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L'école de Francfort

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Pirene

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Membre, Maîtresse Françoise, Posté(e)
Pirene Membre 2 820 messages
Maitre des forums‚ Maîtresse Françoise,
Posté(e)

68https://fr.m.wikipedia.org/wiki/École_de_Francfort

L'École de Francfort (en allemand : Frankfurter Schule) est le nom donné, à partir des années 1950, à un groupe d'intellectuels allemands réunis autour de l'Institut de recherche sociale fondé à Francfort-sur-le-Main en 1923, et par extension à un courant de pensée issu de celui-ci, souvent considéré comme fondateur ou paradigmatique de la philosophie sociale ou de la théorie critique. Il retient en effet du marxisme et de l'idéal d'émancipation des Lumières l'idée principale que la philosophie doit être utilisée comme critique sociale du capitalisme et non comme justification et légitimation de l'ordre existant, critique qui doit servir à faire avancer la transformation. 

Un contexte : la crise du marxisme allemand

Articles détaillés : Marxisme, Communisme, Mouvement ouvrier, Histoire de l'Allemagne et Première Guerre mondiale.

Au début des années 1920, le marxisme allemand connaît le paroxysme d'une crise durable, qui se traduit concrètement par une importante émulation conceptuelle : « Le marxisme allemand des années 1920 n'a rien d'un monolithe. Il est plutôt une constellation intellectuelle extrêmement riche, à la fois mouvante et antagoniste ».

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-l-ecole-de-francfort

http://sos.philosophie.free.fr/francfor.php

https://www.cairn.info/l-ecole-de-francfort--9782130519133-page-3.htm

Cet essai a pour but de répondre à la question : « Qu’est-ce que l’École de Francfort ? » La question peut paraître paradoxale, puisque l’on reconnaît communément une existence historiquement déterminée à cette réalité baptisée « École de Francfort », qu’on en a fait l’histoire, qu’on lui a consacré des études, qu’on y réfère des auteurs. Ce qui nous paraît manquer, c’est une interrogation, à la fois élémentaire et fondamentale, sur le genre de réalité que constitue le phénomène idéologique repéré à travers ce nom. 

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
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Le 13/08/2024 à 19:51, Pirene a dit :

L'École de Francfort 

Bonjour Pirene,

Quelle est votre question, s'il y en a une ? 

Pourquoi vous intéressez-vous à cette école ?

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Membre, Maîtresse Françoise, Posté(e)
Pirene Membre 2 820 messages
Maitre des forums‚ Maîtresse Françoise,
Posté(e)
il y a une heure, Loufiat a dit :

Bonjour Pirene,

Quelle est votre question, s'il y en a une ? 

Pourquoi vous intéressez-vous à cette école ?

Coucou vous, 

Non je n'ai pas pas question particulièrement, c'est un sujet dont j'ai entendu parler à plusieurs reprises, elle semble être à l'origine de certaines idéologies actuelles et à titre informatif ça m'a paru bien de lancer l'idée. Un peu comme comme le sujet sur le syndrome de Stendhal. 

Modifié par Pirene
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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 4 969 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Je donne mon avis. Pour étayer mon propos, je cite ceci de l'article Wikipédia éponyme, c'est moi qui souligne :

" Pour Jean-Marc Durand-Gasselin (L'École de Francfort, 2012), plus que d'une École, il convient ainsi de parler d'un projet commun. Ses grandes lignes auraient été fixées par Horkheimer au début des années 1930. Cherchant initialement à répondre à la crise politique et épistémologique du marxisme, il comprendrait quatre traits principaux :

- 1.Le principe d'une théorie critique, élaborée par contraste à une théorie traditionnelle. Inspirées de la dialectique marxiste, les analyses développées doivent être capables d'un retour réflexif sur elles-mêmes. L'« objectivité », concept critiqué à travers l'influence considérable d'Histoire et conscience de classe (1923) de Lukács, découle ainsi d'une conscience de sa propre trajectoire historique et individuelle3 ; ... "

Il faut bien comprendre que le marxisme est philosophiquement, structurellement, un puissant et robuste positivisme (je parle de " Bolide marxiste "). Et il partage cette caractéristique foncière avec la philosophie anglo-saxonne et analytique. Les trois ne creusent pas, n'explorent pas, assez, leurs propres fondements. Et ma tendance naturelle, à l'introspection, me conduit " naturellement  " à creuser aussi en philosophie. J'ai déjà donné mon avis sur les " liens " entre cogito et marxisme, cette critique vaut pour la philosophie anglo-saxonne, analytique et l'école de Francfort. Quant aux objectifs fixés, que j'ai souligné dans la citation, elle ne les atteint pas. Il fallait remonter (de la même façon qu'on remonte un fleuve pour trouver sa source) jusqu'au cogito en l'état. Aussi problématique que possible, en l'état, tel que formulé par Descartes dans le " Discours ". Voir ma signature (désolé !). Sur ce point, Sartre a totalement raison : quels que soient ses inconvénients, c'est du cogito qu'il faut partir. Voilà pour " l'école de Francfort et moi ".

