J'aime les gens qui pensent

il y a 2 minutes, lysiev a dit :

C'est surtout que l'auteur du topic met en général tout ses sujets dans cette rubrique, c'est un peu son fourre tout  

La rubrique est bien nommée effectivement 

il y a 7 minutes, lysiev a dit :

Toujours pas mais pas grave, je vais faire comme si 

 

vous me résumerez les deux dernières saisons 

qui couche avec qui ? qui voudrait bien mais peut point ? qui veut pas mais voudrais bien un peu quand même ? 

et surtout la question que tout le monde se pose

il y a 8 minutes, Crabe_fantome a dit :

 

Sinon prend le train en route  Tant qu'on est des gens qui pensent, on est aimé  

Je vais je crois quitter le train en marche

Sinon je risque de faire dérailler le train 

il y a 6 minutes, Crabe_fantome a dit :

Le sujet est général, ce n'était pas toi le sujet. Si tu es triste ou en colère suite à une séparation, tu es normale. 

 

Certains sujet son "anormaux " comme moi 

il y a 6 minutes, Crabe_fantome a dit :

On est pas HS, on est dans une annexe du sujet: "On pense, on aime penser, on aime les gens qui pensent"... par rapport aux gens qui ressentent? Non. Par rapport à l'attachement qui vient "abimer" l'amour: "Je t'aime comme tu es" libère. En revanche "je t'aime tant que tu m'aimes en retour et que tu m'es fidèle et présente" va enfermer. 

Là où on va plus loin dans l'analyse c'est en allant chercher le pourquoi des gens vont mal gérer la souffrance lié à disparition de l'amour. Ce qui reste totalement intéressant !!! D'autant qu'on est au rayon "amour et séduction". Mais là on ne peut que spéculer parce que chacun aura ses propres mécanismes psychiques pour exprimer sa souffrance liée à la disparition de l'amour. 

Ce pourrait faire un sujet ou plusieurs . Je dois reconnaître qu'en parler comme ça , vite fait , me suffit . Le sujet , amour , vrai ou faux ? Amour et violence liens ? spéculations , mécanismes ? Cela ne m'intéresse pas  

Je trouve que par rapport au sujet de départ c'est hs 

il y a 9 minutes, Axo lotl a dit :

vous me résumerez les deux dernières saisons 

qui couche avec qui ? qui voudrait bien mais peut point ? qui veut pas mais voudrais bien un peu quand même ? 

et surtout la question que tout le monde se pose

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ki c qui qui pense ? 

 

C'est l'histoire d'un penseur  tellement il pense, que  sa tête enfle, comme ses chevilles d'ailleurs   

il y a 4 minutes, eriu a dit :

Ce pourrait faire un sujet ou plusieurs . Je dois reconnaître qu'en parler comme ça , vite fait , me suffit . Le sujet , amour , vrai ou faux ? Amour et violence liens ? spéculations , mécanismes ? Cela ne m'intéresse pas  

Je trouve que par rapport au sujet de départ c'est hs 

Question de point de vu, pour moi tout est lié: L'amour, le temps, la vie, la mort, la solitude, les peurs... Et du coup tout m'intéresse  

il y a 6 minutes, lysiev a dit :

C'est l'histoire d'un penseur  tellement il pense, que  sa tête enfle, comme ses chevilles d'ailleurs   

j'ai trouvé une penseuse qui a expérimenté le truc

à l’instant, Crabe_fantome a dit :

Question de point de vu, pour moi tout est lié: L'amour, le temps, la vie, la mort, la solitude, les peurs... Et du coup tout m'intéresse  

C'est bien ! 

Je suis plus à survoler et à me poser ponctuellement . Je reconnais que ce n'est pas un comportement sympathique , ça reviendra peut être un jour ou pas .

Il y a 15 heures, Axo lotl a dit :

c'est une bonne question, être bête et ne pas penser, est ce que c'est la même chose ?

Non, puisque par exemple dans la méditation on s'arrête de penser afin d'observer nos pensées c'est plutôt une forme d'intelligence que de bêtises n'est ce pas ?

Il y a 5 heures, melisse19 a dit :

Non, puisque par exemple dans la méditation on s'arrête de penser afin d'observer nos pensées c'est plutôt une forme d'intelligence que de bêtises n'est ce pas ?

