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Bonjour, Alors que des informations importantes, notamment sur le changement climatique, disparaissent des sites Internet du gouvernement depuis l’investiture de Donald Trump, la résistance s’organise. Plusieurs groupes travaillent dans l’ombre à préserver outils et données. Les informations sur Internet semblent être là pour toujours, mais elles ne sont permanentes que dans la mesure où certaines personnes choisissent de les rendre permanentes. C’est ce que montre la deuxième administration Trump à travers ses efforts pour démanteler les agences scientifiques ainsi que les données et les sites Internet qu’elles utilisent pour communiquer avec le public. Les cibles vont de la santé publique à l’étude de la démographie en passant par les sciences du climat. Le Public Environmental Data Partners, une coalition d’organisations à but non lucratif, d’archivistes et de chercheurs s’efforce malgré tout de faire en sorte que ces données restent à la disposition du public. Article entier : https://theconversation.com/comment-retrouver-les-informations-climatiques-effacees-par-ladministration-trump-250436
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Bonjour, Les récentes mesures satellitaires révèlent une augmentation alarmante du HFC-125, un gaz à effet de serre 3 500 fois plus puissant que le CO₂, posant un défi urgent pour la régulation climatique mondiale. Depuis plusieurs décennies, la communauté scientifique surveille de près les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, en raison de leur impact significatif sur le réchauffement climatique. Parmi ces gaz, le HFC-125, un hydrofluorocarbure, suscite une inquiétude croissante. Utilisé principalement dans les systèmes de refroidissement et les extincteurs, il a récemment fait l’objet d’une étude approfondie grâce à des mesures satellitaires. Ces données ont révélé une augmentation spectaculaire de sa concentration dans l’atmosphère. Le potentiel de réchauffement global de ce gaz est environ 3 500 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone (CO₂), ce qui soulève des questions cruciales sur sa régulation et son impact environnemental futur. Article entier : https://vivredemain.fr/2025/01/17/ces-satellites-revelent-une-montee-alarmante-du-hfc-125-dans-latmosphere-un-gaz-aux-effets-devastateurs-sur-le-climat/
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Bonjour, Insultes, caricatures, montages… Sur les réseaux sociaux, les climatosceptiques ne prennent pas de vacances. Ils ciblent scientifiques et vulgarisateurs, qui se demandent comment faire face. Article entier
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Crise climatique : à quoi la France pourrait-elle ressembler en 2050 ?
Doïna a posté un sujet dans Environnement
Bonjour, Des scientifiques ont examiné des exemples concrets de l'impact que pourraient avoir les émissions de gaz à effet de serre sur la France en 2050. Les changements pourraient être rapides et spectaculaires. Article entier 2050, c'est bientôt : seulement dans 27 ans !- 30 réponses
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Bonjour, "Les lacs sont des puits de gaz à effet de serre" met en garde Jean-François Crétaux, ingénieur CNES et responsable scientifique mission Swot*. Lorsqu’ils s’assèchent, ils peuvent générer en retour une réémission importante de ces gaz à effet de serre. Donc ça a un effet accélérateur sur le réchauffement climatique. La faute en priorité au réchauffement climatique et à l'utilisation excessive de cette eau par l'homme. Article entier * Swot : Surface water and ocean topography = topographie de la surface de l'eau et de l'océan.
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B : EXPLICATIONS Introduction On a longtemps cru que les planètes étaient des divinités, que l’avenir pouvait être prédit par un examen des configurations astrales, que la Terre était au centre de l’univers ou, plus récemment encore, que les continents étaient immobiles. Non seulement la science remet perpétuellement en question les connaissances passées, mais cette évolution n’est possible que si les scientifiques sont libres de toutes influences politiques ou économiques. En matière de climat, de puissants mécanismes impliquant des intérêts immenses se sont mis en marche pour « sauver la planète » sous l’égide d’un réseau de personnalités qui tiennent à conserver leurs rôles de guides éclairés. Les sommes d’argent en jeu sont colossales, que ce soit pour les investissements en vue de produire des biens « neutres en CO2 », pour le coût démesuré de « l’inéluctable transition énergétique » ou encore pour les droits d’émission de CO2. Une telle croisade contre le CO2 engendrerait des dépenses pharamineuses d’énergie et des acquisitions mirobolantes de ressources minérales rares, si rares qu’elles ne suffiront jamais. La question qu’on peut alors se poser est de savoir si les lanceurs d’alerte climatique, dont le GIEC, ne se seraient pas éloignés de la rigueur scientifique. Il s’agit ici d’examiner trois aspects de la question : – Le réchauffement actuel est-il considérable ? – Quelles sont des failles scientifiques de cet alarmisme ? – La transition énergétique et ses applications les plus diverses pourraient-elles être franchement contre-productives au regard des problèmes environnementaux qu’elles prétendent résoudre ?
