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Tout ce qui a été posté par Jedino
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"La vie devant soi", ou l'histoire du petit Mohammed (bien qu'il n'aime pas être dit petit, surtout depuis qu'il a pris quatre ans de plus), appelé Momo parce que c'est plus vite dit, qui s'occupe de la vieille madame Rosa, belle de sa mocheté. Elle va d'ailleurs bientôt mourir et connait des passages à vide. Il l'emmènera mourir dans son "trou juif", et il finira par s'occuper d'elle trois semaines encore après sa mort, en essayant de la stimuler avec l'aide d'un portrait d'Hitler. Il l'a maquillera, la parfumera, comme elle le faisait vivante.. Ce qui est intéressant, c'est le titre. Au premier abord, le lien parait simple. Il est évident qu'on parle de Momo, encore jeune. De plus, il parle ici et là comme pour un flash back, mais futur. "J'irai le/la voir". "Madame ou monsieur X ne sera plus". Bref, on sait très vite que le personnage ne va pas mourir. Tout comme on sait le sort de madame Rosa très vite aussi. Et pourtant, on continue. Pourquoi? Parce que ce garçon, arabe, fils d'un père en hôpital psychiatrique pour avoir tué sa mère qui était prostituée, a un comportement plutôt voyou, entre le vol et le profit tiré de la pitié de femmes qui le "draguent", tout en étant d'une grande intelligence (surtout depuis qu'il a pris quatre ans, qu'il vous dirait). Bref, on n'y comprend rien dans ce que j'écris, mais c'est vite lu, et ça mérite d'être lu. Je suis sûr que plusieurs connaissent : ce n'est pas un livre méconnu et sorti de là quinze jours. Bonne journée :)
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Non
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Que pensez-vous de la jeunesse française de manière générale ?
Jedino a répondu à un(e) sujet de latin-boy30 dans France
Moi je pense simplement qu'on peut pas dire que tout le monde est ceci ou cela. Et j'ai pas non plus envie que ceux là ou ceux là sont ça ou ça, parce que ç'a n'a pas d'intérêt que de critiquer ainsi. Donc, je réponds pour simplement dire que ce sujet n'a pas de sens autre que la provocation. M'enfin, si tu veux mon avis : ... :D Ce qui est sûr, c'est que pas mal de monde soutient le fait que l'adolescence est une période de "révolte", de tout ce qu'on veut. De "branleurs". Quoi de plus normal? Faut bien, avant de finir ici à débattre de sujet essentiel comme la dette :D Mais, tu parles de quelle emprise sur la société? Je me suis pas souvenu pouvoir influencer rien qu'un peu la société. Certes, j'y vie, j'y évolue, et j'en profite un peu comme tous mes frères et soeurs branleurs! Bref, je vais aller voir mes grands-parents. Comme quoi, la mésentente des générations n'est pas encore totale! -
Zalarmé au lieu de "Alarmé". Faut quand même la faire celle-là! Sinon, je fais rarement gaffe. Mais le langage sms connait sa propre évolution. Petit briefing rapide! A la base se trouvait le "t'inquiètes", magnifique de sa prestance! Il devînt, par la force des choses, "tqt". Mais ce dernier n'ayant aucun style, il se déguisa en "tkt" qui, il faut le dire, en jette bien mieux :D Cependant, ne vous inquiétez pas, d'ici la fin du siècle, notre manière de parler sera dépassée, et le sms sera le langage parlé et écrit considéré comme juste. Allez, sans rancune, et A+! M'enfin (oups!), faut pas se moquer, j'ai aussi écris ainsi au cours de ma jeunesse (:D)! Et je m'en sors pas si mal au bout du compte! (En dehors du fait que je sois un peu bizarre. Faut me comprendre! Je suis la victime d'une mode sociétale )
