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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 58/100 Mon temps 54 secondes  
  2. Le problème n'est pas d'en faire, le problème est de reprocher aux suivants d'en faire lorsque nous-mêmes l'avons fait sans aucune limite. C'est de la mauvaise foi. C'est celle-ci que je reproche aux partisans du "oui" à la thèse lancée au début de ce sujet.
  3. Barbares, c'est bien là vos méthodes en effet. Plus sévères ? Les crises qui nous attendent, aucun humain ne les as connues jusque-là, je vois donc mal comment le monde humain pourrait s'y préparer. Pour le reste, il est très clair que nous sommes bien peu de choses et que nous sommes loin de pouvoir le détruire, ce monde. La soupe me semble bien salée, sans doute que vous y avez mis un peu trop de sel ? Ou que vous vous êtes gavés des meilleurs morceaux en nous laissant une soupière en piteux état. Parce que clairement, je ne vois pas en quoi le monde que vous nous léguez vend un quelconque rêve et pourrait me laisser à satiété
  4. Quand il s'agit de tyranniser pour limiter les gosses, on y est, mais quand il s'agit de nous, c'est déjà plus emmerdant hein Pour le reste, contrairement à vous, je n'ai de problème avec personne. Il ne m'a donc jamais paru sérieux ni d'éradiquer les jeunes ni d'éradiquer les vieux. Relisez donc mon propos, et vous verrez que vous comprenez ce que vous voulez bien comprendre car cela chatouille votre âme de despote "éclairé". Et merci de quoi ? Si je vous prends au mot, je suis censé vous remercier d'avoir décidé que vous pouviez faire des gosses à tour la roulette, vous, et que moi je ne devrais pas ? Il n'y a pas comme un air d'égoïsme là-dedans à l'égard de ceux-là même que vous auriez fait naître ? Trivialement, je pourrais le lire comme "J'ai chié dans la soupe, fais pas ton rabats-joie, sois déjà heureux que je t'ai fait et mange ma merde".
  5. Il n'y a aucun entre-deux dans l'idée proposée pour les enfants, et je trouverais ça particulièrement odieux de simplement sacrifier ceux qui ne sont pas en bonne santé. De fait, et par effet miroir, il me paraît normal que la même égalité soit faite dans l'autre sens et d'estimer qu'à un âge donné la personne a assez vécu, indépendamment de sa santé. Mais cette idée n'est pas la mienne. Pour le reste, vous lancez un débat différent dans le fond qui est de savoir : "à quoi bon le respect du serment d’Hippocrate si la personne ne parviendra jamais à profiter, comme on dit maintenant, de la vie" ? Le principe de sauver des vies à tout prix et indépendamment de la personne et de sa richesse est le principe au plus haut dans ces métiers-là en France, mais on pourrait très bien imaginer le changer. D'autres pays sont moins à cheval sur ce genre de considérations.
  6. Je propose une idée, comme ça, dans l'ère du temps : un humain, c'est un peu comme une pièce mécanique. Tu la peaufines une dizaine d'années ou deux, histoire qu'elle soit bien comme il faut pour son usage futur, tu la mets dans une machine de type entreprise pendant quarante ou cinquante ans selon son taux d'usure (idéalement pas trop cher et sans trop de libertés), et tu la recycles ensuite, sans avoir à te préoccuper de payer des retraites dorées à l’hôpital ou à l'hospice. Pourquoi ne fait-on pas comme toutes les autres pièces usées d'un système ? Mon propos va paraître cynique. Pourtant, l'est-ce davantage que ce que le sujet suggère, à savoir purement et simplement freiner la population par le bas ? Ma question est : et pourquoi pas vers le haut ? C'est plus maîtrisé (on sait combien on en a, on a pas besoin d'essayer de l'anticiper avec des calculs complexes) et ça aboutit au même résultat, à savoir moins de bouches à nourrir et moins d'énergie à consommer. Le plus amusant dans l'histoire est de voir l'âge des personnes qui ouvrent ces sujets. Cela sonne comme un "bon les jeunes, on a bien profité pendant un demi-siècle là, on a fait n'importe quoi, maintenant faut que vous assumiez nos conneries et faites ce que jamais nous n'aurions accepté en notre temps". Le développement durable c'est génial, surtout quand ce n'est pas à nous de l'appliquer. Sinon, au-delà de ces solutions extrêmes, il en existe tout un éventail d'autres, plus modestes, qui couplées entre elles solutionneraient bien des problèmes que nous avons. Il y a largement de quoi nourrir tout le monde, tout comme il y aurait largement de quoi faire vivre décemment tout le monde. Mais bon, il est plus raisonnable paraît-il de demander aux pauvres d'arrêter de forniquer qu'aux ultra-riches de partager, de laisser les grandes entreprises se faire un profit indécent au prix des enfants que vous suggérez de réduire, et autres lieux communs bien connus qui font que nous sommes tous coupables de la situation aujourd'hui par notre inaction ou notre indifférence. Je n'ai rien contre personne, ce n'est donc pas à prendre personnellement, mais je ne vois pas sous quel prétexte on irait sacrifier les innocents plutôt que les coupables. Donc, oui, je trouve le propos indécent. Par contre, ce que je trouverais raisonnable, c'est que les personnes que nous sommes, qui faisons ces erreurs, fassent ce qu'il faut pour les corriger. Et si le raisonnable ne plaît pas aux amateurs de "terreur" (pour citer le mot), prêts à employer stérilisation, amendes lourdes et autres moyens scandaleux, mon idée de base tient toujours : plutôt que de limiter les naissances et d'agresser ces familles, on peut très bien proposer des séances chez le docteur qui donnera une petite piqûre le jour de la retraite arrivé pour un long sommeil éternel qui réglera tous nos soucis d'un coup, surtout avec l'arrivée nous concernant des générations issues du baby boom. Mes avis que ça plaira pas.
  7. Jedino

