Un groupe minier français détruit un désert unique au Sénégal

Bonjour,

Dépossession des terres, destruction de l’environnement, épuisement des ressources en eau... Au Sénégal, une filiale du groupe minier français Eramet suscite la colère des habitants.

Gora Gaye n’a pas peur de dire ce qu’il pense. Maire de la commune de Diokoul Diawrigne, située dans le nord-ouest du Sénégal, à quelques kilomètres de l’océan Atlantique, il est devenu le chef de file d’un mouvement de révolte contre la présence d’Eramet Grande Côte, appelée aussi Grande Côte Opérations (GCO), sur son territoire.

L’élu, membre de Pastef, le parti présidentiel, accuse cette entreprise minière, filiale du groupe français Eramet, d’avoir un effet dévastateur sur l’environnement et les conditions de vie de ses concitoyens. Le 28 décembre, avec plusieurs centaines de personnes, il a participé à une marche à Lompoul village, localité de sa commune, pour demander l’arrêt des activités de la compagnie. « GCO, dafa doy ! » (« GCO, ça suffit ! » en wolof), a scandé la foule.

Le périmètre que GCO a déjà exploité apparaît sur des images satellites sous la forme d’une longue étendue blanche, sans végétation. Auparavant, cet espace était occupé par des cultures vivrières : il fait partie des Niayes, une bande côtière qui va de Dakar à Saint-Louis, et est dédiée au maraîchage, assurant près de 80 % de la production nationale de légumes.

Il était aussi habité : plusieurs milliers de personnes ont dû abandonner leur village ou hameau pour laisser la place à la mine et être relogés dans des « sites de recasement ». Auparavant installés en bordure de l’océan, les habitants des villages de Foth et Diourmel se retrouvent aujourd’hui 20 kilomètres plus loin, à l’intérieur des terres, dans des petites maisons identiques, collées les unes aux autres, souvent trop exiguës pour accueillir décemment tous les membres de leur famille.

Multitudes d’arbres arrachés, montagnes de sable retournées au bulldozer dans un bruit assourdissant : GCO s’affaire actuellement dans le désert de Lompoul, une zone de 300 hectares de dunes brunes située à 3 kilomètres du village éponyme. Sous l’action de ses énormes engins, ce lieu unique au Sénégal, prisé par les réalisateurs de cinéma et les touristes qui venaient y dormir dans des tentes aménagées, est en train de disparaître.

Tous s’inquiètent pour les ressources en eau : les maraîchers qui ont encore des champs constatent des perturbations hydriques. Des puits sont à sec, comme si la nappe de surface avait disparu.

Les milliers de paysans contraints de laisser leurs terres à GCO n’ont reçu que des « miettes » en guise de dédommagement, selon de nombreux témoignages. Les montants des indemnisations sont basés sur de vieux barèmes que l’État a fixés en 1974 et n’ont depuis jamais été révisés. En onze ans, le manque à gagner pour un paysan dont la terre est occupée depuis 2012 par GCO est plus de vingt fois supérieur à l’indemnisation perçue.

Les dépossédés ne récupèreront rien car après exploitation, GCO restitue les terrains à l’État.

Article entier :

https://reporterre.net/Un-groupe-minier-francais-detruit-un-desert-unique-au-Senegal

Juste une remarque préalable. Tu intitules ton post, reprenant le titre donné par le  média auquel tu l’empruntes :
-    « Un groupe minier français détruit un désert unique au Sénégal ».

Sauf erreur un désert est un endroit très sec, inhabité et sans végétation. Du moins si l’on en croit les dictionnaires.  Dans ce cas, qu’y a-t-il à détruire dans un désert ? Peut-être aurais tu dû dire « saccage un désert », ou quelque chose de la même eau, mais pas « détruit ».

Mais en dehors de la sémantique. Il est facile de taper sur Eramet. C’est son oriflamme qui flotte sur ce coin de désert.

