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Les sociétés secrètes politique

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Mowgli

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Qu'est ce qu'une société secrète ?

Le Grand Larousse nous rappelle qu’une société est une réunion de personnes soumises à un règlement commun ou régies par des conventions en vue d’une activité commune ou pour la défense de leurs intérêts. Mais une société secrète ? Cette encyclopédie n’en fait pas mention.

Quant au Petit Robert, on reste surpris de son insuffisance puisqu’il définit une société secrète comme étant une association qui poursuit en secret des menées subversives. Ce qui est étrangement limitatif car de nombreuses sociétés secrètes se donnent pour mission de défendre l’ordre, qu’il soit individuel ou social, et de s’opposer à toutes les formes de subversions. Essayons donc de voir plus loin et plus juste. Demandons-nous, d’abord, pourquoi une association peut être qualifiée de secrète ? Nous trouverons deux raisons qui, dans quelques cas, ne s’excluent point. Une société est secrète du fait de son recrutement ou du fait de ses activités.
A. (...)

Dès 1946, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay, un érudit, M. Husson, a publié une copieuse étude exhaustive sur la Synarchie politique. Il n’est pas dans nos intentions de percer pourquoi, plus tard, d’autres ouvrages sur le même sujet ont accumulé les erreurs et les omissions, dont un grand nombre ne sont sans doute pas involontaires et tiennent plus de l’intoxication politique que de l’impartialité historique. Quoi qu’il en soit, nous nous contenterons, en ce moment, de suivre Geoffroy de Charnay, dans sa classification des diverses et nombreuses sociétés secrètes politiques.

Il distingue trois catégories, ou, si l’on préfère, trois degrés.

1. Les sociétés secrètes inférieures

Dont le public connaît, sinon les buts exacts, au moins l’existence. En France, la plupart d’entre elles sont administrativement légales, ayant souscrit aux prescriptions de la loi de 1901. Parmi elles, citons la franc-maçonnerie bleue , la Société Théosophique en son cercle extérieur, de nombreuses petites églises ; on y classera aussi des groupes politiques allant des trotskistes aux nostalgiques de l’O. A. S. ; enfin quelques mouvements séparatistes, comme le Gwan-an-Du armoricain. Dans chacune de ces sociétés, les adhérents possèdent la mentalité du parfait militant. En dehors de quelques sinistres indicateurs, ces braves gens croient sincèrement, profondément à un idéal, religieux, philosophique ou politique. En un mot, dans ces sociétés, les idéologies prônées sont des appâts à l’aide desquels on draine une clientèle sincère, probe, désintéressée et naïve. Le recrutement y est très divers. Malgré ce qu’affirment les dirigeants, presque tous les postulants sont admis. Un esprit critique, une forte instruction, une intelligence éclairée, une situation sociale en vue, cependant, sont parfois plutôt des obstacles que des références. Sous le couvert d’initiations à des grades successifs, on diffuse des mots d’ordre ou des consignes d’action. Surtout, on étudie les nouveaux inscrits et, le cas échéant, on les dirige vers des voies de garage ou, au contraire, on les oriente vers la seconde catégorie des sociétés secrètes.

On a écrit que les sociétés secrètes inférieures étaient comparables à des viviers où l’on abandonne le fretin à son sort obscur, mais où l’on pêche les gros poissons afin de les élever dans des bassins mieux adaptés à leurs qualités. Comme les noms, sinon les buts réels, de ces sociétés secrètes sont seuls connus du public, elles sont parfois désignées, comme boucs émissaires, à l’aveugle fureur populaire. Qu’on nous pardonne ce cruel jeu de mots, mais on les couvre de tous les péchés d’Israël. Ces déchaînements de haine sont préparés par des campagnes de calomnies savamment orchestrées dont les instigateurs, bien souvent, sont les propres dirigeants, les Supérieurs Inconnus qui, debout derrière un voile, invisibles et présents, tirent les ficelles de ces marionnettes.

Ainsi, en sacrifiant leurs troupeaux d’esclaves, les chefs occultes assurent leur propre sécurité et continuent avec d’autres figurants leur action souterraine. Ce qui nous conduit à la :

2. Seconde classe des sociétés secrètes

Celles que Geoffroy de Charnay nomme les sociétés de cadres ou sociétés intermédiaires. Celles-ci sont authentiquement secrètes car seules quelques personnes en connaissent ou en soupçonnent l’existence et les buts. Leurs affiliés restent inconnus non seulement du monde profane mais aussi des membres des sociétés secrètes de base. Elles ne sont jamais déclarées selon les prescriptions de la loi de 1901, ou bien se dissimulent sous le couvert de groupements anodins. Nul n’y propose sa propre affiliation. C’est un conseil, occulte, qui décide, par cooptation, qui en est digne. Fréquemment mais pas constamment ces sélectionnés ont fait, à leur insu, un stage probatoire dans une société inférieure. Une tactique d’approche est mise en œuvre par les responsables qui ne se dévoilent qu’en dernier ressort et après s’être protégés d’éventuelles indiscrétions par tout un système de faux-semblants et de mises en garde. Le nouvel inscrit est, pour ainsi dire, choisi d’autorité. Un refus de sa part l’exposerait à d’imprévisibles sanctions, il doit, désormais, obéir perinde ac cadaver ; toute indiscrétion, toute imprudence seraient, sanctionnées d’une façon radicale. Ces sociétés-cadres modifient, selon les circonstances, leurs noms et même leurs structures. Aussi ne sont-elles décelées qu’après leur disparition ou plutôt leurs anciens avatars.

On citera (parce qu’elles ne sont plus) les Illuminés de Bavière d’Adam Weishaupt ; The High Brotherhood of Louxor, l’A. A. d’Aleister Crowley, la Compagnie du Saint-Sacrement (sous Louis XIV), les kabbalistes de la Kehilla, l’Edelweiss. Après l’assassinat, par les miliciens, du grand-maître Constant Chevillon, le voile qui protège le Martinisme a été soulevé un instant. Mais depuis, les authentiques continuateurs du Philosophe Inconnu ont repris, symboliquement, le Masque et le Manteau qui les défendent contre les infiltrations profanes. Qui voudrait être instruit des anciennes activités du cercle intérieur de la Société Théosophique lira La Pierre philosophale d’Anker Larsen. Mais en se souvenant que ces révélations appartiennent au passé. Quant au Mouvement Synarchique d’Empire, il se cache maintenant, comme les calamars, sous un flot d’encre. Comme au jeu d’échecs, il s’agit, d’abord, de placer les pièces maîtresses aux bons endroits, aux leviers de commande. Ainsi ces groupes, par osmose, contrôlent les rouages essentiels des États, comme des grandes organisations mondiales de la Politique et de l’Économie. Mais un des promus fait-il acte d’indépendance ou d’insuffisance ? Est-il la proie de scrupules ? Commet-il quelque indiscrétion, même mineure ? Il est aussitôt éliminé, même, s’il est nécessaire, par les moyens les plus radicaux, dont certaines crises cardiaques attribuées au surmenage ne sont pas exclues. Comme le précise pertinemment Geoffroy de Charnay :« Le rôle des membres de ces sociétés de cadres est surtout de gestion ». Ces sociétés de cadres ne sont pas particulières à notre époque. Pour comprendre ou, plusexactement, deviner leurs rôles, il n’est que de relire, dans les Mémoires du duc de Saint-Simon les passages relatifs au choix des confesseurs de Louis XIV et spécialement du Père LeTellier. Mais ces associations ne sont encore que des rouages. Elles exécutent plus qu’elles necommandent. L’élaboration du plan appartient aux sociétés secrètes de troisième degré.