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
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Il y a 4 heures, Pirene a dit :

Coucou vous, 

Non je n'ai pas pas question particulièrement, c'est un sujet dont j'ai entendu parler à plusieurs reprises, elle semble être à l'origine de certaines idéologies actuelles et à titre informatif ça m'a paru bien de lancer l'idée. Un peu comme comme le sujet sur le syndrome de Stendhal. 

D'accord, intéressant. 

A quelles idéologies pensez-vous ?

Il y a 3 heures, Neopilina a dit :

Je donne mon avis. Pour étayer mon propos, je cite ceci de l'article Wikipédia éponyme, c'est moi qui souligne :

" Pour Jean-Marc Durand-Gasselin (L'École de Francfort, 2012), plus que d'une École, il convient ainsi de parler d'un projet commun. Ses grandes lignes auraient été fixées par Horkheimer au début des années 1930. Cherchant initialement à répondre à la crise politique et épistémologique du marxisme, il comprendrait quatre traits principaux :

- 1.Le principe d'une théorie critique, élaborée par contraste à une théorie traditionnelle. Inspirées de la dialectique marxiste, les analyses développées doivent être capables d'un retour réflexif sur elles-mêmes. L'« objectivité », concept critiqué à travers l'influence considérable d'Histoire et conscience de classe (1923) de Lukács, découle ainsi d'une conscience de sa propre trajectoire historique et individuelle3 ; ... "

Il faut bien comprendre que le marxisme est philosophiquement, structurellement, un puissant et robuste positivisme (je parle de " Bolide marxiste "). Et il partage cette caractéristique foncière avec la philosophie anglo-saxonne et analytique. Les trois ne creusent pas, n'explorent pas, assez, leurs propres fondements. Et ma tendance naturelle, à l'introspection, me conduit " naturellement  " à creuser aussi en philosophie. J'ai déjà donné mon avis sur les " liens " entre cogito et marxisme, cette critique vaut pour la philosophie anglo-saxonne, analytique et l'école de Francfort. Quant aux objectifs fixés, que j'ai souligné dans la citation, elle ne les atteint pas. Il fallait remonter (de la même façon qu'on remonte un fleuve pour trouver sa source) jusqu'au cogito en l'état. Aussi problématique que possible, en l'état, tel que formulé par Descartes dans le " Discours ". Voir ma signature (désolé !). Sur ce point, Sartre a totalement raison : quels que soient ses inconvénients, c'est du cogito qu'il faut partir. Voilà pour " l'école de Francfort et moi ".

C'est un peu léger, Wikipedia, 10 lignes. vous ne croyez pas ? 

C'est quoi du coup un positivisme ? 

 

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 4 969 messages
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Il y a 2 heures, Loufiat a dit :

C'est un peu léger, Wikipédia, 10 lignes. Vous ne croyez pas ? 

Wikipédia, parce que proposé par l'initiatrice du fil, ça vaut bien autre chose : j'ai bien trouvé de quoi illustrer ma critique. " 10 lignes ". Comme je l'ai dit, je fais à l'école de Francfort le même reproche qu'au marxisme, qu'à la philosophie anglo-saxonne et analytique : ils ne creusent pas assez quand à leurs fondements. Pour Marx, je m'en suis déjà expliqué (sur un autre fil dans un échange avec Al-flamel), il prend congé du cogito en claquant la porte. Il ne comprend même pas qu'en congédiant l'hégélianisme (où il se sent prisonnier, à juste titre, l'hégélianisme est une hypertrophie du cogito en l'état, c'est à dire une Prison), il congédie aussi la conscience de Soi. On a vu le résultat. Proudhon avait pressenti que cela allait être terrible. Mais personne n'a écouté Proudhon.

Il y a 2 heures, Loufiat a dit :

C'est quoi du coup un positivisme ?

