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Rapport conscience / matrice

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Fraction

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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Il y a 3 heures, lysiev a dit :

Beaucoup de charabia en tout qu'à :laugh:

Il faut bien que j'extériorise ma frustration sexuelle.

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Membre, 58ans Posté(e)
lysiev Membre 9 838 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
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Il y a 17 heures, Fraction a dit :

Il faut bien que j'extériorise ma frustration sexuelle.

Alors tu es vraiment en manque :laugh:

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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il y a une heure, lysiev a dit :

Alors tu es vraiment en manque :laugh:

Pourquoi ?

Tu veux être ma prochaine victime ?

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Membre, 58ans Posté(e)
lysiev Membre 9 838 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
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Il y a 22 heures, Fraction a dit :

Pourquoi ?

Tu veux être ma prochaine victime ?

Absolument pas.

Avec ce genre de commentaire , fait gaffe de pas être victime d'un coup de pieds au cul.:laugh::D

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 416 messages
Forumeur confit,
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Le 09/05/2025 à 03:10, Apator a dit :

La véritable matière, elle est continue

Ajouter une couche de merde à de la merde et prétendre clarifier le sujet avec ce prétexte, c'est absolument débile !:D

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, lysiev a dit :

Absolument pas.

Avec ce genre de commentaire , fait gaffe de pas être victime d'un coup de pieds au cul.:laugh::D

Tu joues les difficiles.

Mais moi aussi j'ai des exigences.

Je cherche une femme qui a du relief.

Quitte à s'emmerder avec une femme pendant 20 ans, j'aimerais autant qu'elle ai de la conversation.

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Membre, 58ans Posté(e)
Apator Membre 1 800 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Enchantant a dit :

Ajouter une couche de merde à de la merde et prétendre clarifier le sujet avec ce prétexte, c'est absolument débile !:D

 

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Membre, 58ans Posté(e)
lysiev Membre 9 838 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Fraction a dit :

Tu joues les difficiles.

Mais moi aussi j'ai des exigences.

Je cherche une femme qui a du relief.

Quitte à s'emmerder avec une femme pendant 20 ans, j'aimerais autant qu'elle ai de la conversation.

Etre difficile augmente la valeur de l'autre.:D

Parfois faut revoir ses exigences à la baisse.

Mes reliefs, je les laisse contempler à mon chéri. :laugh:

Peut être que les femmes ne veulent pas se faire emmerder par un homme qui à des conversations qui n'ont de sens que pour lui.:D:laugh:

 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, lysiev a dit :

Etre difficile augmente la valeur de l'autre.:D

Parfois faut revoir ses exigences à la baisse.

Mes reliefs, je les laisse contempler à mon chéri. :laugh:

Peut être que les femmes ne veulent pas se faire emmerder par un homme qui à des conversations qui n'ont de sens que pour lui.:D:laugh:

 

Entre l'amour et la liberté, il faut choisir.

L'amour est chronophage, stressant, et souvent régressif.

C'est l'un des nombreux pièges tendus par la matrice.

 

S'agissant de mon discours, mon fil conducteur n'est pas toujours accessible.

Mais mes phrases sont individuellement compréhensibles.

En tout cas, je m'y efforce.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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Le 10/05/2025 à 13:04, G6K972 a dit :

Penses-tu réellement qu’il y ait une dichotomie entre l’inconscience et la conscience,  tout n’est il pas que je(u) de l’esprit et manipulation de l’égo dans un monde où tout ne fait qu’un avec rien 🤔

L'inconscient n'est pas une entité.

C'est un phénomène (induit).

Il suffirait d'un grain de sable pour aliéner la conscience.

C'est comme la douleur : une pointe d'aiguille peut vous aliéner pendant une semaine.

 

Aucun modèle d'inconscient étranger n'est fonctionnel ni libérateur.

Un inconscient collectif aboutirait nécessairement à une voyoucratie.