3. Les sociétés secrètes supérieures totalement occultes

La masse des profanes n’en soupçonne même pas l’existence. Elles restent ignorées des sociétés secrètes de base et pour les sociétés de cadres constituent un sujet tabou. La page de garde du Pacte Synarchique Révolutionnaire est, à ce point de vue, significative : « Toute détention illicite du présent document expose à des sanctions sans limiteprévisible, quel que soit le canal par lequel il a été reçu. Le mieux, en pareil cas, est de lebrûler et de n’en point parler. La révolution n’est pas une plaisanterie mais l’action èimplacable régie par une loi de fer. » Geoffroy de Charray précise :« Ni leur nom, ni leur existence, ni leurs affiliés ne sont connus. On en est réduit à desimples conjectures. » Plus précisément, la découverte fortuite de quelque énigmatique document ou une confidence inopinément surprise met sur la voie.C’est ainsi que, durant sa courte agonie, après l’attentat dirigé contre lui, Walter Ratheneau prononça : « Les 72 qui mènent le monde»

Cet état-major international ne comprend qu’un petit nombre d’initiés dont la plupart sont classés parmi les « dirigeants » ou les grands hommes d’État. Mais certains d’entre eux vivent, dans la clandestinité, une existence retirée, ascétique ; nul ne soupçonne leur influence ou même leur identité véritable. Nous aurons l’occasion d’en rencontrer quelques-uns au cours des chapitres qui suivront. Qui veut être renseigné sur leur rôle dans l’élaboration du récent concile œcuménique lira, avec fruit, Une larme pour tous de Paul Arnold. Tous ces adeptes (réunis en une hiérarchie indéchiffrable dans l’état actuel de nos connaissances) détiennent des pouvoirs immenses. Il semble que seule la volonté depuissance les anime, ou qui sait ? La foi en une mission Universelle et providentielle.

Werner Gerson 1969
"Le nazisme, société secrète "

voir aussi   "Synarchie Panorama de 25 année d'activité occulte"  Geoffroy de Charnay 

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Témoudjine Membre 1 167 messages
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Il y a 10 heures, Mowgli a dit :

Qu'est ce qu'une société secrète ?

Le Grand Larousse nous rappelle qu’une société est une réunion de personnes soumises à un règlement commun ou régies par des conventions en vue d’une activité commune ou pour la défense de leurs intérêts. Mais une société secrète ? Cette encyclopédie n’en fait pas mention.

Quant au Petit Robert, on reste surpris de son insuffisance puisqu’il définit une société secrète comme étant une association qui poursuit en secret des menées subversives. Ce qui est étrangement limitatif car de nombreuses sociétés secrètes se donnent pour mission de défendre l’ordre, qu’il soit individuel ou social, et de s’opposer à toutes les formes de subversions. Essayons donc de voir plus loin et plus juste. Demandons-nous, d’abord, pourquoi une association peut être qualifiée de secrète ? Nous trouverons deux raisons qui, dans quelques cas, ne s’excluent point. Une société est secrète du fait de son recrutement ou du fait de ses activités.
A. (...)

Dès 1946, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay, un érudit, M. Husson, a publié une copieuse étude exhaustive sur la Synarchie politique. Il n’est pas dans nos intentions de percer pourquoi, plus tard, d’autres ouvrages sur le même sujet ont accumulé les erreurs et les omissions, dont un grand nombre ne sont sans doute pas involontaires et tiennent plus de l’intoxication politique que de l’impartialité historique. Quoi qu’il en soit, nous nous contenterons, en ce moment, de suivre Geoffroy de Charnay, dans sa classification des diverses et nombreuses sociétés secrètes politiques.

Il distingue trois catégories, ou, si l’on préfère, trois degrés.

1. Les sociétés secrètes inférieures

Dont le public connaît, sinon les buts exacts, au moins l’existence. En France, la plupart d’entre elles sont administrativement légales, ayant souscrit aux prescriptions de la loi de 1901. Parmi elles, citons la franc-maçonnerie bleue , la Société Théosophique en son cercle extérieur, de nombreuses petites églises ; on y classera aussi des groupes politiques allant des trotskistes aux nostalgiques de l’O. A. S. ; enfin quelques mouvements séparatistes, comme le Gwan-an-Du armoricain. Dans chacune de ces sociétés, les adhérents possèdent la mentalité du parfait militant. En dehors de quelques sinistres indicateurs, ces braves gens croient sincèrement, profondément à un idéal, religieux, philosophique ou politique. En un mot, dans ces sociétés, les idéologies prônées sont des appâts à l’aide desquels on draine une clientèle sincère, probe, désintéressée et naïve. Le recrutement y est très divers. Malgré ce qu’affirment les dirigeants, presque tous les postulants sont admis. Un esprit critique, une forte instruction, une intelligence éclairée, une situation sociale en vue, cependant, sont parfois plutôt des obstacles que des références. Sous le couvert d’initiations à des grades successifs, on diffuse des mots d’ordre ou des consignes d’action. Surtout, on étudie les nouveaux inscrits et, le cas échéant, on les dirige vers des voies de garage ou, au contraire, on les oriente vers la seconde catégorie des sociétés secrètes.

On a écrit que les sociétés secrètes inférieures étaient comparables à des viviers où l’on abandonne le fretin à son sort obscur, mais où l’on pêche les gros poissons afin de les élever dans des bassins mieux adaptés à leurs qualités. Comme les noms, sinon les buts réels, de ces sociétés secrètes sont seuls connus du public, elles sont parfois désignées, comme boucs émissaires, à l’aveugle fureur populaire. Qu’on nous pardonne ce cruel jeu de mots, mais on les couvre de tous les péchés d’Israël. Ces déchaînements de haine sont préparés par des campagnes de calomnies savamment orchestrées dont les instigateurs, bien souvent, sont les propres dirigeants, les Supérieurs Inconnus qui, debout derrière un voile, invisibles et présents, tirent les ficelles de ces marionnettes.