Mais pour autant que je le sache, le Sénégal est un pays indépendant. Il a un gouvernement, une administration, un pouvoir public et des Lois.

Si Eramet sévit au Sénégal, c’est qu’il a obtenu toutes les autorisations nécessaires pour cela. Autorisations données par les pouvoirs publics sénégalais.

Que ce soit profondément regrettable au regard des véritables intérêts du peuple sénégalais, est une évidence.  

Mais le coupable réel, avant Eramet, est le responsable sénégalais qui a autorisé cette exploitation.  Quel que soit son niveau de responsabilité. Et après lui, c’est le système politique et économique sénégalais qui permet ce type d’exploitations. Et d’appropriation de la richesse d’un pays par des exploitations étrangères.

Mais le média d’extrême gauche duquel tu tires ton post ne veut voir que l’exploitation capitaliste de ressources qui sont bradées par hautes instances de ce pays. Et toi aussi par la même occasion. Mais pas la responsabilité du pays et de son gouvernement.
 
Le Sénégal n’est pas un mouton dont Eramet tond la laine parce que le Sénégal n’est pas en état de se défendre. Comme la plupart des pays africains le Sénégal est dirigé par des gens peu respectueux de la démocratie et du bien du peuple. Mais probablement sensibles aux montants des chèques que les sociétés étrangères, dont Eramet, enrichissent leurs comptes en banque dans les paradis fiscaux.

Avant de taper sur Eramet, c’est sur le pouvoir sénégalais qu’il convient de frapper. Ce serait plus équitable. Mais ne correspondrait pas à la manière tendancieuse dont les médias d’extrême gauche présentent les problèmes importants. C’est pas moi, c’est l’autre !

Il y a 1 heure, Doïna a dit :

Bonjour,

Dépossession des terres, destruction de l’environnement, épuisement des ressources en eau... Au Sénégal, une filiale du groupe minier français Eramet suscite la colère des habitants.

Gora Gaye n’a pas peur de dire ce qu’il pense. Maire de la commune de Diokoul Diawrigne, située dans le nord-ouest du Sénégal, à quelques kilomètres de l’océan Atlantique, il est devenu le chef de file d’un mouvement de révolte contre la présence d’Eramet Grande Côte, appelée aussi Grande Côte Opérations (GCO), sur son territoire.

L’élu, membre de Pastef, le parti présidentiel, accuse cette entreprise minière, filiale du groupe français Eramet, d’avoir un effet dévastateur sur l’environnement et les conditions de vie de ses concitoyens. Le 28 décembre, avec plusieurs centaines de personnes, il a participé à une marche à Lompoul village, localité de sa commune, pour demander l’arrêt des activités de la compagnie. « GCO, dafa doy ! » (« GCO, ça suffit ! » en wolof), a scandé la foule.

Le périmètre que GCO a déjà exploité apparaît sur des images satellites sous la forme d’une longue étendue blanche, sans végétation. Auparavant, cet espace était occupé par des cultures vivrières : il fait partie des Niayes, une bande côtière qui va de Dakar à Saint-Louis, et est dédiée au maraîchage, assurant près de 80 % de la production nationale de légumes.

Il était aussi habité : plusieurs milliers de personnes ont dû abandonner leur village ou hameau pour laisser la place à la mine et être relogés dans des « sites de recasement ». Auparavant installés en bordure de l’océan, les habitants des villages de Foth et Diourmel se retrouvent aujourd’hui 20 kilomètres plus loin, à l’intérieur des terres, dans des petites maisons identiques, collées les unes aux autres, souvent trop exiguës pour accueillir décemment tous les membres de leur famille.

Multitudes d’arbres arrachés, montagnes de sable retournées au bulldozer dans un bruit assourdissant : GCO s’affaire actuellement dans le désert de Lompoul, une zone de 300 hectares de dunes brunes située à 3 kilomètres du village éponyme. Sous l’action de ses énormes engins, ce lieu unique au Sénégal, prisé par les réalisateurs de cinéma et les touristes qui venaient y dormir dans des tentes aménagées, est en train de disparaître.