Peut-être mais il faudrait pouvoir s'entendre tous pour définir de quelle intelligence on parle, et de ce qu'est la betise. Personne sur ce sujet n'aura la même définition. Donc chacun parle de soi, le  "moi je" si cher à certains sur ce forum,qui les empêche d'écouter ce que l'autre dit, ressent ou pense.

Vous vous en apercevrez vite.

J'aime les gens qui pansent  

Qui pansent mais pas avec le syndrome du sauveur , ça craint !

Il y a 19 heures, hanss a dit :

Peut être que les gens qui pensent t’aiment pas. 

Les gens qui pensent s'estiment et s'apprécient entre eux, ils se reconnaîssent.

Le seul soucis c'est que des gens qui pensent il y en a très peu, peut être moins de 1 pour cent.

il y a 18 minutes, Crom- a dit :

Les gens qui pensent s'estiment et s'apprécient entre eux, ils se reconnaîssent.

Le seul soucis c'est que des gens qui pensent il y en a très peu, peut être moins de 1 pour cent.

Après on est pas tous à penser 24/24... on pensent plutôt 17/24 parce que le reste du temps on dort. 

Je rencontre quelqu'un vendredi, on débute une histoire samedi... et hier je me mange dans les dents que je pense trop. 

Il se trame quelque chose de pourri au Royaume du Danemark. 

il y a une heure, Crabe_fantome a dit :

Après on est pas tous à penser 24/24... on pensent plutôt 17/24 parce que le reste du temps on dort. 

Je rencontre quelqu'un vendredi, on débute une histoire samedi... et hier je me mange dans les dents que je pense trop. 

Il se trame quelque chose de pourri au Royaume du Danemark. 

Il y a un temps pour penser, un temps pour ressentir, un temps pour rêver.

C'est la nature des pensées qui fait le penseur.

il y a 2 minutes, Crom- a dit :

Il y a un temps pour penser, un temps pour ressentir, un temps pour rêver.

C'est la nature des pensées qui fait le penseur.

La nature et l'évolution. Si Descartes reste bloqué, il cesse d'être un penseur pour devenir un ruminant. 

à l’instant, Crabe_fantome a dit :

La nature et l'évolution. Si Descartes reste bloqué, il cesse d'être un penseur pour devenir un ruminant. 

Non seulement la nature.

On peut tourner en rond, ne jamais aboutir et être penseur tout de même.

Après tout il y a des questionnements insolubles.

A mes yeux le fait d'être quelqu'un de réfléchi peut être un atout ou devenir un défaut selon les cas. En fonction d'une part de ce que l'on fait de cette réflexion personnelle évidemment, de sa justesse et de son degré d'utilité, et aussi à condition que cette réflexion ne prenne pas trop le pas sur l'intérêt pour autre chose que ses propres "élucubrations"...

L'essentiel pour tous reste donc à mon avis de saisir suffisamment les opportunités de réfléchir à propos de choix "importants", et de savoir assez partager ses réflexions, aux moments opportuns. (Mais quelqu'un qui s'attarderait trop sur des points de faible utilité, ou qui ne saurait pas assez s'adapter au contexte, aux divers interlocuteurs, par l'importance qu'il donnerait à sa propre réflexion, en deviendrait ennuyeux.)

Quant à l'influençabilité psychique, bien dosée elle peut elle aussi représenter un atout, plutôt que de "n'en faire toujours qu'à sa tête" par exemple...

Pour ma part, je n'ai pas forcément de préférence pour les personnes particulièrement réfléchies (bien qu'elles peuvent évidemment régulièrement s'avérer intéressantes à mes yeux), parce que je ne suis pas extrêmement portée sur le dialogue, un peu sans plus. Mais généralement, quand un sujet m'intéresse vraiment, je m'informe surtout au travers de divers types de documents sur le sujet. Et je peux apprécier une discussion même si elle n'est pas particulièrement profonde intellectuellement, ce type de discussion peut d'après moi s'avérer très instructif aussi, par l'échange d'informations, la psychologie, le simple plaisir de partager un moment, une activité, ensemble, etc...

à l’instant, Crom- a dit :

Non seulement la nature.

On peut tourner en rond, ne jamais aboutir et être penseur tout de même.

Après tout il y a des questionnements insolubles.

Je suis en désaccord là dessus. Réfléchir en boucle à un problème insoluble n'a aucun sens. Quel penseur voudrait vider l'océan avec une louche?