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Ouai
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Et maintenant tu trompes Flo_O :smile2: T'me racontes quoi là :gurp:
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Les nuages ne font jamais plus que cacher la lumière. Ils ne la remplacent pas. Il suffit d'attendre la prochaine éclaircie pour retrouver le sourire et la vie
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Voici le début, si je peux dire, d'une de mes plus récentes histoires. Bonne lecture, si toutefois certains en trouvent le courage! De nouvelles questions déferlent dans ma tête tous les jours. Par exemple, ce matin encore, je me demandais si la politique permettait réellement de faire évoluer les choses. C’est pas que je suis anarchiste, mais bon. Au fond, un gentil dictateur, c’est presque pareil, non? Vraiment, les dirigeants, les puissants, ça me dépasse. J’y comprends que dalle. Et je crois que c’est pas plus mal, avec tous les ennuis qu’on a maintenant. D’ailleurs, les anciens, eux, disent que ça date pas d’hier. Putain de vie, moi je vous le dis. Ils disent aussi qu’à force de se demander des trucs, on perd la tête. Depuis, je suis convaincu que chaque idée qui nous vient, c’est au prix d’un neurone. Vous imaginez? Un peu comme s’il explosait pour la libérer dans notre esprit. Beaucoup me disent que c’est bizarre, qu’ils comprennent rien à ce que je dis. En fait, ils me pensent fous. Même mes parents, quoi. Au début, ils voulaient m’envoyer dans un endroit spécial, avec des gens spéciaux, des gens qui me ressemblent. « Pour me soigner », qu’ils me répétaient. Pourtant, je me sens pas malade, moi. Je vais même plutôt bien. Je fais juste attention à ne pas trop penser, histoire d’économiser pour plus tard. Faut être prévoyant, vous savez. N’empêche que ça m’aurait intéressé d’aller en cet endroit, rien que parce que je suis curieux de savoir si je suis le seul à croire ceci. C’est que je me sens parfois mis en retrait pour ça. Alors forcément, il m’arrive de déprimer, vous voyez. Rien de grave pour autant, ou pas de quoi alarmer plus que ça les autres. Bref, on peut dire que, dans l‘ensemble, je suis plutôt heureux. J’aurais pu connaitre mieux, bien évidemment, mais je préfère me satisfaire de ce que j’ai : mon encéphale et ses mystères. Faut dire que c’est plutôt rare ces temps-ci, étant donné que la science a progressé à un point tel qu’il est difficile de pouvoir s’affirmer original et incompris. Il parait même qu’on sera bientôt capable de changer de cerveau naturel par des artificiels, tout beau, tout neuf, tout tellement meilleur. Moi ça me fait peur. Déjà que notre monde a hérité de machines presque trop humaines, alors transformer les humains en machine! Ce serait vraiment une erreur. Heureusement, il n’est prévu de modifier que ceux qui sont « dérangés ». A croire qu’il y a un idéal majoritaire. Mais je vais cesser. Quand je vous disais que je pensais de trop. En plus, ce sont des problèmes qui me dépassent de loin. J’ai pas l’âge pour ces affaires là, qu’on me corrige souvent, quand je fais preuve d’une curiosité orale. Du coup, je me concentre pas mal sur la lecture, ici et là. Tout est bon à apprendre, vous savez. Donc, j’étais en train de commencer à vous expliquer que je devais me calmer. Enfin, dans ma tête, quoi. C’est bien pour cette raison qu’il m’arrive de sortir me promener. Parfois seul, dans les rues, au milieu des nombreux passants pour qui je n’existe pas. Et puis, parfois avec quelqu’un. Tantôt un ami, tantôt un inconnu. Ca n’a rien de