Tous s’inquiètent pour les ressources en eau : les maraîchers qui ont encore des champs constatent des perturbations hydriques. Des puits sont à sec, comme si la nappe de surface avait disparu.

Les milliers de paysans contraints de laisser leurs terres à GCO n’ont reçu que des « miettes » en guise de dédommagement, selon de nombreux témoignages. Les montants des indemnisations sont basés sur de vieux barèmes que l’État a fixés en 1974 et n’ont depuis jamais été révisés. En onze ans, le manque à gagner pour un paysan dont la terre est occupée depuis 2012 par GCO est plus de vingt fois supérieur à l’indemnisation perçue.

Les dépossédés ne récupèreront rien car après exploitation, GCO restitue les terrains à l’État.

Article entier :

https://reporterre.net/Un-groupe-minier-francais-detruit-un-desert-unique-au-Senegal

 

 

Et après on s'étonnera d'être impopulaires en Afrique!

Et le respect de l'environnement, il est où dans tout ça?

Il y a 1 heure, Témoudjine a dit :

Tu intitules ton post, reprenant le titre donné par le  média auquel tu l’empruntes :

En l'occurrence, on est obligé, sur ce forum, d'intituler un topic comme l'article de presse que l'on cite.

Il y a 1 heure, Témoudjine a dit :

Sauf erreur un désert est un endroit très sec, inhabité et sans végétation. Du moins si l’on en croit les dictionnaires.

Détrompe-toi : les déserts ont une faune et une flore.

https://www.conservation-nature.fr/ecosysteme/desert/

https://fr.green-ecolog.com/15338584-desert-ecosystem-characteristics-flora-and-fauna

Et il est précisé dans l'article que parmi les terres réquisitionnées, certaines servaient à la culture vivrière et avaient leurs habitants.

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Mais pour autant que je le sache, le Sénégal est un pays indépendant. Il a un gouvernement, une administration, un pouvoir public et des Lois.

Si Eramet sévit au Sénégal, c’est qu’il a obtenu toutes les autorisations nécessaires pour cela. Autorisations données par les pouvoirs publics sénégalais.

Que ce soit profondément regrettable au regard des véritables intérêts du peuple sénégalais, est une évidence.  

Le fait qu'Eramet ait reçu les autorisations nécessaires des autorités sénégalaises pour exploiter des mines ne minimisent en rien les préjudices subis par les gens qui y perdent leur maison, leurs terres et quantité d'autres intérêts. D'ailleurs, si un jour un criminel obtient le droit de commettre des exactions de la part d'un gouvernement corrompu ou peu regardant quand il y a des intérêts financiers à la clé, ce sera un criminel quand même, et les autorisations dont il dispose n'enlèveront rien au fait que c'est immoral.

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Mais le média d’extrême gauche duquel tu tires ton post ne veut voir que l’exploitation capitaliste de ressources qui sont bradées par hautes instances de ce pays.

Reporterre n'est pas un média d'extrême gauche.

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Le Sénégal n’est pas un mouton dont Eramet tond la laine parce que le Sénégal n’est pas en état de se défendre.

Ce sont les habitants dépossédés qui ne sont pas en état de se défendre.

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Avant de taper sur Eramet, c’est sur le pouvoir sénégalais qu’il convient de frapper.

Pourquoi ne pas frapper les deux en même temps puisqu'ils sont tous les deux responsables ?

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Mais ne correspondrait pas à la manière tendancieuse dont les médias d’extrême gauche présentent les problèmes importants.

D'autant que Reporterre n'est pas un média d'extrême gauche.

Bref, Témoudjine ou l'art de ne rien dire en cent lignes !