Typiquement, inauguralement : la réaction anglo-saxonne au cogito (versus la réaction continentale), l'empirisme. Il y a des positivistes sur le Continent, mais en tant que positiviste, ils n'arrivent pas à la cheville des empiriques !, ou du marxisme. Un positivisme, en philosophie, c'est une très très grosse machine, très consistante, un robustes tracteur, etc., qui ne sait rien de sa propre mécanique, de ses fondements, etc. On ne voit plus aucune philosophie s'intéresser aux questions des fondements, de leurs propres fondations, postulats fondamentaux, etc. Est-ce encore de la philosophie ? Pour moi, non. Dans sa " Critique de la raison dialectique ", Sartre tente quelque chose qui ressemble à ce qu'a fait l'école de Francfort, c'est un échec dans les deux cas. Dans cet ouvrage, Sartre tente (entre autres) de jeter un pont philosophique entre l'orthodoxie continentale à l'endroit du cogito en l'état, qu'il incarne parfaitement, et le marxisme, échec. Ce titre de Sartre reste quand même fondamental, son plus grand texte avec " L'être et le néant ". Encore une fois : voilà pour " l'école de Francfort et moi ". Ce qui nous fait, en tout, 20 lignes, à toi !

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
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Il y a 7 heures, Neopilina a dit :

j'ai bien trouvé de quoi illustrer ma critique.

Tout est dit : le sujet était donc votre critique :)

Il y a 7 heures, Neopilina a dit :

On ne voit plus aucune philosophie s'intéresser aux questions des fondements, de leurs propres fondations, postulats fondamentaux, etc. Est-ce encore de la philosophie ? Pour moi, non. Dans sa " Critique de la raison dialectique ", Sartre tente quelque chose qui ressemble à ce qu'a fait l'école de Francfort, c'est un échec dans les deux cas.

Vous me faites rire. Avez-vous l'impression que Platon a réussi à instaurer son système politique ? Et tant d'autres. L'histoire et la philosophie ne sont qu'une suite d'erreurs et d'échecs. 

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 4 969 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 8 heures, Loufiat a dit :

Tout est dit : le sujet était donc votre critique :)

A la fin de mon premier message sur ce fil, on pouvait effectivement lire :

Il y a 22 heures, Neopilina a dit :

Voilà pour " l'école de Francfort et moi ".

 

Il y a 8 heures, Loufiat a dit :

Avez-vous l'impression que Platon a réussi à instaurer son système politique ?

Ça s'est effectivement très mal passé chez Denys à Syracuse.

Il y a 8 heures, Loufiat a dit :

L'histoire et la philosophie ne sont qu'une suite d'erreurs et d'échecs. 

Il ne faut pas désespérer. A la fois, Descartes remet en route la charrette philosophique occidentale et ce dans une ornière. Sortons là de cette ornière, tu verras, ça ira beaucoup mieux.

Je trouve malvenu de me reprocher mes quelques lignes dans la mesure où quantitativement et qualitativement, tu as fais beaucoup moins.

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
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il y a une heure, Neopilina a dit :

Il ne faut pas désespérer. A la fois, Descartes remet en route la charrette philosophique occidentale et ce dans une ornière. Sortons là de cette ornière, tu verras, ça ira beaucoup mieux.

Je trouve malvenu de me reprocher mes quelques lignes dans la mesure où quantitativement et qualitativement, tu as fais beaucoup moins.

C'est que j'ai des réticences à "traiter" l'école de Francfort en un paragraphe lapidaire sachant la variété et la grande liberté des travaux qui s'en réclament. Le "programme" qu'ont pensé Adorno et Horkheimer laissait les coudées franches à beaucoup de choses. Il y a eu de nombreuses dissensions, de franches engueulades...  juste avant de mourir, Adorno à eu à faire face à des mouvements étudiants qui, tout en se réclamant de lui, le traitaient de réactionnaire et partaient en live complet. Il ne pouvait plus cautionner. Il est vraisemblable que ces événements, actant son echec, aient précipité la mort de l'auteur de la Dialectique négative... et de nombreux essais sur la musique. (Il était meilleur à mon avis dans le concret de la musique qu'il connaissait d'expérience, que dans l'abstraction des théories générales - mais ce n'est qu'un avis). Bref, à Francfort il y a à boire et à manger, encore aujourd'hui : Habermas étant le plus connu mais pas le seul. Si ce n'est comparable à la grande époque de Horkheimer, ça fourmille encore et ça a essaimé un peu partout. 