Ainsi, en sacrifiant leurs troupeaux d’esclaves, les chefs occultes assurent leur propre sécurité et continuent avec d’autres figurants leur action souterraine. Ce qui nous conduit à la :

2. Seconde classe des sociétés secrètes

Celles que Geoffroy de Charnay nomme les sociétés de cadres ou sociétés intermédiaires. Celles-ci sont authentiquement secrètes car seules quelques personnes en connaissent ou en soupçonnent l’existence et les buts. Leurs affiliés restent inconnus non seulement du monde profane mais aussi des membres des sociétés secrètes de base. Elles ne sont jamais déclarées selon les prescriptions de la loi de 1901, ou bien se dissimulent sous le couvert de groupements anodins. Nul n’y propose sa propre affiliation. C’est un conseil, occulte, qui décide, par cooptation, qui en est digne. Fréquemment mais pas constamment ces sélectionnés ont fait, à leur insu, un stage probatoire dans une société inférieure. Une tactique d’approche est mise en œuvre par les responsables qui ne se dévoilent qu’en dernier ressort et après s’être protégés d’éventuelles indiscrétions par tout un système de faux-semblants et de mises en garde. Le nouvel inscrit est, pour ainsi dire, choisi d’autorité. Un refus de sa part l’exposerait à d’imprévisibles sanctions, il doit, désormais, obéir perinde ac cadaver ; toute indiscrétion, toute imprudence seraient, sanctionnées d’une façon radicale. Ces sociétés-cadres modifient, selon les circonstances, leurs noms et même leurs structures. Aussi ne sont-elles décelées qu’après leur disparition ou plutôt leurs anciens avatars.

On citera (parce qu’elles ne sont plus) les Illuminés de Bavière d’Adam Weishaupt ; The High Brotherhood of Louxor, l’A. A. d’Aleister Crowley, la Compagnie du Saint-Sacrement (sous Louis XIV), les kabbalistes de la Kehilla, l’Edelweiss. Après l’assassinat, par les miliciens, du grand-maître Constant Chevillon, le voile qui protège le Martinisme a été soulevé un instant. Mais depuis, les authentiques continuateurs du Philosophe Inconnu ont repris, symboliquement, le Masque et le Manteau qui les défendent contre les infiltrations profanes. Qui voudrait être instruit des anciennes activités du cercle intérieur de la Société Théosophique lira La Pierre philosophale d’Anker Larsen. Mais en se souvenant que ces révélations appartiennent au passé. Quant au Mouvement Synarchique d’Empire, il se cache maintenant, comme les calamars, sous un flot d’encre. Comme au jeu d’échecs, il s’agit, d’abord, de placer les pièces maîtresses aux bons endroits, aux leviers de commande. Ainsi ces groupes, par osmose, contrôlent les rouages essentiels des États, comme des grandes organisations mondiales de la Politique et de l’Économie. Mais un des promus fait-il acte d’indépendance ou d’insuffisance ? Est-il la proie de scrupules ? Commet-il quelque indiscrétion, même mineure ? Il est aussitôt éliminé, même, s’il est nécessaire, par les moyens les plus radicaux, dont certaines crises cardiaques attribuées au surmenage ne sont pas exclues. Comme le précise pertinemment Geoffroy de Charnay :« Le rôle des membres de ces sociétés de cadres est surtout de gestion ». Ces sociétés de cadres ne sont pas particulières à notre époque. Pour comprendre ou, plusexactement, deviner leurs rôles, il n’est que de relire, dans les Mémoires du duc de Saint-Simon les passages relatifs au choix des confesseurs de Louis XIV et spécialement du Père LeTellier. Mais ces associations ne sont encore que des rouages. Elles exécutent plus qu’elles necommandent. L’élaboration du plan appartient aux sociétés secrètes de troisième degré.

3. Les sociétés secrètes supérieures totalement occultes

La masse des profanes n’en soupçonne même pas l’existence. Elles restent ignorées des sociétés secrètes de base et pour les sociétés de cadres constituent un sujet tabou. La page de garde du Pacte Synarchique Révolutionnaire est, à ce point de vue, significative : « Toute détention illicite du présent document expose à des sanctions sans limiteprévisible, quel que soit le canal par lequel il a été reçu. Le mieux, en pareil cas, est de lebrûler et de n’en point parler. La révolution n’est pas une plaisanterie mais l’action èimplacable régie par une loi de fer. » Geoffroy de Charray précise :« Ni leur nom, ni leur existence, ni leurs affiliés ne sont connus. On en est réduit à desimples conjectures. » Plus précisément, la découverte fortuite de quelque énigmatique document ou une confidence inopinément surprise met sur la voie.C’est ainsi que, durant sa courte agonie, après l’attentat dirigé contre lui, Walter Ratheneau prononça : « Les 72 qui mènent le monde»

Cet état-major international ne comprend qu’un petit nombre d’initiés dont la plupart sont classés parmi les « dirigeants » ou les grands hommes d’État. Mais certains d’entre eux vivent, dans la clandestinité, une existence retirée, ascétique ; nul ne soupçonne leur influence ou même leur identité véritable. Nous aurons l’occasion d’en rencontrer quelques-uns au cours des chapitres qui suivront. Qui veut être renseigné sur leur rôle dans l’élaboration du récent concile œcuménique lira, avec fruit, Une larme pour tous de Paul Arnold. Tous ces adeptes (réunis en une hiérarchie indéchiffrable dans l’état actuel de nos connaissances) détiennent des pouvoirs immenses. Il semble que seule la volonté depuissance les anime, ou qui sait ? La foi en une mission Universelle et providentielle.

Werner Gerson 1969
"Le nazisme, société secrète "

voir aussi   "Synarchie Panorama de 25 année d'activité occulte"  Geoffroy de Charnay 

La substance de ce post est un copié/collé de morceaux de l’un des innombrables ouvrages qui ont été publiés sous des titres divers, et sous des noms généralement fantaisistes, comme ce Geoffroy de Charnay. Mais le vrai fut un compagnon de Jacques de Molay, Grand Maître de l’Ordre du Temple, et mort avec lui sur le bûcher en 1314. Ce fut l’un des moments forts du Moyen-âge, jadis appris aux enfants du primaire. Au temps où l’école enseignait l’Histoire de France aux écoliers.  

Les ouvrages traitant des sociétés secrètes étaient très à la mode avant, pendant et après la guerre.

Les élucubrations nazies y ont beaucoup aidé. Tous ces ouvrages, comme celui-là, ne sont composés que de bêtises, de croyances fantaisistes dans des sociétés secrètes qui dans l’obscurité la plus totale,  dirigent les peuples pour mieux les exploiter et les faire agir en faveur d’élites secrètes qui dirigeraient le monde dans l’ombre.

Quant au Werner Gerson cité en référence, c’est un auteur de la même catégorie qui a écrit sous de multiples pseudos de ouvrages traitant tous de la vision des nazis sur les sociétés secrètes imaginaires.    

L’on sait qu’Hitler et nombre de ses cadres nazis s’adonnaient au spiritisme et à la recherche des recettes magiques. Et ont fait rechercher dans l’Europe occupée tout ce que les croyances les plus stupides avaient laissé fleurir en matière d’organisations secrètes supposées ou généralement imaginées.