Il y a 2 heures, Témoudjine a dit :

Mais pour autant que je le sache, le Sénégal est un pays indépendant. Il a un gouvernement, une administration, un pouvoir public et des Lois.

Si Eramet sévit au Sénégal, c’est qu’il a obtenu toutes les autorisations nécessaires pour cela. Autorisations données par les pouvoirs publics sénégalais.

Et ainsi de suite partout dans le monde. Et si un groupe occidental est dissuadé de faire ceci ou cela ici ou là, et ben, ça ira beaucoup mieux avec les chinois ou les russes. Pour info, le Sénégal accorde des licences de pêche aux chinois, qui ruinent les pécheurs sénégalais, etc. ad libitum et ad nauseam.

il y a une heure, Neopilina a dit :

Et ainsi de suite partout dans le monde. Et si un groupe occidental est dissuadé de faire ceci ou cela ici ou là, et ben, ça ira beaucoup mieux avec les chinois ou les russes. Pour info, le Sénégal accorde des licences de pêche aux chinois, qui ruinent les pécheurs sénégalais, etc. ad libitum et ad nauseam.

Que les sénégalais accordent des licences de pêche aux chinois n’exonèrent en rien le pouvoir sénégalais de sa responsabilité majeure dans le fait de laisser Eramet faire ce qu’il veut au Sénégal.

Je ne suis pas là pour défendre Eramet. Mais il est trop simple de jouer aux vertueux en attribuant aux uns les responsabilités qui sont celles des autres.  

Pleurer sur le sort misérable des populations sénégalaises est une chose parfaite. Mais il n’en demeure pas moins que si des sociétés étrangères peuvent impunément accomplir des actes regrettables sur le territoire du Sénégal, c’est que les pouvoirs publics locaux les y ont autorisés.

Eramet est une société de nature capitaliste. Elle cherche et exploite ce qui est le mieux pour ses actionnaires et ce qui leur rapportera le plus. Mais elle ne peut faire cela que parce que les pouvoirs civils du pays le leur autorisent.

Je comprends bien qu’il est plus facile de taper sur une grande société minière, capitaliste par nature,  que sur le gouvernement du Sénégal. Des pauvres noirs innocents que nous exploitons. Je présume que c’est de notre faute si les sénégalais figurent notablement parmi les immigrés qui veulent gagner l’Europe.  

Mais Eramet s’autorise-t-il tout seul, de son propre chef, à faire ce qu’il fait au Sénégal ? Le premier responsable n’est-il pas celui qui a tout pouvoir pour l’autoriser ou l’interdire ? Et qui trouve très bien de le laisser faire ?

Le Sénégal n’est plus une colonie sous la domination d’un pays étranger. Certains semblent ne pas en avoir été informés.  

il y a 4 minutes, Témoudjine a dit :

Que les sénégalais accordent des licences de pêche aux chinois n’exonèrent en rien le pouvoir sénégalais de sa responsabilité majeure dans le fait de laisser Eramet faire ce qu’il veut au Sénégal.

Je ne suis pas là pour défendre Eramet. Mais il est trop simple de jouer aux vertueux en attribuant aux uns les responsabilités qui sont celles des autres.  

Pleurer sur le sort misérable des populations sénégalaises est une chose parfaite. Mais il n’en demeure pas moins que si des sociétés étrangères peuvent impunément accomplir des actes regrettables sur le territoire du Sénégal, c’est que les pouvoirs publics locaux les y ont autorisés.

Eramet est une société de nature capitaliste. Elle cherche et exploite ce qui est le mieux pour ses actionnaires et ce qui leur rapportera le plus. Mais elle ne peut faire cela que parce que les pouvoirs civils du pays le leur autorisent.

Je comprends bien qu’il est plus facile de taper sur une grande société minière, capitaliste par nature,  que sur le gouvernement du Sénégal. Des pauvres noirs innocents que nous exploitons. Je présume que c’est de notre faute si les sénégalais figurent notablement parmi les immigrés qui veulent gagner l’Europe.  