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III – La lutte contre le réchauffement climatique : une croisade absurde, coûteuse et inutile Réduire nos émissions de CO2 ne sert presque à rien. La France n’a qu’un rôle mineur à jouer (0,9 % des émissions mondiales) : ses industries et ses automobiles sont plus propres que la moyenne mondiale, et sa production électrique, essentiellement nucléaire, émet moins de CO2 que les autres. Pourtant, de nombreuses voix se font entendre avec force. Elles entraînent les dirigeants français à vouloir faire participer la France à cette croisade. La France est prête à dépenser beaucoup d’argent pour réduire inutilement ses émissions, sans prendre en compte les délocalisations qui en résultent, qui nuisent gravement à l’emploi et déplacent les émissions de CO2 dans d’autres pays plus permissifs. L’isolation des bâtiments est la seule mesure pertinente. Enfin, l’impôt sur le CO2 peut être considéré comme la gabelle du 21ème siècle. Conclusion On peut regretter que la France et nombre d’autres pays gaspillent leur argent pour éviter un faux problème futur au lieu de s’occuper des vrais problèmes actuels tels que la pauvreté ou les destructions d’écosystèmes qui sont, eux, bien réels.
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d) Cinq preuves contre la majorité des modèles de réchauffement climatique 1ère preuve : – Jusqu’à la révolution industrielle : les grands cycles de glaciation-déglaciation étaient régis par les cycles astronomiques nommés cycles de Milankovitch. Les températures terrestres dépendaient de l’insolation et de la quantité de chaleur reçue du soleil, et celles-ci dépendaient de la distance entre Terre et soleil ainsi que de l’angle de l’axe de rotation de la Terre. Donc, l’orbite terrestre déterminait les températures, qui elles-mêmes définissaient la teneur en CO2. Ce mécanisme subordonnait donc cette teneur à la température, et non l’inverse. – Depuis la révolution industrielle : quelle que soit la valeur de cette teneur, ce mécanisme continue de fonctionner pendant que l’Homme produit en sus du CO2. NB : Il n’y a pas de rétroaction mesurable (voir 6ème preuve de la partie B II). 2ème preuve : La capacité d’absorption des rayons infrarouges par le CO2 est saturée depuis des centaines de millions d’années. Le CO2 ne peut plus entraîner d’échauffement de la planète depuis que la saturation a été atteinte. 3ème preuve : Une molécule de CO2 augmente son énergie de vibration (s’active) après un choc avec une molécule environnante dont elle ôte de l’énergie cinétique. Inversement, elle fournit de l’énergie cinétique à une molécule environnante en abaissant son énergie de vibration (en se désactivant). Or, la proportion de molécules activées reste constante. Elle ne change pas si le CO2 absorbe, éventuellement en plus, des rayons infrarouges, car cette molécule n’a pas le temps d’émettre ensuite un rayon infrarouge à la pression atmosphérique. L’énergie qu’elle a acquise est aussitôt cédée en énergie(s) cinétique(s) aux molécules environnantes. L’effet de serre du CO2 est donc impossible théoriquement à la pression atmosphérique. Par contre, à 100 km d’altitude, le CO2 peut émettre un rayon infrarouge après en avoir absorbé un ou avoir reçu de l’énergie cinétique ; mais l’intensité de ce rayonnement est négligeable. 4ème preuve : Les changements au sein des mécanismes dissipatifs de la chaleur, provoqués par une variation de la teneur en CO2, ne montrent aucun réchauffement climatique. 5ème preuve : La Terre ne peut pas accumuler de chaleur provenant de la stratosphère qui est plus froide. Ce serait contre le deuxième principe de la thermodynamique.