Les ouvrages cités dans ce post, signés Geoffroy de Charnay et Werner Gerson, ne sont que deux reprises de la myriade d’ouvrages totalement fantaisistes qui ont été publiés entre 1930 et en gros 1950.  

Si des gens souhaitent savoir ce qu’est une véritable « société secrète », ce n’est surtout pas vers les deux ouvrages cités là qu’il faut se diriger.

Il y en a d’extrêmement sérieux à la disposition de tous, même de ceux qui n’appartiennent à aucune société secrète.

Ces histoires sont marrantes au cinéma lorsqu’elles nous donnent la série des Indiana Jones, avec  Harrison Ford et Seen Connery. Mais à part des missions de « recherche » mandatées par Hitler lui-même paraît-il à travers l’Europe, et par différents chefs nazis, tout ce que rapportent ces séries d’ouvrages n’est que fantaisie et élucubrations.

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Mowgli Membre 1 741 messages
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Il y a 11 heures, Témoudjine a dit :

La substance de ce post est un copié/collé de morceaux de l’un des innombrables ouvrages qui ont été publiés sous des titres divers, et sous des noms généralement fantaisistes, comme ce Geoffroy de Charnay. Mais le vrai fut un compagnon de Jacques de Molay, Grand Maître de l’Ordre du Temple, et mort avec lui sur le bûcher en 1314. Ce fut l’un des moments forts du Moyen-âge, jadis appris aux enfants du primaire. Au temps où l’école enseignait l’Histoire de France aux écoliers.  Les ouvrages traitant des sociétés secrètes étaient très à la mode avant, pendant et après la guerre.Les élucubrations nazies y ont beaucoup aidé. Tous ces ouvrages, comme celui-là, ne sont composés que de bêtises, de croyances fantaisistes dans des sociétés secrètes qui dans l’obscurité la plus totale,  dirigent les peuples pour mieux les exploiter et les faire agir en faveur d’élites secrètes qui dirigeraient le monde dans l’ombre.Quant au Werner Gerson cité en référence, c’est un auteur de la même catégorie qui a écrit sous de multiples pseudos de ouvrages traitant tous de la vision des nazis sur les sociétés secrètes imaginaires.    L’on sait qu’Hitler et nombre de ses cadres nazis s’adonnaient au spiritisme et à la recherche des recettes magiques. Et ont fait rechercher dans l’Europe occupée tout ce que les croyances les plus stupides avaient laissé fleurir en matière d’organisations secrètes supposées ou généralement imaginées.Les ouvrages cités dans ce post, signés Geoffroy de Charnay et Werner Gerson, ne sont que deux reprises de la myriade d’ouvrages totalement fantaisistes qui ont été publiés entre 1930 et en gros 1950.  Si des gens souhaitent savoir ce qu’est une véritable « société secrète », ce n’est surtout pas vers les deux ouvrages cités là qu’il faut se diriger.Il y en a d’extrêmement sérieux à la disposition de tous, même de ceux qui n’appartiennent à aucune société secrète.Ces histoires sont marrantes au cinéma lorsqu’elles nous donnent la série des Indiana Jones, avec  Harrison Ford et Seen Connery. Mais à part des missions de « recherche » mandatées par Hitler lui-même paraît-il à travers l’Europe, et par différents chefs nazis, tout ce que rapportent ces séries d’ouvrages n’est que fantaisie et élucubrations.

Ce sont des informations encyclopédique toutes recensés avec des sources qualifiés. Et que l'on ne trouve pas facilement sur internet. Entre toutes ces intox sur la toile, ces écrits et vidéos, qui parlent des sociétés secrètes. D'ailleurs, après ces quelques livres mis en avant, il y a eu beaucoup de livre qui ont fait semblant de parler du même sujet. Mais, ils ont presque tous pratiqué la langue de bois et une désinformation. En le liant par ailleurs à des choses complètement fantastique. Mais là ce n'est pas le cas, c'est ce qu'on cherche à noyer sous un tas d'information contraire. Ce que j'ai mis en avant vient du livre de Werner Gerson (Pierre Mariel) et celui dont il tire ces sources pour la synarchie et la classification des sociétés secrète politique dans ce 1er chapitre est de Raoul Husson, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay. Qui avait écrit Synarchie : 25 années d'activité occulte.

Ce qu'ils appelent magie tellurique ce sont les moyens scientifique utilisés par le nazisme pour le contrôle des masses. Mais les désinformateurs imposteurs, comme toi tmujin (un de mes anciens pseudo d'un forum qui a disparu, personne imitera un tel pseudo... impossible), doivent intoxiquer ces sujets pour les discréditer. En fait c'est toi qui fait des élacubrations sans prendre en compte la réalité des écrits.

Les sociétés secrètes existent legalement sous la loi de 1901. La franc maconnerie existe bel et bien. La société théosophique existe. La rose croix existe. Le martinisme existe. Des groupes politiques qui diffusent des croyances populaires pour créer une clientèle dans une manipulation totale, existent. Les adeptes de la fleur de bach existent. Le groupe O.T.O existe. L'edelweiss, qui recutre encore aujourd'hui avec divers groupe politique d'extreme droite, existe. Et le cher MSE, mouvement synarchique d'empire qu'on essaye de dissimuler, existe.

Ce livre parle aussi d'anciennes sociétés secrètes d'Allemagne qui ont existé. Et ce sont des preuves historique et non une histoire imaginaire. La sainte vehme a existé, les illuminés de bavières ont existés, the High Brotherhood a existé, le groupe Thulé a existé.

Donc tèmoutajine, t'es un menteur rien de plus. Des mensonges grave pour dénigrer ce que je publie. C'est vraiment malsain et complètement ridicule

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Témoudjine Membre 1 167 messages
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Il y a 21 heures, Mowgli a dit :

  

Ce sont des informations encyclopédique toutes recensés avec des sources qualifiés. Et que l'on ne trouve pas facilement sur internet. Entre toutes ces intox sur la toile, ces écrits et vidéos, qui parlent des sociétés secrètes. D'ailleurs, après ces quelques livres mis en avant, il y a eu beaucoup de livre qui ont fait semblant de parler du même sujet. Mais, ils ont presque tous pratiqué la langue de bois et une désinformation. En le liant par ailleurs à des choses complètement fantastique. Mais là ce n'est pas le cas, c'est ce qu'on cherche à noyer sous un tas d'information contraire. Ce que j'ai mis en avant vient du livre de Werner Gerson (Pierre Mariel) et celui dont il tire ces sources pour la synarchie et la classification des sociétés secrète politique dans ce 1er chapitre est de Raoul Husson, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay. Qui avait écrit Synarchie : 25 années d'activité occulte.

Ce qu'ils appelent magie tellurique ce sont les moyens scientifique utilisés par le nazisme pour le contrôle des masses. Mais les désinformateurs imposteurs, comme toi tmujin (un de mes anciens pseudo d'un forum qui a disparu, personne imitera un tel pseudo... impossible), doivent intoxiquer ces sujets pour les discréditer. En fait c'est toi qui fait des élacubrations sans prendre en compte la réalité des écrits.

