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L’étude sur l’hydroxychloroquine du professeur Raoult officiellement invalidée

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Phylou

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 2 420 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
Posté(e)

https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/la-harcelosphere-contre-lihu-mediterranee-et-le-professeur-raoult-de-lobscene

ce dossier a servi en justice , il contient la "crème de la crème" des manoeuvres sordides d'une petite meute de scientistes qui n'ont su s'illustrer sur les réseaux que dans les insultes , la diffamation, le harcèlement et les menaces contre tous ceux qui défendent les traitements précoces , et particulièrement contre les Pr RAOULT et PERRONNE ....

Voilà les "belles valeurs" que ces propagandistes défendent derrière leur faux attachement à la rigueur scientifique , applicable seulement à leurs adversaires ; parce qu'eux, se targuent de leurs études pourries à frauduleuses , pas d'états d'âme ; tout cela est un concentré d'hypocrisie sans nom et sans limites

entre autres , un tweet adressé à M. Alain Houpert , sénateur , un des très rares politiques à avoir soutenu en continu la sphère des médecins qui soignent et les libertés fondamentales des citoyens ... au passage chapeau très très bas à cet homme digne et respectable

h02_0.jpg

 

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Membre, 25ans Posté(e)
vizizio Membre 759 messages
Mentor‚ 25ans‚
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il y a 18 minutes, G2LLOQ a dit :

Il m'a saoulé a la télé , ce vieux crabe   !!!    :pap:

Je dirai plutôt un gourou 

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 2 420 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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il y a 32 minutes, Neopilina a dit :

Tu comprendras qu'entre une équipe pluridisciplinaire montée pour l'occasion, la pandémie, et toi, je n'hésite pas un milliardième de seconde.

à partir du moment où tu ne juges pas utile de voir le détail d'une étude avant de poster des âneries dessus, on s'en contrefout en fait. Commences par apprendre la bonne foi, ce n'est pas inutile pour se faire une idée juste de la réalité.

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 2 420 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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Il y a 3 heures, Panopticom a dit :

Les deux groupes de patients n'ont pas été traités au même endroit par les mêmes équipes. Le groupe des patients ayant reçu HCQ/AZ ne comporte pas ceux qui l'ont reçu moins de trois jours : ainsi, ceux qui meurent ou vont en réanimation avant trois jours de traitement HCQ/AZ ne sont pas comptés dans le groupe HCQ/AZ.

Quand on poste le blabla Wikipedia plutôt que l'étude elle-même , c'est qu'on n'a pas vraiment envie de savoir si cette étude tient la route. Et on poste des conclusions merdiques parce qu'elles confortent sa sale propagande.

Et après recherches , je comprends pourquoi : 11 patients sans groupe contrôle , avec une majorité en phase sévère , et pas d'exams préalables pour vérifer si ces pauvres patients n'avaient pas de contre-indications au traitement. En bref, en guise de chercheurs , juste une bande d'incapables qui se sont empressés de faire le buzz avec leur étude de merde pour contredire le PR Raoult. Bravo ! 

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Membre, 59ans Posté(e)
Apator Membre 2 091 messages
Forumeur vétéran‚ 59ans‚
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il y a 51 minutes, yagmort a dit :

A partir du moment où il y a eu des filouteries avérées, il devrait y avoir matière à hésitation.

Ça au moins c'est un réflexe intelligent. Je vois un truc une fois, deux fois, ben la troisième fois j'en tiens compte.

Et ça marche aussi "avec les certitudes". Vous voyez des gens bac+10 qui font des erreurs méthodologiques, vous le voyez une fois deux fois, et après vous vous dites : Ce ne sont pas des gens infaillibles.

