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Cette action orchestrée en secret par Marie Barsacq, ministre des Sports, contre le budget du gouvernement Bayrou

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ouest35

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Membre, 54ans Posté(e)
Easle Membre 4 138 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)
Le 16/02/2025 à 10:09, DroitDeRéponse a dit :

Le peuple est unanime . 

https://www.francetvinfo.fr/sports/budget-des-sports-les-trois-quarts-des-francais-se-disent-opposes-a-la-baisse-prevue-dans-le-projet-de-loi-de-finances-2025_7040045.html


Selon cette enquête, 74% des Français estiment que la diminution envisagée des crédits dédiés au sport dans le projet de budget 2025 est injustifiée. Et près des deux tiers (65%) considèrent qu’il n’est pas légitime que le sport soit l’un des plus petits budgets de l’État.

 

Ce qui montre les limites de la démocratie pour des enjeux qui dépassent les perceptions individuelles. Mais c'est une question qui ne sera jamais réellement posée puisqu'elle semblera toujours oiseuse ou malintentionnée. Et peut-être aussi car au fond, l'être humain reste.....  un simple animal.

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Membre, 54ans Posté(e)
Easle Membre 4 138 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)
Le 16/02/2025 à 10:40, Pheldwyn a dit :

On A suffisamment d'argent produit par l'activité économique en France.

Mais nos gouvernements choisissent de déshabiller l'état et son budget, affirmant qu'il n'y aurait plus assez d'argent.

Tu comprends mieux ?

 

 

En 2024, les dépenses sociales représentent 33 % du pib (2917 milliards), soit 848 milliards.

Ces 848 milliards représentent 57 % du pib de 2000 (1300 milliards). Alors que les dépenses sociales en 2000 étaient de 28 % de ce pib, soit 400 milliards.

Alors, certes, les riches se sont enrichis. Mais les dépenses sociales ont donc en réalité plus que doublé, suivant en cela le plus que doublement du pib. Idem pour les dépenses d'éducation et de santé du budget de l'état. En fait, ce qu'il faut donc aussi peut-être interroger, n'est-il pas l'organisation ? L'efficacité de cette redistribution et de ces dépenses ? Est-il acceptable, ne serait-ce que d'envisager une baisse de l'efficacité des personnels, à côté de la désorganisation parfois orchestrée par l'état ? "A côté", pas seulement "découlant".

Mais aussi une trop faible augmentation de la productivité individuelle attendue en regard des évolutions technologiques ? Où sont-elles au contraire des contraintes ?

Les structures organisationnelles sont-elles adaptées et les individus acceptent-ils le changement de ces structures ? Où préfèrent-ils lutter contre ces changements (par confort essentiellement) ?

Est-il aussi possible de s'interroger rationnellement sur l'impact d'une augmentation massive (on l'a vu 40 % en 50 ans) d'une population française issue de l'immigration, ou étrangère, s'éduquant en moyenne plus difficilement du fait d'un gap culturel d'origine qui ne se rattrape que lentement, et pas du tout pour les 10 % (soit 7 millions) arrivant en permanence et s'incluant, certe à bon marché (ce qui n'est pas un bien), mais très mal à ces structures.

Et je pourrais ajouter le coût du travail administratif innombrablement en doublons dans les collectivités locales / départements / régions pour postes inutiles de pur cliéntélisme.

 

Si toutes ces questions sont innacceptables et doivent être niées, au profit d'une lecture idéologique unique et simpliste : faisons payer les riches et tout sera réglé.

A part leur compte (aux "riches") qu'est-ce qui aura réellement été réglé ?

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
Il y a 5 heures, Easle a dit :

En 2024, les dépenses sociales représentent 33 % du pib (2917 milliards), soit 848 milliards.

Ces 848 milliards représentent 57 % du pib de 2000 (1300 milliards). Alors que les dépenses sociales en 2000 étaient de 28 % de ce pib, soit 400 milliards.