C'est de la même famille que tous ces complotismes fantasmés.

Tout est conscience, et la conscience est partout chez elle.

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 684 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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Il y a 11 heures, Fraction a dit :

L'inconscient n'est pas une entité.

Difficile d’affirmer cela étant donné que conscience et inconscience appartiennent elles même à nos entités respectives... Ainsi dans un monde/univers où tout est fragments de l’être primordial en soi, je ne crains pas de dire que conscience et inconscience sont des entités à part entière. Par contre ou je te rejoins, s’est qu’il a fallu même moins qu’un grain de sable pour alièner la conscience collective et plonger les trois quarts de l’humanité dans le somnambulisme, alimenté par nos religions, nos religieux, nos dieux et notre science, entre autre, que nous traversons actuellement depuis quelques siècles déjà...

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, G6K972 a dit :

Difficile d’affirmer cela étant donné que conscience et inconscience appartiennent elles même à nos entités respectives... Ainsi dans un monde/univers où tout est fragments de l’être primordial en soi, je ne crains pas de dire que conscience et inconscience sont des entités à part entière. Par contre ou je te rejoins, s’est qu’il a fallu même moins qu’un grain de sable pour alièner la conscience collective et plonger les trois quarts de l’humanité dans le somnambulisme, alimenté par nos religions, nos religieux, nos dieux et notre science, entre autre, que nous traversons actuellement depuis quelques siècles déjà...

Je vais réitérer ce que j’ai déjà déclaré ici même.

Le peintre croit ce qu’il voit et voit ce qu’il croit simultanément.

Cette circularité est un moteur extrapolatif.

On voit ici que la conscience-notion est en symbiose avec la conscience formelle.

 

Maintenant imaginez que le média « toile » soit l’imagination du peintre.

Ici, la conscience formelle est directement avalisée par la conscience notion.

Le processus créatif devient alors spontané, et il devient légitime de parler de finalisme cognitif.

C’est ce phénomène créatif spontané qui constitue l’inconscient.

 

Le Complexe d'Œdipe prête des intentions suspectes aux enfants innocents.

Il s’agit d’un procès d’intention étrange qui échappe à toute considération pédagogique.

Il est vrai que la conscience passée est la marionnette de la conscience future.

La conscience est son propre média, elle est autoréférente et finaliste.

Mais lui prêter des appétits qu’elle n’a pas encore m’apparait illégitime.

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 684 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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il y a 20 minutes, Fraction a dit :

Je vais réitérer ce que j’ai déjà déclaré ici même.

Le peintre croit ce qu’il voit et voit ce qu’il croit simultanément.

Cette circularité est un moteur extrapolatif.

On voit ici que la conscience-notion est en symbiose avec la conscience formelle.

 

Maintenant imaginez que le média « toile » soit l’imagination du peintre.

Ici, la conscience formelle est directement avalisée par la conscience notion.

Le processus créatif devient alors spontané, et il devient légitime de parler de finalisme cognitif.

C’est ce phénomène créatif spontané qui constitue l’inconscient.

 

Le Complexe d'Œdipe prête des intentions suspectes aux enfants innocents.

Il s’agit d’un procès d’intention étrange qui échappe à toute considération pédagogique.

Il est vrai que la conscience passée est la marionnette de la conscience future.

La conscience est son propre média, elle est autoréférente et finaliste.

Mais lui prêter des appétits qu’elle n’a pas encore m’apparait illégitime.

Ça a au moins le mérite d’être clair, mais chacun est libre de façonner sa propre réalité comme il l’entend. Ainsi conscience et inconscience sont les deux faces d’une même pièce qui est moi même en ce qui me concerne... Symbiose de ma conscience notion avec ma conscience formelle indissociable. 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 46 minutes, G6K972 a dit :

Ça a au moins le mérite d’être clair, mais chacun est libre de façonner sa propre réalité comme il l’entend. Ainsi conscience et inconscience sont les deux faces d’une même pièce qui est moi même en ce qui me concerne... Symbiose de ma conscience notion avec ma conscience formelle indissociable. 