Quant à la philo, admettons que c'est terminé. Le seul critère du jugement est dans l'action. Et on a vu ce qu'il en était. 

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 4 969 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, Neopilina a dit :

Il ne faut pas désespérer. A la fois, Descartes remet en route la charrette philosophique occidentale et ce dans une ornière. Sortons là de cette ornière, tu verras, ça ira beaucoup mieux.

Exemple. Si Sartre échoue dans sa " Critique ... ", c'est parce qu'il reste prisonnier du cogito en l'état.

il y a une heure, Loufiat a dit :

Quant à la philo, admettons que c'est terminé.

Ha non. Il faut savoir remonter, voir, là où ça coince, où ça diverge, etc. : le cogito en l'état. C'est bien à cause de lui qu'on a ensuite des continentaux versus des anglo-saxons, pas avant, etc. Conquête de la conscience de Soi, prodigieux, mais en même temps, il emprisonne le philosophe, il faut le sortir de là. Kant, Hegel, Husserl, Heidegger (pour être précis, il triche avec le cogito avec son Dasein), Sartre, etc., échouent, l'école de Francfort peut bien échouer, il n'y a pas de honte.

Le cogito, c'est la découverte et la conquête par et pour la philosophie de la conscience de Soi. Il peut se décliner infiniment, comme ça, par exemple. Il nous dit de façon certaine qu'il y a autant de Subjectivités que de Sujets (c'est pour ça qu'on dit " Sujet "). Qu'il y a, a priori, autant de " Mondes " que d'individus, etc. Livre toi ludiquement à l'exercice. Est-ce que tu peux déduire quelque chose philosophiquement et politiquement de cet indubitable constat ? Ça t'inspire quoi ? D'emblée, ça t'est donné a priori (si tu sors du cogito en l'état), tu as autant d'avis, d'opinions, etc., que d'individus, tout le monde a raison et tout le monde a tort. Comment on fait ? Tu optes pour le fusil ou on en cause ? On en cause. Et ça s'appelle la démocratie.

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Neopilina a dit :

Le cogito, c'est la découverte et la conquête par et pour la philosophie de la conscience de Soi. Il peut se décliner infiniment, comme ça, par exemple. Il nous dit de façon certaine qu'il y a autant de Subjectivités que de Sujets (c'est pour ça qu'on dit " Sujet "). Qu'il y a, a priori, autant de " Mondes " que d'individus, etc. Livre toi ludiquement à l'exercice. Est-ce que tu peux déduire quelque chose philosophiquement et politiquement de cet indubitable constat ? Ça t'inspire quoi ? D'emblée, ça t'est donné a priori (si tu sors du cogito en l'état), tu as autant d'avis, d'opinions, etc., que d'individus, tout le monde a raison et tout le monde a tort. Comment on fait ? Tu optes pour le fusil ou on en cause ? On en cause. Et ça s'appelle la démocratie.

Je ne saisis pas bien la nouveauté de cette découverte. Le problème de l'articulation entre le singulier et l'universel ne date pas d'hier, la philosophie s'y casse les dents depuis l'antiquité (cest le probleme central dans la Dialectique negative d'Adorno...). Quant aux Sujets, je croyais qu'il s'agissait, à l'origine, des sujets "du roi", des sujets "de la loi" - assujettis à... et non pas sujets au sens d'une subjectivité dont la singularité est érigée en totem. Que penses tu d'un Kierkegaard, par exemple, je suis curieux ? 

A +

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  • 3 mois après...
Membre, 42ans Posté(e)
Leverkuhn Membre 410 messages
Forumeur accro‚ 42ans‚
Posté(e)

Il y a sur ce fil une incompréhension totale de ce qu'est l'école de Francfort. Cette incompréhension relève au mieux de la simple ignorance du sujet, au pire de quelque chose de plus insidieux.

Cette chose insidieuse, répond à un certain besoin. II s'agit du besoin ontologique.

La quête d'un absolu est à la source de ce besoin qui se heurte en permanence à notre condition d'existence. 

Face à cette borne infranchissable, on élève la culture du mystère, la culture du mythe au pinacle, puis on en vient à placer l'absolu dans notre propre condition d'existence, lieu de tous les fétiches.

Le seul remède à ce besoin ontologique réside précisément dans la Critique, dont le principe moteur est celui de la non identité. Non identité du sujet et de l'objet.

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