Mais, c'est quoi ces comptes d'apothicaires ? :mouai::laugh:

Tu as déjà entendu parler d'inflation, de démographie, etc ... ?
Bref, si l'on compare des pourcentages de PIB, c'est justement pour ne pas avoir de biais !
Et là, tu nous ramène en plein dedans.

Donc non, ça n'a aucun sens de comparer 400 milliards de 2000 avec 400 milliards de 2024.

 

La véritable évolution, tu l'as pourtant pointée, c'est l'augmentation de 5% de la part des ces dépenses dans le PIB en 25 ans (passage de 28% à 33%).

 

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Alors, certes, les riches se sont enrichis.

Les plus riches ont même doublé leur patrimoine. Et ça, ce n'est que sur ces 5 dernières années.

Si on devait regarder depuis 2000, on aurait une progression astronomique.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Mais les dépenses sociales ont donc en réalité plus que doublé,

Non.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Idem pour les dépenses d'éducation et de santé du budget de l'état.

Si tu parles du budget de l'état, pour 2025 la santé c'est à peine 1,5 Milliards. C'était le double les années précédentes.
Mais bon, la santé n'est globalement pas assise sur le budget de l'Etat.

L'éducation a en effet augmenté (sauf cette année) et reste le premier budget, autour de 65 milliards.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

En fait, ce qu'il faut donc aussi peut-être interroger, n'est-il pas l'organisation ? L'efficacité de cette redistribution et de ces dépenses ? Est-il acceptable, ne serait-ce que d'envisager une baisse de l'efficacité des personnels, à côté de la désorganisation parfois orchestrée par l'état ? "A côté", pas seulement "découlant".

Bien évidemment que l'on peut pointer l'organisation.
C'est patent dans l'hôpital, par exemple, avec une sur-administratisation (et la logique du paiement à l'acte).

Bref, il y a énormément de points à améliorer dans notre organisation, avec des doublons, ou des process qui ne sont pas optimisés.
Mais dans le même temps, on manque de professeurs, de soignants, etc ... 

Donc oui, réformer nos services publics est nécessaires.
Mais je ne suis absolument pas sûr que ce serait une baisse des dépenses. Une amélioration de la qualité et des services rendus, sans aucun doute.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Mais aussi une trop faible augmentation de la productivité individuelle attendue en regard des évolutions technologiques ? Où sont-elles au contraire des contraintes ?

Les structures organisationnelles sont-elles adaptées et les individus acceptent-ils le changement de ces structures ? Où préfèrent-ils lutter contre ces changements (par confort essentiellement) ?

J'ai bien compris que c'était ton a priori.
Ce que tu as envie de croire (par confort intellectuel essentiellement).

Maintenant, la réalité est sans aucun doute plus complexe, et surtout pluri-factorielle (comme toujours).

Il y a sans aucun doute des audits ou des études qui permettent de voir ou s'enlisent nos services publics, et pour quelles raisons.

Si je reprends le cas de l'hôpital, l'explosion de l'administratif (et du personnel administratif encadrant) et la politique du chiffe, sont clairement des éléments qui sont venus lester le fonctionnement.
On pourrait également pointer la politique du chiffre dans la police.

Bref, chaque secteur a des réalités différentes, il nous faudrait nous appuyer sur des audits détaillés pour en parler raisonnablement.
Sans quoi, on ne fait que converser sur un bord de comptoir.

 

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Est-il aussi possible de s'interroger rationnellement sur l'impact d'une augmentation massive (on l'a vu 40 % en 50 ans)

:laugh:

Lol. Passer de 5% de la population à 8%, c'est cela que tu appelles l' "impact d'une augmentation massive" ??
Soyons sérieux.
 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

d'une population française issue de l'immigration, ou étrangère, s'éduquant en moyenne plus difficilement du fait d'un gap culturel d'origine qui ne se rattrape que lentement, et pas du tout pour les 10 % (soit 7 millions) arrivant en permanence et s'incluant, certe à bon marché (ce qui n'est pas un bien), mais très mal à ces structures.