    Qui sont les macronistes ?

    Des gens qui se moquent d'aller à droite ou à gauche dans la rue, orientés qu'ils sont dans leur vie, et donc dans leur orientation politique.
  8. Tout dépend sous quel regard tu juges leur utilité. Tu peux le voir en tant que connaissance ayant une application par la suite dans ta vie, et en cela ils sont bien inutiles, tout comme l'essentiel des connaissances qui peuvent être dispensées selon la voie que tu prends. Par exemple, je n'ai plus jamais utilisé les nombres complexes après mon baccalauréat. Pour le dire autrement, les connaissances générales finissent nécessairement en partie par être éclipsées par l'inévitable spécialisation qu'on attend de nous ensuite. Tu peux ensuite le voir aussi comme étant une pierre en plus dans ce que tu sais : reconnaître une racine t'apparaît comme peu ou rien, mais je serais bien incapable de le faire, moi qui n'ai pas fait latin. Preuve donc que cela peut t'apporter à comprendre certaines choses qui m'échapperont à l'instant t, et on commence à y trouver un intérêt. Tu as enfin un degré plus complexe et moins évident où la connaissance ne se montre pas utile en soi mais où elle l'est parce qu'elle participe à la construction d'un tout, par exemple chez une personne ses convictions, son savoir, sa façon de raisonner, sa créativité (par association de connaissances ou analogie, typiquement), etc. Et au travail, et ailleurs. Un cours de langue n'est jamais qu'un cours de plus ou de moins selon le choix qu'on fait. Ils ne seront pas enfermés et mis à part pour pouvoir l'étudier. Il n'y aura donc pas plus qu'avant de séparation qu'il n'en existe naturellement entre les humains et pour des critères bien plus divers que la simple couleur de peau, que ce soit la taille, le poids, le caractère, la façon de se vêtir, de se comporter, éventuellement un handicap, et j'en passe. Pour te dire, il est tellement peu "normal" de ne pas se grouper avec certaines personnes en particulier que tu es vite associé comme étant rejeté si tu ne le fais pas. J'ai passé deux ans en classe préparatoire à voir les gens s'inquiéter parce que je ne cherchais pas à m'associer à un groupe ou un autre de personnes. Quoi que tu fasses, tu seras toujours associé à un groupe, parfois à plusieurs. Cela n'aggravera rien et ne changera rien qui n'existe déjà. Et c'est là où je suis clairement en opposition avec ta position : je trouve dommage de juger de l'intérêt d'une connaissance au regard de son utilité pratique. C'est cette même position qui a tendance à juger durement la recherche pure parce qu'elle ne paraît pas utile, car non appliquée, par définition. Il est impossible de dire à un jeune âge ce qui sera utile ou non dans notre avenir, et toutes les connaissances, même les plus marginales par leur utilité, participent à la construction de chacun. Je comprends ce besoin d'avoir un côté "pratique", c'est une demande constante de bien du monde, mais il serait dommage et dommageable je pense de nier l'intérêt du "théorique". Si le latin ne te permet pas de dialoguer, il te permet de comprendre un peu mieux la langue, et c'est une richesse, aussi petite soit-elle.
  9. On apprend bien le latin ou le grec ancien qui auront bien moins d'utilités en notre monde actuel que bien des langues par simple héritage de convictions passées. Donc l'arabe, ou une autre langue, pourquoi pas. Ce sera toujours plus utile si l'utilité d'une langue apprise se limite à son usage potentiel. Et si la seule excuse est que la langue est littéraire ou non, j'ai envie de te dire, l'anglais qu'on apprend à l'école n'est certainement pas l'anglais qui est parlé puisqu'il est bien carré et scolaire lui aussi, bien loin de ce qui peut être réellement parlé. Ça n'empêche pas de se débrouiller. Pour le reste, quand un groupe de personnes parlent une même langue, c'est une communauté. En cela, oui, apprendre une langue facilite le "communautarisme", c'est-à-dire le dialogue avec une communauté plutôt qu'une autre. C'est une conséquence nécessaire dès lors que tu as des centaines de langues à travers un monde : si tu choisis une langue, tu ne pourras pas parler avec une partie des autres qui sont en face de toi. D'où l'intérêt de les multiplier (et ça me fait mal de l'écrire). L'apprentissage de langues comme l'Alsacien ou le Breton est bien plus une revendication communautaire que celle dont on parle ici puisque ces langues ont été ouvertement combattues de ça plus d'un siècle pour y mettre le Français. Entre-temps, on s'est dit qu'au fond ce n'était pas si con de savoir s'ouvrir à d'autres choses, et c'est la même logique ici. La logique a toujours été et restera sans doute que dès lors que l'école dispense l'apprentissage, on peut le cadrer et donc décider de ce qui est ou non appris. Mais je viens d'une région où il n'est pas choquant qu'un catéchisme soit dispensé et obligatoire en primaire et où des cours d'histoires des religions sont obligatoires au collège et possibles au lycée, je n'ai donc pas tout à fait la logique d'un laïc jusque-boutiste qui se scandalisera de la moindre allusion religieuse. En vérité, dès lors qu'on a peur d'un savoir, c'est qu'on a perdu face à lui. Si tu veux éduquer, ce n'est pas par l'interdiction qui n'a jamais été vraiment appliquée, sauf quelques années au tout début du précédent siècle pour calmer les catholiques un peu trop chiants. Il faut savoir avoir une certaine ouverture. Et enfin, se scandaliser de "communautarisme" est assez amusant car tout, absolument tout, en ce monde amène les gens à choisir un groupe social plutôt qu'un autre. La langue est un facteur parmi d'autres. Il n'y a rien de choquant à cela. Par contre, si tu admets ouvertement que cette langue te fait peur, alors tu as déjà perdu. Si pour toi c'est une langue comme une autre, alors se fera un apprentissage progressif, par l'éducation, que finalement tout ça tient plus de l'émotionnel que du rationnel. Ajoutez-donc le berbère ou le chleuh si cela vous fait plaisir.
  10. Parce que la langue arabe se limite au coran et se mêle nécessairement à une religion ?
  11. Si personne ne s'inquiétait de l'apprentissage de cette langue, ce sujet n'existerait tout simplement pas parce que ce serait comme toutes les autres langues potentiellement apprises à l'école. C'est une langue vivante, et pas la moins parlée, apprise comme telle et permettant de lire bien des choses et de dialoguer avec bien du monde. Alors oui, elle peut permettre de lire un livre qui ne plaît pas à tout le monde, tout comme l'allemand avec d'autres références peu louables, ou toute autre langue. Non, vraiment, sans vouloir te vexer, je ne vois pas pourquoi ce sujet existe. Le seul sens qu'il peut avoir est : pourquoi n'apprend-on pas l'arabe comme toute autre langue étrangère ?
  12. C'est rigolo de voir les gens s'alarmer de l'apprentissage d'une langue comme une autre quand la seule langue obligatoire à maîtriser dans une bonne partie du supérieur n'est pas le français mais l'anglais. Comme quoi les inquiétudes, la rationalité, tout ça.
  13. Jedino

    Que faire des pauvres?

