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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Yo :D C'est pratique ça, sachant que j'veux faire rockstar! Cela dit, c'est pas donné, ton truc! T'es sûr que c'est les prix en France, aussi? :D
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Empli d'optimisme, c'est bien
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Haha. L'pauvre Brad Pitt! Et, on s'en fout qu'elles soient grosses ou non
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Il n'y a jamais de concert au point chez Saez, Melie, mais tu es pardonnée. Et, rien de nouveau sous le cocotier. Il fume pas mal.
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S'il venait demain, s'il vous posait la question, que répondriez-vous? «As-tu été un homme de bien?» Que dire? Prétendre au «oui»? Penser le «non»? Admettre son ignorance? Regretteras-tu d'avoir suivi toute une vie durant l'ordre de la morale? Désireras-tu vainement passer outre cette limite? Je te le demande : qui seras-tu si tu apprends que tout ce que tu défendais, croyais ou aimais, était le mauvais choix? Mais peut-être n'y a-t-il pas de bonne réponse? Peut-être n'y a-t-il même pas de question? Tu cherches tant d'années à comprendre qui tu «es» en sachant très bien qu'un jour, bientôt ou non, tous ces efforts, ces réflexions, ne t'auront mené à rien. Et pourtant, tu cherches péniblement, convaincu de devoir trouver quelque chose, une essence évidente qui se cacherait dans les tréfonds de ton «moi». Tu ne saurais cependant pas expliquer ce qui te pousse ainsi à tenter de dénicher cette vérité que tu imagines belle et unique, en valant la peine. Un Saint Graal très personnel qui t'éloignerait des tumultes de ton existence. Mais tu cherches. Encore. Parce que tu sais. La réponse la plus juste et la moins risquée serait celle-ci : «je ne suis ni bon ni mauvais, seulement un mélange plus ou moins égal des deux, et j'espère sincèrement avoir penché davantage vers le premier que le second». Que reprocher à cela? Outre la non assurance, son absurdité profonde : l'homme de bien ne s'espère pas bon et ne ne sait pas bon. Il l'est. Ce qui est n'a nul besoin d'être dit ou attendu, de même que les montagnes de nos actions ne se disent pas : elles se content. Je n'entrerai pas dans ces débats si fréquents et si inutiles que sont ceux cherchant à légitimer telles ou telles formes de connaissance, de croyance ou d'existence. Je ne crois ni en l'uniformité, ni en la différenciation. A une époque, tout le monde se ressemblait à vouloir se ressembler. Aujourd'hui, tout le monde se ressemble à vouloir se différencier. La nuance n'est que dans l'idée. Elle n'existe donc pas. Le fait est que nous faisons deux erreurs élémentaires : l'une consiste à penser qu'il faut les mêmes moyens à tous, et l'autre voudrait qu'il faut sortir d'un hypothétique lot pour justifier d'être. Concernant la première, cela me paraît clair : une société de chercheurs reste moins viable qu'une société d'agriculteurs. Je ne prône aucune des deux. Je dis, très bêtement, qu'il existe une interdépendance nécessaire et que chaque maillon n'a pas les mêmes besoins. Rien de bien extraordinaire, donc. Concernant la seconde, il me semble qu'il faut l'attribuer à notre bêtise sans fond, incapable que nous sommes à accepter d'être aussi minable que notre ami ou voisin. Chose très paradoxale pour une espèce s'estimant apte à se maîtriser, à raisonner. La seule réponse franche et vraie à donner serait celle qui veut que nous avons fait au mieux. Mais jamais assez. A quoi bon apprendre pour oublier, aimer pour se séparer, créer pour abandonner? Nous avons répondu : «pour être heureux et rendre heureux». L'altruisme naitrait-il de l'égoïsme le plus primaire?
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Et, je me reconnais dans celui-ci.
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Pas mal du tout! Mais je dois avouer que personnellement "agile" me dérange un peu sur la fin! M'enfin, je chipote :D
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J'vais quand même pas faire ton boulot, nan mais oh! S'tu veux comprendre ton lecteur faut rentrer dans sa tête, sinon tant pis
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RTL marche aussi bien que "en très réel", faut pas déconner En plus tu parles musique, alors bon! Et, ouai ouai, fait donc celui qui pense au premier degré, j'te dirai rien!