D'où l'intérêt d'oeuvrer pour une politique de l'accueil et d'intégration.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Et je pourrais ajouter le coût du travail administratif innombrablement en doublons dans les collectivités locales / départements / régions pour postes inutiles de pur cliéntélisme.

Clientélisme envers qui ?

Tu crois que les usagers demandent à avoir dix milles organismes qui font la même chose ? A être balloté de l'un à l'autre ?
Non, il n'y a pas de clientélisme avec ces doublons. Du moins pas envers les usagers ou les citoyens.

Plutôt du copinage entre élus et entreprises (beaucoup d'externalisation vers des boîtes privées), ou une organisation désastreuse, etc ... qui mériterait sans aucun doute des réformes. Je crois qu'assez peu de personnes s'opposent à cela.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

Si toutes ces questions sont innacceptables et doivent être niées, au profit d'une lecture idéologique unique et simpliste :

Tu ne manques pas d'air : car niveau lecture idéologique et parfois un poil simpliste, tu te poses quand même là.

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

faisons payer les riches et tout sera réglé.

Bah faire payer ceux qui en ont les moyens paraît souvent plus sensé que de demander à ceux qui n'ont rien.

Lorsque l'on sait qu'en pourcentage, les plus riches participent bien moins que le reste de la population, en particulier que les classes moyennes, il s'agit souvent de juste les faire participer au moins autant que les autres (en proportion de leurs moyens). 

 

Il y a 5 heures, Easle a dit :

A part leur compte (aux "riches") qu'est-ce qui aura réellement été réglé ?

Tu vas nous faire pleurer :rofl:

Quand la taxe Zucman consiste juste à s'assurer que chaque année les plus riches contribuent à au moins 2% de leur fortune, tu trouves que c'est de l'extorsion ?

On demande pourtant bien davantage au reste de la population.

Et oui, ces petits 2% pour eux représentent à l'arrivée un volume conséquent : ce qui est assez logique, puisqu'un nombre de plus en plus restreint détient une part toujours de plus en plus grande du patrimoine du pays.

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Membre, 54ans Posté(e)
Easle Membre 4 138 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, Pheldwyn a dit :

Mais, c'est quoi ces comptes d'apothicaires ? :mouai::laugh:

Tu as déjà entendu parler d'inflation, de démographie, etc ... ?
Bref, si l'on compare des pourcentages de PIB, c'est justement pour ne pas avoir de biais !
Et là, tu nous ramène en plein dedans.

Donc non, ça n'a aucun sens de comparer 400 milliards de 2000 avec 400 milliards de 2024.

La véritable évolution, tu l'as pourtant pointée, c'est l'augmentation de 5% de la part des ces dépenses dans le PIB en 25 ans (passage de 28% à 33%).

Les plus riches ont même doublé leur patrimoine. Et ça, ce n'est que sur ces 5 dernières années.

Si on devait regarder depuis 2000, on aurait une progression astronomique.

 

Pour être gonflé, tu l'es vraiment avec aisance :laugh:

Un progression astronomique que tu préfères qualifier, idéologiquement, par un terme impressionant plutôt que par un chiffre... précis et faisant le même détail de différence entre riches que celui que tu fais entre dépenses de l'état.

Intéressant sur la méthode.

Inflation, démographie, mais vas-y, je t'écoute, à quel point corrige-t-elle un biais de valeur, essai d'être précis et concret plutôt que de rester encore et toujours

C'est une véritable évolution que de passer de 400 milliards à 850 milliards, avec un ajouts de population de seulement 12 %, c'est à dire 8 millions sur 68.

Car non, l'augmentation du pib n'est pas dû à l'inflation qui n'a été réelle qu'en 2022 / 23. Entre 2000 et 2021 elle se situait entre 0 et 1,5 %.

 

Il y a 22 heures, Pheldwyn a dit :

Non

 

Et Si !

 

Il y a 22 heures, Pheldwyn a dit :

Si tu parles du budget de l'état, pour 2025 la santé c'est à peine 1,5 Milliards. C'était le double les années précédentes.
Mais bon, la santé n'est globalement pas assise sur le budget de l'Etat.

