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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Bonne vacance. Pour ma part, les épreuves ont commencé. Et je crois bien que j'ai passé celles que je pourrais réussir. Est-ce un hasard si, le jour précédent la philosophie, j'ai lu ses Pensées? Est-ce un hasard si, le soir d'avant, j'ai parlé de Pascal à quelqu'un? N'est-ce donc pas une étrange coïncidence? Mais le plus surprenant, dans cette brève histoire, c'est qu'elle est vraie. Bonne journée, aussi
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Pour ma part c'est bon. Je n'ai rien dit
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Les paperasses dont tu sembles apprécier la venue
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Il n'y a pas d'homme pour faire ça? :D
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Il ne faut pas désespérer, Evasive, l'argent ne fait pas tout, même si pour certaines choses, il faut beaucoup. Et il est vrai qu'on a tendance à dépenser plus quand on en a plus. A utiliser plus quand on a plus. La précarité force à la restriction, à faire attention. Le "trop" amène à le jeter sans véritable raison, parce qu'on ne sait qu'en faire. Mais ne te laisse pas abattre. Eclate-toi donc comme tu l'entends! Réalise ce que tu veux, comme tu le peux! Et la vie te sourira à nouveau. Ou plutôt, tu lui souriras un peu plus à nouveau, qui sait? Allez, je t'ai entendu, je ne sais pas si j'ai bien écouté, mais j'ai fait comme je le pouvais. Bonne soirée.
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De ce côté ci, je suis du même avis, oui. Mais n'est-ce pas une conséquence de la "liberté" permise par la démocratie?
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"Ce monde n'est pas pour moi, ce monde n'est pas le mien." Ces paroles saeziennes résonnent en moi. Je crois que je n'y ai jamais autant cru qu'aujourd'hui. J'y ai pourtant cru durant longtemps, espérant ceci ou cela qui ferait que j'irais mieux maintenant. Mais j'ai dû perdre espoir, depuis. Oui, il a dû s'en aller lâchement, me laissant là, seul et idiot, à ne savoir que faire, à ne savoir que rêver. Pourtant tout semblait avoir bien commencé. J'étais né dans un univers amoureux, dans un univers où l'on chérissait les bambins avec technique et assiduité. On recevait des cadeaux à Pâques et à Noël, et même entre les deux si on en manifestait le désir. On pouvait aller qui l'on souhaitait pour s'amuser, profiter, rendre magnifique ce qui était déjà beau. Les jeux, les sorties, les amis : rien ne manquait dans l'équation. Tout se trouvait là, face à moi, posé sur une table, à m'attendre. Tout était prêt, il ne me restait qu'à le saisir, le délecter, pour pouvoir en jouir jusqu'à la fin de ma courte éternité. Seulement, je n'ai pas su l'attraper. non, je n'ai pas pu. Quelque chose m'en empêchait. Je n'arriverais pas à l'expliquer si l'on venait à me questionner. Je sais simplement que je ne le devais pas. Est-ce là le destin? Je l'ignore. Je crois que j'ai, pendant un temps, eu confiance en mon dit destin, en mon avenir très incertain, toujours fébrile. C'est comme si j'appréciais avancer sur une corde mince et fragile, suspendu au-dessus du néant, sans savoir tenir en équilibre. Un risque inutile, une stupidité évitable, dites-vous? Je le sais fort bien. Mais je suis sourd. Je veux l'être. Pourquoi? Car je ne supporte plus l'écoute des larmes, des plaintes incessantes et si vaines. Le monde est si beau! Et tout le monde y souffre. A un point où il est presque possible de se demander si le but n'est pas là de réussir à hurler plus fort que son voisin. Ou peut-être plus que l'inconnu qu'on croisera dans la rue? Sommes-nous vraiment jaloux du bonheur des autres? J'en doute. Nous ne jalousons jamais plus que leur mal-être. Et tout ceci, par avidité. Tout ceci parce qu'on est enclin à penser que la souffrance forme le caractère, la personne, le point de vue, le corps, le tout qu'est un individu. Vous trouvez cela triste? Sérieusement? Et dire que vous n'avez rien vu. Non, vous ne savez rien. Ni ce qu'est le monde. Ni ce qu'il fait là. Rien. Rien, mis à part que vous avez mal, que vous aurez mal, et que vous êtes peut-être, espérons-le, plus mal que quelqu'un d'autre. Car cette idée, il faut se l'avouer, fait du bien. Beaucoup de bien. Et ne me croyez pas assez prétentieux pour me dire différent. S'il ne tenait qu'à moi, je volerais toutes les douleurs du monde, pour en goûter doucement chacun des traits, lentement, jusqu'à la note finale, le summum de toute une musique, la victoire d'une attente insupportable.
