tu veux en parler malgré tout, tu peux toujours poursuivre sur ton sujet voir m'envoyer un message privé. Je te répondrai volontiers. Sur cette note ci, bonne soirée à toi!
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Oh! Il en faut peu pour que ça fonctionne! On verra bien qui est le plus chieur des deux, tiens x)
Allez, bonne soirée à toi^^
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Oh! Je ne sais pas. J'aime l'auto-dérision. Et puis, la confiance que j'ai en moi est proche du néant. M'enfin, comme je suis un peu motivé ce soir, on va écrire à propos d'une chose plutôt singulière pour moi. Car oui, ce matin, il m'est arrivé un événement sortant un peu de l'ordinaire. J'avais rêvé. C'est idiot, me dirait certain. On rêve tous, chaque nuit. Mais je m'en souvenais. Je savais ce que j'avais rêvé. Je m'y étais tellement accroché que j'ai eu la sensation étrange de l'avoir réellement vécu. Comme si le rêve n'était qu'un souvenir inconscient. Est-ce totalement faux? En tout cas, cela m'avait étonné. Ou plutôt, inquiété. D'autant que, je ne lis pas des histoires à en rougir de jalousie. Mes journées n'inspirent en rien vers la sérénité et le calme de ses événements imaginaires. Alors, j'avais cette crainte qui me tiraillait le corps et l'esprit. Est-ce réellement fondé? Difficile à dire. Je savais seulement que je venais, durant mon sommeil, de me voir tuer une trentaine de personnes. Arrivez-vous à ressentir un tel sentiment, une fois levée? On se sent assez confus, croyez-moi. J'aurais aimé malgré tout savoir comment je m'y étais pris. Mais il faut croire que mes rêves, mes souvenirs, ont eux aussi des limites. Le seul questionnement restant est : l'ais-je donc fait?
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Au fait, il faut m'excuser : je n'écris plus vraiment. Je dois avoir un peu abandonné cette besogne ci. A vrai dire, je me suis tourné beaucoup vers la lecture et le rêve : deux choses bien plus faciles à effectuer que l'imagination et la coordination même à rendre compréhensible par quelques phrases mal exprimées. D'ailleurs, je ne comprends rien à ce que j'écris.
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Catapulte, tu en es capable, crois-moi. Crois en toi, et tu verras : tu confectionneras aussi quelques merveilles singulières que chacun ici se plaira à lire et apprécier.
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</h1> Lorsque je tente de modifier ma page personnelle, ce message d'erreur s'affiche. J'aurais aimé savoir s'il est en rapport avec le forum, ou si je dois me contenter d'attendre pour que le souci se règle? Désolé du dérangement éventuel, et désolé aussi s'il a déjà été soulevé. J'ai pas vraiment eu le courage de parcourir les soixante pages du sujet..
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Parfait :D:o°
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Y a-t-il plusieurs façons d'être athée
Jedino a répondu à un(e) sujet de existence dans Religion et Culte
Un athée croit au fait qu'il n'y a aucun dieu (en vérité, je n'en sais rien, donc faut prendre ça à la baguette!). De là à dire qu'il y en a plusieurs types. Probablement que oui, comme il existe différentes manières de croire en un dieu, il doit y avoir plusieurs manière d'affirmer notre rejet de cette divinité (ou ces divinités, selon le point de vue). -
Suis-je donc ce que je suis? Suis-je ce que je pense être? Si je ne peux le prouver, ni me le faire confirmer, j'en reste néanmoins convaincu, accroché, comme invaincu, à cette idée que je trouve prétentieuse autant que délirante, mais qui aurait le don de pouvoir m'expliquer, sans encombre, le chemin même de ma vie. Sachant cela, comment ne pas s'accrocher à une pareille théorie, probablement fausse en tout point? Je doute qu'on puisse me répondre aujourd'hui, simplement. Suis-je vraiment ce complexe de la vie, cette parcelle de différence qui me caractérise parmi ceux qui réussissent dans ce secret, ce génie? Je n'en sais rien. Et au fond, je redoute de le savoir. Car ce flux, ce sentiment de sympathie, de jouissance au savoir de sa différence, me rend si vantard et confiant, que j'en perdrais surement mes derniers espoirs décents.