L'éducation a en effet augmenté (sauf cette année) et reste le premier budget, autour de 65 milliards.

 

1,6 mais bon.

En 2023, entre contributions directes, compensations d'exonérations, et autres mécanismes de financement, l'État contribue à environ 40 / 50 milliards à la sécu. Dont une majorité à la santé. Et le budget assurance maladie en 2024 était de 264 milliards alors qu'il était de 112 milliards en 2002. Il a bien plus que doublé, et la participation de l'état a presque triplé.

Ce n'est peut-être pas assez mais c'est considérable.

Il y a 23 heures, Pheldwyn a dit :

Bien évidemment que l'on peut pointer l'organisation.
C'est patent dans l'hôpital, par exemple, avec une sur-administratisation (et la logique du paiement à l'acte).

Bref, il y a énormément de points à améliorer dans notre organisation, avec des doublons, ou des process qui ne sont pas optimisés.
Mais dans le même temps, on manque de professeurs, de soignants, etc ... 

Donc oui, réformer nos services publics est nécessaires.
Mais je ne suis absolument pas sûr que ce serait une baisse des dépenses. Une amélioration de la qualité et des services rendus, sans aucun doute.

J'ai bien compris que c'était ton a priori.
Ce que tu as envie de croire (par confort intellectuel essentiellement).

Maintenant, la réalité est sans aucun doute plus complexe, et surtout pluri-factorielle (comme toujours).

Il y a sans aucun doute des audits ou des études qui permettent de voir ou s'enlisent nos services publics, et pour quelles raisons.

Si je reprends le cas de l'hôpital, l'explosion de l'administratif (et du personnel administratif encadrant) et la politique du chiffe, sont clairement des éléments qui sont venus lester le fonctionnement.
On pourrait également pointer la politique du chiffre dans la police.

Bref, chaque secteur a des réalités différentes, il nous faudrait nous appuyer sur des audits détaillés pour en parler raisonnablement.
Sans quoi, on ne fait que converser sur un bord de comptoir.

 

Ce n'est pas un "a priori" comme tu voudrais bien le faire accroire ;)

Il n'y a aucun confort intellectuel là dedans mais de l'expérience concrète, des situations observées justement. Innombrables dans la plupart des fonctions publiques mais surtout la territoriale.

Mais je sais que cela à mauvaise presse et c'est peu dire, très peu.

Les syndicats sont vent debout contre toutes réformes, sur la base du maintien de postes obsolètes si besoin, systématiquement, par principe, idéologiquement et matériellement pour des fonctionnaires qui aiment leur confort (on les comprends) et ont une aversion pour le changement, et qui se moquent pas mal des autres salariés (mais c'est la banalité  humaine).

L'hopital a été abimé, par le financement à l'activité, mais autant par les résistances au changement face à la LOLF puis à la RGPP que par ses mauvaises applications par des administrateurs qui, faute de pouvoir le faire avec la coopérations des personnels, ont dû trop souvent le faire contre ces mêmes personnels. Mais je ne dédouane pas l'état de sa responsabilité dans l'intention de faire de la place au privé.

Je note surtout dans ce ton supérieur et décomplexé que tu prends, le manque de connaissances concrètes.

Il y a des réalités différentes mais marginalement à la situation de difficulté permanente de coopération au changement. Et cela, visiblement, tu l'ignores, ou fait mine de l'ignorer, par confort, moins intellectuel qu'idéologique.

 

Il y a 23 heures, Pheldwyn a dit :

Lol. Passer de 5% de la population à 8%, c'est cela que tu appelles l' "impact d'une augmentation massive" ??
Soyons sérieux.

D'où l'intérêt d'oeuvrer pour une politique de l'accueil et d'intégration.

 

près de 40 % de la population française est soit immigrée, soit possède au moins, souvent les deux, parents ou grand parents immigrés.