Mais Eramet s’autorise-t-il tout seul, de son propre chef, à faire ce qu’il fait au Sénégal ? Le premier responsable n’est-il pas celui qui a tout pouvoir pour l’autoriser ou l’interdire ? Et qui trouve très bien de le laisser faire ?

Le Sénégal n’est plus une colonie sous la domination d’un pays étranger. Certains semblent ne pas en avoir été informés.  

C'est bien ce que je disais.

il y a une heure, Doïna a dit :

D'autant que Reporterre n'est pas un média d'extrême gauche.

Tu plaisantes camarade !

Cherche à qui appartient réellement Reporterre, qui l’alimente en nouvelles toues prêtes  et bonnes à tirer, et qui finance l’opération.

Mais je présume que tu le sais aussi bien que moi.

il y a 2 minutes, Neopilina a dit :

C'est bien ce que je disais.

Non, c n’est pas du tout ce que tu disais. Les mots ne sont jamais innocents.

Il est évident que ton post, et la façon dont tu l’as bâti, n’avait qu’un but : amener le lecteur, conformément au souhait du média auquel tu l’as emprunté,  à considérer que le Sénégal et les sénégalais étaient victimes de la rapacité des capitalistes occidentaux. Ce sont eux qui « détruisaient » le désert.

Certes ce sont eux. Mais avec la totale complicité, donc l’aide,  de leur propre gouvernement.

La société minière occidentale se contente de bénéficier de droits qui leur sont accordés par le gouvernement du pays concerné.

Le vrai responsable est celui qui pourrait l’empêcher. Mais qui ne le fait pas.

Si l’État du Texas accorde à qui le souhaite le droit de saccager sa région en forant n’importe comment et n’importe où, est-ce la faute de celui qi renifle l’odeur de l’argent et va se dépêcher de forer, ou est-ce la faute de l’État qui le laisse forer ?

Et si c’est vrai au Texas, pourquoi cela ne le serait pas au Sénégal ?

il y a 5 minutes, Témoudjine a dit :

conformément au souhait du média auquel tu l’as emprunté,

Sauf que ce n'est pas moi qui ai ouvert ce poste, ainsi.

Il y a 6 heures, Témoudjine a dit :

Juste une remarque préalable. Tu intitules ton post, reprenant le titre donné par le  média auquel tu l’empruntes :
-    « Un groupe minier français détruit un désert unique au Sénégal ».

Sauf erreur un désert est un endroit très sec, inhabité et sans végétation. Du moins si l’on en croit les dictionnaires.  Dans ce cas, qu’y a-t-il à détruire dans un désert ? Peut-être aurais tu dû dire « saccage un désert », ou quelque chose de la même eau, mais pas « détruit ».

Vous vous trompez complètement, même dans les déserts il y a de la faune & flore, et plus que ce qu'on crois. Dans le Sahara vous avez par exemple : Fennec ou renard des sables l'un des plus petits renards existants, de nombreux arachnides comme les Scorpions (Leiurus quinquestriatus), Gazelle dorcas, Guépard du Sahara, Vipère heurtante ou encore la Vipère des sables (Cerastes vipera),... des serpents du Sénégal vivant dans le désert, ou l'Autruche d'Afrique du Nord, ou le Chameau d'Arabie ou dromadaire Addax surnommé l'antilope du désert vivant au Sénégal ou l'antilope à nez tacheté, ou l'Engoulevent du désert (Caprimulgus aegyptius) un oiseau du Sénégal tout comme la Cisticole du désert (Cisticola aridulus) ou aussi Sirli du désert (Alaemon alaudipes) qui vivent dans le désert aussi comme tout ces animaux cités,...

Pour la flore c'est à peut-près pareil même si dans certaines zones particulières il y en a bien moins que la faune voir aucune.

