Les Habsbourg espagnols : quand la consanguinité entraîna leur chute

Les Habsbourg espagnols appartenaient à la Maison de Habsbourg (maison d’Autriche), une importante maison souveraine d’Europe. Ils régnèrent 184 ans sur l’Espagne, avant de s’éteindre tragiquement. On vous explique comment aujourd’hui !

https://cultea.fr/les-habsbourg-espagnols-quand-la-consanguinite-entraina-leur-chute.html

Il y a 2 heures, Kyoshiro02 a dit :

Les Habsbourg espagnols appartenaient à la Maison de Habsbourg ...

bonjour,

la théorie du "sang bleu" a fait que les souverains régnants étaient de plus en plus souvent affublés de certaines tares ...

se marier et avoir des enfants entre cousins , cela n'a jamais apporté rien de bon coté santé !

la génétique , à l'époque, n'était pas ce qui les préoccupaient le plus mais .. ils auraient dû !

bonne journée.

La dynastie tuyau de poêle 

Même des oncles qui ont convolé avec leur propre nièce, quelle honte !

Il n'y a pas que  celle-ci qui ait souffert de tares génétiques. Le dernier Tsarévitch de Russie Alexis Romanov était porteur d'hémophilie transmise par son ancêtre la reine Victoria.

C'était pire avant : dans la dernière dynastie pharaonique, les Lagides, ils se reproduisaient entre frères et sœurs

Le 16/11/2024 à 18:34, sovenka a dit :

Même des oncles qui ont convolé avec leur propre nièce, quelle honte !

En quoi le fait que des oncles convolent avec leurs propres nièces est-il « une honte » ?
Si l’on suppose que les nièces aient atteint l’âge minimal que la règlementation prévoit pour qu’une fille puisse se marier, et que les deux protagonistes fassent cela en toute connaissance de cause et en toute liberté, qui est-ce que cela gêne ?

Le 16/11/2024 à 18:13, pic et repic a dit :

bonjour,

la théorie du "sang bleu" a fait que les souverains régnants étaient de plus en plus souvent affublés de certaines tares ...

se marier et avoir des enfants entre cousins , cela n'a jamais apporté rien de bon coté santé !

la génétique , à l'époque, n'était pas ce qui les préoccupaient le plus mais .. ils auraient dû !

bonne journée.

C'est encore le cas dans certains pays...

Les unions consanguines sont adoptées depuis des siècles, elles constituent une fraction significative des mariages dans le monde entier [5]. Présentement, elles sont pratiquées par plus d´un milliard de la population mondiale avec des taux atteignant 20 à 50% [6] et même 80,6% dans certaines communautés [7]. Particulièrement dans les pays musulmans d´Afrique du Nord, de Moyen-Orient, d´Asie centrale et dans la plupart des régions de l´Asie du sud [5, 8] une ceinture transversale cheminant du Pakistan et de l'Afghanistan à l'Est au Maroc à l'Ouest, et en Inde du Sud [6]. Cette pratique est favorisée et respectée dans la plupart sinon dans toutes les communautés arabes [9]. En effet, C´est une tradition arabe et musulmane, au nom d´une sécurité financière et affective, mais au prix de la santé des enfants, qui courent le risque de maladies génétiques plus que d´autres [10]. Nombreux est variés sont les facteurs contribuant à la forte prévalence des mariages consanguins; à partir des résultats de plusieurs études empiriques, différents facteurs ont été identifiés comme déterminants important de la forte prévalence des mariages consanguins, à savoir: les facteurs socio-économiques, socioculturels, religieux, géographiques et démographiques [7].

il y a 30 minutes, Témoudjine a dit :

En quoi le fait que des oncles convolent avec leurs propres nièces est-il « une honte » ?
Si l’on suppose que les nièces aient atteint l’âge minimal que la règlementation prévoit pour qu’une fille puisse se marier, et que les deux protagonistes fassent cela en toute connaissance de cause et en toute liberté, qui est-ce que cela gêne ?

 

En France c'est interdit...normalement! également entre cousins germains...

Ce sont les prêtres il y quelques siècles, qui se sont rendus compte que ces mariages portaient préjudices aux enfants nés ou à naitre...

Pas mal de débiles mentaux étrangers proviennent de ce genre de mariages...Alors que chez nous c'est interdit!

Le 18/11/2024 à 14:33, Témoudjine a dit :

En quoi le fait que des oncles convolent avec leurs propres nièces est-il « une honte » ?
Si l’on suppose que les nièces aient atteint l’âge minimal que la règlementation prévoit pour qu’une fille puisse se marier, et que les deux protagonistes fassent cela en toute connaissance de cause et en toute liberté, qui est-ce que cela gêne ?

Dans ces familles nobles on ne demandait pas leur avis aux futurs mariés, tout était question d'intérêt

et pi j'ai bien le droit de trouver ça honteux ma foi !

Le 25/11/2024 à 09:50, sovenka a dit :

Dans ces familles nobles on ne demandait pas leur avis aux futurs mariés, tout était question d'intérêt

et pi j'ai bien le droit de trouver ça honteux ma foi !

Tu as strictement tous les droits, y compris celui-là.
Mais il faut relativiser la question.
Dans le monde occidental et depuis des décennies, en fait depuis les années 50, des statistiques sont régulièrement faites dans les maternités. Toutes maternités confondues, hôpitaux ou cliniques. Donc tous milieux confondus.
Systématiquement, l’on tombe toujours à peu près sur les mêmes chiffres. C’est-à-dire que 30 % des enfants qui naissent ne sont pas de leur père putatif.  
Statistiques basées sur les incompatibilités sanguines, donc irréfutables.
Il paraît évident que cela ne perturbe pas outre mesure la manière dont la terre tourne.

il y a une heure, Témoudjine a dit :

Systématiquement, l’on tombe toujours à peu près sur les mêmes chiffres. C’est-à-dire que 30 % des enfants qui naissent ne sont pas de leur père putatif.  
Statistiques basées sur les incompatibilités sanguines, donc irréfutables

Source ?