Oui, c'est massif. Et cela participe non seulement d'un choc culturel, mais aussi d'une baisse de niveau de l'enseignement (le nomreb de prof devant faire du gardiennage en lieu et place de l'enseignement a explosé à cause de ça), et d'une désorganisation du travail en partie due aux difficultés d'intégrer des incompréhensions linguistiques, organisationnelles, et des tensions inter-ethniques plus courantes qu'on ne le croit puisque, comme la plupart des sujets sur les migrations, il n'est pas question de les étudier, pour cause de bien pensance par l'ignorance.

 

Alors, oui, une politique sérieuse d'intégration. Mais qui passe donc par une statistique nationale sérieuse sur l'immigration, des travaux sur ses impacts réels. Et une conscience qu'on intègre pas 30 à 40 personnes dans un groupe de 100 au final comme on en intègre 3 ou 4. C'est bien le déni de la problématisation migratoire qui a donné les clés du sujet à la droite, surtout extrême, et qui creuse une situation qui ne peut faire que s'aggraver.

 

Il y a 23 heures, Pheldwyn a dit :

Clientélisme envers qui ?

Tu crois que les usagers demandent à avoir dix milles organismes qui font la même chose ? A être balloté de l'un à l'autre ?
Non, il n'y a pas de clientélisme avec ces doublons. Du moins pas envers les usagers ou les citoyens.

Plutôt du copinage entre élus et entreprises (beaucoup d'externalisation vers des boîtes privées), ou une organisation désastreuse, etc ... qui mériterait sans aucun doute des réformes. Je crois qu'assez peu de personnes s'opposent à cela.

 

Je ne te crois pas si naïf, désolé.

Le clientélisme de copinage, comme tu voudrais le faire accroire uniquement entre élus et boites privées (comme par hasard), existe d'abord et avant tout par la création de postes de la FP pour des proches, des amis, des clients !

Et c'est ainsi que les régions qui devaient remplacer les départements, se sont vus les redoublés, pour démultiplier des fonctionnaires inutiles, parasitaires. Dans un contexte de chomage, et de désindustrialisation, d'automatisation, de tertiairisation sur des fondements réels mais tout autant factice, fictif, le sujet est interdit, bien évidemment, ou immédiatement qualifié du pire, et bien vite nié, non étudié également. Sauf lorsqu'il concerne des emplois de bons niveaux, qu'on peut alors critiquer puisque les revenus y sont élevés. On peut parler des bullshits jobs mais surtout pas du fake work, surtout de celui de la fonction publique. Là encore, la gauche, radicale surtout, et le syndicalisme y veille.

 

Il y a 23 heures, Pheldwyn a dit :

Bah faire payer ceux qui en ont les moyens paraît souvent plus sensé que de demander à ceux qui n'ont rien.

Lorsque l'on sait qu'en pourcentage, les plus riches participent bien moins que le reste de la population, en particulier que les classes moyennes, il s'agit souvent de juste les faire participer au moins autant que les autres (en proportion de leurs moyens).

Tu vas nous faire pleurer :rofl:

Quand la taxe Zucman consiste juste à s'assurer que chaque année les plus riches contribuent à au moins 2% de leur fortune, tu trouves que c'est de l'extorsion ?

On demande pourtant bien davantage au reste de la population.

Et oui, ces petits 2% pour eux représentent à l'arrivée un volume conséquent : ce qui est assez logique, puisqu'un nombre de plus en plus restreint détient une part toujours de plus en plus grande du patrimoine du pays.

 

Le problème n'est ni de te faire pleurer, ni de te faire rire (on connait la méthode).

Je suis favorable à l'impôt sur la fortune, et aux taxes Tobin, ou Zucman (qui visent avant tout à réguler le système financier, bien plus qu'à subvenir aux budgets des états).

Mais il est simpliste et réducteur de faire accroire, là encore, à une baguette magique (purement idéologique donc) pour régler tout ce qui précède.

C'en est même puéril, tant les implications en terme de fuite des cerveaux ou de délocalisations sont évidentes.

 

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