La récursivité, c'est comme les mots du dictionnaire : ils se définissent les uns les autres.

 

Croire en soi est une nécessité psychiatrique.

Ne vous laissez pas voler votre liberté de conscience, par une entreprise qui sectarise vos notions.

Néanmoins, il est aussi nécessaire de croire en l’absolu.

Le Bien gagne toujours, même s’il en prend plein la gueule.

Le neurone du mal subit une exclusion systématique, à la fois mécaniste et finaliste.

 

Le Bien est récursif.

C’est-à-dire que pour définir le Bien, on a besoin du bien.

Pourquoi le bien est-il préférable au mal ?

Parce que le meilleur est mieux que le pire.

Vous voyez bien que la définition est nécessairement autoréférente.

 

De même, la conscience aussi est autoréférente, et tous ses verbes sont récursifs.

_ Je veux vouloir systématiquement, et il m’est impossible de vouloir ne pas vouloir, puisque cette volonté serait elle-même un vouloir.

_ Je crois croire systématiquement, et il m’est impossible de douter du fait que je crois, puisque le doute lui-même est une croyance.

_ Je peux dénier ma réalité, mais pas la perception que j’en ai, ni son ordre, ni son éveil.

Ainsi, pour conclure, je ne peux pas m’administrer un mal conscientisé comme tel.

Parce que même si je me pince le bras, ma volonté de me faire mal aura transcendé mon intolérance à la douleur.

 

La conscience, c’est la récursivité micro.

La notion du Bien, c’est la récursivité macro.

Ainsi, on pourrait interpréter qu’il nous a créé à son image.

Mais ça ne veut pas dire que c’est une personne physique.

Ça peut être une personne morale, un prototype absolu.

S’il existe quelque chose plutôt que rien, c’est parce que le Bien est une évidence autoréférente.

Il n’a pas besoin de réalité préalable, et le temps n’en est que l’épreuve immanente.

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 684 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 30 minutes, Fraction a dit :

La récursivité, c'est comme les mots du dictionnaire : ils se définissent les uns les autres.

 

Croire en soi est une nécessité psychiatrique.

Ne vous laissez pas voler votre liberté de conscience, par une entreprise qui sectarise vos notions.

Néanmoins, il est aussi nécessaire de croire en l’absolu.

Le Bien gagne toujours, même s’il en prend plein la gueule.

Le neurone du mal subit une exclusion systématique, à la fois mécaniste et finaliste.

 

Le Bien est récursif.

C’est-à-dire que pour définir le Bien, on a besoin du bien.

Pourquoi le bien est-il préférable au mal ?

Parce que le meilleur est mieux que le pire.

Vous voyez bien que la définition est nécessairement autoréférente.

 

De même, la conscience aussi est autoréférente, et tous ses verbes sont récursifs.

_ Je veux vouloir systématiquement, et il m’est impossible de vouloir ne pas vouloir, puisque cette volonté serait elle-même un vouloir.

_ Je crois croire systématiquement, et il m’est impossible de douter du fait que je crois, puisque le doute lui-même est une croyance.

_ Je peux dénier ma réalité, mais pas la perception que j’en ai, ni son ordre, ni son éveil.

Ainsi, pour conclure, je ne peux pas m’administrer un mal conscientisé comme tel.

Parce que même si je me pince le bras, ma volonté de me faire mal aura transcendé mon intolérance à la douleur.

 

La conscience, c’est la récursivité micro.

La notion du Bien, c’est la récursivité macro.

Ainsi, on pourrait interpréter qu’il nous a créé à son image.

Mais ça ne veut pas dire que c’est une personne physique.

Ça peut être une personne morale, un prototype absolu.

S’il existe quelque chose plutôt que rien, c’est parce que le Bien est une évidence autoréférente.