Les sociétés secrètes existent legalement sous la loi de 1901. La franc maconnerie existe bel et bien. La société théosophique existe. La rose croix existe. Le martinisme existe. Des groupes politiques qui diffusent des croyances populaires pour créer une clientèle dans une manipulation totale, existent. Les adeptes de la fleur de bach existent. Le groupe O.T.O existe. L'edelweiss, qui recutre encore aujourd'hui avec divers groupe politique d'extreme droite, existe. Et le cher MSE, mouvement synarchique d'empire qu'on essaye de dissimuler, existe.

Ce livre parle aussi d'anciennes sociétés secrètes d'Allemagne qui ont existé. Et ce sont des preuves historique et non une histoire imaginaire. La sainte vehme a existé, les illuminés de bavières ont existés, the High Brotherhood a existé, le groupe Thulé a existé.

Donc tèmoutajine, t'es un menteur rien de plus. Des mensonges grave pour dénigrer ce que je publie. C'est vraiment malsain et complètement ridicule

Mon cher ami, mais si je me fie à ton dernier post ce qualificatif est ici déplacé, si tu crois réellement, comme tu l’écris, que je raconte des mensonges pour dénigrer ce que tu écris, tu te mets le figer in the eye ; comme le diraient mes petites filles qui, dans leur grande section de maternelle, se sont déjà mises à l’anglais. Cette langue de marchands de cochons, comme l’a dit Napoléon, qui précisément voulait les empêcher de vendre leurs cochons. .

Il se trouve simplement que lorsque je lis une chose que je considère comme fausse, je le fais remarquer à son auteur. Je sais que cela n’est pas charitable, pare que cela risque de vexer l’auteur du dit. Mais j’ai la faiblesse de penser que même si c’est désagréable pour l’auteur de l’erreur d’être contredit, d’une certaine manière c’est une façon de lui rendre service. Parce que cela peut l’amener, s’il le comprend, à avoir à l’avenir à ce sujet une vision plus exacte de la réalité.

J’ai dû être enseignant dans une vie antérieure.

Avoir choisi comme thème d’intervention les sociétés secrètes est une excellente idée et tu as bien raison sur ce point. Le problème n’est pas là. Il est que pour illustrer ton propos tu es allé chercher deux auteurs « d’ouvrages », parfaitement enregistrés comme des gens totalement farfelus et dont les « œuvres » relèvent davantage de la fumisterie et du recensement de toutes les légendes urbaines et racontars qui circulaient à leur époque.

De tous temps l’on a imaginé des légendes de « supérieurs secrets » qui dans l’ombre œuvrent à diverses tâches inavouables. Mais qui ont toutes pour but d’asservir le monde, ou d’en exploiter les richesses aux dépens des populations.

De même, de tous temps, des illuminés ont créé des sociétés prétendument secrètes, mais qui ne l’étaient jamais pour la police de leur pays. Ils s’occupaient à inventer des rituels, des codes, des réseaux d’assistance entre leurs membres. Mais qui pour l’essentiel ont toutes relevé du folklore. Il y en a peu qui ont eu à leur époque une véritable influence, et aucune de celles que tu cites, même si les noms qu’elles employaient faisaient références à des sociétés passées.

La Franc-Maçonnerie est la seule société sérieuse parmi toutes celles que tu cites. Et manque de pot, elle n'est pas une société secrète. Elle est une société discrète, ce qui n’est pas la même chose. Ses statuts sont partout déposés en Préfecture et ses responsables parfaitement connus et officiels.  

Malheureusement donc, tu as choisi de traiter ton sujet sur la base de deux ouvrages particulièrement mal choisis. L’un réalisé par un individu qui a vécu durant toute sa vie en vendant des « livres » qui se contentaient de reprendre et de lister toutes les bêtises que les amateurs de secrets, de fabulations et les spécialistes de conjurations imaginaires, voulaient bien acheter.

L’autre qui était un nazi convaincu que les hallucinations de Hitler et des principaux chefs nazis en matière de secrets millénaires concernant des conjurations fantaisistes qui auraient agité l’Histoire ancienne ou récente, étaient basées sur des choses sérieuses. Mais tous ces rigolos auxquels le III° Reich fournissait la possibilité d’effectuer des « recherches », en Europe ou au Moyen-Orient, en profitaient pour passer agréablement leur temps. Ils auraient eu tort de ne pas en profiter. Et n’en déplaise à Harrison Ford, ils n’ont jamais trouvé l’Arche d’Alliance. Ils ne risquaient pas.  

La série des Indiana Jones au cinéma est basée sur ces élucubrations. Mais la série est excellente, et correspond à une face de ces choses qui a réellement existé à l’époque du Reich. En moins romancée dans la réalité, évidemment. La face de recherches de secrets passés par des illuminés nazis.

Par contre, tu écris d’autres bêtises qui ne seraient pas nécessaires. Par exemple :

-       « Ce sont des informations encyclopédique(s) toutes recensés avec des sources qualifiés ».

Il est risqué d’écrire des choses que l’on n’est pas en mesure de prouver.

D’abord cela ne veut rien dire. Cela signifierait pour toi que tu tires tes preuves d’une encyclopédie. Mais une chose tirée d’une encyclopédie n’est nullement une preuve. Au mieux c’est une source, l’origine d’une affirmation. Mais aucunement la garantie que ce qui y est dit est exact.

Sur mes étagères j’ai plusieurs encyclopédies, dont trois qui ont une vingtaine de volumes et occupent chacune deux mètres de rayon. La plus ancienne date du XVIII° siècle, (mon exemplaire n’est qu’un fac-similé, hélas) et les deux plus récentes outre leur version papier, ont une version informatique mise à jour en permanence.  Je peux te citer, extraits d’elles, des dizaines de points ou de sujets souvent importants, sur lesquels elles proposent des réponses différentes. Parfois totalement opposées. Et pourtant l’on ne peut pas faire plus sérieux dans le genre.  

Il te sera donc facile de confirmer ta déclaration en indiquant les références réelles de tes :

-        « informations encyclopédiques, recensées avec des sources qualifiées ». Quelles sources qualifiées ?

En outre tu évoques le fait que je mets en doute : « la réalité des écrits ». Mais cela non plus ne veut rien dire. Ce n’est pas parce qu’une chose est écrite qu’elle est vraie. Les plus énormes mensonges qui ont jamais été produits et ont affecté l’humanité, , ont tous été écrits avant d’être annoncés oralement. Ce qui compte est la réalité et la sincérité de ce qui est écrit. Pas que ce soit écrit. Tu confonds l’essence et la substance.

Par contre et par simple curiosité, indique-moi quels sont les points sur lesquels j’ai raconté des mensonges. J’aimerais savoir.

Je suis désolé de te contredire sur ton post.

À ton prochain sujet, je te promets de ne pas intervenir. Promis, craché !