Par exemple, je viens de lire le compte-rendu dans Nature, celui-là donc :

https://www.nature.com/articles/s41586-020-2558-4

Et il apparait directement une erreur méthodologique, du moins ça me saute aux yeux. Et pourquoi ça me saute aux yeux ? Parce-que je pense en terme de phénoménologie. J'essaie de comprendre comment les choses se passent, concrètement, comment les évènements se succèdent. C'est certes élémentaire mais il faut faire ce petit effort de compréhension. Sinon c'est de la technoscience, du brassage de chiffre, de la logique hors contexte, et au détriment ici de singes (je trouve pour ma part totalement abjecte l'emploi d'animaux et plus particulièrement des singes dans les expériences, surtout stupides avec des morts inutiles.)

Donc pour faire simple : L'erreur est ici 

Citation

Challenged macaques were exposed to a total dose of 106 PFU of SARS-CoV-2 through a combination of intranasal and intratracheal routes (day 0), using atropine (0.04 mg kg−1) as premedication and ketamine (5 mg kg−1) with medetomidine (0.042 mg kg−1) as anaesthesia.

C'est complétement crétin.

On s'assure ici, par un moyen invasif, que l'ensemble des tissus soient bien infectés, de manière homogène hein, on fait du travail de finition chez les pros (:laugh:) et ensuite, tenez vous bien, on va tester une molécule qui est censée réduire la contamination des autres cellules.

Parce-que en fait il faut comprendre comment ça se passe dans la vraie vie.

Dans la vraie vie, personne ne va vous injecter le virus pour que tous vos tissus soient touchés. Dans la vraie vie vous recevez une "contamination", qui se concrétise par quelques virus, disséminés, qui vont commencer la colonisation du tissu, par ilots. Et ce sont ces ilots qui vont ensuite être à la source de la contamination d'autres zones du corps.

Et c'est c'est dissémination, que le traitement à base d'hydroxychloroquine est censée ralentir.

Pas supprimer, ce n'est pas possible : ralentir.

Ce qui ajoute du temps au corps, pour mettre en place les défenses immunitaires, puisque c'est le corps qui va guérir le corps (on l'oublie allègrement, en croyant en bon technoscientifique que c'est le médicament qui guérit). Le problème de la mortalité de la Covid, c'est deux choses : D'une part si la contamination (des poumons) est trop importante, alors le corps n'a pas le temps de produire ses défense, alors qu'il pourrait tout à fait en venir à bout. Et le deuxième problème c'est l'inflammation des tissus qu'on doit essayer de réduire, car elle est inutile à la guérison, et elle a pour conséquence la réduction de l’efficacité pulmonaire. Le poumon avec ce qui lui reste de cellules pourrait tout à fait  jouer son rôle, mais l’inflammation réduit cette capacité (d'où l'emploi de respirateurs à oxygène pour palier cette insuffisance dans les premiers jours). 

Donc, pour résumer, si on colonise de manière homogène les tissus, d'une part l'hydroxychloroquine ne peut pas jouer son rôle, et d'autre part cela crée une inflammation généralisée, qui enlève des chances de survie car aucun tissu encore sain n'est en mesure de compenser la déficience d'une zone, touchée "par ilot" normalement, dans la vie courante.

 

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 2 420 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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« L’IHU démontre que son protocole anti-covid aurait pu sauver de très nombreuses vies »

Quatre professeurs de médecine d’Aix-Marseille Université, travaillant à l’Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille (Philippe Brouqui, Matthieu Million, Philippe Parola et Didier Raoult), viennent de publier dans une revue scientifique anglo-saxonne bien connue (New Microbes and New Infections) un article qui présente le résultat de l’analyse statistique des 30 423 patients adultes infectés par le Sars-Cov-2 et soignés à l’IHU, en hospitalisation ou en ambulatoire, entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. Ceci en fait la plus grande étude monocentrique du monde sur ce sujet. La publication est cosignée par Peter A. Mccullough, professeur de médecine à l’Université du Texas (USA), qui a appliqué durant la crise sanitaire un protocole thérapeutique comparable, et constaté le même résultat : la prescription conjointe d’hydroxychloroquine et d’Azithromycine (un antiviral et un antibiotique tombés depuis longtemps dans le domaine public et ne coûtant presque rien), à des doses bien précises, réduit partout la mortalité liée au COVID-19 de façon statistiquement très significative.