Il n’a pas besoin de réalité préalable, et le temps n’en est que l’épreuve immanente.

Il n’y a pas à croire en soi quand on EST, réellement. Ainsi penser que le bien se définit de lui-même est bien là le problème, car de cette manière il fait, en toute probabilité,  plus de mal que de bien, puisque cette façon de se définir est purement dictatoriale et fait donc naître ainsi son total opposé, qui n’est autre que le mal lui-même, chez ceux n’adhérents pas à de telles croyances. Ainsi, si le bien et la conscience sont des récursivités, en cela des dictatures en puissance, je comprends mieux qu’il y ait en ce bas monde des objecteurs de cette conscience et des objecteurs de ce bien. Car,  il n’y a plus dans cette vision, cette logique implacable, permettant aux receveurs d’adhérer en toute logique à l’idée émise, indispensable pour la cohérence et le bon fonctionnement du groupe. 

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Membre, 58ans Posté(e)
Apator Membre 1 800 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Maintenant imaginez que le média « toile » soit l’imagination du peintre.

Ici, la conscience formelle est directement avalisée par la conscience notion.

Le processus créatif devient alors spontané, et il devient légitime de parler de finalisme cognitif.

C’est ce phénomène créatif spontané qui constitue l’inconscient.

En réalité, non seulement nous ne voyons absolument qu'une infime fraction de ce qu'il y aurait à voir (par exemple le spectre visuel n'est pas très étendu), nous faisons une genre de moyenne toute pourrie des signaux que nous assimilons à des couleurs et des intensités (les couleur sérieux :laugh:, ça n'existe pas les couleurs dans la nature... c'est un QUALIA) et de ces quelques petites touches, même indigne du plus faignant de tous les impressionnistes, le cerveau RECONSTITUE l'INEXISTANT. Par exemple vous ne voyez net que juste sur un tout petit cercle que vous pouvez déplacer en focalisant, mais vous avez l'impression de voir une plage plus vaste bien nette et même sur les côtés... alors que sur les côtés en plus... vous ne pouvez physiquement pas percevoir les couleurs. C'est impossible, seuls les baronnets (les cônes c'est pour les couleurs), qui sont donc en périphérie du champ de vision voient en périphérie. Or vous voyez la couleur sur le côté... enfin.. vous croyez la voir, mais c'est en fait RECONSTITUE, extrapolé (à tort ou à raison).

Mais attention, ce n'est pas fini, la perception même est un qualia, il n'y a pas d'images dans le cerveau, et encore moins de vidéos, il y a des processus "qui font" (qualia donc) ce que ça fait quand on est exposé à un stimuli réel, et c'est cet effet secondaire (la construction secondaire) qui constitue la perception. La perception est une reconstruction en face d'une construction ... déjà connue (si c'est tout neuf... oulala je sais pas, seuls les nouveaux-nés pourraient en parler :laugh:)

 

Du coup on peut aussi voir les yeux fermés. :D

Et les plus doués, peuvent recopier ce qu'ils voient les yeux fermés sur une feuille : Le peintre est né.

Citation

Jackson confirme la position de Nagel en invoquant le cas de la perception des couleurs : la description même complète de l'état neurophysiologique dans lequel se trouve une personne qui voit des couleurs n'inclut pas la vision des couleurs telles que nous les percevons nous-mêmes « avec nos propres yeux ». La conscience phénoménale n'est donc pas réductible aux conditions physiques ou physiologiques de son apparition, et elle est indissociable de la subjectivité de l'individu.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Conscience_phénoménale

Ce qui fait que... il est faux de croire que nous voyons "la même chose" en face de la même chose.

 

Et d’ailleurs le "vrai monde", ne produit pas d'images nettes, tout est flou et le flou EST plus proche de la réalité que le NET.