Déjà la faune on en trouve partout sur Terre (dans le ciel, au sol, sous terre, dans la mer, dans les zones très chaudes ou froides voir en très haute altitude) même dans des zones où on n'imaginerait pas comme dans des grottes marines dans les abysses, etc 

Qu'ils  se   taisent ! Sans  quoi  ils  n'auront  pas  de  dessert...

Il y a 6 heures, Témoudjine a dit :

Tu plaisantes camarade !

Cherche à qui appartient réellement Reporterre, qui l’alimente en nouvelles toues prêtes  et bonnes à tirer, et qui finance l’opération.

Mais je présume que tu le sais aussi bien que moi.

 

Justement, ce journal a été lancé par le journaliste Hervé Kempf et est publié par une association à but non lucratif dont le patron est aussi le directeur des magasins biocoop. Maintenant, si toi tu considères que les écologistes c'est l'extrême gauche, qu'y puis-je ? En fait c'est le problème de bien des gens : tout ce qui n'est pas à droite de Macron est forcément de l'extrême gauche, le moins que l'on puisse en dire c'est qu'ils ne font pas dans la nuance.

Il y a 16 heures, williams a dit :

Vous vous trompez complètement,

Mon cher Williams, ta description de la faune et de la flore des déserts est excellente.

Mais n’est pas dans le sujet. Il s’agit dans cette histoire des dégâts faits au milieu par des hommes, par des sociétés exploitant les minéraux. Et de la responsabilité des uns ou des autres dans les dégradations occasionnées.  

Juste un point. J’ai quelques notions de ce qu’est un désert et de ce que l’on y trouve. Je n’ai pas besoin pour cela d’aller chercher sur Internet. Mon père était militaire de carrière à la Légion Étrangère et je suis né précisément dans le Sahara. J’y ai passé la première partie de ma jeunesse. Et pour des raisons militaires ou professionnelles, je suis retourné assez souvent dans différents déserts. Celui-là ou d'autres.

Il y a 13 heures, Doïna a dit :

Justement, ce journal a été lancé par le journaliste Hervé Kempf et est publié par une association à but non lucratif dont le patron est aussi le directeur des magasins biocoop. Maintenant, si toi tu considères que les écologistes c'est l'extrême gauche, qu'y puis-je ? En fait c'est le problème de bien des gens : tout ce qui n'est pas à droite de Macron est forcément de l'extrême gauche, le moins que l'on puisse en dire c'est qu'ils ne font pas dans la nuance.

Tu n’as pas répondu à ma question. En dehors du créateur du site, mais qui ne dirige plus rien sur ce site, qui sont, aujourd'hui,  les véritables animateurs du site, qui choisit et décide de la parution de tel ou tel sujet, et de la façon de le traiter ?

il y a 24 minutes, Témoudjine a dit :

Mon cher Williams, ta description de la faune et de la flore des déserts est excellente.

Mais n’est pas dans le sujet. Il s’agit dans cette histoire des dégâts faits au milieu par des hommes, par des sociétés exploitant les minéraux. Et de la responsabilité des uns ou des autres dans les dégradations occasionnées.  

Juste un point. J’ai quelques notions de ce qu’est un désert et de ce que l’on y trouve. Je n’ai pas besoin pour cela d’aller chercher sur Internet. Mon père était militaire de carrière à la Légion Étrangère et je suis né précisément dans le Sahara. J’y ai passé la première partie de ma jeunesse. Et pour des raisons militaires ou professionnelles, je suis retourné assez souvent dans différents déserts. Celui-là ou d'autres.

J'ai tout simplement répondu à votre phrase où vous avez dit des choses fausses en disant : "Sauf erreur un désert est un endroit très sec, inhabité et sans végétation. Du moins si l’on en croit les dictionnaires.  Dans ce cas, qu’y a-t-il à détruire dans un désert ? ".