Des études consacrées à la gestion de l’épidémie de Covid-19 paraissent quasiment tous les jours pour qui suit de près la production scientifique. Et d’ordinaire, ces publications restent confidentielles. Mais, en France, tout ce qui concerne Didier Raoult et l’IHU de Marseille déclenche une tempête dans le petit monde médiatico-politique. Et cette dernière publication ne fait pas exception à la règle. En 48 heures, en ce début de deuxième semaine de novembre 2023, la publication d’une dépêche de l’AFP a été reprise des dizaines de fois dans les médias.

Il suffit cependant de moins d’une heure de temps pour lire ces dizaines d’articles de presse (nationale et régionale) qui, sans exception : 1) paraphrasent la dépêche et se recopient les uns les autres, 2) citent exclusivement des sources gouvernementales (l’Agence Nationale de sécurité du médicament, les ministres Sylvie Retailleau et Aurélien Rousseau) ainsi que le même « expert » (Mathieu Molimard, président de la Société française de pharmacologie, pourfendeur acharné de Raoult et de l’IHU sur les réseaux sociaux), 3) ne disent pas un seul mot du contenu de l’article incriminé. En bref, ce sont exclusivement des articles à charge n’abordant jamais le sujet de l’étude en question, assurant la publicité du point de vue du gouvernement et ne donnant la parole qu’aux « experts » adoubés par ce même gouvernement, sans jamais questionner leurs liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques.

Un tel traitement médiatique bafoue les plus élémentaires principes de la déontologie journalistique. Le plus cocasse est qu’il évoque de façon centrale des « problèmes éthiques » que poserait l’étude de l’IHU de Marseille (sans jamais détailler lesquels). Or il y a bien en effet une question éthique majeure qui devrait traverser tout ce débat, mais c’est d’abord et avant tout celle que pose l’IHU et qui dérange tellement. Elle peut se formuler ainsi : et s’il s’avérait que l’on aurait pu soigner précocement la Covid-19 et éviter ainsi la majorité des très nombreux morts provoqués par la consigne officielle de ne rien faire (« Restez chez vous et prenez du Doliprane ») ?

La moindre des honnêtetés intellectuelles serait de lire l’article en question avant de prétendre avoir un quelconque point de vue. C’est pourquoi nous en avons traduit l’essentiel en Français, avec l’accord des auteurs. Pour les figures et les tableaux statistiques, les lecteurs se reporteront à l’article qui est intégralement et gratuitement en ligne.

Une dernière précision : contrairement à la plupart des « experts » médicaux que l’on peut entendre quasiment tous les jours dans les médias dominants, les médecins-chercheurs de l’IHU de Marseille n’ont aucun lien d’intérêt avec les industries pharmaceutiques. Et si ceci expliquait au moins en partie cela ?

Résultats

La base de données que nous avons analysée contient les données de 30 423 patients et a été collectée entre le 2 mars 2020 et le 31 décembre 2021. En raison du processus d’anonymisation de la base de données, les valeurs de l’âge moyen et médian n’étaient pas disponibles. La répartition des patients par tranche d’âge et les caractéristiques démographiques des 30 423 patients inclus sont détaillées dans le tableau 1. Environ 47,7 % des patients étaient des hommes. Sur les 30 423 patients, des informations sur le traitement étaient disponibles pour 30 202 d’entre eux (99,3 %), dont 25 664 patients ambulatoires (84,9 %) et 4538 patients hospitalisés (15,1 %).