 

 

Modifié par Apator
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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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Il y a 3 heures, G6K972 a dit :

Il n’y a pas à croire en soi quand on EST, réellement. Ainsi penser que le bien se définit de lui-même est bien là le problème, car de cette manière il fait, en toute probabilité,  plus de mal que de bien, puisque cette façon de se définir est purement dictatoriale et fait donc naître ainsi son total opposé, qui n’est autre que le mal lui-même, chez ceux n’adhérents pas à de telles croyances. Ainsi, si le bien et la conscience sont des récursivités, en cela des dictatures en puissance, je comprends mieux qu’il y ait en ce bas monde des objecteurs de cette conscience et des objecteurs de ce bien. Car,  il n’y a plus dans cette vision, cette logique implacable, permettant aux receveurs d’adhérer en toute logique à l’idée émise, indispensable pour la cohérence et le bon fonctionnement du groupe. 

« _ Facho ! Le bien est une dictature !!!

_ Ben non, puisque la dictature c’est mal, banane. »

Je sais que c’est très con, mais tout le monde fait la même erreur.

Il suffit de réfléchir 3 minutes, cela relève de la tautologie sémantique : les femmes ont toujours raison, sauf quand elles se trompent.

 

Je vous parle du bien notionnel, et non pas du bien politique, qui n'en est qu'une homothétie.

Si le peuple choisit de ne pas travailler, c’est regrettable.

Mais la notion du bien n’a rien à en redire, en vertu de l’autoréférence démocratique.

Le Bien n’exclut pas la démocratie libérale, bien au contraire, il la promeut.

 

La conscience est une grammaire systématique, à l’image de son langage.

Le Bien aussi est une grammaire.

Le moral, le juste, et le pragmatique en sont une combinaison exhaustive.

Les autres vertus sont des immanences, des sous-ordres.

 

Malheureusement, il existe des conflits dimensionnels au sein du Bien.

Au point qu’un certain relativisme en émerge.

La plupart du temps, c’est le pragmatisme qui entre en conflit avec la morale :

On ne peut redistribuer que les richesses qu’on a d’abord produites.

 

Si bien qu’on ne peut pas clairement dire que l’Allemagne est plus ou moins civilisée que la France.

Tout comme on ne peut pas dire que le lion est plus évolué que le rhinocéros.

L’évolution est d’abord un rapport à soi, mais surtout un rapport à son environnement.

La dimension du bien n’émerge donc pas d’une injection des qualités, mais d’un rapport entre soi et ses altérités, s’agissant des humains.

Modifié par Fraction
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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 684 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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il y a 34 minutes, Fraction a dit :

« _ Facho ! Le bien est une dictature !!!

_ Ben non, puisque la dictature c’est mal, ducon »

Je sais que c’est très con, mais tout le monde fait la même erreur.

Il suffit de réfléchir 3 minutes, cela relève de la tautologie sémantique.

 

Je vous parle du bien notionnel, et non pas du bien politique.

Si le peuple choisit de ne pas travailler, c’est regrettable.

Mais la notion du bien n’a rien à en redire, en vertu de l’autoréférence démocratique.

Le Bien n’exclut pas la démocratie libérale, bien au contraire, il la promeut.

 

La conscience est une grammaire systématique, à l’image de son langage.

Le Bien aussi est une grammaire.

Le moral, le juste, et le pragmatique en sont une combinaison exhaustive.

Les autres vertus sont des immanences, des sous-ordres.

 

Malheureusement, il existe des conflits dimensionnels au sein du Bien.

Au point qu’un certain relativisme en émerge.

La plupart du temps, c’est le pragmatisme qui entre en conflit avec la morale :

On ne peut redistribuer que les richesses qu’on a d’abord produites.

 

Si bien qu’on ne peut pas clairement dire que l’Allemagne est plus ou moins civilisée que la France.

Tout comme on ne peut pas dire que le lion est plus évolué que le rhinocéros.

L’évolution est d’abord un rapport à soi, mais surtout un rapport à son environnement.