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Il y a 9 heures, Témoudjine a dit :

Mon cher ami, mais si je me fie à ton dernier post ce qualificatif est ici déplacé, si tu crois réellement, comme tu l’écris, que je raconte des mensonges pour dénigrer ce que tu écris, tu te mets le figer in the eye ; comme le diraient mes petites filles qui, dans leur grande section de maternelle, se sont déjà mises à l’anglais. Cette langue de marchands de cochons, comme l’a dit Napoléon, qui précisément voulait les empêcher de vendre leurs cochons. . Il se trouve simplement que lorsque je lis une chose que je considère comme fausse, je le fais remarquer à son auteur. Je sais que cela n’est pas charitable, pare que cela risque de vexer l’auteur du dit. Mais j’ai la faiblesse de penser que même si c’est désagréable pour l’auteur de l’erreur d’être contredit, d’une certaine manière c’est une façon de lui rendre service. Parce que cela peut l’amener, s’il le comprend, à avoir à l’avenir à ce sujet une vision plus exacte de la réalité.  J’ai dû être enseignant dans une vie antérieure. Avoir choisi comme thème d’intervention les sociétés secrètes est une excellente idée et tu as bien raison sur ce point. Le problème n’est pas là. Il est que pour illustrer ton propos tu es allé chercher deux auteurs « d’ouvrages », parfaitement enregistrés comme des gens totalement farfelus et dont les « œuvres » relèvent davantage de la fumisterie et du recensement de toutes les légendes urbaines et racontars qui circulaient à leur époque.  De tous temps l’on a imaginé des légendes de « supérieurs secrets » qui dans l’ombre œuvrent à diverses tâches inavouables. Mais qui ont toutes pour but d’asservir le monde, ou d’en exploiter les richesses aux dépens des populations. De même, de tous temps, des illuminés ont créé des sociétés prétendument secrètes, mais qui ne l’étaient jamais pour la police de leur pays. Ils s’occupaient à inventer des rituels, des codes, des réseaux d’assistance entre leurs membres. Mais qui pour l’essentiel ont toutes relevé du folklore. Il y en a peu qui ont eu à leur époque une véritable influence, et aucune de celles que tu cites, même si les noms qu’elles employaient faisaient références à des sociétés passées. La Franc-Maçonnerie est la seule société sérieuse parmi toutes celles que tu cites. Et manque de pot, elle n'est pas une société secrète. Elle est une société discrète, ce qui n’est pas la même chose. Ses statuts sont partout déposés en Préfecture et ses responsables parfaitement connus et officiels.  Malheureusement donc, tu as choisi de traiter ton sujet sur la base de deux ouvrages particulièrement mal choisis. L’un réalisé par un individu qui a vécu durant toute sa vie en vendant des « livres » qui se contentaient de reprendre et de lister toutes les bêtises que les amateurs de secrets, de fabulations et les spécialistes de conjurations imaginaires, voulaient bien acheter. L’autre qui était un nazi convaincu que les hallucinations de Hitler et des principaux chefs nazis en matière de secrets millénaires concernant des conjurations fantaisistes qui auraient agité l’Histoire ancienne ou récente, étaient basées sur des choses sérieuses. Mais tous ces rigolos auxquels le III° Reich fournissait la possibilité d’effectuer des « recherches », en Europe ou au Moyen-Orient, en profitaient pour passer agréablement leur temps. Ils auraient eu tort de ne pas en profiter. Et n’en déplaise à Harrison Ford, ils n’ont jamais trouvé l’Arche d’Alliance. Ils ne risquaient pas.  La série des Indiana Jones au cinéma est basée sur ces élucubrations. Mais la série est excellente, et correspond à une face de ces choses qui a réellement existé à l’époque du Reich. En moins romancée dans la réalité, évidemment. La face de recherches de secrets passés par des illuminés nazis. Par contre, tu écris d’autres bêtises qui ne seraient pas nécessaires. Par exemple :

         « Ce sont des informations encyclopédique(s) toutes recensés avec des sources qualifiés ». Il est risqué d’écrire des choses que l’on n’est pas en mesure de prouver.

D’abord cela ne veut rien dire. Cela signifierait pour toi que tu tires tes preuves d’une encyclopédie. Mais une chose tirée d’une encyclopédie n’est nullement une preuve. Au mieux c’est une source, l’origine d’une affirmation. Mais aucunement la garantie que ce qui y est dit est exact.

Sur mes étagères j’ai plusieurs encyclopédies, dont trois qui ont une vingtaine de volumes et occupent chacune deux mètres de rayon. La plus ancienne date du XVIII° siècle, (mon exemplaire n’est qu’un fac-similé, hélas) et les deux plus récentes outre leur version papier, ont une version informatique mise à jour en permanence.  Je peux te citer, extraits d’elles, des dizaines de points ou de sujets souvent importants, sur lesquels elles proposent des réponses différentes. Parfois totalement opposées. Et pourtant l’on ne peut pas faire plus sérieux dans le genre. 

Il te sera donc facile de confirmer ta déclaration en indiquant les références réelles de tes :

-        « informations encyclopédiques, recensées avec des sources qualifiées ». Quelles sources qualifiées ? En outre tu évoques le fait que je mets en doute : « la réalité des écrits ». Mais cela non plus ne veut rien dire. Ce n’est pas parce qu’une chose est écrite qu’elle est vraie. Les plus énormes mensonges qui ont jamais été produits et ont affecté l’humanité, , ont tous été écrits avant d’être annoncés oralement. Ce qui compte est la réalité et la sincérité de ce qui est écrit. Pas que ce soit écrit. Tu confonds l’essence et la substance. Par contre et par simple curiosité, indique-moi quels sont les points sur lesquels j’ai raconté des mensonges. J’aimerais savoir.

Je suis désolé de te contredire sur ton post.

À ton prochain sujet, je te promets de ne pas intervenir. Promis, craché !

Ce sont des faits que ces organisations ont exister. AUTREMENT DIT L'INFORMATION EST RÉEL
Si tu recherches les noms de tout les groupes existants que j'ai mis en avant ils existent donc t'es un menteur. Un groupe qui a existé historiquement, qui est relaté dans toutes les enxyclopédies, existe C'EST VRAI . Donc dire que c'est l'imagination de plusieurs auteur qui recense des informations réel sur des groupes qui ont existé, est un mensonge. Si tu vérifies les source de ce livre qu'on trouve sur internet. Toutes les informations, les noms de ces groupes sont recensés par des sources officiels. Tu te noyes dans la malhonnêteté et le mensonge sur le fait que ce sont des choses imaginatif.

Tu veux juste essayé de paraître ambigu, et donc de mentir continuellement sur les informations que je donne. Le Perriniath, ouais vient plus parler, t'es  grillé

Tu racontes des mensonges sur le fait de dénigrer une oeuvre qui dénonce des groupes secret ou discret, peu importe c'est pareil. Ce qui qualife une organisation de secrete, se sont leurs activités ou leur noms qui ne sont pas divulgué.