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Quel jeu de mot avec RTL! Pas mal du tout. Tu peux y trouver plusieurs sens, je crois, à ce poème-ci.
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Faut dormir le jour, mon gars! :D Cela dit, ça m'a fait rire^^'
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Les miroirs déformants
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Et d'où tiens-tu une information pareille? Une moule ne réfléchit pas en "ouvert" et "fermé", peut-être?! -
Tu vois, ce genre de pensée, je ne l'ai eu que comme curiosité une fois qu'une personne m'en avait parlé. Avant cela, je n'y réfléchissais pas vraiment n'étant pas réellement ainsi. Nuit! Nuit! Où es-tu? T'ai-je donc perdu? Hurle! Hurle! Crache-là, ta vie! Le sombre pullule, Le plomb fait envie. Vraiment, y crois-tu? Ne le suis-je plus? La mort, elle, simule L'ombre d'une hostie. Elle est la virgule Ponctuant l'impie. Nuit! Nuit! M'aimes-tu? T'ai-je tant déplu?
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Les miroirs déformants
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Si ce n'est que mon cerveau de moule ne fait pas la nuance entre "aimer" et "aimer". C'est comme dire que "réfléchir beaucoup" est au-dessus de "réfléchir bien". Ca n'a aucun sens -
Les miroirs déformants
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Tu noteras tout de même ton oubli fondamental qui est de préciser ce que tu entends concrètement au niveau des nuances entre les termes. C'est que j'ai appris que j'étais tout à fait mauvais en commentaire de texte! -
Les miroirs déformants
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Lolilol. Il a remis ça! (j'entends par là, le sondage) Non mais Magitte, c'est un monsieur bizarre. J'aime pas les messieurs bizarres. Tu remarqueras que je ne parle pas (jamais, ou rarement) de tes poèmes. C'est vraiment ridiculement bas! -
Paf! Voilà un morceau de ton âme. Paf! Voilà le second. Aimer à coup de marteau. Croire en Dieu. Croire en soi. Croire en n'importe quoi. Assis autour d'une table. Cinq cartes en main. Cinq choix. Cinq possibilités qui décideront, en partie, de ma victoire ou de ma défaite. Déterminant sans l'être. A moins d'avoir l'esprit stratégique, calculateur, je me préoccupe peu de cet hasard apparent. Plus les tours passeront, plus je penserai. La fin force à la réflexion. En être éloigné ne nous stimule pas. Je trouve intéressant qu'au nom de la "facilité" nous préférons ce qui peut nous faire du mal. Est-ce par peur de l'effort ou par faute d'un mal nécessaire au sein de notre pensée? Le mal n'existant pas, ce qui est mauvais est de l'accepter comme une réalité, réalité qui découle de notre conception-même de la vie, c'est-à-dire comme une souffrance plus ou moins présente selon le moment concerné. Foutaise, et pure foutaise. Accepter sa condition douloureuse, c'est légitimer son état et légitimer l'esclavage qui le suit juste après. En effet, quel être suffisamment censé accepterait d'être exploité s'il se savait capable d'atteindre un "mieux", le bon? Le "je ne cherche pas à vivre bien, mais à vivre le moins mal possible" prend ici tout son sens, dans cette conception absurde de notre condition. La raison n'est-elle que ça? Une entité capable de tout, sauf de l'essentiel? La risée des émotions et du sentiment est à son paroxysme. Nous sommes passés d'une société timide et ordonnée à une société introvertie et chaotique. Je ne parle pas ici des moeurs "libres", mais bien de cette fausse liberté cachée en son ombre. Soit libre, mais ne l'acclame. Tais-toi. Tu resteras libre dans ton silence. La parole est assassine.
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Parce que les liens que je voulais faire au départ n'existent pas au départ, donc. C'est juste les numéros du dé qui fait compte à rebours. Pourquoi? J'en sais rien. Me passait par la tête à ce moment-là. Et j'aime bien aussi le "il fût un zéro". A croire que je m'inspire :p