La dimension du bien n’émerge donc pas d’une injection des qualités, mais d’un rapport entre soi et ses altérités, s’agissant des humains.

Vous faites l’apologie du bien comme si c’était une valeur sûre et immuable,  mais malheureusement c'est loin d’être le cas,  car quoiqu'il en soit celui-ci est et reste défini par l’homme. L’homme va expliquer à d'autres hommes que certains bien sont mieux que d’autres sans pour autant être mal, alors que tous les maux sont mal, et ne pourront jamais être bien. Mais dans la réalité toutes ces notions ne sont valables que dans la réalité commune des hommes, et encore ils s’en trouvera toujours pour remettre en question ces états de faits,  et bienheureusement d’ailleurs parceque au nom de quel bien ou de quelle conscience décide t’on d’aller annexer tel ou tel pays, telle ou telle ethnie. Au nom de quel bien, ou de quelle conscience décide t’on qu'une race d’hommes est inférieur ou supérieur à telle autre, sachant qu'il n’a toujours eu qu’une seule et unique race humaine divers et variés... Voilà pourquoi quand j’entend ce que vous dites je ne puis m’empêcher de rejoindre la pensée de Nietzsche remettant en cause la morale du faible qui tend à détruire l’ordre naturel des choses et des faits, en affaiblissant le fort essayant de le rendre indulgent vis à vis du faible. Voilà pourquoi bien et mal sont et resteront systématiquement les deux faces d’une même pièce,  quelque soit les subterfuges employés pour légitimé l’un au détriment de l’autre. Ainsi comme l’ecrivait Nietzsche,  par delà le bien et le mal... Transfiguré, par delà le bien le mal. 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 709 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 42 minutes, G6K972 a dit :

Vous faites l’apologie du bien comme si c’était une valeur sûre et immuable,  mais malheureusement c'est loin d’être le cas,  car quoiqu'il en soit celui-ci est et reste défini par l’homme. L’homme va expliquer à d'autres hommes que certains bien sont mieux que d’autres sans pour autant être mal, alors que tous les maux sont mal, et ne pourront jamais être bien. Mais dans la réalité toutes ces notions ne sont valables que dans la réalité commune des hommes, et encore ils s’en trouvera toujours pour remettre en question ces états de faits,  et bienheureusement d’ailleurs parceque au nom de quel bien ou de quelle conscience décide t’on d’aller annexer tel ou tel pays, telle ou telle ethnie. Au nom de quel bien, ou de quelle conscience décide t’on qu'une race d’hommes est inférieur ou supérieur à telle autre, sachant qu'il n’a toujours eu qu’une seule et unique race humaine divers et variés... Voilà pourquoi quand j’entend ce que vous dites je ne puis m’empêcher de rejoindre la pensée de Nietzsche remettant en cause la morale du faible qui tend à détruire l’ordre naturel des choses et des faits, en affaiblissant le fort essayant de le rendre indulgent vis à vis du faible. Voilà pourquoi bien et mal sont et resteront systématiquement les deux faces d’une même pièce,  quelque soit les subterfuges employés pour légitimé l’un au détriment de l’autre. Ainsi comme l’ecrivait Nietzsche,  par delà le bien et le mal... Transfiguré, par delà le bien le mal. 

Je ne reconnais pas mon discours dans la description que vous en faites.

Une deuxième lecture s’avère nécessaire, je vous en conjure.

Je ne suis pas un tchateur, je suis un discuteur, et les jugements à l’emporte-pièce envers moi sont inappropriés.

 

Le bien n’équivaut pas à la morale.

La morale implique le bien.

Mais le bien n’implique pas la morale.

Il s’agit donc d’une implication et non d’une équivalence.

De même, on pourrait dire que le pragmatique ou le juste impliquent le bien, sans réciprocité.

 

Nietzsche, malgré son grand talent de prophète raté, ne semble pas très familier avec la sémantique.

En outre, s’il revendique la volonté de puissance, cela signifie qu’il trouve cela bien.