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II – Cinq façons de mettre en question le CO2 comme cause du réchauffement climatique a) Rôle essentiel de la vapeur d’eau dans le maintien de la chaleur La comparaison d’une nuit en Europe et d’une autre au Sahara montre que celle en Europe est plus chaude alors qu’il y faisait plus froid pendant la journée précédente. On observe une différence de température, avec une teneur identique en CO2 (412 ppm). En effet, ce n’est pas le CO2 qui retient la chaleur, mais la vapeur d’eau présente en Europe (environ 4 000 ppm) et absente au Sahara. b) Le climat en quelques mots – Les températures actuelles ont déjà été rencontrées dans le passé récent ; – Le climat a toujours changé ; – Aucune preuve scientifique directe ne démontre une influence déterminante de la teneur en CO2, produit par l’homme ou non, sur le climat ; – Le niveau de la mer est monté depuis le début du XIXème siècle à une vitesse constante, donc indépendamment de la teneur en CO2 ; – Depuis 400 mille ans et jusqu’à la révolution industrielle, les augmentations de teneurs en CO2 ont suivi celles des températures avec un retard d’environ 10 siècles, ceci sous l’effet d’un dégazage des océans, qui sont de très loin le principal réservoir superficiel de CO2 de la planète (dégazage dû au réchauffement). c) Malformations congénitales du GIEC La constitution de cet organisme est pervertie par des erreurs de raisonnement et un but de recherche dévoyé. Il est scientiste ; il se prétend scientifique en proposant des normes sur la base de résultats scientifiques en faisant appel à des jugements de valeur ; et il présuppose que l’Homme est néfaste à la nature. En outre, « En matière de science, l’autorité d’un millier ne vaut pas le raisonnement humble d’un seul individu. » avertissait Galileo Galilei à l’égard du consensus dans sa troisième lettre sur les taches solaires (1612).
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I Exagération du réchauffement climatique par les médias D’une part, il fait parfois plus chaud ; d’autre part, les médias prêchent un futur malheureux. a) Alerte incessantes des médias subventionnés d’abord préoccupés par l’importance de leurs audimat & lectorat et des consignes de leur(s) propriétaire(s) Ils montrent répétitivement des pans de glace tombant dans les mers arctique et antarctique, comme preuve du « réchauffement climatique ». La neige tombée doit pourtant nécessairement être évacuée vers la mer. En outre, tous leur(s) propriétaire(s) appartiennent à un même milieu, aveugle scientifiquement et dont les intérêts sont ceux de l’État. b) Fréquence croissante des catastrophes ? Selon les médias, sécheresses, inondations ou ouragans deviennent toujours plus fréquents. Or, la compagnie d’assurance AON, n’a observé aucune augmentation de fréquence de tels sinistres depuis 1950. En particulier, la France n’a constaté aucune évolution notable de la fréquence des tempêtes. c) Catastrophe des glaciers rapetissant et de la mer qui monte ? Lors des 10 000 dernières année, l’évolution de la taille des glaciers n’a pas correspondu aux variations de la teneur en CO2 atmosphérique . La très grande majorité de la glace est en Antartique où il fait très froid. Même si la température monte, cela ne changera presque rien au niveau de la mer.
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A : Synthèse Introduction Les choix de politiques publiques fondés scientifiquement doivent être pris en l’absence de pression politiques ou économiques. Dans le cas contraire, un groupe politico-scientifique, dont les dirigeants se prennent pour les « sauveurs du monde », peut surgir et influer de manière néfaste. Les intérêts financier sont considérables au regard des investissements pour produire des biens « neutres en CO2 », du coût phénoménal de la « nécessaire transition énergétique » ou des droits d’émission de CO2. Or, le GIEC focalise ses conclusions sur les résultats de modélisations du climat qui ne prennent pas en compte bien des sources d’informations scientifiques. En supposant pouvoir définir une température moyenne de la Terre, dans quelle mesure croît-elle ? Quelles sont les inexactitudes sur lesquelles les médias et les institutions ferment leurs yeux ? Les mesures politiques de réduction des émissions de CO2 sont-elles adaptées ?
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Les médias et nombre d’institutions affirment que la Terre, et donc l’humanité, est confrontée à un réchauffement climatique dû à une teneur croissante en CO2 atmosphérique anthropique. Qu’en sait-on ? L’Homme, influence-t-il le climat ? Si oui, dans quelle mesure des politiques de réduction des émissions de CO2 peuvent-elles contrecarrer un changement climatique ? Mais de telles politiques, sont-elles en retour susceptibles de mener à une crise économique, sociale, voire écologique ? C’est à ces questions que ce site répond à la lumière du propos de Hannah Arendt dans Vérité et politique : « Le résultat d’une substitution cohérente et totale du mensonge à la vérité factuelle n’est pas simplement que le mensonge soit maintenant accepté comme vérité et que la vérité soit diffamée comme un mensonge, mais aussi que le sens par lequel nous nous orientons est détruit. » A : Synthèse, composée d’assertions sans démonstrations B : Explications (sourcées) C : Pour en savoir plus, en 9 thèmes (sourcés)