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Le ciel est bleu et gris. Mais de ceci, rien n'est important. Il m'importe seulement de revoir cet ami que j'ai trouvé, hier, charmant. Pourquoi est-il donc parti, sans attendre le soleil levant? Est-ce la peur ou la vie, qui l'a ainsi fait fuir machinalement? Si je n'étais pas perverti, je vous aurais dit, surement, que son désir en cette nuit, se tournait vers son amant. Mais aveugle comme je le suis, je me suis menti, bien gentiment, que la seule raison cet infini, cette passion dont chacun s'éprend. Pour qui? Personne ne le sait vraiment. La seule certitude est qu'en cette nuit, ou ce matin, je ne sais plus tout à fait où j'en suis, ni où je suis, et que de ce souvenir plaisant, je ne me souviens qu'avoir été au parc, seul avec ce froid me glaçant, et la bouteille de binard vide que je traine avec moi, bien calé dans ma main de sans abri au cœur sanglant. (pardon, on ne comprend rien, et il n'y a rien à comprendre)
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(j'avais un commentaire plus long, mais tel un idiot, je n'ai pas pensé à le copier, et donc, je me vois contrains de le refaire, sans la motivation initiale. Je m'en excuse) L'individu est certes ridicule face à l'immensité de masse qu'est le peuple, mais il est tout de même apte à influer sur cet ensemble. Prenez l'exemple des Lumières, extrêmement banalisés aujourd'hui. De simples hommes ont su faire passer leurs idées, parfois antagonistes, tout en permettant l'évolution de l'Histoire. L'équilibre dans lequel on semble s'être réfugié va s'effondrer. Un individu est à mon sens tout à fait apte à être un virus. Il peut être l'agent pathogène de départ et, à force, va proliférer ici et là pour, idéalement, finir en pandémie. Après, la question est de savoir si l'idée qu'il véhicule est "bonne" ou "mauvaise", bien que ce point de vue diffère selon les intérêts de chacun. L'Histoire se passe en effet de notre approbation. Bien souvent, ce sont les acteurs prônant la violence, la haine, qu'on retient, avant, bien avant, les bienfaiteurs. Mais même si on s'en tient à cela, on voit bien que l'individu peut influer sur cet ensemble, malgré ses idées "néfastes". L'autre exemple reste Les Lumières, bien que ce soit un ensemble d'individu, mais malgré tout restreint à côté de l'ensemble qu'est le peuple, et qui a su, m'a-t-on appris, à mener le peuple vers un horizon nouveau. Probablement. Les demandes se font de plus en plus fortes, les quantités toujours moindres. L'avenir répondra à comment aurons-nous su gérer cela. Je doute que cela se passe mieux que par le passé. Mais restons optimistes. Oui, je sais, au moins sommairement, comment l'URSS c'est effondré (c'est le programme de terminale, en partie, donc j'en sais ce qu'on m'a dit). Les Etats-Unis sont dans une mauvaise, très mauvaise, passe. Je ne sais pas s'ils vont réussir à s'en remettre sans finir comme l'autre bloc déjà disloqué. Vu la dette du pays... Je ne sais pas. Je ne saurais pas m'avancer, je ne suis pas vraiment apte à le faire. Ce n'est aucunement un souci. J'aime bien partager des idées, apprendre, débattre. Merci à vous d'avoir pris le temps d'y répondre. J'y répondrai volontiers encore. Bonne journée.
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Ah! Que de belles histoires, que celles des grand châteaux, des princes et des princesses! Elles nourrissent le rêve et la tendresse! Je n'ai rien à dire aujourd'hui, si ce n'est de dire que je n'ai rien à dire. Alors, je vous souhaite une bien belle journée, pleine de vie et de sourire!
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Un. C'est le nombre de fois où je me suis réveillé aujourd'hui. Deux. C'est le nombre de livres que j'ai commencé aujourd'hui. Trois. C'est le nombre de fois où j'ai rejoins mon ordinateur aujourd'hui. Quatre. C'est le nombre de fois où j'ai mangé aujourd'hui. Avec quatre chiffres, j'arrive à résumer ma vie.
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La femme a, pour l'homme, l'odeur d'une victoire lorsqu'elle tombe dans ses bras. Objet de tous les désirs, raison de tous les fantasmes. Comment s'en sortir? Comment s'entendre avec si elle se met à vouloir se faire respecter, exister? Oh! Je n'ai pas de réponse à cela. Les femmes et moi, ça ne marche pas. Mais vous le comprendrez bien mieux si je vous dis ceci : pour moi, il n'y a pas plus bel objet qu'une femme trainant au salon, l'air épanoui. Une œuvre d'art. Ouai. D'ailleurs, j'aime exposer ma femme à mes meilleurs amis. Et ils la trouvent tous très belle, dans sa robe qui lui donne cette élégance qui plait tant. Me croirez-vous si, comme dans un musée, je leur interdis de la toucher, de peur qu'ils ne me l'abîment? C'est que je suis égoïste et, bien que je permette qu'on la délecte des yeux, je ne permets à personne de me la prendre. Sauf si, bien sûr, vous avez de quoi me l'acheter.