Rationalisez-moi ce culte anti-faible trop lyrique pour être lucide : êtes-vous favorable à la loi du plus fort, ou à la suprématie des leaders ?

Souhaitez-vous dépénaliser les violences conjugales ?

Vous suivez Nietzsche, mais lui-même ne sait pas où il va, et il a vécu dans une société où le spirituel cogérait avec le temporel.

 

Les grandes envolées viriles sont souvent aussi ineptes que les bondieuseries infantilisantes, ou que les sensibleries hystériques.

La puissance brute, c’est vulgaire.

La puissance doit mûrir en fonction, en se compromettant avec l’ordre.

Puis, la fonction doit mûrir en pragmatisme, en se compromettant avec la volonté.

Puis, le pragmatisme doit mûrir en sagesse, en se compromettant avec la morale.

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 684 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
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il y a 53 minutes, Fraction a dit :

Je ne reconnais pas mon discours dans la description que vous en faites.

Une deuxième lecture s’avère nécessaire, je vous en conjure.

Je ne suis pas un tchateur, je suis un discuteur, et les jugements à l’emporte-pièce envers moi sont inappropriés.

 

Le bien n’équivaut pas à la morale.

La morale implique le bien.

Mais le bien n’implique pas la morale.

Il s’agit donc d’une implication et non d’une équivalence.

De même, on pourrait dire que le pragmatique ou le juste impliquent le bien, sans réciprocité.

 

Nietzsche, malgré son grand talent de prophète raté, ne semble pas très familier avec la sémantique.

En outre, s’il revendique la volonté de puissance, cela signifie qu’il trouve cela bien.

Rationalisez-moi ce culte anti-faible trop lyrique pour être lucide : êtes-vous favorable à la loi du plus fort, ou à la suprématie des leaders ?

Souhaitez-vous dépénaliser les violences conjugales ?

Vous suivez Nietzsche, mais lui-même ne sait pas où il va, et il a vécu dans une société où le spirituel cogérait avec le temporel.

 

Les grandes envolées viriles sont souvent aussi ineptes que les bondieuseries infantilisantes, ou que les sensibleries hystériques.

La puissance brute, c’est vulgaire.

La puissance doit mûrir en fonction, en se compromettant avec l’ordre.

Puis, la fonction doit mûrir en pragmatisme, en se compromettant avec la volonté.

Puis, le pragmatisme doit mûrir en sagesse, en se compromettant avec la morale.

Il est dommage de discuter sans se comprendre, je ne suis ni juge ni avocat dans ce discours. Je me contente de dire qu'il n’y a pas de bien sans mal et qu’il n’y a pas de conscience sans inconscience. Maintenant vous tentez de me dire qu’il en est autrement, que le bien et la conscience naissent par récursivité. J’entends ce que vous dites, mais cela ne me convainc pas... Je ne suis pour aucune loi ni pour celle du plus fort, ni pour celle du plus faible, car tant que ces lois seront écrites par des humains elles ne pourront s’appliquer que dans le chaos le désordre et la corruption que celles-ci génèrent. Maintenant pour ce qui est des faibles et des forts il n’y a rien de cultuelle là dedans, je dis simplement que la faiblesse prône une morale qui tend à l’indulgence de la force, en cela, l’affaiblissement de ladite force, alors que cette faiblesse devrait être renforcée, par cette même force. En cela il n’y a aucun dévouement de ma part envers quelques leaders que ce soit, puisqu’ils ne peuvent être en ce bas monde, ainsi que dans ma vision, que des représentants de nôtre faiblesse. En cela le bien n’a pas plus sa place que le mal, la conscience n’a pas plus sa place que l’inconscience, tout comme le faible n’à pas plus sa place que le fort, car chacun d’eux partagent sa place avec l’autre, sans compromission, comme tout autre dualité existantes en soi, pour qui souhaite une Paix durable, et non une morale pragmatique, donc temporaire. 

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