Ces groupes ont existés, ce sont des faits, c'est une preuve, c'est réel 😚

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La Géopolitik
Karl Haushofer divulgue une science nouvelle, la Geopolitik, qui sera bientôt une des sept colonnes du national-socialisme. La Geopolitik suscite en Allemagne, et dans tous les pays d’Europe centrale, une curiosité sympathique et passionnée. C’est, avec des arrière-plans politiques, la doctrine à la mode. Une chaire est fondée à Munich. Haushofer en est le titulaire. Les étudiants s’y pressent en foule et, parmi eux, comme nous l’avons vu, Rudolf Hess. Karl Haushofer a pourprincipal collaborateur Albrecht, son fils aîné. Selon un comportement germanique dont nous avons déjà donné plusieurs exemples, cette organisation officielle, extérieure, servait de « couverture » à une organisation secrète couvrant non seulement l’Allemagne mais les pays avoisinants et même une partie du monde, grâce à des spécialistes « discrets » recueillant des renseignements qui étaient centralisés à Munich et qui agissaient en étroite collaboration avec le Weltdienst du colonel Winberg.

Pour appeler les choses par leur nom, la Geopolitik Gesellschaft constituait un réseau d’espionnage, mais d’une forme très particulière, car y collaboraient, conjointement avec des habituels, des astrologues, des médiums, des dirigeants de sociétés, métapsychiques et des animateurs de ce mouvement qui allait Ŕ quelques années plus tard devenir la Synarchie internationale.

Grâce à un bulletin d’information quotidien, nommé l’Index et communiqué seulement aux dirigeants du Parti, Hitler « prenait le pouls » du monde entier et préparait en conséquence ses décisions essentielles, celles qui frappèrent ses adversaires de stupeur et d’effroi. L’Index joua un rôle capital avant Munich comme durant les campagnes-éclairs de Pologne et de France. Dans les Mémoires rédigés, après les hostilités, par Heinz, fils cadet de
Haushofer, il est affirmé que Hitler, en signant les accords de Munich, s’était conformé aux suggestions de l’Index. « Sur cet accord de Munich, nous allons édifier la politique internationale de l’Allemagne pour un siècle au moins », aurait prédit à son entourage le fondateur de la Geopolitik.

Karl Haushofer mourut en 1945, subitement. Suicide ? C’est toujours ce qu’on dit dans des cas analogues. La personnalité du fondateur de la Geopolitik était autrement complexe qu’il n’y paraît au cours de quelques mornes audiences de Nuremberg. En fait, l’ancien général d’artillerie était, semble-t-il, un de ces êtres prédestinés qui, debout derrière le voile de leur vie ordinaire, tiennent les destinées du monde dans leur
poigne de fer. Un des 72 signalés par Rathenau expirant. Un des animateurs des sociétés secrètes supérieures, selon la classification de Geoffroy de Charnay.

Les conflits pour des territoires existent depuis des millénaires (et d’abord pour des territoires de chasse), entre des tribus, des cités, des empires, des peuples et des nations. Quelques-unes de ces guerres ont chacune fait l’objet de récits historiques écrits par des chefs de guerre victorieux (César, La guerre des Gaules) ou des témoins privilégiés (Thucydide et l’Histoire de la Guerre du Péloponnèse). Mais nous dirons qu’il faut attendre le XIXe siècle, pour que ces conflits pour du territoire ou des étendues marines commencent à faire l’objet d’études comparatives et systématiques qui prennent en compte non seulement les forces en présence, mais surtout les multiples caractéristiques géographiques des espaces disputés.

Certes la géographie (étymologiquement, dessiner la terre et d’abord des cartes) est un des tout premiers savoirs scientifiques. Il a 2500 ans d’existence, depuis Hérodote et ses Enquêtes et il s’est étendu et précisé au cours des siècles au fur et à mesure des mesures et des observations faites par les conquérants, les navigateurs et les explorateurs. C’est seulement au début du XIXe siècle, après les guerres napoléoniennes, et tout d’abord en Prusse, que la géographie commence à faire l’objet d’un enseignement destiné non plus seulement aux chefs de guerre, mais aussi à des milieux sociaux de plus en plus larges (et même aux élèves des écoles) et qu’elle devient – d’abord à l’université de Berlin – discipline universitaire pour former des professeurs de lycée ; tout ceci n’est pas sans rapport avec le mouvement pour l’unité allemande. Cette géographie universitaire qui produit des classifications et des outillages intellectuels, se compose progressivement de secteurs de plus en plus nombreux : géographie des formes du relief, géographie des climats, de la végétation... de la population, géographie économique, géographie politique. C’est à partir de ce dernier secteur que va se constituer la géopolitique.

Première phase : la géopolitique allemande, 1890-1945

En 1887, le grand géographe Friedrich Ratzel qui est déjà l’auteur d’une vaste Anthropogéographie (1882), publie en 1887 une Politische Geographie. C’est par la contraction de ces deux termes, sous la plume de Rudolf Kjellen, un juriste suédois (germanophile) devenu géographe, qu’est apparu quelques temps plus tard le mot Geopolitik. Cette géopolitique allemande s’est abusivement réclamée des thèses biologiques de Darwin, en prétendant qu’entre les peuples, existait une sélection naturelle, facteur de progrès, comparable à celle qui existe entre les espèces animales. Ce discours pseudo-scientifique connut un succès d’autant plus grand en Allemagne qu’il fournissait une commode « justification » scientifique à l’expansion pangermaniste. Aussi le terme de géopolitique ne fut guère utilisé par l’École géographique française qui s’était développée fin XIXe, à l’exemple de l’École géographique allemande.

Fort prisé dans les milieux dirigeants du Reich à la veille de la première guerre mondiale, le mot Geopolitik, après la défaite de 1918, trouva, par l’entremise des professeurs de lycée, un large écho dans l’opinion allemande pour la pousser à dénoncer les injustices du Traité de Versailles et préparer la revanche.

La géopolitique fut célébrée par les nazis comme « la science allemande » et ceux-ci en firent la justification prétendument scientifique des besoins d’ espace vital du peuple allemand. La géopolitique fut aussi le grand argument du stupéfiant pacte germano-soviétique d’août 1939, Staline s’étant laissé séduire par l’idée d’un pacte continental, dont la première étape fut le partage de la Pologne. La gravité de cette erreur stratégique apparut aux Soviétiques en juin 1941, lorsque l’armée du Reich n’ayant alors plus rien à craindre à l’ouest (après la défaite française de juin 1940) se lança brusquement à la conquête de l’Union soviétique. Les SS entreprirent l’extermination des populations juives et slaves des territoires du futur Grand Reich, la génétique ayant été invoquée pour affirmer qu’il s’agissait de races inférieures ou impures.