véritablement étrange. Les amis, c’est bien. On peut discuter de pleins de sujet, avouer ce qu’on n’oserait pas raconter à notre famille, et tout. Mais en fait, ça va pas plus loin. Toujours les mêmes soucis, toujours les mêmes blagues ou souhaits. Voilà pourquoi j’apprécie grandement les inconnus. Rarement bavards, et encore plus rarement à se lamenter de leurs problèmes à eux. Parler, mais pour parler, pas pour conter une histoire dont tout le monde se moque bien. Bah oui, franchement, qui perdrait bien son temps à s’intéresser aux malheurs de ceux qu’il connait? On en a déjà énormément, nous, alors pourquoi accélérer encore la saturation? Surtout qu’une fois vieux, ça nous fait encore plus de matière à déprimer. Seulement, j’ai envie de vous parler d’une de mes rencontres fortuites. C’est que des pauvres, il y en a toujours, et depuis longtemps, qu’ils disent, les sages, comme je les appelle, moi. Faut dire qu’ils savent tellement que je les trouve passionnant, même s’ils sont chiants quand ils se mettent à se remémorer des souvenirs à en souffrir de nostalgie. Alors bon, moi ça m’attriste. Je suis de nature sensible, vous savez. Je vous parlais donc d’un paumé, un de ces mecs qui attendent qu’à crever dans les rues les moins fréquentables, avec qui j’avais échangé quelques paroles. Au début, il m’ennuyait, comme la plupart. Il me distrayait simplement, à parler de ses trouvailles ici et là, ces merdes qu’il ramasse et qu’il conserve comme des trésors, à parler du temps qui est pourri et qui sera pourri aussi demain, et ceci, jusqu’au moment où il s’est mis à devenir différent. J’aurais pas pu traduire comme je l’ai vécu à ce moment là. Mais, si vous l’aviez connu, à cet instant, vous auriez compris. C’est comme si vous veniez d’être frappé par un je ne sais quoi, une force qui change en vous votre perception de la personne qui marche à votre côté. J’avais un sentiment amical à son égard. Je le trouvais presque sympathique. C’en était un choc. Parce que, même si j’étais sensible, j’avais pas l’habitude de ça. Quand j’en ai parlé aux sages, ils m’ont dit que la bête qu’on avait mis dans mon cerveau à la naissance venait de dérailler. Un peu comme moi, qu’ils disaient. Les vieux, ils étaient certains qu’on nous contrôlait de loin, mais qu’on nous laissait la possibilité de choisir et de croire à notre individualité. Comme les machines quoi. Ils les aimaient pas, les machines. Oh ça non! Moi non plus, en fait. Pour ça que je les appréciais malgré tout.
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C'est beau, en effet. Bon voyage Nephalion, loin du monde, loin de tout. Ne le sommes-nous donc pas en étant simplement endormi dans notre... Lit?
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Chouette! Même moi ? Je trompe pas Zala si je suis avec Flo_O Quoi la blague? J'suis tout à fait sérieux! On est donc déjà trois :D
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Tous chez flo_O, sinon elle va pas être contente
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ah oui, l'Alsace, ses paysages, son patois incompréhensible, ses vins... :D
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Miq a raison! Ta photo a corrompu mon esprit innocent et je me vois comme obligé de te dire que je t'aime Pas de ma faute si tu es jolie au point d'attirer toutes les abeilles racoleuses de mon genr sur la fleur que tu es :gurp: Bon ok, j'arrête. J'ai de toute manière décidé de prendre ma retraite (de floodage inutile et futile, qu'on s'entende!). Je suis, à partir d'aujourd'hui et de maintenant, sérieux.