    Bah oui, c'est comme pour les vieux, il faudrait les tuer à la naissance. La première phrase n'est pas si évidente car "être capable de s'adapter" est vrai à l'échelle d'une espèce et non pas d'un individu ou d'un groupe d'individus, ici les "pauvres". Il existe cependant une différence entre l'environnement des animaux et le nôtre, social ou économique : contrairement au papillon aux ailes blanches ou noires qui se pose sur un arbre à l'écorce blanche ou noire, nous avons la main sur l'environnement social et économique qui fait naître la pauvreté. Le prétexte de la survie n'est que l'argument hypocrite des "riches" pour justifier leur existence. Ensuite, il faut se méfier : le pauvre de demain n'est pas forcément celui qu'on croit, et un métier de comptable est bien plus menacé à l'heure actuelle par l'automatisation que celui de, je cite, "ramasse-merde". Parce que contrairement à ce que laisse penser à tort le sujet, ce n'est pas la robotique qui est en passe de prendre de l'importance, elle n'est clairement pas encore à un niveau de performance permettant sa démocratisation totale et complète sur tout. Typiquement, celui de "ramasse-merde" suppose de pouvoir évoluer dans un environnement des plus complexes et des plus dangereux, celui d'une ville pleine d'humains et d'obstacles, de règles explicites et implicites. Le métier de maçon est dans le même ordre d'idée et n'est pas aussi évident que cela, même si le mépris de l'auteur est palpable, d'autant que l'imprimante 3D c'est sympathique, mais ce n'est pas forcément déployable aussi aisément dans tous les environnements. Par contre, celui d'un comptable, ou de toute autre chose qui paraît intellectuelle mais n'est au fond qu'un ensemble de règles de calculs, c'est clairement le domaine de l'informatique et de sa branche qu'est l'intelligence artificielle qui est, elle, en train de prendre pas mal de terrain sur de nombreux sujets. Il vaut donc mieux pour les décennies à venir préférer les poubelles ou la maçonnerie que certains bureaux dont la base du métier est le calcul (comptable) ou dont l'essentiel est déjà fait par le calcul (pilote de ligne), la robotique étant à plusieurs décennies d'aller au-delà que de simplement suppléer certaines tâches basiques d'aides à la personne. Maintenant oui, à l'échéance absolue qu'est le temps, tout sera remplacé, même nous.
  14. Clash royale depuis un moment, starcraft 2 le week-end, cossacks 3 à l'occasion, anthropya depuis récemment.
  15. Notre Constitution est faite pour créer l'idée de l'être providentiel tant le pouvoir du Président de la République est grand. Or, comme le soulignait quelqu'un, une seule personne peut aisément être influençable. Ce n'est qu'une personne comme une autre, après tout. Croire qu'il n'y a aucun jeu de pouvoir de la part des grandes entreprises au niveau du politique serait dommageable. Ce serait méconnaître le côté pernicieux du dit système dans lequel on est. Le problème, c'est le système ET la corruption. Le système n'est ni bon ni mauvais en soi, c'est ce que les gens en font qui l'est. Il ne peut être que plus ou moins adapté aux travers humains. En l'occurrence, la totale liberté de tout n'a jamais été l'optimum puisqu'il y a toujours eu des gens pour ne pas jouer le jeu. D'où le scandale qu'apparemment serait le fait de passer à 80km/h, d'où le scandale que serait de taxer au niveau réel que devrait être celui que doivent payer ceux qui fraudent fiscalement, etc. A tous les niveaux, pour tout, tu as des gens qui abusent du système. Tu n'en as pas forcément plus à tel ou tel niveau. Par contre, si tu fraudes à la tête d'une entreprise du CAC 40, ça aura plus d'impact sur le reste que la petite PME. De même, si tu coupes une trajectoire en camion, tu auras plus d'impact que si tu coupes une trajectoire à pied. La corruption est inévitable, mais non moins scandaleuse, et il faut cadrer pour l'éviter au mieux. C'est le rôle du système, et il est clair qu'il ne le remplit pas.