Car pour vous les déserts sont inhabités et donc si l'homme fait quoi que ce soit dans ces milieux cela n'aura aucune coïncidence sur la faune. Alors que si, puisqu'il y a plus de faunes que ce qu'on croit comme dans toutes zones voir autour de nous.

Je suis dans une association de l'environnement, et fait le suivis d'animaux en voix d'extinctions,... Ci-dessous, vous pouvez voir un de mes sites avec des photos d'animaux autour de chez moi.

Il y a 2 heures, williams a dit :

J'ai tout simplement répondu à votre phrase où vous avez dit des choses fausses en disant : "Sauf erreur un désert est un endroit très sec, inhabité et sans végétation. Du moins si l’on en croit les dictionnaires.  Dans ce cas, qu’y a-t-il à détruire dans un désert ? ".

Car pour vous les déserts sont inhabités et donc si l'homme fait quoi que ce soit dans ces milieux cela n'aura aucune coïncidence sur la faune. Alors que si, puisqu'il y a plus de faunes que ce qu'on croit comme dans toutes zones voir autour de nous.

Je suis dans une association de l'environnement, et fait le suivis d'animaux en voix d'extinctions,... Ci-dessous, vous pouvez voir un de mes sites avec des photos d'animaux autour de chez moi.

Félicitations. Sites remarquables. Continue.

Le 19/01/2025 à 11:32, Témoudjine a dit :

Tu n’as pas répondu à ma question. En dehors du créateur du site, mais qui ne dirige plus rien sur ce site, qui sont, aujourd'hui,  les véritables animateurs du site, qui choisit et décide de la parution de tel ou tel sujet, et de la façon de le traiter ?

Va les voir, demande-leur de quelle obédience politique ils sont, mais perso je ne vois pas d'extrême gauchisme dans le magasine Reporterre. Faut pas confondre l'écologie avec l'extrême gauchisme.

il y a une heure, Doïna a dit :

je ne vois pas d'extrême gauchisme dans le magasine Reporterre. Faut pas confondre l'écologie avec l'extrême gauchisme.

Je crains que tu ne sois victime de deux maux.

Le premier est que tu n’as pas encore compris que l’écologie est un des prétextes classiques de tous les opposants qui veulent attaquer le pouvoir en place. Qu’ils aient tort ou raison est un autre problème. L’écologie est un angle d’attaque simple qui marche à tous les coups auprès des gens un peu crédules sur le plan de la sensibilité écologique.

Et c’est très exactement le cas ici. Et avec toi.

Et le second est que tu n’as pas compris ce qu’est l’extrême gauche, quel est son vocabulaire et quelle est sa technique d’entrisme.

Si tu veux comprendre ce dont il est question, penche-toi un peu sur l’Histoire de l’extrême gauche en France.  

il y a 46 minutes, Témoudjine a dit :

Je crains que tu ne sois victime de deux maux.

Le premier est que tu n’as pas encore compris que l’écologie est un des prétextes classiques de tous les opposants qui veulent attaquer le pouvoir en place. Qu’ils aient tort ou raison est un autre problème. L’écologie est un angle d’attaque simple qui marche à tous les coups auprès des gens un peu crédules sur le plan de la sensibilité écologique.

Et c’est très exactement le cas ici. Et avec toi.

Et le second est que tu n’as pas compris ce qu’est l’extrême gauche, quel est son vocabulaire et quelle est sa technique d’entrisme.

Si tu veux comprendre ce dont il est question, penche-toi un peu sur l’Histoire de l’extrême gauche en France.  

 

Occupe-toi de tes opinions politiques et ne me traite pas de victime : je sais pour qui je vote, je le fais consciemment, et je n'ai pas besoin de tes conseils. Les victimes ce sont tous ceux qui suivent comme des moutons les Sarko, les Macron et autres du même acabit de la droite et qui se plaignent après qu'ils en chient.