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J'ai lu. Intéressant. Surtout quand on connait l'investissement des Etats-Unis par jour dans l'armée. Mais pourquoi ne pas nous croire assez "intelligent" pour être capable d'éviter cet hypothétique conflit? C'est une vision pessimiste (= réaliste?) des choses. Je pencherai pour une crise lors de la "fin"de l'ère du pétrole qui va éveiller pas mal de problèmes. Car, j'imagine difficile son remplacement, d'autant plus si cette solution doit être écologique. Ou peut-être lorsque, comme tu (vous, je ne sais jamais trop) le dis, lorsque la Chine aura pris la tête devant les Etats-Unis. On reproche à Kadhafi de ne pas abandonner comme il le devrait le pouvoir. Les Etats-Unis accepteront-ils aussi qu'on prenne contre leur gré la place de "pivot" du monde? Pardon. Je réponds un peu à côté.
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Pouvons-nous vraiment tout dire? Décrire parfaitement ce que notre imagination s'emmerde à créer pour nous pomper la vie? D'après l'ordre moral en place, non. Mais qu'est-ce que la moral, à part une vaine tentative de préserver une pudeur dont tout le monde se moque? Tout le monde, sauf les humains, bien entendu, car d'intimité ils ont besoin pour pouvoir rassurer les statistiques qu'on en tirera ; celle de la prolifération incessante de notre espèce. Sans parler des concombres dont on vient à pleurer quelques morts et quelques milliers de cas. Comme si, en un seul jour, c'en devenait la plaie qui achèverait les parasites que nous sommes. Pourtant, ce n'est pas de concombre dont irait se plaindre les gosses qui crèvent de ne pas avoir pu en manger un, quitte à en crever dans quelques jours, plutôt que tout de suite. Il est où, ce putain de sens de la morale? C'est quoi, la morale? Vivre dans sa piaule, baiser sous prétexte de prendre du plaisir, et bouffer sans avoir le moindre remord? Rassurez-vous, je suis comme vous : je ne suis qu'un égocentrique cherchant à se convaincre du contraire. Normal : pourquoi aider ces personnes dont on ne recevra jamais rien, pas même un merci? Qu'ils agonisent donc en silence, qu'on puisse jouir comme on le souhaite de notre confort, de notre éphémère prospérité. Notre bon dieu rira bien en ce jour où nous viendrons tous à payer notre inconscience et notre folie, notre arrogance et notre hypocrisie. Et il ne faudra pas espérer son aide pour seul prétexte que nous avons suffisamment supplier sa pitié par la piété. Car l'homme idéal serait un homme mort. Mais, voyez-vous, dans ma naïve haine et rébellion, je ne considère ici que les occidentaux, fautifs de la misère de notre bien belle Terre. Parce qu'il faut bien l'admettre, notre mère a su jusqu'ici être patiente avec nous. La question est : pour combien de temps, encore? Méditez-donc un peu, rendez-vous compte de votre solitude et de votre responsabilité dans ce chaos qui, sans être là, s'approche sans se faire remarquer, et à grand pas. Notre bêtise nous emportera.
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Papillon est sorti de son cocon. Papillon a pris son envol. Papillon a battu des ailes. Papillon a vécu au mieux son éphémère existence. Papillon a tenté d'apporter sa brève action dans l'édifice du monde. Mais papillon est mort en s'écrasant contre la fenêtre d'un gratte-ciel.
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Perdu. Dans la forêt, je me suis perdu. Le Petit Poucet n'est pas là. Ses cailloux non plus. J'avance. J'ignore où je vais. Mais je sais que je vais. Ici, ou là. Puis, sans le savoir, on finit, sans le vouloir, par aller de l'autre côté du chemin. Ce n'est pas tant qu'on préfère l'un ou l'autre. C'est seulement qu'on nous dit souvent que l'un est meilleur que l'autre. Alors, on se prend pour humain, et on se laisse vagabonder jusqu'à l'autre bout. Folie? On n'en sait rien. On apprécie seulement se sentir libre de quitter les siens. Comment ne pas espérer, par un beau jour d'été où le ciel et sombre et en colère, aller serrer la main à Lucifer?