  16. Les crises économiques sont systémiques. On ne sait pas quand mais on sait qu'elles viendront. C'est tout le système qu'il faudrait améliorer, mais là, ça tiendrait plus du rêve que du réalisable tant on est embourbé de différentes façons dans les travers de celui-ci, le lobbying n'en étant jamais qu'un exemple. Pour le reste, les crises économiques appellent à des décisions qui sont largement déterminées par les convictions ou intérêts personnels. Si tu es néolibéral, jamais tu n'iras t'insulter à faire du keynésianisme, ou inversement. On est embourbé dans des débats sans fins, et ces débats sans fin sont les parfaits prétextes pour tourner en rond. Les crises ne sont jamais que les ponctuations de cette histoire.
  17. J'y vois plusieurs raisons : 1) L'effet du gamin devant le nouveau jouet : quand il voit le joujou dans le rayon du magasin, il paraît super, très bien, et il le veut absolument. Puis, une fois qu'il l'a acquis, et bien en fait, ce n'est plus intéressant. L'attrait qu'il avait dans le rayon, parce que vendu comme tel ici et là, n'est plus. Pour le dire autrement, faire de la communication c'est sympathique, mais la forme ne suffit pas à cacher le manque de fond. 2) On se fout de notre gueule : imaginons la situation où A nous vend le programme B, C le programme D, E le programme F. Si, peu importe l'élu A, B ou C, le programme finalement appliqué sera G, qui est celui qui centralise toujours toutes les directives, alors il y aura un désabusement évident. Tu ne peux pas promettre B et faire G, comme tous les précédents, sans passer pour ridicule. 3) Les arguments qu'on aimerait nous faire avaler comme des évidences sont des mensonges : il n'y a bien que des naïfs pour croire que la méritocratie n'est autre chose que le mérite de l'hérédité sociale et que la liberté des marchés n'est autre chose que l'augmentation constante des inégalités de tous types. 4) La France en particulier est attachée plus ou moins à l'idée qu'un jour l'être providentiel viendra sauver sa mère patrie de tous les maux que partie ou tout imagine. Ce n'est pas sans lien avec le martelage médiatique de ces idées qui aimeraient laisser penser que tout va au plus mal, histoire de vendre un peu plus de temps de cerveau disponible pour faire voter les bonnes personnes ou enrichir ceux qui le méritent plus que les autres. 5) La France est un pays en assez grande partie conservatrice. Il suffit de voir toute révulsion des idées dites de "gauche" qui aimeraient toucher aux lignes gravées dans le marbre par le Général. C'est logique, la population vieillit, et sa tendance au conservatisme grandit avec, surtout dans un monde qui bouleverse leurs convictions. Il y a donc un renfermement sur ce qu'on pense être sûr, et le sûr n'a malheureusement pas un visage constant. 6) Il y a une partielle ou totale méconnaissance des sujets évoqués qui empêche tout jugement objectif sur les problématiques. On est tenté d'écouter ce que les "experts" nous disent sur l'économie, les lois, et toutes ces choses que personne ne peut totalement maîtriser pour voter en parfaite conscience. Alors, on fait confiance aveuglément, avec nos propres attentes incertaines et à moitié conscientes, et on finit par voir les décalages au fur et à mesure. Bref, sans continuer plus loin car il y a sans doute d'autres raisons, l'idée est simple : pour diverses raisons, on vote mal ou sans réfléchir comme il le faudrait. On vote une gueule, une façon de communiquer, alors qu'il faudrait voter le fond et non la forme. Autrement dit, on vote comme on est dans la vie par ailleurs : au premier coup, par un jugement hâtif. Et nécessairement, quand on se tape cette personne cinq ans, notre jugement qui paraissait si beau au départ finit désabusé à la fin. Comme pour les enfants, le produit est moins joli une fois qu'on l'a en main.
  18. Hahaha ! S'il n'était pas si pathétique, il en serait certainement drôle.
  19. Je suis tombé par hasard par ici en cherchant une information, vous voyagez beaucoup sur les forums en fait !