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L'amour est là, possiblement, mais le veut-on pour autant? Comment peut-on le vouloir quand on sait qu'il a assassiné de nombreuses personnes au plus profond d'eux-mêmes? Non, l'amour n'est pas une bénédiction, mais une malédiction pour celui qui s'illusionne de tout. Comment ne pas sombrer dans le désespoir et la folie quand nos rêves, nos attentes, dépassent la réalité, et ce qu'elle veut bien nous accorder? Je ne crois pas plus en l'amour que je crois en moi, qu'en l'avenir qui m'attend, ou qu'au passé qui m'a fait. Je suis un des prisonniers du temps, perdu à jamais dans son jeu sadique, étreint à en étouffer dans ses griffes acérées. Je me meurs. J'en ai bien peur.
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Je ne me souviens plus de ce passage ci que je vais relire, mais je puis dire que la réponse doit en être digne. Toujours aussi splendide, magnifique. Vraiment, parfois je jalouse vraiment ton talent. J'aurais aimé écrire, à prendre plaisir de ces mots posés, comme toi. Tu sembles habiter tes phrases, les vivre. Moi, je ne sais pas. Elle ne sonne pas, ne rime à rien. Elle ne possède pas ce souffle, ce pouvoir d'envoutement qui prend le lecteur et l'emmène loin, dans ses rêves, dans tes rêves, dans les rêves de son voisin. J'aurais voulu rêver de ça, rêver de toi, rêver de nous. J'aurais aimé que tu m'emportes loin, qu'on finisse entre nous, dans les étoiles, non loin de la lune, ou simplement chez nous.
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Oh! La jeunesse. La période de tous les plaisirs, aussi candides sont-ils... Et pourtant, l'un des plus beaux moments de notre vie. La suffisance d'une phrase, la fainéantise de tout un être. Me voilà à me contenter d'un commentaire, d'une simple remarque, d'une naïve tentative pour résumer ce que celle qui m'a précédé a si bien explicité!
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Posé sur ma tête. Son contact me fait frémir. J'ai peur. C'est un jour singulier pour moi. Je n'ai encore jamais connu ce genre de situation. Existe-t-il quelque chose de pire, une situation plus délicate à vivre que celle-ci? Je ne saurais le dire. Elle me charrie. Elle aime me faire suer, faire trembler mes sens, me rendre hystérique, désarmé. Que puis-je encore faire? Mon destin est scellé. Elle joue avec moi, en sourit. Comment tout cela va-t-il se terminer? J'aurais aimé lui dire d'arrêter, que je ne le voulais pas. Mais elle m'y avait entrainé, m'avait piégé pour, au final, m'empêcher d'en faire autrement. Je devais l'affronter ou m'enfuir honteusement. Où? Seul l'avenir le sait. Elle me tenait prisonnier par cette simple menace, ce pouvoir au toucher semblable à l'innocence, car je le craignais, le refusais. Je ne pouvais accepter de mourir ici, d'abandonner une partie de moi-même, parce qu'elle désirait me le voler, maintenant, en m’étreignant de sa douce force, de sa douce main.
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Juste pour dire que je suis d'accord avec la dernière affirmation faite dan ton commentaire. Donc, il est plus ou moins inutile. Mais bon. J'aurais pu répéter la chose, cela n'aurait pas eu de véritable intérêt. Cependant, beaucoup rêvent d'une hiérarchie "égalitaire", dans le sens où on aime à se sentir, si ce n'est "au-dessus", au moins au même niveau que les autres. On a peur de la soumission. On se veut être "libre". Capable de décider pour soi, et pour tout. Un rêve qui, comme dit, n'est là que pour faire espérer ceux qui s'accrochent le plus à cette idée. La nature le montre bien, comme dit. Au final, j'ai dit pour ne rien dire. Mais bon. J'en suis désolé.
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Idéal