Le mot géopolitique frappé d’interdit et cependant banalisé, 1945-1980

Aussi dès la fin de la seconde guerre mondiale, toute allusion à la géopolitique, jugée alors théorie spécifiquement nazie, fut proscrite dans tous les pays européens et aux États-Unis. Ensuite, durant des décennies, il fut moralement interdit de parler de géopolitique à propos de toutes questions relatives à des territoires, qu’il s’agisse des accords de Yalta, de la division de l’Allemagne et de ses nouvelles frontières, ou celles de la Pologne, de la partition de l’Inde après l’indépendance, de la Corée ou du Vietnam en 1954, etc.

En URSS comme dans d’autres États « socialistes », ce fut un crime grave durant des décennies que de parler de géopolitique et la géographie humaine y fut même interdite par crainte de dérive géopolitique. En France, le mot géopolitique resta moralement proscrit (notamment durant la guerre d’Algérie) sous l’effet d’une stricte vigilance idéologique de gauche dans les milieux intellectuels, sauf quand il servait à diaboliser l’impérialisme américain.

Durant des décennies, les souvenirs les plus épouvantables du nazisme ont donc été associés au mot géopolitique, mais si quelques lecteurs en cherchaient alors la signification dans un dictionnaire, le Larousse ou le Robert, les définitions qu’ils y trouvaient, étaient d’une étonnante sérénité naturelle. Le Grand Larousse Universel (1962) définit la géopolitique comme « l’étude des rapports qui unissent les États, leurs politiques et les lois de la nature, ces dernières déterminant les autres ». Dans la dernière édition du Petit Larousse 2008, la géopolitique est « l’étude des rapports entre les données géographiques et la politique des États ». Pour le Robert, et c’est encore le cas aujourd’hui, la géopolitique « est l’étude des rapports entre les données naturelles de la géographie et la politique des États ». Pas la moindre allusion à l’implication de la géopolitique (ou plus exactement de discours géopolitiques d’un certain type) dans les plus grandes tragédies du XXe siècle. Est-ce l’effet d’une règle lexicographique qui serait d’éviter de mettre en cause une forme d’» étude » (sinon de discipline) considérée comme scientifique ?

Le préfixe « géo » implique la géographie, mais dans ces dictionnaires celle-ci est réduite aux données naturelles, celles-ci étant jugées fondamentales, et ce en dépit des géographes eux-mêmes qui récusent le « déterminisme » des dites données naturelles sur les activités humaines. Ces prétendues définitions de la géopolitique qui perdurent dans de larges milieux intellectuels et qui proclament dans « la politique des États » la place déterminante des « données naturelles », font curieusement silence sur le rôle de l’histoire. Pourtant son importance est d’évidence considérable dans tout problème géopolitique, ne serait-ce que dans le tracé de toute frontière et plus encore de celles qui sont contestées. Les « données naturelles » sensées déterminer la politique des États, ne changeant que sur des milliers ou des millions d’années et les « lois de la nature » étant éternelles, on devrait être logiquement réduit, en matière de géopolitique, à des lieux communs du genre « l’Angleterre est une île », « le Japon est un archipel » ou l’immensité du territoire de la Russie.

Ce ne sont évidemment pas ce genre de banalités géographiques qui explique le succès croissant du mot géopolitique depuis une vingtaine d’années en France. Succès d’autant plus étonnant que la géographie, réduite à une fastidieuse discipline scolaire, est – à la différence de l’histoire – assez mal vue des intellectuels. Le mot géopolitique est pourtant devenu aujourd’hui un terme à la mode. Il subit depuis peu une véritable inflation sémantique, à telle enseigne par exemple que des philosophes anglo-saxons « postmodernes » séduits par les discours de leurs confrères parisiens, dissertent sur « la géopolitique de la connaissance et de la différence coloniale ».

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Pierrot89 Membre 8 463 messages
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Le 29/07/2024 à 18:35, Mowgli a dit :

  

Ce sont des informations encyclopédique toutes recensés avec des sources qualifiés. Et que l'on ne trouve pas facilement sur internet. Entre toutes ces intox sur la toile, ces écrits et vidéos, qui parlent des sociétés secrètes. D'ailleurs, après ces quelques livres mis en avant, il y a eu beaucoup de livre qui ont fait semblant de parler du même sujet. Mais, ils ont presque tous pratiqué la langue de bois et une désinformation. En le liant par ailleurs à des choses complètement fantastique. Mais là ce n'est pas le cas, c'est ce qu'on cherche à noyer sous un tas d'information contraire. Ce que j'ai mis en avant vient du livre de Werner Gerson (Pierre Mariel) et celui dont il tire ces sources pour la synarchie et la classification des sociétés secrète politique dans ce 1er chapitre est de Raoul Husson, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay. Qui avait écrit Synarchie : 25 années d'activité occulte.

Ce qu'ils appelent magie tellurique ce sont les moyens scientifique utilisés par le nazisme pour le contrôle des masses. Mais les désinformateurs imposteurs, comme toi tmujin (un de mes anciens pseudo d'un forum qui a disparu, personne imitera un tel pseudo... impossible), doivent intoxiquer ces sujets pour les discréditer. En fait c'est toi qui fait des élacubrations sans prendre en compte la réalité des écrits.

Les sociétés secrètes existent legalement sous la loi de 1901. La franc maconnerie existe bel et bien. La société théosophique existe. La rose croix existe. Le martinisme existe. Des groupes politiques qui diffusent des croyances populaires pour créer une clientèle dans une manipulation totale, existent. Les adeptes de la fleur de bach existent. Le groupe O.T.O existe. L'edelweiss, qui recutre encore aujourd'hui avec divers groupe politique d'extreme droite, existe. Et le cher MSE, mouvement synarchique d'empire qu'on essaye de dissimuler, existe.

Ce livre parle aussi d'anciennes sociétés secrètes d'Allemagne qui ont existé. Et ce sont des preuves historique et non une histoire imaginaire. La sainte vehme a existé, les illuminés de bavières ont existés, the High Brotherhood a existé, le groupe Thulé a existé.

Donc tèmoutajine, t'es un menteur rien de plus. Des mensonges grave pour dénigrer ce que je publie. C'est vraiment malsain et complètement ridicule

Ces pseudos sociétés secrètes sont des sectes d'individus extrémistes, très dérangers du cerveau et sans influence.

Les sectes prolifèrent lorsque la raison vacille, en particulier dans les domaines religieux extrémistes et de la santé.

 

 

 

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Mowgli Membre 1 741 messages
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C'est quoi ces troll qui arrive avec des arguments d'autorité comme s'il avait une chaire universitaire. Ces sectes influencent secrètement la politique d'aujourd'hui comme celle d'hier. Faut arrêter avec l'intox et les arguments d'autorité pierrot. Tu ne vas pas nous manipuler. A part mentir avec rien RIEN, même pas un seul argument. "ils sont dérangé et sans influence"

Le groupe thulé, et d'autres groupes ont influencé le nazisme, les franc macon sur les politique de gauche, l'edelweiss vielle secte nazi est toujours présente par exemple https://www.lepoint.fr/societe/edelweiss-ces-neonazis-qui-font-dans-le-social-16-06-2017-2135864_23.php

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