    https://www.webrankinfo.com/forum/t/solution-mail-via-fonction-php-mail.20686/

     

    1. usagi

      usagi

      Je vais deci delà , je picore et je garde quelque perles , j'ai le temps ,

      ;)

  20. Il faut que je vérifie jusqu'à combien de générations d'aïeux pour être sûr d'être dans les clous, histoire d'être sûr que je puisse appartenir à la catégorie "Français de souche" et non pas "Français de mauvaise souche" ? Ah non pardon, je viens de la voir, cette horde de personnes venant de l'immigration. Ils m'entourent, ils s'approchent ... Aidez-moi ... Noooon ! Arg ! Je meurs. De rire, bien entendu.
  21. Jedino

    Menaces sur Air France

    Le problème, c'est qu'on ne troque pas la sécurité nationale à l'extérieur. On aura l'air intelligent avec nos logiciels et matériaux étrangers dans nos sous-marins et navires le jour où ils ne voudront plus le maintenir pour nous ou, parce que ces choses arrivent dans l'Histoire, ils se retrouvent contre nous. C'est d'autant plus vrai quand on parle des américains qui sont les spécialistes dans la discipline du repli sur soi au moindre problème. Maintenant, si votre sécurité vaut bien des économies, alors oui cela n'a rien de scandaleux.
  22. Jedino

    Test de personnalité

    Comme je suis réaliste, je crois que c'est réel, personnellement.
  23. Il me semble que l'essentiel de ma réponse ne s'adressait pas à toi, sauf pour la première phrase où, non, ce n'est pas le cas. Maintenant, plus tu as de monde, plus tu as de cons, c'est un effet de proportion inévitable.
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