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Le brouillard couvre tout le village, cache tout l'horizon. Il est même difficile de discerner les murs de la maison d'à côté. Une ambiance à la Stephen King, sans toutefois les monstres et les étrangetés. Mais il reste la tristesse et la pauvreté des couleurs, l'absence d'un quelconque signe de vie. Même les voitures se font discrètes. Et les gens, surtout. Pourtant, j'aurais bien aimé voir un truc, n'importe quoi qui puisse m'occuper. A chaque son, je me retourne, comme s'il m'importait de savoir à quoi il correspond, à quoi je dois le rattacher. Comme pour me rassurer. Ou pour savoir? Toujours est-il que tout est comme mort. Peut-être est-ce l'hibernation humaine, que la simple vue du mauvais temps? Seulement, non. Je ne le vois pas, ne le sens, mais je sais qu'il y a de très nombreuses personnes, en ce moment même, qui s'en vont, ou qui sont déjà dans la sphère du travail. M'enfin, vous ne trouvez pas, vous, qu'il fait comme avaler, le brouillard? Qu'il inhibe tout, par le simple fait de rester? Moi j'irais pas dire que ça m'exaspère, même si j'en suis pas toujours joyeux. En réalité, il ne me dérange pas vraiment. Il est si rare chez moi qu'on le remarque pas tant. Je n'avais juste aucune autre idée, tout en ayant le souhait de ressortir un petit texte qui donnerait à ces heures sur l'ordinateur de ce matin un sens autre que tuer l'ennui. Il serait plus vrai de dire que je n'ai pas trouvé le moindre sujet plus optimiste. En voici la preuve avec ce second passage que je vais finalement également écrire. Une fois lancée, comment s'arrêter? Ce jour là, j'étais, comme pas mal de fois dans l'année, allé au supermarché. Une bien ennuyeuse nécessité que celle-ci : je ne pouvais rien faire d'autre que gâcher mon argent durement gagné pour mon inutile survie. Bien sûr, j'aurais pu partir en campagne, posséder mon jardin et mes bêtes. Je l'aurais pu, oui, mais pas sans un prêt à la banque pour construire le plus modeste des domaines que je n'aurais de toute manière jamais finis de rembourser. Alors, je me contentais de ma situation, banale autant que suffisante pour ne pas me laisser dépérir sans m'être battu. Je me laissais emporter par cette recherche incessante d'un meilleur confort, de ce vain espoir, qui ne se réalisera que dans une autre vie. J'achetais donc tout ce qu'il y avait de plus utile. L'amusement, les petits plaisirs, ne pouvaient être tolérés. Ce jour là, je ne l'aurais pas cru, et encore moins considéré comme possible, mais on m'avait proposé de me payer du chocolat. Certes, ce n'était pas de la haute qualité. Mais cette attention avait tout de même son effet : ça vous ravive un coeur que de tendre un peu du nôtre. Je m'étais donc mis à remercier chaleureusement cette personne, ne sachant que faire de plus pour elle. Elle me répondait, un peu gêné, un peu ennuyé, que cela lui faisait un grand bien. Je la remerciais encore. Ma journée prenait une tout autre tournure pour cet acte sans aucun doute insignifiant pour elle. Puis elle s'en alla. Et je m'étais réveillé. Je rêvassais devant le chocolat encartonné. J'avais toujours cru, d'ailleurs, qu'on pouvait tomber sur une tablette de chocolat qui n'en contenait pas. Qu'ils auraient pu se tromper à l'usine. On ne sait jamais trop. On n'est jamais trop prudent. Toujours était-il que je me sentais bête, et que je sombrais à nouveau dans mon état de passivité et de déprime. Je ne l'avais que pensé. J'en avais mal. C'était ça, le poignard de notre existence. On croit tout beau, et on chute en constatant la réalité. Je m'en allais donc, à travers les allées, sans but et sans quête autre que de trouver le rayon surgelé. Je n'avais pas remarqué la tablette et le billet qui se dissimulait sous le pain que j'avais déposé auparavant.
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Ca c'est sûr que je suis raide dingue d'elle :D
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Ca marche! J't'attends :D
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Bon allez, fais pas ta rebelle, et viens donc.
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Au pire des cas, tu sais où m'trouver
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Allez allez! T'es quand même bien logée :D T'as à peine le ménage à faire! De quoi tu te plains? [/url] T'as pas tort zZero67
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J'manipulerais, Ô grand jamais, une fille de sa trempe
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Si tu m'adoptes pas, tu resteras toute seule :p
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J'ai eu un avant-goût
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Mais non, j'viens habiter chez toi, et c'est bon :D
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