Une proposition de loi pour examiner la discrimination capillaire en milieu professionnel

Moi j'adore. Faut dire que généralement plus c'est con plus j'adore. Et j'avoue qu'en France je suis gâté. J'ai toujours peur pourtant qu'un jour ça s'arrête. Je me dis cette fois ci ils ne pourront pas trouver mieux. Mais si ils y parviennent toujours. C'est impressionnant.

N'oubliez jamais  que les faux tifs ne sont pas toujours coupables ..................

tout ça me paraît bien tiré par les cheveux....

Ça devient n'importe quoi...

Quand j'étais adolescent j'avais les cheveux frisés et nous habitions dans le Nord où la quasi totalité des gens, à l'époque avaient des cheveux comme des baguettes de tambour, j'essuyais parfois des moqueries, parfois blessantes, de mes camarades mais ça se réglait rapidement avec une bonne correction. Je n'ai jamais eu le besoin d'une loi pour me protéger.

Le comique dans l'histoire c'est que quelques années plus tard la mode des cheveux frisés est arrivée et les mêmes qui se foutaient de ma gueule allaient chez le coiffeur se faire friser. Comme quoi, nous les humains nous sommes vraiment bêtes.

La discrimination sur L'apparence physique est déjà dans la loi, encore du brassage de vent pour détourner l'attention des vrais sujets

"Soit tu rentres chez toi changer de coupe, soit tu ne viens pas travailler" : victime de discriminations en raison de ses cheveux frisés, Kenza témoigne

La jeune femme a vécu deux expériences professionnelles traumatisantes, selon elle, en matière de discrimination capillaire : "J'avais fait une demi-queue : les cheveux attachés sur le dessus, détachés en dessous. À savoir que j'ai les cheveux frisés et je les avais laissés au naturel en dessous. J'étais alors hôtesse d'accueil dans un hôtel à Nîmes. Quand je suis allée travailler avec cette coupe, c'est parce que j'avais vu une autre personne aux cheveux raides faire cette coupe quelques jours plus tôt. Je me suis dit 'C'est trop beau, je vais faire pareil'... Je n'avais même pas passé le pallier de l'hôtel que le directeur est venu me voir et il m'a dit 'Tu as deux options : soit tu rentres chez toi changer de coupe, soit tu ne viens pas travailler.'"

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