Et quel rapport avec la consanguinité ?

Si un enfant n'est pas celui du père putatif, rien ne prouve que c'est le fils de l'oncle ou d'un autre membre de la famille de la mère, je ne pige pas ce que tu veux dire ?

Si cela sous-entend toutefois que les supposés naissances consanguines des dynasties passées ne l'étaient pas parce que la mère était infidèle... Est-ce ça le fond de ton raisonnement ?

Sauf qu'une femme noble de l'époque n'était jamais seule, il lui était par conséquent bien difficile d'entretenir des relations adultérines excepté avec l'accord de l'époux.

Il y a 2 heures, sovenka a dit :

Source ?

Et quel rapport avec la consanguinité ?

Si un enfant n'est pas celui du père putatif, rien ne prouve que c'est le fils de l'oncle ou d'un autre membre de la famille de la mère, je ne pige pas ce que tu veux dire ?

Si cela sous-entend toutefois que les supposés naissances consanguines des dynasties passées ne l'étaient pas parce que la mère était infidèle... Est-ce ça le fond de ton raisonnement ?

Sauf qu'une femme noble de l'époque n'était jamais seule, il lui était par conséquent bien difficile d'entretenir des relations adultérines excepté avec l'accord de l'époux.

Source ? Toute la littérature médicale et toutes les revues professionnelles consacrées aux problèmes de fertilité, de conception et circum voisins. 

C’est un secret de Polichinelle dans les directions de maternités. Mais heureusement pour la tranquillité des couples, le secret médical est généralement bien respecté dans le milieu médical.

Dans mon post il n’était pas question de consanguinité, mais de la relativité que présente l’identité exacte du concepteur. Qu’il soit le père officiel ou un autre inséminateur, ou l’oncle de la génitrice, ne présente d’intérêt que si l’un des deux intéressés est atteint d’une tare spécifique transmissible.

En l’absence de tare transmissible, n’importe quel mâle qui sera choisit librement par la donzelle fera parfaitement l’affaire.

Toute autre considération relève de la morale, de la tradition, de la culture du milieu ou de considérations héritées de directives religieuses anciennes. Et qui avaient toutes des motivations spécifiques sans lien avec la conception elle-même.

En d’autres termes ne présentent aucun intérêt ni n’impose aucune obligation en matière de pratiques culières.  

Quant à croire que les pratiques adultérines n’existaient pas chez les femmes nobles parce qu’elles n’étaient jamais seules, c’est ne rien avoir compris aux mœurs féminines. Ni aux relations que les femmes peuvent entretenir entre elles lorsque les circonstances les placent dans des positions ou la solidarité féminine peut jouer d’une manière ou d’une autre.

D’innombrables études historiques en attestent.

Il y a 4 heures, Témoudjine a dit :

Source ? Toute la littérature médicale et toutes les revues professionnelles consacrées aux problèmes de fertilité, de conception et circum voisins. 

Si c'est comme ça j'irai pas vérifier. 

Il y a 4 heures, Témoudjine a dit :

C’est un secret de Polichinelle dans les directions de maternités.

En l'état ça restera une rumeur.

Il y a 4 heures, Témoudjine a dit :

Quant à croire que les pratiques adultérines n’existaient pas chez les femmes nobles

J'ai pas écrit que ça existait pas j'ai écrit que c'était difficile pour elles...

Il y a 4 heures, Témoudjine a dit :

Dans mon post il n’était pas question de consanguinité, mais de la relativité que présente l’identité exacte du concepteur. Qu’il soit le père officiel ou un autre inséminateur, ou l’oncle de la génitrice, ne présente d’intérêt que si l’un des deux intéressés est atteint d’une tare spécifique transmissible.

Dans les familles consanguines les tares tournent en vase clos.

Il y a 4 heures, Témoudjine a dit :

Toute autre considération relève de la morale, de la tradition, de la culture du milieu ou de considérations héritées de directives religieuses anciennes. Et qui avaient toutes des motivations spécifiques sans lien avec la conception elle-même.

Peut-être bien mais ça n'empêche rien au fait que je trouve ça dégueu, des membres d'une même famille qui se reproduisent entre eux.

Il y a 19 heures, sovenka a dit :

ça n'empêche rien au fait que je trouve ça dégueu, des membres d'une même famille qui se reproduisent entre eux.

Je n’ai jamais suggéré non plus que c’était une pratique à recommander.

Simplement que si cela arrive dans une famille, dans un cadre faisant que la nièce est assez grande pour comprendre ce qu’elle fait, conformément à la législation du pays en matière d’acceptation des activités sexuelles, et qu’elle est totalement consentante et volontaire, alors sa conception n’est pas une abomination.  

Juste un accident de parcours. Qui peut très bien être considéré par les intéressés comme bienvenu.

Les pulsions sexuelles qui déterminent les pratiques sexuelles des humains peuvent parfois se montrer inattendues et étranges.

Sous réserves encore une fois que soient respectées les conditions fixées par la règlementation en matière d’âge des bésouilleurs, et de volonté totale et personnelle  des deux participants.  

Ni la mère conceptrice ni le père inséminateur n’iront en enfer de ce chef.

Il est peu probable que l’enfant issu de ces coquineries sera plus malheureux que celui issu d’une union « classique » et morale, dans un monde où les parents d’une famille sur deux divorcent, et où chaque jour meurent des enfants martyrs.