Selon l’INSEE, il y a eu 535 décès toutes causes confondues dans les six semaines suivant le diagnostic, dont 52 qui ont été initialement pris en charge en ambulatoire et 483 qui ont été hospitalisés de manière standard, sans traitement initial en ambulatoire. Parmi les variables incluses, l’âge était le facteur de risque de décès le plus important. Le sexe masculin était un facteur de risque de décès (hommes 2,2 %, femmes 1,3 %, test du chi carré P < 10-4). Un pic de mortalité a été observé au cours de la période 4 (hiver 2020/2021) à 2,95 % (17,2 % pour les patients hospitalisés) et un minimum a été observé au cours de la période 6 (juillet à septembre 2021) à 0,93 %. Parmi les quatre principaux variants, le variant B.1.160, qui a prédominé au cours de la période 4, a été associé à la mortalité la plus élevée (3,9 % vs 1,3 %, test du chi carré P < 0,0001).

Sur les 30 202 patients pour lesquels des informations sur le traitement étaient disponibles, 191/23 172 patients (0,82%) traités par HCQ-AZ sont décédés, contre 344/7 030 patients (4,89%) qui n’ont pas reçu d’HCQ-AZ (Fig. 2). Globalement, le traitement par HCQ-AZ a été associé à une mortalité plus faible que le traitement sans HCQ-AZ (OR 0,16 ; 95% CI, 0,14-0,19). Après ajustement pour le sexe, l’âge, la période et le type de prise en charge du patient (hospitalisé/externé), l’HCQ-AZ est resté associé à un taux de mortalité significativement plus faible (aOR 0,55 ; 95% CI, 0,45-0,68). Ce résultat a été confirmé comme étant indépendant de la variante virale chez 21 664 patients pour lesquels l’information sur la variante était disponible (aOR 0,55 ; IC 95 %, 0,44-0,69), et indépendant des comorbidités et du statut vaccinal chez 16 063 patients pour lesquels l’information sur ces covariables était disponible (aOR 0,47 : IC 95 %, 0,29-0,75) (tableau 3). La mortalité globale parmi les patients ambulatoires traités par HCQ-AZ était extrêmement faible (21/21135 (0,10 %)), sans variation significative entre les périodes et n’a jamais dépassé 0,14 % au cours d’une période épidémique.

En comparant HCQ-AZ avec toutes les autres combinaisons de traitement, la mortalité n’était jamais significativement différente lorsque HCQ était utilisé dès le début dans le groupe de comparaison (HCQ seul ou HCQ-IVM). Ceci nous a conduit à analyser le rôle de chaque médicament indépendamment. Au total, 23 755 patients (78,7 %) ont reçu un traitement à base d’HCQ, contre 6 447 patients (21,3 %) qui n’ont pas reçu ce médicament ; 27 750 patients (91,9 %) ont reçu de l’AZ contre 2 452 (8,1 %) qui n’en ont pas reçu ; 1 878 patients (6,2 %) ont reçu un traitement avec IVM, contre 28 545 patients (93,8 %) qui n’en ont pas reçu. Lorsque chaque médicament a été inclus comme covariable binaire (oui/non) dans les modèles, aucune différence de survie n’a été trouvée pour l’AZ (aOR 0,97, P = .861) ou l’IVM (1,08, P = .633). Seule l’HCQ a été associée à une mortalité plus faible (aOR 0,55, 0,44-0,68, P < .0001), ce qui a été confirmé à la fois pour les patients ambulatoires (aOR 0,31 ; 95% CI, 0,16-0,59, P = .0004) et pour les patients hospitalisés (aOR 0,52 ; 0,42-0,65, P < .001).

Dans l’ensemble, cette étude représente la plus grande étude monocentrique évaluant l’HCQ-AZ dans le traitement du COVID-19. Comme d’autres grandes études d’observation, elle conclut que l’HCQ a sauvé des vies. Dans un esprit de science ouverte, nous encourageons les chercheurs à réanalyser des bases de données FAIR (findable, accessible, interoperable, and reusable) similaires et à communiquer leurs résultats.

Modifié par colibri33
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